Mélancolie d’une journée d’automne, je t’ai à la bonne.Au cœur en moi ta bonté raisonne, à toi je m’abandonne. Je ne suis qu’une femme avec ses peurs et ces malheurs. Un tant soi peu dure à l’extérieur, mais ne prend peur. Il y a des mots que je ne dis pas, c’est comme ça. Il y a des mots que je ne dis pas, j’espère que tu les verras dans chacun de mes regards, même quand il se fait tard,et je l’espère fera fuir l’enfer, les jours impairs. On a tous besoin de féerie, mais rien n’est promit. Mordre la vie, ça ne fait pas un pli, c’était écrit. Mordre la vie ça passe par l’oublie des cris et mépris. Un peu comme un enfant qui découvre la vie et l’envie. Je pense mais rien de concret, on ne sait jamais de quoi est fait l’après, c’est un fait avec son effet qui fait qu’on est toujours aux aguets et pas toujours prêt. On tire un trait direct vers ce qui nous attrait, nous plait. Panse les plaies, pour quelques erreurs qu’on a faites. Hommage au passé utile à été cette souffrance .Ayant tous perdu je commence à comprendre. Contente d’apprendre que la vie est à prendre .Sur le passé pas besoin de s’étendre. 

Avoir un rêve c'est quelque chose de merveilleux, ce simple mot peu nous porter si haut et donner à notre existence un but qui nous donne la force et le courage d'avancer, parfois il se concrétisera et parfois pas, mais il faut toujours garder en vous cet espoir farouche, ce petit grain de folie qui anime votre vie tous les rêves ne ce realise pas, ça ne veut pas dire qu'il faut abandonner pour autant . Puis il y a ceux qui prendront vie et qui nous donneront beaucoup de bonheur à partager, une consécration bien méritée, mais alors que tout semble Parfait que faire ensuite c'est comme un grand vide qui vient de prendre place, une libération de toutes les tensions. Avoir réalisé son rêve c'est fantastique , mais rien ne nous empêcher d'en poursuivre un autre qu'il soir petit où grand peu importe l'essentiel est de toujours rêver, car rêver donnera toujours des ailes à notre destinée, car derrière chaque rêve ce cache l'espoir et sans lui notre vie ne serait qu'illusoire ....

Les problèmes posés par les préjugés raciaux reflètent à l’échelle humaine un problème beaucoup plus vaste et dont la solution est encore plus urgente : celui des rapports de l’homme avec les autres espèces vivantes… Le respect que nous souhaitons obtenir de l’homme envers ses semblables n’est qu’un cas particulier du respect qu’il faudrait ressentir pour toutes les formes de vie

Je porte en moi, sculptée depuis l'enfance, une sorte de statue intérieure qui donne une continuité à ma vie, qui est la part la plus intime, le noyau le plus dur de mon caractère. Cette statue, je l'ai modelée toute ma vie. Je lui ai sans cesse apporté des retouches. Je l'ai affinée. Je l'ai polie. La gouge et le ciseau, ici, ce sont des rencontres et des combinaisons. Des rythmes qui se bousculent. Des feuillets égarés d'un chapitre qui se glissent dans un autre au calendrier des émotions. Des terreurs évoquées par ce qui est toute douceur. Un besoin d'infini surgi dans les éclats d'une miusique. Tous les émois et les contraintes, les marques laissées par les uns et les autres, par la vie et le rêve.

Etre couper en deux... a moitié bien et a moitie mal... voila le symbole meme de la vie

Je me suis perdue dans le dédale des années

Je ne suis qu'une ombre qui passe et qui de par ses mots déversent un torrent de sentiments si différents, je ne suis qu'un ange aux ailes noir, car de défaut je suis faite évidement, mais je garde toujours en mon ♥ la force de croire et d'espérer , je ne suis que le reflet de l'être enigmatic qui habite ce mur et le fait vivre avec son âme, je ne suis qu'un ♥ qui bat éperdument dans une poitrine fragile, je ne suis rien de plus qu'une femme qui rêve d'un monde meilleur

Il y a des maladies qui ne se guérissent pas avec l’argent, mais avec de l’amour.

je viens vous fredonner une chanson douce..La chanson du bonheur qui uni tout les ♥.. Une chanson d'amitié qui apporte la liberté et la sincérité

Elle ne comprenait pas ou elle était. Elle se trouvait dans une sinistre maison avec que des personnes âgées. Pourtant elle était jeune elle. Et ces infirmières qui voulaient faire tout le temps des '' jeux de mémoire '' elles l'agacaient. Chaque jour elle attendait désespérément que son mari vienne la voir. Mais, il ne venait jamais. Il l'avait oublié. Elle était sur qu'il avait trouvé une autre jeune femme. Elle en parlerait à son fils.En phase terminal de sa maladie. Elle croit que son mari la oubliée alors qu'il est mort il y à déjà longtemps. Elle va bientôt s'en aller. Aujourd'hui elle se contente de tourner en rond dans sa chambre. Tel un enfant.