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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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animaux sa majesté le loup

rever

Publié à 14:04 par fandeloup
rever

Je rêve d'un clan unit...



message

Publié à 11:39 par fandeloup Tags : message

loup

Publié à 14:13 par fandeloup Tags : message

loup

Publié à 17:56 par fandeloup Tags : animal chiens rouge chez
loup

Une découverte fascinante : les loups communiquent avec plus de 20 dialectes différents

Figurant parmi les espèces les plus socialisées du règne animal, le loup est doté d’un langage très développé. Des scientifiques britanniques ont donc décidé d’étudier cette communication en analysant les hurlements des redoutables canidés. SooCurious vous présente ces travaux.

L’étude a été menée par des chercheurs de l’université de Cambridge, au Royaume-Uni. Pour ce faire, les scientifiques ont recueilli 2000 hurlements provenant de 13 espèces de canidés, captifs ou en liberté, et parmi lesquels figuraient des loups, des chiens sauvages ou encore des chacals, d’origines différentes : d’Inde, d’Australie, d’Europe et des Etats-Unis.

Pour leurs travaux, et plutôt que réaliser une analyse subjective en se basant sur les ondes sonores des cris obtenus, les chercheurs ont mis au point un algorithme qui quantifie certaines composantes des enregistrements, comme le ton ou les modulations des hurlements, comme l’explique le directeur de l’étude, le docteur Arik Kershenbaum :

« Nous voulions nous débarrasser de toute analyse subjective. Nous avons donc utilisé des techniques mathématiques […] pour en tirer une représentation précise et objective. »

Grâce à leurs algorithmes, les scientifiques ont distingué 21 types de hurlements différents chez le loup, s’apparentant à des dialectes et disposant de caractéristiques propres. Par exemple, ils ont constaté que le loup rouge avait une « voix » plus aigüe quand son équivalent gris disposait d’un cri plus grave.

Les résultats pourraient avoir une double portée. D’une part, en permettant de mieux comprendre le langage des prédateurs, qui sont souvent en conflit avec les éleveurs de troupeaux, ils pourraient faciliter la cohabitation de l’Homme et du loup. C’est d’ailleurs à cette étape suivante que devraient conduire les travaux menés à Cambridge.

D’autre part, l’étude des hurlements de loup pourrait aboutir sur une étude du langage humain, comme l’explique le docteur Arik Kershenbaum, qui explique que ces canidés présentent « une structure sociale extrêmement proche de la nôtre ».

Ainsi, selon lui, « comprendre la communication des espèces sociales existantes est essentiel pour découvrir les trajectoires évolutives qui ont conduit à une communication plus complexe dans le passé, pour finalement aboutir à notre capacité linguistique ». Ce type d’étude nous en apprend davantage sur un animal incroyable mais surtout, proche de nous sociologiquement parlant, ce qui devrait participer à la compréhension de notre propre espèce, mais aussi de celles qui nous entourent.

Si les travaux réalisés sur la faune vous intéressent, découvrez également ces études qui prouvent que les cafards sont dotés d’une personnalité.



honteux

Publié à 18:57 par fandeloup Tags : mort
honteux

Le ministère de l'environnement confirme qu'un arrêté va être pris pour abattre 2 loups supplémentaires.

2 autres arrêtés pourront être pris ensuite, chacun pour abattre 2 loups (selon C. Castaner, président du Groupe national loup).

Soit un total de 6 loups. Au moins 42 loups ont déjà été tués depuis juillet 2015 (bilan détaillé ici : http://www.cap-loup.fr/…/un-44eme-loup-mort-sur-un-plafond…/).

Mais l'État comptabilise "seulement" 35 loups tués, sur maximum autorisé de 36.

Le nouvel arrêté d'abattage de 2 ‪#‎loups‬ pourra entrer en vigueur dès que le "36ème" loup aura été abattu par les agents de l'ONCFS. Voilà pour le funeste décompte, en complément de notre communiqué CAP Loup d'hier : http://www.cap-loup.fr/…/s-royal-continue-deliminer-nos-lo…/ ‪#‎loup‬



bonne nuit

Publié à 19:11 par fandeloup Tags : nuit bonne nuit bonne

aucun

Publié à 17:26 par fandeloup Tags : animaux animal nature
aucun

Aucun zoo ne pourra jamais reproduire à l’identique l’habitat naturel d’un animal. Les parcs ne seront jamais suffisamment grands pour accueillir des créatures qui parcourent des centaines de kilomètres chaque jour. Et ils ne pourront jamais préserver les liens sociaux que ces animaux ont dans la nature.



La France en guerre contre sa biodiversité

Publié à 15:21 par fandeloup Tags : blog monde mer france article création nature animal papier oiseaux
La France en guerre contre sa biodiversité

L’autorisation par le gouvernement de nouveaux abattages de loups n’est qu’un paravent de l’impuissance française à protéger la nature des destructions et des pollutions, selon les auteurs.

Farid Benhammou est géographe, membre du Laboratoire ruralités de l’université de Poitiers ; Estienne Rodary est chercheur à l’IRD et spécialiste des politiques de conservation. Les loups subissent régulièrement des attaques depuis leur réinstallation naturelle en France en 1992.

Ainsi, ces dernières semaines, le gouvernement a décidé d’accroître les autorisations d’abattage. Mais les campagnes contre ces prédateurs se mènent aussi dans le champ médiatique, avec un cercle des belligérants qui s’est agrandi considérablement. L’exemple typique en est la tribune publiée dans Libération du 12 octobre 2014, signée par 34 scientifiques (des sociologues, des anthropologues, des juristes et des géographes, aux côtés de zootechniciens et d’agronomes). Elle était l’extension nationale d’une tribune lozérienne relayée par un blog de Médiapart qui ne demandait rien de moins que l’élimination du loup par des tirs, y compris en zone cœur de parc national.

Déjà, il y a trois ans, quand la population de loup s’est renforcée dans le Massif central, le Parc national des Cévennes s’était déclaré contre la présence du prédateur sur son territoire et avait demandé ces tirs. Des sociologues de l’environnement prenant publiquement position contre les loups, un parc national s’opposant à une espèce protégée ? Situation paradoxale.

Si on les en croit, ces positionnements s’expliquent par un souci légitime de défense d’autre chose. Il s’agirait de défendre les bergers français, derniers remparts contre la disparition des « paysages remarquables », de la « géographie et l’histoire » et de l’« avenir [des] campagnes » françaises. La France n’est plus l’Éden champêtre loué par nos élites Il y a 13 ans, nous avions publié un article de réflexion répondant terme à terme aux arguments de ce « groupe de scientifiques », dont la plupart ne travaillent pas sur la coexistence loup – sociétés.

Bien sûr, ces scientifiques savent comme nous que la présence du loup en France n’est pas le facteur de la disparition de ces campagnes ; elle en est la conséquence. Les loups reviennent en France parce que la pratique pastorale – comme beaucoup d’autre pratiques qui façonnaient historiquement les paysages français – est déjà marginalisée.

Mais pourquoi s’en prendre aux loups plutôt qu’aux facteurs qui transforment ces paysages ?

La réponse est simple : la protection de la nature n’a jamais été un objet de politique en France. Et cette absence de politique est systématiquement justifiée par une « exception » paysagère française, pays rural et agricole, éloigné de ces contrées « sauvages » où vivent les loups, les Américains et les Maasaï.

Mais si l’argument a pu avoir une valeur historique, il prend aujourd’hui une consonance dont on pourrait rire si ce n’était pas tragique. Car la France n’est plus (si jamais elle a été) cet Éden champêtre loué par nos élites scientifiques, industrielles et politiques.

C’est un espace qui subit de plein fouet les conséquences dévastatrices d’un trinôme concentration/uniformisation/pollution : une politique européenne qui favorise les grands exploitants, une concentration de l’industrie agroalimentaire qui contrôle les semences et incite à la création de « fermes aux mille vaches », une utilisation de pesticides et d’engrais qui continue à polluer lourdement les paysages et les cours d’eau et dont des études confirment l’impact sur les oiseaux, les insectes et les agriculteurs.

Face à cela, les mesures de protection de la nature sont, à proprement parler, ridicules. Il suffit pour s’en convaincre de regarder l’actualité récente des parcs français. La nouvelle loi sur les parcs nationaux, votée en 2006, avait comme objectif de redonner une place à la concertation locale pour des parcs que la loi précédente de 1960 avait eu tendance à ériger comme « forteresses » de conservation directement contrôlées par l’État central.

Mais le rôle renforcé des collectivités locales dans les conseils d’administration a ajouté de nouvelles pressions sur les parcs : en Vanoise, aucune commune n’a accepté d’intégrer les « zones d’adhésion » censées compléter la « zone cœur » du parc. Dans le parc des Calanques, le conseil d’administration a autorisé les rejets chimiques en mer.

Et dans le parc des Écrins, le préfet a autorisé un tir de loup en zone cœur, c’est-à-dire autorisé l’élimination d’un animal protégé dans un espace protégé. La loi de 2006 n’explique pourtant pas tout de cette crise.

Déjà en 1991, le parc national des Pyrénées s’était vu retiré son label européen pour n’avoir pas réussi, entre autre, à mettre en place des instruments de gestion pérenne de la population d’ours. Et la France a l’insigne honneur d’avoir été le dernier territoire d’Amérique du Sud à avoir créé un parc national, en 2006 en Guyane.

La conservation de la biodiversité est perçue comme une anomalie étrangère On aurait pu espérer que les milieux marins soient la bouée de sauvetage de la conservation à la française, notamment parce qu’avec onze millions de kilomètres carrés, la France est le deuxième pays au monde par sa superficie marine. Malgré cela, elle n’a, jusque récemment, jamais créé d’aire marine protégée importante. Ceci a changé avec deux parcs marins dans l’océan Indien et un parc naturel en Nouvelle-Calédonie.

Malheureusement, la loi de 2006 sur les parcs marins est une coquille vide. Elle ne prévoit aucune mesure contraignante de protection dans ces parcs et stipule que l’organe de gestion rassemble l’intégralité des acteurs du territoire, une mesure louable dans un souci de concertation mais dont on voit mal comment elle pourrait modifier les logiques contre lesquelles les parcs sont créés.

Dans les faits donc, l’exceptionnel accroissement des aires marines protégées françaises ne concerne que des « parcs de papier », une expression qui désigne des parcs existants légalement mais dans lesquels rien n’est protégé – un phénomène bien connu dans les pays du Sud mais qu’on doit aujourd’hui appliquer à la France.

Nos sauveurs de bergers ont raison de crier au loup : ils confirment par l’absurde que les Français sont majoritairement occupés à détruire et polluer l’espace dans lequel ils vivent et que la conservation de la biodiversité est fondamentalement vue comme une anomalie étrangère.

Dans ce contexte, si l’intelligentsia environnementale de gauche s’allie avec l’agroalimentaire pour nous faire croire que les problèmes des campagnes française viennent des loups, alors la biodiversité – et nous avec – avons du souci à nous faire.



loup

Publié à 14:42 par fandeloup Tags : vie animaux
loup

Les loups ont influencé le langage humain depuis des milliers d'années. Dans la Grèce antique, " λύκον ἰδεῖν " signifiait "pour voir un loup» , ou d'être frappé de mutisme, apparemment le résultat d'être repéré par un loup.

Le mot « wulf » était l' un des composés les plus communs dans les noms anglo-saxons au début, et aujourd'hui nous nous lamentons (ou parfois célébrer) à quelle vitesse nous «loup vers le bas" un repas ou se plaindre de quelqu'un qui a «crié au loup" à nouveau.

Les loups utilisent leur propre langue, et , récemment , les scientifiques ont appris que le hurlement de ces animaux passionnants change au cours des saisons. Les loups ont une vie sociale sophistiqués , ce qui conduit à un ensemble complexe de hurlements qui signalent des choses différentes.



la vie

Publié à 07:06 par fandeloup Tags : vie
la vie

Quelle est la différence entre les yeux qui ont un regard et les yeux qui n'en ont pas ? Cette différence a un nom: c'est la vie. La vie commence là où commence le regard."



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