Mon secret, vous le ne dénicherez jamais car il est ancré si profondément dans l’obscurité.

Quand le silence n'a plus de mot, il reste la pensée

du profond du coeur, je dédie ces quelques mots à tous les amoureux et amoureuses, à l'amoureux qui a un amoureux, à l'amoureuses qui a une amoureuse, et à l'amoureux qui a une amoureuse. L'Amour, c'est juste de l'amour. L'amour, c'est l'expression du coeur entre deux personnes qui ne s'embarrassent pas des couleurs, des styles, des genres, des statuts... L'Amour, c'est juste l'amour, et un amour partagé est le plus beau des cadeaux. Profitez de la vie, profitez de chaque instant. Aimez vous, clamez votre amour, chantez votre amour, dansez votre amour, écrivez votre amour, et ressentez cette joie du coeur, l'expression de l'amour. Dites votre amour, sussurez le, entourez de vos gestes d'amour. L'amour, c'est juste l'amour. Quand vous aimez, dites le. quand vous aimez, osez être vous. Quand vous aimez, soyez sincère. Acceptez l'autre tel qu'il, Acceptez vous tel que vous êtes. L'amour, c'est juste de l'amour. surprenez vous, donnez vous le temps d'être à deux, accordez vous des moments doux. L'amour...

Le soir trébuche et dégringole . Il m'entraîne avec lui. Abîme ouvert de jours indélicats . Cohorte nauséeuse de sourires amers . Au ♥ la déchirure ...

Vient le temps où il ne suffit plus d'un haussement d'épaules pour soulever l'angoisse et se sentir libre. Aujourd'hui tu le sais Il n'y a que la mort qui puisse te faire libre et te donner la paix. La mort toute simple, la mort sans paradis, l'absence, le silence.

Non, on ne tourne pas la page d'un amour comme on change de place. Il reste une blessure très longue et effilée. C'est comme une griffure dont le ♥ est marqué et qui laisse une trace. On peut encore aimer .On ne peut l'effacer

Accomplissez toutes vos actions sans une raison. La vie se vit pour elle-même et pour aucune autre raison … L’amour n’a pas de pourquoi.

On m'avait pourtant prévenu qu'elle viendrait. Puis, un bon matin, il y a bien quelques années, j'ai senti son souffle. Elle était là, dans mon dos,m'enlaçait tout doucement de ses grands bras tout en m'enveloppant dans son manteau moelleux. Seule, devant mon miroir,j'ai levée les yeux et je l'ai enfin aperçue. Ses petits yeux noisettes, myopes, probablement charmeurs autrefois, étaient partiellement cachés par d'étranges lunettes bleue.  Autour d'eux cherchait à se camoufler tant bien que mal l'arnaque de sa vie, ses rides. Une cicatrice à la lèvre supérieure lui rappelait sans nul doute l'exubérance de sa jeunesse.Ses cheveux, blanchis par un quelconque processus biologique, qu'elle seule devait connaître, dégarnissaient de plus en plus sa tête.Sur son front et dans son cou, les plis se multipliaient, signes évidents d'une grande sagesse. Enfin, la peau striée de ses mains meurtries, devenues tremblantes, ne parvenaient plus à dissimuler le labeur de sa vie. Malgré tout, elle me fascinait. Son sourire moqueur et la naïveté de son regard enfantin l'embellissaient.Le temps ne semblait plus pressé. Sa joie de vivre se lisait sur ses traits comme si elle goûtait à chaque instant qui passait. Elle paraissait tellement heureuse...J'ai penché doucement la tête, baissé les yeux. La vieillesse, timidement, s'excusa de son intrusion dans mon existence et, par peur de me perdre, me pressa tout contre elle.

Le silence ne dit rien.. il écoute. Il est comme le nuage.. il continue sa route. Si tu lui confie un secret.. il sait le garder. Avec beaucoup de force.. il t’aide et te protège. Sous son aile.. il prend ta peine dans l’écho de ses rêves. Il est la sagesse qui comprend ta vie et ton ♥ quand il a peur

Vieillesse insidieuse et inévitable qui peu à peu nous rend moins lestes, qui doucement nous rend plus lents . Elle nous arrache à la jeunesse , nous enlève de la souplesse. Discrètement comme par hasard. Peu à peu sans trop rien dire. L’air de rien pour ne pas nous blesser. Nous mettre trop vite en face de nos morts programmées . Elle nous prépare avec le temps à s’habituer a la petite ride , à la petite tâche qui apparaît aux cheveux blancs de moins en moins discrets . Mais un jour , on le sait bien. L’heure de partir aura sonné.e Peu à peu on se sera habitué. On ne luttera plus contre la fatalité. Et ça fera moins mal de s’en aller .