Le Grand Amour , c'est quand il n'y a plus de distance, quand on n'a même plus besoin de poser une question parce que la réponse est déjà en soi et en l'autre.

N'OUBLIE PAS que tu as le droit de pleurer,sans être juger,le droit d'avoir peur,et d'évacuer toute ta colère... Que tu a le droit d'avoir mal,ou avoir une baisse de morale,même si tu n'est pas bien,sache que tu n'est pas rien... Que tu a le droit de crier ta joie,que tu as le droit de hurler ta peine,tu as le droit d'être aimer pour être aimer ,surtout sans jamais en douter... Ne te compares pas aux autres,tu es très bien toi-même,pense à toi, et rien qu'à toi,achemine ton destin, c'est vraiment pour ton bien.

Il y a des souvenirs capables de nous faire rêver.. et d'autres capable de nous détruire ....

L'araignée ne compte pas le temps qu elle met a tissé sa toile , elle fait dans l'ordre des choses , des chefs d’œuvres... Nous avons tous la capacité de créé . Ne doute jamais de toi, le doute tue la création!

Le recul permet toujours de mieux apprécier les choses, et de redonner à certains événements la place qu’ils méritent.

Lettre pour les mamans

Pour la maman qui se cache dans sa salle de bain pour profiter d’une petite minute de paix, tandis que les larmes coulent sur ses joues.

Pour la maman si fatiguée qui a l’impression qu’elle ne peut plus gérer et qu’elle est prête à tout faire pour avoir le repos dont elle a besoin...

Pour la maman assise dans sa voiture , seule, en train de dévorer de la nourriture parce qu’elle ne veut pas que quelqu’un d’autre sache qu’elle ne mange pas sain…

Pour la maman qui pleure désespérément sur le canapé après avoir crié sur ses enfants pour une chose banale et se sent maintenant coupable, comme si elle était une maman indigne …

Pour la maman qui essaie sans cesse de mettre ses vieux jeans parce que tout ce qu’elle souhaite vraiment, c’est de se regarder dans le miroir et se sentir bien dans sa peau …

Pour la maman qui ne veut pas quitter la maison parce que la vie est trop difficile à gérer en ce moment …

Pour la maman qui commande une pizza parce que le dîner n’était pas aussi délicieux et parfait comme elle le souhaitait…

Pour la maman qui se sent seule, que ce soit dans une chambre toute seule ou au milieu de la foule …. Vous êtes à la hauteur. Vous êtes importante. Vous êtes digne.

C’est une étape dure de la vie, elle l’est pour toutes les mamans… À la fin, tout cela en vaudra la peine, mais pour l’instant c’est difficile, et ça l’est pour beaucoup d’entre nous. Peut-être de façons différentes, mais sachez que vous n’êtes pas seule dans ce combat car même si la plupart des mamans n’en parlent pas, c’est toujours dur !

Vous êtes à la hauteur. Vous faites de votre mieux. Sachez que, Ces petits yeux qui vous regardent, croient en vous et pensent que vous êtes parfaite et au-delà de toutes les difficultés ! Ces petites mains qui se tendent pour vous retenir, pensent que vous êtes la plus forte et que vous êtes capable de conquérir le monde. Ces petites bouches qui mangent la nourriture que vous leur préparez, pensent que vous êtes la meilleure cuisinière tant que vous arrivez à calmer leur faim. Ces petits cœurs qui réclament votre tendresse, ne veulent rien de la vie à part sentir votre amour. Parce que vous êtes à la hauteur, vous comblez tout le monde avec votre amour et attention ! Vous êtes Incroyable !

Nous naissons tous avec un programme émotionnel qui nous pilote en réaction à certaines blessures. Nous portons plusieurs de ces blessures, mais elles sont vécues à des degrés différents. Ces blessures sont portées par l’âme qui a choisi de les expérimenter dans l’incarnation. Elles sont gravées dans notre subconscient.

Dès la conception du bébé, les blessures commencent à être activées par les parents ou ceux qui jouent le rôle de parent. Il est donc TRÈS IMPORTANT de nous souvenir que nous ne souffrons pas de nos blessures à cause de nos parents. Nous souffrons du fait que nous avons besoin de ce genre de parents avec leurs propres blessures pour devenir conscient des nôtres, afin de déclencher le désir de vouloir les guérir.

 Plus tard dans notre vie, nous rencontrons des partenaires, des conjoints, des amis, des collègues de travail qui nous obligent également à confronter nos blessures. Ces personnes activent également nos mécanismes automatiques. Soit nous en prenons conscience et nous travaillons sur nous-mêmes pour nous libérer de ces blessures, soit la Vie nous remet régulièrement dans le même genre de situation jusqu’à ce que nous ayons «compris la leçon». Vous avez certainement déjà rencontré cette copine qui vous dit : « il m’arrive toujours les mêmes galères ! » C’est exactement cela : ce n’est pas le même décor, ce n’est pas la même situation, mais c’est toujours la même blessure qui est activée. Jusqu’à ce qu’on s’en libère et qu’on arrête d’en souffrir. Aussitôt qu'une blessure est activée et que nous ne l'acceptons pas, nous réagissons automatiquement. Le pilotage émotionnel se met en route sans que nous nous en rendions compte. Pour nous protéger de cette souffrance, nous nous cachons alors derrière le «masque» spécifiquement lié à la blessure activée.

Les cinq grandes blessures de l’âme sont : le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison et l’injustice. Dans un prochain post, je vais vous présenter chaque type de blessure et les comportements de défense que notre ego met inconsciemment en place pour éviter de souffrir.

Mes mots sont les battements de mon cœur, le reflet de mes pensées

Parfois je rêve, mais mes yeux s'ouvrent sur la réalité, parfois j'ai l'impression que le rêve devient ma réalité, mais c'est le cauchemar qui devient réel, souvent j'ai le cœur gros, gros de sanglots et de colère refoulée, souvent j'aimerais être autre, différente mais je ne suis que moi, souvent j'aimerais que cesse ce cercle vicieux, mais j'ai beau y croire, je tourne encore et encore jusqu'à en avoir le vertige, de plus en plus, j'aimerais que tout s'arrête jusqu'à ne plus pouvoir ouvrir mes yeux.

Parfois en apparence c'est le calme, mais à l'intérieur c'est une bataille sans nom, on se débat avec nos propres émotions qui ne demandent qu'à s'exprimer, on les bride, notre conscience, notre inconscient, peu importe le nom qu'il ou qu'elle porte... Une partie de nous, de notre construction mentale, les empêche de s'exprimer, on se bat contre soi, contre cette partie brute, que sont nos émotions... Les émotions ne sont pas "sociables", sont peut-être perçues comme des faiblesses... Nos émotions sont propres à chacun, uniques... Et on veut nous noyer dans la masse... Peu importe nos émotions, c'est l'intérêt général qui prime. Alors on bataille avec ça... Et c'est là qu'il faut essayer de composer avec ces inconvénients