C’est cet autre pour qui on ressent une douceur dans son cœur, c’est cet autre qui nous accepte tel que l’on est.

Vous savez, le temps à une manière d’aller très vite sans que vous vous aperceviez des années qui ont passé.Il semble qu’hier j’étais encore jeune

Pourtant il apparait qu’il y a bien longtemps de cela, mais je me questionne où sont passé toutes ces années. Je sais que je les ai toutes vécues selon mes espérances et mes rêves de la façon qu’elles étaient à l’époque. Mais, il est ici….L’hiver de ma vie qui m’a attrapé par surprise. Comment en suis-je arrivé si vite?

Où sont passées toutes ces années et où s’est envolée ma jeunesse?

Je me rappelle bien d’avoir vu des personnes âgées pendant toutes ces années et qu’ils avaient beaucoup d’avance sur moi et que cet hiver était encore bien loin que je ne pouvais deviner ou imaginer ce qu’il pourrait être.Mais, il est ici…mes amis sont retraités et grisonnent…ils se déplacent plus lentement et je vois des personnes encore plus âgées.

Quelques uns sont en bonne forme d’autres moins que moi…mais, je vois de grands changements…pas comme ceux que je me rappelle qui étaient jeunes et vibrants…mais, tout comme moi, leur âge est plus apparent et nous sommes les vieux que nous avions l’habitude d’observer et que nous ne pensions pas devenir.

Maintenant, à chaque jour, je réalise que seulement prendre une douche est devenu la réelle tâche du jour! Et faire une sieste n’est plus un luxe…mais une nécessité !

Car si je ne le fais pas volontairement…juste de m’asseoir, je m’endors 

Alors, maintenant, j’entre dans cette nouvelle saison de ma vie sans être préparé aux malaises, aux souffrances, la perte de force, l’habilité de fonctionner et de faire des choses que je désirais tant mais que je n’avais jamais produit !

Au moins, je sais que l’hiver de ma vie est arrivé, je ne sais pas quelle sera sa durée, mais une chose est certaine lorsque ce sera terminé, s’en sera fini sur cette terre, une nouvelle aventure commencera ! Oui, j’ai des regrets.

Certaines choses que je n’aurais pas dû faire, certaines que j’aurais dû m’efforcer d’accomplir, par contre il y a plusieurs choses que je suis fier d’avoir faites, ça fait parti de mon vécu. Alors, si tu n’es pas encore dans ton hiver…laisse-moi te rappeler que le temps passe plus vite que tu le penses.

Alors, s’il y a des choses que tu désires accomplir durant ta vie, s’il te plaît fais-le vite.Ne remets pas à plus tard, la vie est si courte.

Alors fais ce que tu peux aujourd’hui même car tu ne peux t’assurer que ton hiver est lointain ou pour demain.

Il n’y a aucune assurance que tu verras toutes les saisons de ta vie. Alors vit pour aujourd’hui et fais part de toutes les choses dont tu rêves à ceux que tu aimes afin qu’ils se souviennent…et espère qu’ils apprécient et t’aiment pour tout ce que tu as pu faire pour eux durant toutes ces années passées.

La vie est un cadeau pour toi.

Ta manière de vivre, ta vie sera un cadeau pour ceux qui te succèderont. Rends-la fantastique! Vis-la bien !

Amuse-toi aujourd’hui! Fais quelque chose de plaisant! Sois heureux! Passe une belle journée!

Rappelle-toi: ”la vraie richesse est la santé non pas des pièces d’or ou d’argent !

Vis heureusement en 2013 !

Pour terminer, considère ce qui suit : aujourd’hui c’est le plus âgé que tu ais atteint mais aussi le plus jeune que tu seras demain, alors jouis de cette journée le temps qu’elle durera.

Tes enfants deviennent toi…mais tes petits enfants sont parfaits. Sortir fait du bien…revenir à la maison c’est mieux!

Tu oublies des noms, ce n’est pas grave, car les autres ont même oublié qu’ils te connaissaient!!

Tu réalises que tu n’es plus bon pour accomplir quelque chose… spécialement le golf...

Ce n'est pas important si tu t'y amuses encore. Les choses que tu aimais faire, ça ne t’intéresse plus, mais tu es content de ne plus avoir le goût de faire des choses qui dans le passé t'intéressaient puisque tu ne peux plus les faire…

Tu dors mieux dans une chaise longue avec la télévision allumée que dans ton lit. Cela s’appelle un « pré-sommeil ».

Tu marques les jours lorsque que tout ce qui se produit est seulement, comme des interrupteurs des « ON » et « OFF »

Tu as tendance d’utiliser des mots débutants par un « Q » ; « Quoi ? » « Quand ? » « Quel ? » « Qui » ?....

Tu te plains que les imprimeurs utilisent de plus petits caractères dans leurs publications…

Les villes et les villages ont éloigné les coins de rues de plusieurs pieds.

Les trottoirs sont moins de niveaux… Maintenant que tu as les moyens d’avoir des bijoux dispendieux, ce n’est pas sécurisant de les porter partout...

Tu t’aperçois que tout ce qui se vend dans les magasins est sans manche... Ce qui t’apparaissait comme des taches de rousseur sont devenues des points bruns…

Tout le monde chuchote maintenant... Dans votre garde robe, vous avez des vêtements de trois grandeurs… deux que vous ne porterez plus jamais.

Mais « Vieux » est bon dans certaines choses ; « Vieilles chansons » « Vieux films » et la meilleure de tout : « « Vieux amis » ! Demeure bon, « Vieux frère » Envoie ceci à d’autres « Vieux frères » afin qu’ils en rient et acquiescent à ces dires.

Ce n’est pas ce que vous avez ramassé, mais ce que vous avez dégagé qui indiquera quel genre de vie vous avez vécu.

Parfois, tout semble s’écrouler... Nos rêves s’éloignent... Le monde glisse sous nos pieds... C’est dans ces moments-là qu’il faut chercher au fond de soi la force de résister. Chasser les idées noires, oublier les soucis, même si c’est difficile. Retrouver au fond de son ventre la force de lever la tête et de continuer à se battre envers et contre tout, pour faire de notre vie ce que l’on veut qu’elle soit. Surtout, ne pas se laisser aller, et croire en nous. Parce que tous, sans exception, sommes capables de nous relever et de nous battre contre ces moments qui nous font tant douter..

Il faut être capable de laisser venir ce qui vient,et laisser partir ce qui s'en va. Ceux et celles qui t'aiment vraiment resteront toujours à tes cotés malgrès la distance,les années et les épreuves de la vie.Mais si tu t'aperçois que l'un d'eux t'abandonne,ne sois pas tristes dis-toi que son amitié ou son amour n'était qu'illusoire. Parfois,on croit perdre quelque chose et, en fait, on ne sait pas qu'on est en train de gagner infiniment plus.

Rester continuellement sur ce fil, Vivre chaque instant de sa vie à hauteur d'un rêve Ne jamais redescendre, ne serait-ce qu'un instant, De la corde de son imaginaire.

Il n'y a jamais de pourquoi à un souvenir. Il arrive comme ça, à l'improviste, sans demander la permission. Et tu ne sais jamais quand il repartira. La seule chose dont tu peux être sûr, c'est que de toute façon il reviendra.

C'est moiqui te faisait rire pour avoir le parfum de nos souvenirs .C'est moi qui t'a parler de la nation de l'eau et du feu,et par ton sourire tu me disais que j'était folle.Et je t'ai répondu :je suis ainsi car la folie est le plus beau cadeau que je l'ai reçu de toi

Voilà peut-être la question la plus difficile de toute l'aventure humaine : est-il réellement possible de toujours regarder en avant, comme on nous encourage sans cesse à le faire, ou bien devons-nous garder certains vestiges essentiels de notre passé, si douloureux soient-ils, comme un rappel que certains aspects de la vie nous transforment si profondément qu'ils nous habitent à jamais ? Pouvons-nous vraiment refermer la porte sur ce qui continue à nous hanter ?

Nous sommes tous unique à notre façon, chacun avec son vécu et ses émotions. Nous pouvons partager des rires ou des larmes, en faire une force, une faiblesse, une arme. Nous pouvons en jouer et paraître heureux, ou être ce que nous sommes au fond, malheureux. Nous devons tous un jour, tomber le masque, il ne peut y avoir deux reflets dans la glace... Accepter nos blessures, nos échecs et continuer d'avancer, laisser le mal s'apaiser puis disparaître et à nouveau, Aimer!

Elle a sombré cette fin d’été, depuis elle cherche à remonter. Tout est difficile en elle-même, depuis elle préfère le sommeil. Etre perdu dans son présent, en perdre la notion du temps. Elle est dans un monde parallèle. La vie, la mort, battent en duel. Elle dit pourtant que tout va bien, d’une petite voix et l’air de rien. Elle dit qu’elle est en bonne santé, avec une mine décomposée. Elle n’accepte pas sa souffrance, et ne s’accorde aucune chance. Elle dit, il y a bien d’autres cas, qui souffre bien plus fort que moi. Pouvoir sortir de cet enfer, chercher en vain comment le faire. Ne plus oser se regarder,le cœur terni par les années. Ce sont des yeux cernés de noir, qui se reflète dans le miroir. Résultat d’une nuit agitée, quand les morts ont ressuscités. Elle doit parler de ses silences, de sa vie de son existence. Devoir puiser au plus profond,pour y extraire le poison. Elle voudrait bien se secourir, et se force même à sortir. Mais tous ses bruits et tous ses gens, c’est le malaise qui la reprend. Les larmes lui viennent en un instant, elle fuit sans bruit tout doucement. Elle fuit le bruit, elle fuit la vie, et dans son lit se réfugie. Après avoir pris son traitement, elle y attend le soulagement. Qu’il est difficile d’accepter, ce grand vide qui s’est installé. Tout ce qui la faisait vibrer, a disparu dans un passé. Elle a sombré cette fin d’été, depuis elle cherche à remonter.