Une chienne héroïque retrouve un chien disparu depuis 7 heures, embourbé et isolé dans une forêt

Les chiens ont un odorat estimé à un million de fois supérieur au nôtre, leur permettant entre autres de retrouver des personne ensevelies ou disparues.

Frank Froehlich cherchait désespéramment son chien Quik, âgé de 14 ans et disparu depuis sept heures quand un voisin lui a proposé l’aide de sa chienne pour le retrouver.

Grâce à cette dernière qui a reniflé le couchage de Quik, le chien a été retrouvé à temps, embourbé jusqu’aux épaules, coincé et isolé dans une forêt. Le 18 septembre dernier, Judy Froehlich, une habitante de l’Ohio aux États-Unis, ouvre la porte de sa maison pour laisser son chien Quik, un Labrador Retriever chocolat de 14 ans, sortir dans le jardin qui donne sur un bois tout proche.

Il est très tôt et Quik, qui ne s’éloigne jamais très loin, ne répond pas aux appels de sa maîtresse comme elle l’explique à la chaîne TV Local12.com : Je me suis mise à appeler le chien mais il n’a pas répondu. Il n’est pas venu, ce qui était très étrange.

Judy, qui doit s’absenter, demande alors à son mari de partir à sa recherche. Frank Froehlich, très inquiet de la disparition de son chien, prend son véhicule et arpente les rues du voisinage à sa recherche.

Mais les heures passent et Frank n’a toujours pas retrouvé Quik. Il entend des aboiements succins mais ne parvient pas à le localiser. Il décide alors de se rendre jusqu’au lotissement situé de l’autre coté des bois en espérant tomber sur un voisin qui aurait vu son chien. Il rencontre Alan Cardin, qu’il n’a jamais vu auparavant, et lui demande s’il a vu son chien tout en lui décrivant.

Mais Alan, qui lui répond par la négative, lui propose cependant une idée pour retrouver Quik. L’homme a un chien de chasse, une femelle Setter Anglais âgée de 14 ans, nommée Macy et entraînée à retrouver les oiseaux chassés.

Il propose donc à Frank de partir ensemble à la recherche de son chien disparu. Avant d’entamer les recherches, les deux hommes se rendent à son domicile afin que Macy s’imprègne de l’odeur de Quik en renfilant son couchage.

A peine engagée dans les bois et disposant d’un flair jusqu’à un million de fois supérieur au nôtre, Macy conduit immédiatement les deux hommes jusqu’à Quik. Le chien âgé est embourbé jusqu’aux épaules et ne peut pas se dégager. Cela fait déjà sept heures qu’il lutte désespéramment pour se sortir de la boue épaisse, en vain. Alan Cardin explique : Nous ne pouvions pas dire où la boue s’arrêtait et où le chien émergeait.

J’ai regardé Quik et j’ai dit, « nous allons te sortir de là aujourd’hui ». Il faudra en tout deux heures et l’aide de deux hommes venus tondre la pelouse de la famille Froehlich pour sortir le Labrador pris au piège de la boue. Quik est épuisé et aura besoin d’un bon bain et d’une longue sieste pour se remettre de son calvaire.

Sans l’aide précieuse de Macy, le chien âgé aurait pu rester coincé encore longtemps et connaitre une issue fatale. Quik revoit régulièrement son héroïne canine et la famille Froehlich s’est fait de nouveaux amis dans le voisinage lors de cette rencontre fortuite et salvatrice avec Alan Cardin.

Au bord de la mort, un chien a la vie sauve grâce à l’audace et à la détermination d’un pompier L’utilisation de maques à oxygène pour animaux permet aux pompiers et secouristes de réanimer des animaux victimes des fumées toxiques dégagées lors d’incendies.

Mais le 9 octobre dernier, le pompier Josh Moore et l’ambulancier Bubby Bish, n’étant pas équipés de ces masques à oxygène spécifiques, ont réussi à réanimer un chien au bord de la mort grâce à leur audace et leur persévérance.

Le 9 octobre dernier, les équipages de pompiers et de secouristes de la ville de Petersburg en Virginie (États-Unis) sont appelés pour intervenir sur un feu de maison.

Alors que les soldats du feu combattent l’incendie, les pompiers Josh Moore et Mark Allen pénètrent dans la maison pour secourir la propriétaire. Après l’avoir évacué, ils reviennent chercher Keiser, un Berger Allemand croisé, au bord de la mort.

L’ambulancier Bubby Bish témoigne à la chaîne CBS6 : Quand j’ai vu le chien, j’ai vraiment cru qu’il était décédé. Keiser est en détresse respiratoire comme le constate rapidement le pompier Josh Moore.

Bien qu’ayant peu d’espoir de sauver le chien, les deux hommes prennent la décision de tout tenter, faisant preuve d’audace et de détermination comme l’explique le pompier : Comme c’était un grand chien, j’ai pensé qu’un masque (à oxygène) pour adulte pourrait fonctionner sur lui et que je pourrais lui recouvrir le museau, le maintenir et le faire fonctionner.

Le pompier se sert ainsi d’un masque à oxygène pour humain pour tenter de le réanimer mais en vain, Keiser ne réagit pas. Finalement, au bout de cinq à huit minutes d’après le témoignage du pompier héroïque, le chien commence à bouger et à remuer la queue.

Keiser revient de très loin grâce à l’audace et à la persévérance du pompier Moore que Bubby Bish décrit comme un héros, n’ayant jamais vu quelque chose de semblable en 48 ans de carrière. Le Berger Allemand rescapé sera emmené dans une clinique vétérinaire et en sortira deux jours plus tard sain et sauf pour être conduit au centre de contrôle des animaux de Petersburg en attendant que sa maîtresse, hospitalisée pour des brûlures au second degré, se rétablisse et vienne le chercher.

A l’issue du sauvetage, Bubby Bish a commandé des masques à oxygène pour animaux qui équiperont les ambulances d’urgence de son unité de secours.

Bravo à ces deux hommes pour leur détermination exemplaire à vouloir sauver Keiser et rappelons que les pompiers et secouristes, dévoués, ne font aucune distinction quand il s’agit de sauver une vie, qu’elle soit humaine ou animale.

Elle a dit au chimpanzé qu'elle avait perdu son enfant. Ce que le singe a ensuite fait était complètement inattendu.

 Après la lecture de cette histoire, vous comprendrez à quel point la maternité et la perte d’un enfant sont des évènements aussi bien marquants qu’universels.

Washoe était une guenon chimpanzé qui vécut à l’Institut de la communication du chimpanzé et de l’humain. Elle était exceptionnellement intelligente et savait s’exprimer en langage des signes, ce qui lui permettait de communiquer avec ses gardiens.

Washoe est connue pour avoir été le premier primate non-humain à acquérir un langage humain et connaissait environ 250 signes ce qui constituait son lexigramme. Une des gardiennes de Washoe prénommée Kat était enceinte et n’alla pas au travail pendant plusieurs semaines ce qui attrista le chimpanzé.

Lorsque Kat revint, celle-ci présenta ses excuses auprès de Washoe et lui expliqua les raisons de son absence. Kat lui dit en langage des signes « Mon bébé est mort ».

Washoe regarda Kat puis baissa les yeux. Puis finalement le chimpanzé plongea ses yeux dans ceux de Kat et fit soigneusement le signe " pleurer " en touchant sa joue et imitant le trajet d’une larme qui coule (alors que les chimpanzés sont incapables de verser des larmes).

Kat compris que les capacités mentales de Washoe étaient énormes, qu’elle était capable d’exprimer des phrases grammaticalement parfaites. Washoe eut elle-même le malheur d’être endeuillée. En effet, elle perdit elle aussi un enfant, et cela à deux reprises.

Le premier décéda peu de temps après sa naissance suite à une malformation cardiaque et le second est mort d’une infection à l’âge de deux mois.

Après ces pertes tragiques, les chercheurs souhaitaient absolument permettre à Washoe d’assumer un rôle de mère, et ainsi, ils lui apportèrent un chimpanzé de dix mois prénommé Loulis. L’un des gardiens est allé voir Washoe et lui dit ceci en langage de signe : « J’ai un bébé pour toi ».

A ce moment là, Washoe est devenu incroyablement excitée, criant de joie tout en se balançant de gauche à droite, pour finalement dire en langage de signe « Mon bébé ». Puis le gardien revint avec Loulis et l’excitation de Washoe retomba subitement. Elle refusa de prendre Loulis dans ses bras car celle-ci pensait qu’on allait lui rendre Sequoyah, son second enfant décédé prématurément.

C’est finalement le petit Loulis qui aborda Washoe en premier, et dès le lendemain les deux singes étaient devenus inséparables. . À partir de ce moment là, Washoe assuma pleinement son rôle de mère et s’impliqua totalement dans l’éducation de Loulis.

Chose plus intéressante encore, après avoir tissé des liens de mère-enfant, Washoe enseigna à Loulis comment s’exprimer en langage des signes, comme l’auraient fait des parents humains à leurs propres enfants. Il n’aura fallu que 8 jours à Washoe pour apprendre à Loulis son premier signe. Bien entendu, les gardiens aidèrent Washoe dans sa démarche d’apprentissage auprès de Loulis.

Un apprentissage si bien réussi que Loulis était par la suite, capable de s’exprimer aussi bien que sa mère d’adoption et ainsi pouvait communiquer lui aussi avec les humains. L’histoire de Washoe nous aura appris au moins une chose.

Il ne faut jamais sous estimer l’intelligence des animaux, et plus important encore, nous avons le devoir de faire preuve de compassion les uns envers les autres, car si les chimpanzés en sont capables, nous devrions l’être aussi.

HUMOUR

Une femme sauve un chien d’un déséquilibré qui projetait de l’étouffer

Brittany Owens a été interpellée par le comportement étrange d’un homme qui cachait un chien dans un sac de voyage et projetait de le tuer en l’étouffant.

Véritable héroïne, Brittany a risqué sa propre vie pour lui arracher le sac et se défendre face à l’individu qui tentait de la frapper. Soigné dans une clinique vétérinaire, le chien a ensuite été adopté par son héroïne qui a reçu un prix pour son sauvetage.

Le 19 septembre dernier à Cleveland aux Etats-Unis, Brittany Owens travaille sur son stand de vente de hot-dogs quand un homme nerveux et agité vient à sa rencontre.

Il porte un sac de voyage et son comportement étrange l’interpelle. Brittany aperçoit les oreilles d’un chien dans le sac. Inquiète, elle demande alors à l’individu ce que contient son sac. Sa réponse est terrifiante comme le rapporte Cleveland.com : C’est un chien et je ne l’aime pas, je vais tuer ce petit chien en l’étouffant. Brittany lui propose alors de recueillir le chien et même de le lui acheter, ce qui met en colère l’homme déterminé qui insiste sur la poursuite de son projet macabre.

Birtanny n’hésite pas un instant et lui arrache le sac, mettant en péril sa propre vie. L’homme tente de la frapper mais Brittany, résolue à sauver la vie du petit chien, se défend courageusement et réussit à le mettre en fuite. Elle appelle la police pour donner une description très précise de l’hom

me et conduit ensuite le chien dans une clinique vétérinaire. En effet, témoignant de la violence de son maître, le pauvre chien porte une blessure récente sur le crâne.

La police ne tardera pas à arrêter l’homme qui, souffrant de troubles mentaux, avouera n’avoir pas pris ses médicaments. Soigné et cajolé, le chien rescapé d’une mort certaine a été adopté par Brittany qui a reçu un prix pour son acte héroïque décerné par la police de Cleveland qui explique dans un communiqué : Mme Owens a vu ce chien qui allait être violenté par un homme manifestement troublé et elle a rapidement pris l’initiative de protéger le chien au péril de sa propre sécurité. Elle a sauvé le chien, s’est défendue devant son agresseur, et a ensuite fourni aux agents une description précise de l’homme.

L’homme était, au moment des faits, en état de crise. Il a été emmené pour être évalué mentalement et pour contrôler le suivi de son traitement médical. Mme Brittany Owens a été désigné pour recevoir le prix des citoyens pour ses actions héroïques par le lieutenant Timothy Gaertner.

Touchant : un chat s'enfuit pour retrouver sa maîtresse dans sa maison de retraite

Si leur incroyable fidélité est, à juste titre, sans cesse citée en exemple, les chiens ne sont pas nos seuls meilleurs amis et alliés. Les chats aussi peuvent briller par leur dévouement, comme ce matou britannique, Cleo, qui a tout simplement refusé de vivre sans son humaine.

Une ressemblance plus que frappante Nancy Cowen a quitté sa maison voilà quelques mois pour s'installer dans une maison de retraite située à Westcott, en Angleterre.

L'établissement n'acceptant pas les animaux de compagnie, c'est le coeur lourd qu'elle a confié Cleo à ses voisins. Mais le chat, adopté voilà 8 ans alors qu'il errait dans les rues de Richmond, lui, ne l'entendait pas de cette oreille.

Il y a deux semaines environ, un chat a commencé à traîner autour de la maison de retraite. Il passait toutes ses journées devant la porte. Pensant qu'il s'agissait d'un animal errant, le personnel s'est pris d'affection pour ce félin très amical et s'est mis à lui donner à manger. Mais un beau jour, alors qu'elle se baladait, Nancy est tombée sur le chat. Elle a tout de suite été frappée par sa ressemblance avec le compagnon qu'elle a dû laisser derrière elle. "Un jour, Nancy a dit : "Oh, elle ressemble à mon chat, Cleo. Mais ma Cleo a perdu une partie de sa queue". Donc nous avons vérifié, et il lui manquait bien la majeure partie de sa queue. C'est alors que nous avons réalisé que c'était Cleo" raconte une aide-soignante au site The Dodo, Leslie Thomas.

Tout est bien qui finit bien Le personnel, comme Nancy, n'en revient toujours pas. Comment Cleo a-t-elle pu retrouver sa maîtresse ? "Elle n'a pas pu la suivre, car nous sommes assez loin de l'endroit où vivait Nancy" affirme une autre aide-soignante, Laura Costello. "Je pense que c'est tout simplement incroyable.

De toute évidence, Cleo savait que Nancy était là, mais personne ne savait que c'était son chat. Très étrange. Je ne sais pas comment Cleo l'a trouvée. Je suis encore déconcertée".

Et cette jolie histoire se termine de la meilleure des façons. Car Cleo est officiellement devenue l'une des pensionnaires de la maison de retraite où elle a été autorisée à rester. Depuis leurs retrouvailles, Nancy et sa fidèle compagne ne se quittent pas d'une semelle !

Ce n’est pas en France que l’on verrait ça ! Au mois d’août, dans les Hautes-Alpes, une louve a été retrouvée blessée suite à une collision et a été placée dans une clinique vétérinaire pour être soignée. La préfecture a d’ores et déjà annoncé que si la louve survit, elle ne sera pas relâchée, mais placée dans un parc animalier…

Autre pays, autre mentalité : début 2014, en Italie, deux louveteaux ont été retrouvés mourants (blessures + gale) par des randonneurs. Ils ont été pris en charge par un centre de soins.

Après avoir totalement récupéré, il ont été tout naturellement relâchés dans la nature munis de petites caméras pour que l’ on puisse à travers leurs yeux découvrir leurs premiers pas en liberté

 Impossible de ne pas faire le parallèle entre ses deux histoires… D’un côté des Alpes on relâche ses loups dans la nature, et de l’autre côté on les enferme à vie! Après plusieurs exemples de loups blessés, soignés et relâchés en nature, l’Italie montre une fois de plus une approche bien différente de celle de la France concernant la place de ses animaux sauvages et les efforts mis en oeuvre pour leur conservation.

De plus, ces exemples italiens nous montrent que cela est possible, contrairement à ce que pense le Préfet des Hautes-Alpes affirmant que dès lors qu’un loup avait eu un contact avec l’homme, il ne serait plus relâchable car trop imprégné.

Les voisins regardèrent au-dessus de la clôture et furent horrifiés… Alors ils commirent l’impensable

Ce chien que vous allez rencontrer ci-dessous n’a pas de nom. Pas de véritable famille, non plus ; les gens qui s’en occupaient le gardaient enchaîné et muselé près de leur maison. Il dormait sur le béton froid, ignoré du reste du monde.

Il aboyait, il quémandait de l’attention… Mais rien n’y faisait. A mesure que le temps passa, les voisins remarquèrent les horribles choses qui se déroulaient près de chez eux.

Jour après jour, le chien était là – seul, négligé et désespéré. Les voisins devinrent préoccupés et frustrés, cependant, même leurs coups de fil énervés à la police n’eurent aucun effet. Le chien restait dehors.

Finalement, les voisins en eurent assez. Lorsque la maison d’à côté fut vide, ils sautèrent au-dessus de la clôture et sauvèrent ce pauvre chien qui n’avait pas de nom. A partir de ce jour-là, sa vie ne serait plus jamais la même, et c’était merveilleux.

Ce chien fut accueilli dans une nouvelle famille qui le laissa rentrer dans la maison… Puis laissa entrer d’autres chiens. C’était un vieux chien qui put vivre ses dernières années comme il l’avait toujours souhaité: Aimé. Pour aucune autre raison que celle d’être un chien, ce brave toutou était enchaîné et muselé, traité comme un moins que rien par ses maitres..Il était allongé à même le béton froid.Aboyant de façon hystérique, se méfiant de l’homme et se débrouillant tant bien que mal pour survivre.

Il a été sauvé! Enfin! Et non seulement il a finalement obtenu un nom – Alfie – mais il s’est retrouvé avec la famille aimante qu’il avait toujours rêvé d’avoir.

Le voici avec son nouveau papa. alfie6 Le ciment a été remplacé par les grands espaces. Plus de chaines ni de muselières alfie8 Mais des jouets, beaucoup de jouets.Et même un nouveau compagnon de jeu . Des piques-niques en famille .Bref, beaucoup de joie, de bonne humeur…

 Et surtout de l’amour et la liberté. C’est ainsi qu’Alfie a pu vivre ses dernières années. Heureux, enfin.

Ebola : le chien de l'Espagnole contaminée, menacé d'euthanasie..

Excalibur, le chien de l'aide-soignante espagnole contaminée par Ebola, serait menacé d'euthanasie selon le mari de celle-ci, lui-même gardé en observation depuis mardi.

Il a lancé une pétition sur les réseaux sociaux pour éviter un«sacrifice».

Les animaux en contact avec les humains touchés par le virus Ebola doivent-ils être soignés ou euthanasiés ?

Les autorités sanitaires de la Communauté de Madrid ont tranché : l'animal sera euthanasié. «Nous ne pouvons pas prendre de risques», explique le président du conseil des Vétérinaires de Madrid à El Pais.e mari de l'aide-soignante espagnole, contaminée et soignée depuis lundi soir, avait montré quelques heures avant son inquiétude pour l'avenir de leur chien en lançant une pétition sur les réseaux sociaux.

Excalibur, son nom, est désormais officiellement menacé par les autorités sanitaires de la Communauté de Madrid, comme le raconte El Pais. Lui-même placé en observation dans la nuit de lundi à mardi, le mari de l'aide-soignante avait reçu un appel des autorités lui demandant une autorisation d'euthanasier l'animal. Depuis que le couple se trouve à l'hôpital, le chien est seul dans la maison de ses maîtres et dispose d'eau et de nourriture.

Mais l'homme craignait que l'on puisse entrer chez lui pour venir «euthanasier» son chien. Il a donc envoyé un message à une association de défense des animaux , qui a relayé l'appel sur Facebook. «Il faut le placer en quarantaine, comme moi», lance le mari «Je souhaite dénoncer publiquement qu'un certain Zarco, je crois qu'il est le chef de l'agence de santé de la Communauté de Madrid, m'a expliqué qu'ils devaient euthanasier mon chien, sans plus d'explications. Il m'a demandé mon consentement, ce à quoi j'ai imméditament répondu non.

Il a ajouté qu'il allait demandé à un juge afin d'entrer par la force à mon domicile et l'euthanasier», détaille Javier, le mari de l'aide-soignante «Cela me paraît injuste qu'à cause d'une erreur de certains, ils veulent solutionner ça de manière rapide. Un chien n'est pas responsable de contaminer une personne et l'inverse est également vrai. Si le problème importe tant, je crois qu'il est possible de trouver d'autres solutions comme, par exemple, le placer en quarantaine et en observation comme c'est mon cas. Ou sinon, il faut me sacrifier de la même manière», poursuit-il.

Les faits ont donc été confirmés par les autorités sanitaires. «Une demande sera faite à un juge pour pouvoir euthanasier l'animal», expliquent-elles. Selon le président du conseil des vétérinaires espagnol, interrogé par El Mundo, il n'y a pourtant aucune étude qui prouve que le virus puisse se transmettre entre un être humain et un chien. Le message du mari commencait en tout cas à émouvoir à travers les réseaux sociaux. «Je connais l'infirmière contaminée et son mari et je sais par quoi ils passent car ils adorent leur chien Excalibur», écrit une internaute sur Twitter.

«Excalibur, tu n'es coupable de rien», lâchait en commentaire une autre sur le compte Facebook de l'association.

Personne ne voulait de ce chien de 16 ans au refuge... puis quelque chose de merveilleux lui est arrivé.

Bear ne demandait qu’à finir ses jours au sein de son foyer. Mais ses maîtres, d’une lâcheté déconcertante, l’ont abandonné à l’age de 16 ans, le chien étant proche de la mort.

Le pauvre chien a été recueilli par un refuge qui ne lui donnait pas beaucoup de chances d’être adopté. Le chien était non seulement âgé mais son état physique ne jouait malheureusement pas en sa faveur : ses poils étaient emmêlés et très sales, il était squelettique et presque mourant. Il y avait peu de probabilité qu’il trouve l’amour d’un foyer.

Cependant, une famille l’a fait. Le résultat fut étonnant... Ses nouveaux maîtres l’ont renommé Norman. Voici l’avant et l’après, illustré par des photos très émouvantes. La page d’information de bear au refuge; un chien de 16 ans ayant besoin d’aide mais dont personne ne voulait.

L’adoption non seulement sauve des vies mais elle permet aussi d’offrir à des animaux comme Norman qui ont été abandonnés ou maltraités toute leur vie une nouvelle chance. Alors si vous êtes tenté par l’adoption, pourquoi pas recueillir un animal plus vieux, en fin de vie, et lui permettre de vivre enfin quelques jours de bonheur avant de quitter notre planète!

Si cette histoire vous a touché, n’oubliez pas de la partager ci-dessous avec vos proches afin de propager ce message d’affection pour nos amis les bêtes.