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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Il y a 30 ans, le commando Greystoke libérait 17 babouins de laboratoire
Dans la nuit du 31 mars au 1er avril 1985, une vingtaine de défenseurs des animaux exfiltrent des singes, cobayes du CNRS.
Parmi les dix-sept animaux sauvés, sept d’entre eux avaient le crâne truffé d’électrodes. Ils ont été amenés clandestinement chez un vétérinaire. Gif-sur-Yvette, dans la nuit du 31 mars au 1er avril 1985. Parmi les dix-sept animaux sauvés, sept d’entre eux avaient le crâne truffé d’électrodes.
Ils ont été amenés clandestinement chez un vétérinaire. (Sygma/Corbis/Eric Preau.) Les derniers survivants coulent aujourd'hui des jours paisibles entourés de leur descendance. Il y a 30 ans, dans la nuit du 31 mars au 1er avril 1985, 17 babouins sont exfiltrés des locaux du CNRS à Gif-sur-Yvette, par 21 défenseurs de la cause animale. Les primates servent alors à la recherche sur l'épilepsie.
Patrick Sacco, le leadeur du commando Greystoke, baptisé en référence au film retraçant la légende de Tarzan sorti quelques mois plus tôt, revient sur cette aventure. « Nous voulions montrer à nos semblables l'injustice terrible du pouvoir des hommes sur les animaux », raconte-t-il. Patrick Sacco, 35 ans à l'époque, anime alors un collectif anti-vivisection.
Il vit avec sa chienne Suzy, que ce prof de mathématiques à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) emmène partout, même en cours. « C'est plus qu'un engagement, c'est une manière d'être », explique-t-il.
Le collectif a déjà libéré de nombreux chiens promis aux expérimentations. « A l'époque, certains particuliers les ramassaient dans la rue et les revendaient 5 francs », confie Patrick Sacco. Le collectif passe à la vitesse supérieure avec les babouins du CNRS.
Renseigné par une taupe à l'intérieur des laboratoires, le commando Greystoke se prépare pendant 4 mois. Toutes les nuits, ils observent le site, la présence de gardiens, la réaction des babouins, qu'ils aperçoivent à travers les fenêtres. « On les a fait hurler deux minutes, puis trois, puis cinq. Rien ne se passait », raconte Patrick Sacco.
Il se renseigne auprès de vétérinaires pour les soins, d'avocats pour les risques encourus. « Le regard de détresse de ces animaux nous donnait de la force », rappelle le militant. « Mort de trouille », le commando cagoulé se déploie. Deux camions s'approchent tous phares éteints. Les guetteurs prennent position. Les talkies-walkies crépitent.
Les pieds de biche descellent les grilles. Et les babouins, d'habitude si bruyants, se taisent étonnamment vite. Les cages chargées dans les véhicules, le groupe repart à 20 vers une discrète clairière. « Une mamie s'était endormie pendant le guet », sourit Patrick Sacco.
Le convoi se divise : sept babouins, le crâne truffé d'électrodes, partent chez un vétérinaire. Les dix autres, non mutilés, atterrissent au refuge de l'Arche, à Château-Gontier (Mayenne).
Au petit matin, le propriétaire du refuge, Christian Huchedé, découvre les sacs contenant les primates. Il pense qu'ils viennent d'un cirque passé dans le coin mais le comportement des babouins l'intrigue. « Nous en avions déjà. Ceux-là, apeurés, n'émettaient aucun son. Ils mangeaient les bananes avec la peau.
Il a fallu les éduquer », raconte-t-il. Christian Huchedé reçoit les sept autres babouins du CNRS déposés au compte-gouttes une fois soignés. « Je n'ai pas fait le lien avec le vol de Gif. A l'époque, il n'y avait pas besoin de remplir de fiches pour les animaux », confie-t-il. Aux nouvelles, l'affaire du rapt sonne comme un poisson d'avril. « Le CNRS a même affirmé que les singes étaient radioactifs », se souvient Patrick Sacco. Quelques années plus tard, l'enquête de police aboutit et sept membres du commando sont arrêtés.
Christian Huchedé, pris pour le cerveau de l'opération, est aussi brièvement placé en garde à vue. De son côté, le professeur du CNRS cherche à récupérer ses babouins. « Je lui ai dit OK, mais allez les chercher et vous ne prenez que les vôtres. C'était impossible, tous les singes étaient mélangés. Et ils l'auraient bouffé », rigole Christian Huchedé. Le centriste Jean Arthuis, alors secrétaire d'Etat et maire de Château-Gontier, fait pression auprès du ministère de la Recherche.
« Les méthodes du commando ne m'agréent pas mais remettre ces babouins dans un lieu de recherche n'avait pas grand sens », se rappelle-t-il aujourd'hui. Le CNRS abandonne. Devant la justice, en appel, Patrick Sacco est défendu, grâce à l'intervention de Brigitte Bardot, par le charismatique avocat Jacques Vergès. Il est condamné à huit mois de prison avec sursis et une énorme d'amende.
Pendant des années, avant d'être gracié, il laisse un mot sur sa porte : « Monsieur l'huissier, prenez ce que vous voulez mais fermez bien la porte et faites attention aux chats. »
Un rottweiler amputé des 4 pattes gambade avec des prothèses Un jeune rottweiler du Colorado amputé des quatre pattes, est le deuxième chien monde à marcher avec des prothèses.
Brutus a un peu la démarche de Robocop.
Normal, ce jeune rottweiler, amputé des quatre pattes alors qu'il était encore un chiot, est le deuxième chien au monde à être équipé de quatre prothèses.
Le chien, âgé de deux ans a dû être amputé après avoir eu les pattes gelées.
Brutus a d'abord été équipé des prothèses pour ses pattes arrières en septembre 2014.
Il a reçu celle des pattes avant deux mois plus tard.
Chien bionique
L'animal bionique s'acclimate doucement à sa nouvelle vie et commence à gambader de nouveau. Il a commencé à l'intérieur de la maison. Il peut désormais sortir et s'essayer à de petits exercices, pour retrouver son sens de l'équilibre.
"Vous ne pouvez pas expliquer à un animal pourquoi vous mettez ses engins à ses pattes. Vous ne pouvez pas leur expliquer que c'est pour les aider", souligne Laura Aquilina, qui l'a adopté, sur Fox 31 Denver. "S'il avait atterri dans un chenil, il aurait été déclaré impossible à adopter à cause de ses pattes", estime la maîtresse de Brutus.
"C'est une bonne chose que les gens sachent que ce que l'on peut faire avec ces animaux", ajoute-t-elle. "Les gens ne doivent pas renoncer à adopter un animal handicapé".
Entendant des cris déchirants, cette mamie s'attend à voir un chat mais la suite va la bouleverser
Masha est un chat errant de la ville d'Obninsk en Russie. Elle passe son temps aux alentours d'un bloc d'appartements. Les résidents la tolèrent et lui apportent à manger à tour de rôle, la trouvant très intelligente.
Du jour au lendemain, elle est devenue le héros de toute la ville.
En janvier dernier, par une rude journée d'hiver russe, Madeschda Machikowa, une retraitée de 65 ans, a entendu des cris semblables à des miaulements dans la cage d'escalier. C'est tout logiquement qu'elle pense à Masha. Elle est alors, descendue pour lui venir en aide. En s'approchant, elle comprend que le son ne vient pas de Masha.
Interloquée, elle s'approche de la boîte d'où provient le bruit et n'en croit pas ses yeux.
Masha était blottie contre un bébé, le gardant au chaud, par ce froid glacial. Mieux, elle lui léchait le visage pour le réconforter.
"Comment peut-on abandonner un enfant?" s'est-elle demandée. Heureusement, l'enfant avait l'air de bien se porter.
Mais sans l'attention et l'instinct de Masha, il ne serait probablement plus de ce monde.
Voici Smiley, un chien très spécial. Né aveugle, il aide depuis 10 ans des personnes âgées et des enfants. Smiley est un chien de thérapie. Il est trop mignon
Les voisins furent horrifiés…alors ils commirent l’impensable!
Un cœur gros comme ça…
Les photos que les voisins ont prises et que vous pouvez voir sur cet article, montre un chien qui n’a pas de nom. Pas de véritable famille, non plus ; les gens qui s’en occupaient le gardaient enchaîné et muselé près de leur maison.
Il dormait sur le béton froid, ignoré du reste du monde. Il aboyait, il quémandait de l’attention… Mais rien n’y faisait.
A mesure que le temps passa, les voisins remarquèrent les horribles choses qui se déroulaient près de chez eux. Jour après jour, le chien était là – seul, négligé et désespéré.
Les voisins devinrent préoccupés et frustrés, cependant, même leurs coups de fil énervés à la police n’eurent aucun effet. Le chien restait dehors. Finalement, les voisins en eurent assez.
Lorsque la maison d’à côté fut vide, ils sautèrent au-dessus de la clôture et sauvèrent ce pauvre chien qui n’avait pas de nom. A partir de ce jour-là, sa vie ne serait plus jamais la même, et c’était merveilleux.
Ce chien fut accueilli dans une nouvelle famille qui le laissa rentrer dans la maison… Puis laissa entrer d’autres chiens. C’était un vieux chien qui put vivre ses dernières années comme il l’avait toujours souhaité: Aimé.
Pour aucune autre raison que celle d’être un chien, ce brave toutou était enchaîné et muselé, traité comme un moins que rien par ses maitres. Il était allongé à même le béton froid
Aboyant de façon hystérique, se méfiant de l’homme et se débrouillant tant bien que mal pour survivre.
A mesure que le temps passa, les voisins devinrent préoccupés et frustrés, cependant, même leurs coups de fil énervés à la police n’eurent aucun effet.
Le temps passait et le chien vieillissait. Enfin, un jour, les voisins en eurent assez – et ils ont libéré le chien.
Il a été sauvé! Enfin! Et non seulement il a finalement obtenu un nom – Alfie – mais il s’est retrouvé avec la famille aimante qu’il avait toujours rêvé d’avoir.
Le voici avec son nouveau papa. Le ciment a été remplacé par les grands espaces. Plus de chaines ni de muselières. Mais des jouets, beaucoup de jouets. Et même un nouveau compagnon de jeu. Des piques-niques en famille. Bref, beaucoup de joie, de bonne humeur… Et surtout de l’amour et la liberté. C’est ainsi qu’Alfie a pu vivre ses dernières années. Heureux, enfin.
L’improbable amitié d’un tigre et d’un faon .
Au lieu de ne faire qu’une bouchée de ce jeune faon, un tigre a décidé de jouer avec .
Certes, les gestes du félin sont brusques –et peuvent faire craindre pour le petit–, mais il ne l’a finalement pas dévoré et a poursuivi sa journée.
Les images ont été prises au sein de la réserve Tadoba Andhari à Maharashtra, en Inde, par le photographe Souvik Kundu.
En direct : sauvetage de 2 chiens « coincés » dans les Alpes
Deux petits chiens se sont perdus en montagne, où ils errent, terrifiés, depuis plusieurs jours déjà. Heureusement, un protecteur des animaux les a entendus aboyer et a pu organiser leur sauvetage, qui s’est déroulé ce vendredi après-midi.
18h30 : Les deux petits chiens sont sains et saufs ! Lisez le déroulé complet de ce sauvetage périlleux ci-dessous : Jean-Pierre Halimi a la protection animale dans le sang. Il a d’ailleurs fondé sa propre association (Une Nouvelle Chance) en 1999, qui vient en aide aux vieux animaux abandonnés. Sa maison, qu’il a transformée en refuge, est située sur la petite commune de Livet-et-Gavet, en Isère.
De là, cela fait plusieurs jours qu’il entend des aboiements de chiens venir de la montagne. Deux petits chiens y sont en effet « coincés » depuis le 19 mars 2015. Très inquiet à leur sujet, Jean-Pierre a d’abord tenté de les retrouver lui-même en s’engageant sur des petits sentiers, mais cela s’est rapidement avéré impossible, car leurs appels provenaient d’une zone inaccessible.
Le 23 mars, il a contacté des secouristes qui ont promis de venir le lendemain l’aider à localiser et attraper les chiens. Les secours abandonnent le sauvetage suite au crash de l’A320 de Germanwings chiens_alpes05Malheureusement pour les animaux , le 24 mars était le jour du crash de l’A320 de Germanwings.
« Les gendarmes sont venus mais n’ont pu détecter les chiens ; après une heure de recherches ils sont repartis car appelés en urgence pour un crash. Les chiens sont sur une falaise, je ne trouve personne pour y monter. Demain il neige et les chiens sont faibles après 5 jours sans boire ni manger », s’inquiètait alors Jean-Pierre. Les jours passant, la situation semble de plus en plus désespérée.
« Les secours en montagne sont tous sur le site de l’accident de l’avion, il n’y a plus d’effectif de disponible pour s’occuper des chiens. A quoi ça sert d’avoir 500 personnes sur place alors qu’il n’y a aucun survivant ? Il ne suffirait que de deux sauveteurs ici pour sauver deux vies. Les morts ne reviennent pas, mais les animaux vivants, si ils le restent c’est de l’espoir », s’agace Jean-Pierre sur Facebook.
Mais il ajoute quelques heures plus tard, plus motivé que jamais à leur venir en aide : « Ils sont sur une falaise que seuls les chasseurs de chamois ou des secouristes de haute-montagne peuvent monter, à plus de 250 mètres d’altitude. Je contacte le maire pour qu’il voit avec les chasseurs ; sinon il faut attendre le retours des CRS de montagne du crash d’avion ».
Les chasseurs refusent d’aider les 2 chiens Comme on pouvait s’y attendre cependant, les chasseurs refuseront de se mobiliser pour venir en aide aux deux chiens, ceux-ci n’étant pas des chiens de chasse… Cela n’entame pas pour autant la motivation de Jean-Pierre qui continue à chercher d’autres solutions.
« Les pompiers et les gendarmes ne sont pas habilités à monter et surtout à sauver un chien, seuls les secours de montagne qui sont venus mais repartis à cause du crash le peuvent », déplore-t-il, ajoutant qu’il lui est insupportable d’entendre les plaintes de ces petits chiens à longueur de journée depuis son domicile, sans rien pouvoir faire pour eux.
10h00 : Enfin, une bonne nouvelle arrive : des alpinistes Guides de l’Alpe d’Huez acceptent finalement de l’aider. Rendez-vous est pris pour ce vendredi 27 mars 2015 à 10h00 du matin. Accompagné des deux montagnards professionnels, Jean-Pierre les guide vers le lieu où les chiens sont prisonniers.
L'endroit étant dangereux, il ne peut pas poursuivre l’ascension avec eux mais doit attendre en contrebas. Les alpinistes sont encordés alors qu’on entend très distinctement aboyer l’un des deux chiens.
L’autre est-il mort ? Les animaux vont-ils se laisser attraper ?
Alors que l’angoisse monte, le sauvetage commence.
11h00 : Ca y est, les petits chiens sont en vue ! Les animaux se trouvent être deux femelles, liées par un lien de parenté. « La mère a été récupérée, très faible. Elle est installée dans un sac à dos. Sa petite ne se laisse pas approcher. Elle mange un peu de croquettes et s’éloigne. La partie n’est pas gagnée », note Jean-Pierre.
12h00 : La descente commence. « Il a fallu encorder le petit, qui suit les guides ».
14h00 : Les deux chiennes arrivent en bas. Jean-Pierre est soulagé. « Le véto m’attend pour les mettre sous perfusion », indique-t-il.
16h20 : « On arrive chez le vétérinaire. Elles reprendront des forces avec de la nourriture et beaucoup d’amour. Plus tard, elles seront adoptées ensemble. Merci aux guides », indique Jean-Pierre sur sa page Facebook.
19h00 : La journée est terminée, les deux rescapées ont été confortablement installées sur une couverture. Jean-Pierre a enfin le temps de donner des nouvelles plus complètes :
« La mère, la plus faible, doit avoir près de 3 ans, et la fille presque 2 ans. Elles vivaient dans un cirque. Leur maître actuel les as prises chez lui mais elles étaient inapprochables, farouches, craintives. Elles se sont sauvées dans la montagne. Sans les aboiements continus de la petite pendant une semaine (la mère était trop faible), on aurait eu du mal à les localiser.
Elles sont avec moi, elles ont mangé et rencontré mes chiens. Il ne reste plus qu’à les retaper et leur trouver un bon foyer où elles vivront ensemble. Les sauveteurs n’ont pas voulu d’argent mais j’ai insisté pour les payer. Ils ont risqué leurs vies pour elles ».
Quel sauvetage remarquable ! Planète Animaux félicite chaleureusement toutes les personnes qui y ont participé, et se réjouit que les deux petites chiennes aient ainsi l’opportunité d’avoir une « nouvelle chance ». En espérant qu’elles trouveront rapidement une famille aimante
Des chiens errants assistent aux funérailles de la femme qui les a aidés
Toute sa vie durant, Margarita Suàrez, une femme originaire de Mérida, au Mexique, a pris soin des animaux errants. Cette femme a toujours distribué de la nourriture aux chiens et chats dans le besoin de son quartier.
Chaque matin, une vingtaine de chats venaient à sa porte, puis lorsqu’elle sortiat, elle n’oubliait jamais de prendre avec elle le repas quotidien des chiens errants qu’elle croisait dans la rue.
Et quand Margarita devait manquer le rendez-vous, elle s’assurait toujours de laisser de quoi nourrir ses protégés. « Chaque fois que nous croisions un chien dans la rue, cela voulait dire que nous devions rentrer à la maison pour aller chercher de quoi le nourrir » raconte à Norte Digital Patricia Urrutia, la fille de Margarita, Les chiens sont-ils venus lui rendre un dernier hommage ?
Lorsque sa santé s’est dégradée, Margarita a déménagé à Cuernavaca et s’est rapprochée de sa fille. Mais sa dévotion envers les animaux est restée intacte.
Elle a donc continué de donner nourriture et affection à d’autres chiens et chats sans maison. Malheureusement, l’état de santé de Margarita n’a fait que décliner, et est décédée au début du mois de mars. Le jour de ses funérailles, le 15 mars dernier, quelque chose d’incroyable s’est produit.
Tous ses proches se sont naturellement réunis, et parmi eux, des amis à 4 pattes, semblant être venus eux aussi lui rendre un dernier hommage.Patricia a d’abord pensé qu’il s’agissait de chiens errants simplement venus chercher leur nourriture.
Mais les chiens sont entrés dans la pièce où reposait le corps de sa mère. Quand tout le monde s’est mis en route pour l’église, les chiens ont suivi. Et quand ils sont rentrés chez Margarita, ils étaient encore là.
Pour Patricia, ces chiens sont venus saluer sa mère. Elle est certaine qu’ils font partie de ceux qu’elles nourrissaient et si elle ignore comment ils ont réussi à la retrouver, elle était très heureuse de voir ces animaux que sa mère aimait tant apporter leur joyeuse et chaleureuse présence en cette si triste journée.
Ce soir restera gravé longtemps en mémoire... Tu rentres du boulot, ton chien a "disparu", tu prends ta voiture et pars à sa recherche... tu tournes, tu siffles, tu cries son prénom, tu retournes, tu siffles, tu re cries son prénom... Puis tu refais un tour supplémentaire, puis encore un un avec toujours de l'espoir... Tout passe dans la tête, une voiture, un vol... Et la soudainement quand tu perds espoir, tu aperçois une tache blanche dans ta haie.. Tu crois halluciner... Tu descends de ta voiture et la c'est l'horreur que tu ne réalises pas. Ton chien couché dans la haie, avec encore un petit sourire sur le bout de son museau... Puis tu le touches, tu comprends qu'il est gelé et la tu n'arrives pas à réaliser. Tu l'observes, tu te demandes si c'est une voiture, si quelqu'un l'a balancé ici... Puis tu aperçois quelque chose autour de son cou.. Oui oui un bout de ferraille. Autrement dit : "Un collet à renard". Un collet à renard ok, mais qui est posé dans la haie de chez toi ! Et la c'est terrifiant, tu te rends compte que ton chien est mort étranglé, qu'il a énormément souffert, qu'il s'est débattu et a fait un trou dans la haie... Puis tu apprends que ce collet à été posé ce dimanche soir, sans aucune autorisation par un "piégeur" dans une propriété privée : Notre jardin ! Puis tu apprends que cet "sois disant humain" en a posé plusieurs au même endroit... A t'il mit de la viande en plus pour l'appâter ? Peut-être encore.. Vu qu'il n'a aucune pitié.. Ces sois disant collet : "Le collet à arrêtoir est le seul autorisé car il ne tue pas grâce à l'arrêtoir, il est soumis à autorisation" . Ma parole ça ne devait pas tuer oui.. Mais aujourd'hui j'ai perdu peut-être qu'un chien (comme certains penseront....) mais c'était mon chien, mon amour, même indescriptible... Il venait d'être papa de 2 petits amours que l'on vient de donner et aujourd'hui on se retrouve avec ? Plus rien.. C'est un vide complet. Impossible à réaliser, un chien qui n'avait jamais rien fait, jamais rien demandé...
Que cette histoire soit connue, auprès de beaucoup de gens, et qu'on arrête cette chasse affreuse BORDEL et encore moins dans notre jardin ! Aujourd'hui c'est toute notre famille en deuil pour un collet !!!!!!!!
Marion Chaumette
Un homme interrompt deux tortues en plein ébat: regardez la réaction des animaux… Au cours de son périple, Paul Rose assiste à une scène insolite : deux tortues géantes sont en train de s’accoupler. Son regard indiscret ne plaît pas à l’une des tortues qui va le pourchasser… Regardez la réaction de ces deux tortues géantes…