Ne sois pas toujours sérieux. La vie a besoin de s'amuser parfois.

Garder son âme d'enfant tout comme avant. Oublier ses rides et ridules. Le temps et sa pendule

De ma plume s’envolent mes cris,éclats rayonnants, traduisent ma vie en étoiles éclairent mon esprit,baignent mon ame, dans un jardin fleuri.Des mots perles, en larmes de mes yeux déferlent .Ils rament, glissent et s'imposent. 

On m'a fait une radio du ❤

Pour rêver, il faut la nuit.... Un petit coin à nous, un désir à qui donner vie... Et cette pincée de fantaisie capable d'allumer un rêve

Je garde en mes mains ce courrier, qu'il y a longtemps il m'a écrit, a sa lecture je souris, pourtant j'ai envie de pleurer. A présent je dois oublier, le train fonce dans la nuit noire, ici s'achève notre histoire. L'aube nouvelle va se lever.

Abattez les murs. Ouvrez-vous peu à peu aux autres. Dans chaque situation, soyez le plus authentique possible. Vous devez sortir de derrière le masque car à la fin, le masque ne vous sert pas ; en réalité, il vous nui. Cela peut rendre les autres mal à l'aise au départ, surtout s'ils vous ont connue avec vos murs. Mais faites-le à votre rythme. Permettre aux autres de voir qui on est vraiment, cela donne un immense sentiment de liberté

Notre union est notre force !

La vie est un chemin d'expériences. En avoir conscience, chaque jour impose le respect ! et surtout ne jamais se dénigrer

Je ne sais rien de tes jeunes années. Je t’ai connue à plus de soixante-dix printemps. Lorsque tu m’as quittée, je venais d’avoir quinze ans ans. Étais-tu une jeune fille rieuse et rêveuse ? Une solitaire perdue dans la couture des robes de fête ? Ou déjà femme de tête, prête à affronter les bourrasques de la vie ? Je ferme les yeux et me souviens de tes doigts agiles sur l’ouvrage, de tes yeux sombres qu’une étincelle de sourire illuminait parfois. Dans ma mémoire, flotte encore le parfum des bonbons a la menthe. Je nous revois. Tu me racontais des histoires..Ah ! Me revoilà revenue aux fragrances de l’enfance. L’automne fut ta dernière saison. Ton ultime soupir fut pour dire " j’arrive" à celui que tu avais aimé. Il est trop tard pour que je puisse mieux te connaitre. Ce soir, grand-mère, ta dernière petite-fille brode ton histoire sur le fil tendu de tes mains aux miennes.