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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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animaux sa majesté le loup

quand

Publié à 18:14 par fandeloup Tags : merci moi
quand

Quand on se lance dans un projet qui représente un certain enjeu, par exemple quand on aspire à changer de métier, on passe forcément par des hauts et des bas. On y croit, on en a envie, et puis, d'un seul coup, on a des doutes, on n'y croit plus, on ne se sent plus capable, on a peur du changement, de l'inconnu. Si l'on est seul dans ces moments-là, il y a de fortes chances que l'on renonce, que l'on abandonne. S'il y a dans votre entourage une personne qui croit en vous, qui croit en votre capacité de réussir votre projet et vous le fait sentir quand vous la voyez, cela balayera vos doutes, et vos peurs s'effaceront comme par magie. La confiance en vous que cette personne vous témoignera sera contagieuse. Elle vous insufflera la force de réussir et vous donnera l'énergie de déplacer des montagnes. On est quinze fois plus fort quand on n'est plus seul avec son projet. Mais comprenez-moi bien : il n'est pas nécessaire que cette personne vous aide ou vous donne des conseils. Non, ce qui compte avant tout, c'est juste qu'elle croie en vous." Merci mon petit loup de croire en moi

loup

Publié à 15:59 par fandeloup Tags : monde france histoire cadre nature animaux animal chien afrique patrimoine
loup

La France devrait tuer 42 loups, contre l'avis des Français et en infraction avec la loi (vidéo)

Loup sauvage dans les Alpes-de-haute-Provence (France), février 2015 La chasse aux loups continue en France , au mépris de la loi et de l'avis des Français.

Ainsi, la Ministre de l'écologie vient de publier deux arrêtés fixant les conditions de tirs et le nombre de loups pouvant être tués pour la période 2015-2016. Ces mesures entérinent une politique de destruction dictée par les lobbies agricoles et de la chasse. Plusieurs associations de défense des animaux et de la biodiversité demandent le retrait de ces arrêtés et portent plainte contre la France.

En France, depuis le début des années 1990, le loup[1] recolonise naturellement des territoires d'où il avait été chassé il y a un siècle. Cette reconquête suscite de vives polémiques qui opposent les éleveurs et chasseurs aux protecteurs des animaux. Rappelons qu'en France, le loup (canis lupus) est officiellement une espèce strictement protégée.

Malgré cela, des loups sont toujours régulièrement abattus sur dérogation préfectorale alors qu'ils sont déjà victimes du braconnage et des empoisonnements.

De nouveau, Ségolène Royal, la Ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, a pris deux arrêtés datés du 30 juin 2015 : l'un fixant les conditions et limites dans lesquelles des dérogations aux interdictions de destruction peuvent être accordées par les préfets concernant le loup (Canis lupus) ; l'autre fixant le nombre maximum de spécimens de loups (Canis lupus) dont la destruction pourra être autorisée pour la période 2015-2016.

Ces arrêtés dépassent largement le cadre de la "défense" à l'égard d'éventuels loups qui rôderaient autour des troupeaux puisqu'ils peuvent désormais être abattus : même si le bétail n'a pas été attaqué et n'est pas menacé ; même si le bétail n'est pas protégé, jusqu'à six mois après le constat de "dommages importants et récurrents d'une année à l'autre dans les élevages ayant mis en œuvre les tirs de défense" et dans la mesure où les troupeaux demeurent dans les conditions où ils sont exposés à la prédation du loup".

Pour certains éleveurs, le loup doit être éradiquer, comme au Moyen-âge. Pire, les tirs sont possibles jusque dans le cœur des parcs nationaux, alors que la chasse y est normalement non autorisée (sauf celui des Cévennes). D'un autre côté, les éleveurs continuent d'être subventionnés et indemnisés sans contrepartie ni incitation à protéger leur troupeau.

Le nombre de loups pouvant être tués en 2015-2016 augmente de 24 à 36, alors que la population de loups est en baisse d'après le suivi officiel (ONCFS : 301 loups estimés en 2014, 282 loups en 2015). "Les abattages (19 légaux en 2014-2015) ont pourtant montré leur inefficacité depuis des années puisqu'ils n'empêchent par les attaques de continuer sur les troupeaux insuffisamment protégés qui concentrent l'essentiel de la prédation", souligne le collectif.

En outre, ces arrêtés ont été pris alors qu'ils avaient été massivement rejetés par les citoyens lors de la consultation publique de juin 2015. En fait, près de 80 % des Français rejettent la chasse au loup : un sondage IFOP réalisé fin 2013 pour les associations ASPAS et One Voice, montre que 76 % des Français considèrent que le loup a toute sa place dans la nature en France , et que 80 % sont farouchement opposés à son éradication.

De même, plus de 77 % des internautes du site notre-planete.info sont défavorables à la chasse aux loups selon un sondage de juin 2014. Pour les 32 associations membres de CAP Loup, "l'État obéit aux syndicats agricoles et au monde de la chasse, par des mesures contraires à toute idée de coexistence entre le loup et l'élevage." C'est pourquoi, ces associations ont demandé, depuis un an à rencontrer Ségolène Royal pour lui faire part de leurs propositions en faveur d'une meilleure cohabitation entre le loup et le pastoralisme.

Malheureusement, la Ministre de l'écologie refuse de recevoir les associations écologistes, tandis qu'elle reçoit les syndicats anti-loups et applique leurs doléances.

"En organisant une chasse aux loups qui met en péril le retour de l'espèce au niveau national et sans chercher à favoriser la coexistence avec les activités agricoles, l'État met la France en infraction par rapport à la convention de Berne et à la Directive Habitats-Faune-Flore. Nos associations portent donc plainte contre la France auprès de la Commission européenne", concluent les associations de CAP Loup qui ont également lancé une pétition.

Les loups sont abattus Quatre loups ont été abattus dans les Alpes le week-end du 17 octobre 2015, alors qu'il n'y a plus de troupeaux en alpage à partir du 15 octobre et donc plus de risque... Depuis le 1er juillet 2015, 34 loups ont déjà été tués par des chasseurs. Et le ministère de l'écologie prévoit finalement d'en abattre 6 supplémentaires jusqu'en juin 2016, pour un total de 42 ! Ce projet d'arrêté est en consultation publique sur le site du ministère où chacun peut donner son avis...

Les associations de défense du loup rappellent que "Le loup est une espèce protégée. La France ne peut déroger à cette protection qu'à la triple condition de l'existence de dommages importants à l'élevage, de l'absence d'autre solution satisfaisante, du maintien, dans un état de conservation favorable, des populations de l'espèce dans son aire de répartition naturelle." Vu que ces conditions ne sont pas réunies, elles "ne baissent pas les bras et vont se pourvoir en cassation devant le Conseil d'Etat."

"Ces images exceptionnelles montrent cinq louveteaux, filmés par un appareil automatique, quelque part dans une forêt des Alpes. Ils sont âgés d'à peine 2,5 mois et jouent paisiblement. Ils sont extrêmement vulnérables : si ils sont découverts ou si leurs parents sont tués, ils ne survivront pas seuls. Parmi toutes les crottes de loups examinées sur place, aucune ne contenait un reste de mouton, malgré la présence aux alentours de troupeaux de brebis non protégés. Ces louveteaux sont nourris par leurs parents avec leurs proies naturelles, des ongulés sauvages.

La politique des « tirs de prélèvement » est décidément absurde et révoltante", s'indigne CAP Loup. Comment la France peut-elle donner des leçons au monde sur la biodiversité et la préservation des espèces sauvages alors que notre gouvernement s'emploie à détruire la présence, très limitée, du loup sur son territoire ? La France n'a décidément rien appris de son histoire et rien compris des grands enjeux environnementaux de ce siècle.

Notes Le loup (Canis lupus) a l'aspect d'un chien-loup avec des yeux obliques, jaune d'or, les oreilles dressées et plutôt courtes. Le cou et les épaules sont puissants, garnis d'une crinière érectile, l'arrière train est plus bas et la queue touffue pend jusqu'aux talons. La couleur du pelage est assez variable, fauve gris jaunâtre mêlé de noir, toujours plus claire dessous. L'animal présente un léger dimorphisme sexuel : le mâle mesure 100 à 130 cm et la femelle 87 à 117 cm pour une masse respectivement de 25 à 30 kg et de 30 à 35 kg pour les loups d'origine italienne, qui ont recolonisé la France et qui appartiennent à la sous-espèce Canis lupus italicus, un peu plus petite que la forme d'Europe centrale.

Le loup est (était) répandu sur l'ensemble de l'hémisphère nord (régions Néarctique et Paléarctique), y compris en Afrique du Nord au moins depuis le début du Pléistocène. Ubiquiste, il s'est adapté à tous les milieux, depuis le désert dans la péninsule arabique, les steppes chaudes et froides d'Asie centrale, certaines forêts de la péninsule indienne, les forêts tempérées et boréales, de plaine ou de montagne, la toundra ainsi que le désert arctique.

On en retrouve des restes paléontologiques et archéologiques à des époques correspondant à des paysages et à des climats très variés. Le loup est à l'origine du chien domestique, premier animal domestiqué par les humains, il y a au moins 15000 ans (Conseil scientifique du patrimoine naturel et de la biodiversité) 

cri

Publié à 10:45 par fandeloup Tags : bonne
cri

Chant du loup..Bonne st Valentin

message

Publié à 18:44 par fandeloup Tags : message
message

Ségogol'haine ce message est pour toi

message

Publié à 14:36 par fandeloup Tags : message

loup

Publié à 17:57 par fandeloup

coywolf

Publié à 17:38 par fandeloup Tags : chien chiens vie nature animaux animal
coywolf

Rencontrez le coywolf : cet hybride issu d’un coyote et d’un loup qui possède des facultés insoupçonnées L’évolution est la base de la vie terrestre.

C’est grâce à elle que notre planète compte autant d’animaux et de plantes différentes, et que celles-ci ont su s’adapter à leur environnement.

Ainsi, de nouvelles espèces font encore leur apparition sur Terre, comme le coywolf. SooCurious vous présente cet étonnant nouvel animal, croisement du loup et du coyote. C’est un phénomène extrêmement rare auquel assiste l’espèce humaine : l’apparition d’un nouvel animal issu d’une hybridation naturelle, c’est-à-dire survenue sans intervention humaine directe.

Bien sûr, beaucoup connaissent déjà le mulet, croisement entre un âne et une jument, ou encore le ligron, croisement entre un lion et une tigresse. Mais ces mélanges d’espèces sont le résultat de l’action humaine.

Assister à une évolution « naturelle » de la faune et voir naitre un nouvel animal a quelque chose d’autrement plus exceptionnel, comme l’explique John White, biologiste et spécialiste du coywolf : « Il est extrêmement rare que l’humanité assiste à un pareil évènement. » Le coywolf (entre « coyote » et « wolf ») est le résultat du croisement, en Amérique du Nord, entre le coyote de l’ouest, le loup de l’est et le chien.

Car ces animaux sont tous proches les uns des autres sur l’arbre de l’évolution, ce qui leur a permis de s’accoupler pour produire le coywolf. Mais à la différence de nombreuses hybridations, la nouvelle créature est fertile, donc capable de procréer. Pourtant, rien ne prédisposait le loup et le coyote à se rencontrer pour donner naissance au coywolf.

Car les premiers vivent en meute et peuplent essentiellement les forêts quand les seconds vivent en solitaires et préfèrent les plaines. Mais les scientifiques estiment que c’est à l’activité humaine qu’on devrait l’apparition de cette hybridation incongrue. Ainsi, au XIXe siècle, alors que la chasse au loup faisait rage aux Etats-Unis, ces canidés auraient vu leur population diminuer dangereusement.

Pour se reproduire, ils n’auraient alors eu d’autre choix que de se rabattre sur un proche cousin : le coyote. Egalement, on estime que l’urbanisation et la fragmentation des habitats auraient peu à peu rapproché géographiquement les deux espèces canines. Désormais, la population de coywolf en Amérique du Nord se compose de plusieurs millions d’individus au même profil génétique : 60 % de coyote, 25 % de loup et 15 % de chien.

Et si cette nouvelle créature tient majoritairement du coyote, sa proximité avec le loup le rend particulièrement massif. L’animal est ainsi deux fois plus lourd que le coyote et dispose d’une mâchoire plus large, de pattes plus hautes et plus rapides que son ancêtre canidé.

Mais la beauté de l’évolution ne s’arrête pas, puisque même dans son comportement le coywolf semble avoir muté : alors que le loup et le coyote sont des animaux sauvages qui ont tendance à fuir l’être humain et ses activités, l’espèce hybride semble « plus adaptée à la proximité avec l’Homme et la vie urbaine, sans doute en raison de ses filiations canines » selon John White.

On trouve ainsi de plus en plus de spécimens de coywolfs aux abords de mégalopoles, comme New York, Boston ou Washington. L’apparition du coywolf est réellement un phénomène incroyable. Elle montre notamment que la nature, en dépit des ravages causés par l’activité humaine, est toujours capable de s’adapter, et de survivre.

Si la génétique vous intéresse, découvrez également 8 races de chiens indignement transformées par l’Homme au détriment de leur santé. Le fait que la nature doive s’adapter pour survivre à l’Homme vous interroge-t-il sur notre place dans l’écosystème ?

honteux

Publié à 11:38 par fandeloup Tags : moi france nature chien chiens revenu
honteux

Un nouveau loisir en France : la chasse au loup

"Grand père, que vous avez un grand fusil : c’est pour mieux t’abattre mon gros loup".

32 loups ont été officiellement abattus sur un quota de tir de 36. Sans compter le braconnage qui tue en toute discrétion.

Le loup est pourtant une espèce protégée, mais au nom de la défense des brebis, la France a autorisé les tirs et s’apprête à allonger la liste : 15 loups à abattre en plus.

L’abattage n’est plus l’apanage des fonctionnaires. Les chasseurs peuvent inscrire la bête à leur tableau de chasse.

Depuis qu’il est revenu en France en 1992, le loup sème la panique dans les élevages C’est vrai le loup n’est pas un agneau mais les chiens errants non plus. Ils aiment bien donner des coups de dents dans un troupeau.

On crie au loup avant même d’avoir vérifié que c’est bien lui qui a tué. Quand il est innocenté on ne crie pas au chien. Et le doute, dans 60% des cas on ne sait pas qui du chien ou du loup est coupable, le doute bénéficie aux éleveurs.

Ils sont dédommagés. Un million d’euros versés l’an passé. "Je n’élève pas des brebis pour nourrir le loup" disent les éleveurs. Le contribuable pourrait répondre : "puisque ce sont mes impôts qui vous rétribuent, à cause du loup à cause des subventions agricoles, j’ai le droit de choisir qui va croquer la brebis : le loup dans la montagne ou moi dans mon assiette". "Les éleveurs n’élèvent pas des brebis mais des subventions" commente Pierre Athanaze, le Président de l’association ACTION NATURE .

Les éleveurs se disent garants de la protection des paysages Ça a été le cas pendant des décennies. Mais depuis les années 90, la filière ovine se débat dans des difficultés économiques qui n’ont pas attendu le retour du loup pour la mettre à terre.

Baisse de la consommation de viande, augmentation des importations. Le nombre d’éleveurs s’est effondré. Y compris en plaine alors que le loup n’y était pas présent. Les troupeaux sont devenus de plus en plus gros.

Un berger doit surveiller 1300 bêtes contre 300 il y a moins d’un siècle. La pression sur la montagne est de plus en plus importante : le nombre d’espèces de plantes ne dépasse pas la dizaine sur les espaces pâturés par les brebis.

Contre 100 à 200 sur les pistes de ski. Au début de cette année il y avait 280 loups en France. C’est trop disent les éleveurs de brebis.

loup

Publié à 13:57 par fandeloup
loup

PASSIONNANT ! Le saviez-vous? La meute de loups :

Les trois premiers loups sont les faibles et les malades. Ils impriment le rythme de toute la meute.

Si c'était inversée, ils resteraient dans leur coin et mourraient. En cas d'embuscade, ils sont les premier sacrifiés.

Ensuite suivent cinq costauds, formant l'avant-garde, et au milieu, ce sont les plus forts. Puis, cinq autres loups formant l'arrière-garde. Et le dernier , presque isolé de la meute, est le chef.

Il a besoin de voir toute sa meute, pour contrôler, orienter, coordonner et faire les contrôles nécessaires.

sociabilisation

Publié à 19:19 par fandeloup
sociabilisation

La socialisation ne se présente lorsque la coexistence isolée des individus prend des formes déterminants de coopération et de collaboration qui tombent sous le concept général de l'action réciproque