aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Le Loup ancêtre du chien : la recherche évolue...
La domestication du chien a commencé beaucoup plus tôt que généralement estimé jusqu'à présent.
Elle remonterait à plus de 27'000 ans, selon l'analyse génétique d'un fragment de mâchoire d'un ancien chien-loup de Sibérie datant de 35'000 ans. Ainsi les humains auraient apprivoisé des chiens il y a de 27'000 à 40'000 ans, estiment ces chercheurs suédois dont les travaux ont été publiés jeudi dans la revue "Current Biology".
Des estimations précédentes basées également sur des analyses d'ADN suggéraient que les ancêtres communs des chiens modernes avaient divergé des loups au plus il y a 16'000 ans après la dernière période glaciaire.
L'analyse génomique de cet ancien fragment de mâchoire, daté au radiocarbone, révèle que ce chien-loup de Taimyr représente le plus récent ancêtre commun des loups et des chiens modernes.
Ainsi "les chiens pourraient avoir été domestiqués beaucoup plus tôt que ce que l'on pense généralement", relève Love Dalén, du musée suédois d'histoire naturelle, un des principaux auteurs de cette recherche.
Selon lui "la seule autre explication serait qu'une divergence majeure se soit produite entre deux populations de loups à cette période et que l'une d'elles ait donné naissance à toute la lignée des loups modernes", explique le scientifique.
Mais ajoute-t-il, cette dernière hypothèse est moins probable: elle supposerait l'extinction de l'autre population de loups dans la nature. Les analyses d'ADN montrent aussi que les chiens husky ont un nombre inhabituellement élevé de gènes communs à ceux de l'ancien chien-loup de Taimyr d'il y a 35'000 ans.
Ce dernier "vivait seulement quelques milliers d'années après la disparition des hommes de Neandertal d'Europe et l'émergence des humains modernes en Europe et en Asie", notent ces chercheurs.
Source :ATS
Pas de "grande surprise" dans cette article mais une évolution au niveau de la période de domestication. Bref, tous les chiens descendent du Loup, même ceux des chiasseurs et des éleveurs. Un pied de nez de la Nature aux haineux de la biodiversité...
association Le Klan du Loup
La préfecture des Alpes-Maritimes frappe (encore) fort contre le Loup ! Une opération de tirs de prélèvement de loups (tirs à tuer les mâles ou femelles, jeunes ou adultes) est par conséquent autorisée à partir du 1er mai 2015 pour une durée de 2 mois sous la responsabilité de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS) avec l'aide des lieutenants de Louveterie des Alpes-Maritimes et des chasseurs habilités par le préfet.
L'autorisation concerne notamment la vallée de la Vésubie et le village de Roquebillière, soit au total une quinzaine de communes. Le député-maire UMP de Nice, Christian Estrosi, accompagné par des éleveurs d'ovins, des chasseurs et des élus de communes rurales, avait été reçu mercredi par la ministre de l'Environnement, Ségolène Royal. La délégation avait formulé quatre propositions, dont celle de faire des tirs de défense dans tous les parcs nationaux y compris celui du Mercantour.
Par pure démagogie et alors que cela n'aura aucune efficacité, la préfecture des Alpes Maritimes a encore ordonné l'exécution de loups. Nous voyons bien que nous sommes en période électorale (élections régionales) et qu'il faut caresser les néo ruraux dans le sens de la laine de leurs "bêtes de rente".
Le piteux Estrosi (UMP), qui n'y connait rien en faune sauvage, voulait même que l'extermination du Loup se fasse dans les parcs nationaux ; un comble ! Mais le député-maire de Nice n'en est pas à sa première outrance... Si Ségolène Royal et Estrosi veulent vraiment s'attaquer au problème de l'élevage ovin en France, qu'ils revoient les accords douaniers avec la Nouvelle-Zélande. Pour nous, association Le Klan du Loup, il n'y a qu'une politique qui vaille : 100% Loup, 0% de tir à tuer
Le Klan du Loup rue de la république 24210 LA BACHELLERIE
Alpes-Maritimes : un loup attaque une biche dans le jardin d'une maison Une attaque de loup a eu lieu au cœur d'un village des Alpes-Maritimes ce jeudi matin.
Un loup a poursuivi et attaqué une biche réfugiée dans le jardin d'une habitation du village de Saint-Etienne-de-Tinée (Alpes-Maritimes), rapporte «Nice-Matin».
Christian Estrosi, maire (UMP) de Nice (Alpes-Maritimes) et candidat pour les élections régionales de décembre en Provence-Alpes-Côté d'Azur a annoncé, dans un communiqué, qu'il voulait que la préfecture adopte quatre mesures «suggérées à la Ministre (NDLR de l'Ecologie), Madame Ségolène Royal, lors de notre rencontre et qui n’ont pour l’heure pas obtenu de réponse»
. Ces quatre mesures sont :
«L’autorisation de faire des tirs de défense dans tous les parcs nationaux y compris le Mercantour ; revoir la convention de Berne afin d’introduire, comme l’Espagne, des réserves et de descendre d’un cran dans la protection du loup ; autoriser l’utilisation de chiens créancés (NDLR : ayant acquis les aptitudes) pour organiser efficacement la régulation ; autoriser les tirs à l’approche ou à l’affût au-delà des battues».
Des éleveurs, accompagnés de Christian Estrosi, ont justement été reçus fin avril au ministère de l'Ecologie pour évoquer, entre autres, la possibilité de tirer le loup au cœur du parc du parc national du Mercantour.
Un refuge pour loups abandonnés ou maltraités en Belgique: vous pouvez entrer dans l'enclos et les caresser
Magnifique initiative, et à l'occasion j'irai les voir car j'ai eu la chance d'avoir été 1 mois en contact avec des loups lors d'un voyage chez des amis lointains, et je vous assure qu'ils sont vraiment extraordinaires car leurs amour est plus fort que tout...
C'est bien sûr la loi de la meute qui prédomine leurs comportements mais ils ont la fibre familiale très développée ils défendent donc leur famille au risque de leur propre vie!!!... Dans un couple de loups, la fidélité est vraiment exceptionnelle. (Rien de comparable avec l'humain!)
L’immense tendresse et les contacts sont constants... Et ce n'est pas un loup seul qui mène la meute, mais bien un couple!... Les autres réactions Le "Wolf Center" de Bilstain offre la possibilité aux visiteurs de pénétrer dans l'enclos des loups qu'il recueille. D'Alaska, de Suède ou encore de Pologne, 14 loups sont hébergés dans le "Wolf Center" de Bilstain, à proximité de Verviers.
Ce centre de protection et d'étude des loups recueille non seulement des loups abandonnés ou maltraités, saisis chez des particuliers ou en provenance de parcs ou de zoos. Mais il propose aux visiteurs, moyennant 35 euros, de rentrer dans leur enclos et de les caresser, voire même de leur donner à manger. Fortement imprégnés des hommes Les animaux ont reçu une forte imprégnation humaine depuis leur plus jeune âge, ce qui explique l'affection apparente qu'ils ont pour leurs propriétaires.
C'est le cas, notamment, de Piotre et Anne qui y sont nés. "Je les ai nourris quand ils avaient à peine six jours", explique Peter Lennertz, de la Wolf Conservation Association, admettant qu'"avec les personnes qu'ils ne connaissent pas, il leur faut un peu plus de temps avant d'être familier." "S'ils mettent les pattes sur vous, vous risquez d'être plein de boue"
C'est seulement après avoir signé une décharge dégageant l'ASBL de toute responsabilité que les visiteurs peuvent les rencontrer. Et pour cause: "C'est pour qu'on ne soit, par exemple, pas contraint à nettoyer les vêtements par après. C'est très boueux ici. S'ils mettent les pattes sur vous, vous risquez d'être plein de boue", indique Alain Lambert, guide bénévole.
Objectif ?
"Sauver les loups de l'euthanasie" Il y a 20 ans, l'ASBL recueillait les loups saisis par la justice chez des particuliers. Aujourd'hui, la loi encadre plus sévèrement leur détention.
"On recueille des animaux qui sont en surnombre dans des parcs ou dans des zoos qui bien souvent sont condamnés à être euthanasiés parce qu'on ne trouve pas d'autre place pour eux, ajoute Alain Lambert. Le but premier ici est donc de sauver des loups de l'euthanasie."
L'occasion de se rapprocher d'un animal qui ne mérite pas toujours sa réputation.
Politique anti-loups : les associations vont porter plainte contre la France
Un projet de nouvel arrêté encadrant les autorisations de tirs de loups a été présenté par l’État ce 21 avril au Groupe National Loup, chambre d’enregistrement faussement démocratique à laquelle nos associations refusent désormais de participer.
L’arrêté envisagé contient des mesures extrêmement graves et organise une véritable chasse au loup généralisée, traitant une espèce strictement protégée comme une espèce nuisible.
L’État compte-t-il adopter un tel texte?
Si c’était le cas, nos associations porteraient plainte contre la France. Des tirs de loups partout et tout le temps ?
Entre autres mesures envisagées, les « tirs de défense » (tuer un loup près d’un troupeau) seraient autorisés non seulement pour un troupeau non protégé, mais aussi pour les autres troupeaux de la commune, même s’ils n’ont pas été attaqués.
La prédation sur le bétail pourrait être imputée au loup sans constat de terrain par un agent de l’État. Les « tirs de prélèvement » (tuer un loup loin des troupeaux) seraient encore confiés aux chasseurs, pour une durée augmentée à six mois et même si le bétail n’est pas dehors.
Les tirs officiels ne seraient plus interrompus en cas de braconnage de loup dans la zone. Enfin, aussi incroyable que cela puisse paraître, les destructions de loups seraient autorisées dans les réserves naturelles et dans le cœur des parcs nationaux.
Une politique de tirs inefficace et irrationnelle
Le gouvernement refuse de voir que cette politique des tirs, engagée depuis des années, est un échec puisque la prédation sur le bétail continue tant que les troupeaux ne sont pas mieux gardés. S’il adopte ces nouvelles mesures, l’État confirmera de façon toujours plus accablante que les tirs n’ont pas pour objectif de protéger les troupeaux, mais qu’il s’agit bien d’une chasse aux loups destinée à satisfaire les lobbies agricoles et cynégétiques.
Nos associations n’auront alors d’autre choix que de porter plainte contre la France auprès de la commission européenne. Pas de contrepartie demandée aux éleveurs en échange des aides Les éleveurs devraient avoir de bonnes pratiques en échange des subventions qui les font vivre.
En plus, ils sont payés spécifiquement pour protéger leurs troupeaux, et indemnisés en cas de prédation même s’ils ne l’avaient pas fait. CAP Loup demande :
1/ que les éleveurs ne soient pas indemnisés si leur bétail n’était pas protégé,
2/ que la protection soit vérifiée sur le terrain par des agents de l’État et soit une condition aux aides financières, et
3/ que les éleveurs soient mieux aidés sur le plan technique : sélection des chiens de protection, clôtures plus adaptées, étude de méthodes alternatives…
Seuls un meilleur accompagnement et une responsabilisation des éleveurs pourront garantir l’évolution nécessaire de leurs pratiques.
Les associations de CAP Loup
Dans son édition électronique (20/04/15), Nice-matin affirme que dimanche 19 avril 2015 vers 21 heures, un dénommé Jean-Michel Citron, berger à Peïra Cava (06440), aurait abattu un loup mâle de 35 kg.
Si cela est exacte, il s'agit d'un cas de braconnage et "destruction d'espèce protégée" car l'arrêté préfectoral pour les tirs à tuer Canis lupus n'a pas été encore signé !
A noter que Nice-matin souligne dans son article que l'arrêté préfectoral va être pris pour "[répondre] ainsi à la colère des éleveurs et à la grogne du monde politique après l'attaque de Roquebillière".
C'est la première fois qu'un média admet publiquement qu'une décision préfectorale de tir à tuer le loup est purement démagogique...
Le Klan du Loup va porter plainte contre X pour "destruction d'espèce protégée" près du procureur de Nice.
association Le Klan du Loup
Trois arrivées au Parc à gibier à La Roche: Iznogoud et Clair de lune dans la meute de Belle
Depuis ce mardi, le Parc à gibier de La Roche compte trois nouveaux pensionnaires.
Outre la louve belle, une louve offerte par le Parc Argonne Découverte en France, il héberge également Iznogoud et Clair de lune, deux mâles venus quant à eux du parc de Han-sur-Lesse. L’objectif avoué : reconstituer une nouvelle meute.
Au fil des heures, les animaux prennent doucement leurs marques.
« Les animaux sont plutôt calmes. Ils n’ont jusqu’à présent montré aucun signe d’agressivité ou de nervosité. Tout a l’air de bien se passer. » Au Parc à gibier de La Roche, Olivier Lefèvre est serein. « Il leur faut le temps de s’acclimater mais cela démarre plutôt bien ».
Depuis ce mardi, début d’après-midi, le site héberge trois nouveaux loups. Belle , une jeune femelle, a été offerte par le Parc Argonne Découverte, en France.
Deux mâles, Iznogoud, 3 ans, et Clair de lune, un an et demi, sont arrivés au même moment mais du parc de Han-sur-Lesse. « Notre parc n’abritait plus de meutes, seulement deux loups âgés d’une vingtaine d’années, explique encore le directeur du Syndicat d’initiative, gestionnaire du Parc à gibier.
Mais selon l’Arrêté Royal de 98, lorsqu’un parc veut accueillir des loups, cela doit être une meute. Cela pour respecter le bien-être animal. Nous n’avions plus que deux loups âgés d’une vingtaine d’années, nous devions donc chercher de nouvelles bêtes. Ce qui a finalement été le plus compliqué. »
Les contacts noués avec les autres parcs permettront finalement l’arrivée des trois animaux . « Pour donner au projet toutes les chances de réussir, il fallait qu’ils arrivent tous les trois en même temps. La prise de territoire doit, en effet, être simultanée. »
Les deux anciens loups, quant à eux, continuent à coexister dans un enclos voisin. À moyen terme, ils devraient être envoyés au Parc de Bilstain, spécialisé dans l’accueil de loups « sans meute ». « Cela nous permettra alors de relier les deux enclos afin de donner de l’espace à la future meute. »
Toute la semaine, les trois loups feront l’objet d’une surveillance particulière. « C’est toujours un peu un pari de mettre plusieurs loups ensemble, nous devons nous assurer que tout va bien. »
Le dernier loup de Belgique aurait été tué à Virton en 1898. Bientôt de retour ?
Ces animaux menacés de disparition
Une espèce de mammifères sur quatre, une sur huit d’oiseaux, et plus d’une sur trois d’amphibiens sont actuellement menacées de disparaître de la surface de la Terre.
Tour d'horizon en images des animaux en danger.
Le loup
Dans l'Union Européenne, c'est une espèce protégée. Pour autant, elle est toujours classée comme vulnérable à cause de la mauvaise réputation qu'elle a traînée pendant des siècles. Longtemps accusé de s'attaquer au bétail, le loup est devenu l'ennemi numéro un des éleveurs.
Plus d'une espèce sur trois est menacée de disparition dans le monde, selon WWF. La situation actuelle, critique, l'est d'autant plus que le phénomène s'accélère. En l'espace d'un demi-siècle seulement, "la taille des populations des espèces de vertébrés a fondu de moitié", précise le rapport Planète vivante 2014 publié en septembre dernier.
Plus globalement, les espèces végétales et animales s'éteignent au moins 1000 fois plus vite qu'elles ne le faisaient avant que les humains ne peuplent la planète. À tel point que l'on parle actuellement de "sixième extinction massive", succédant à celle qui a vu disparaître les dinosaures il y a 65 millions d'années.
Sauf que, pour la première fois, le processus est causé par une seule espèce?: l'homme.
En 40 ans, nous avons causé la disparition de 50% des animaux sauvages
Une nouvelle époque destructrice??
Des scientifiques sont d'ailleurs allés encore plus loin dans l'analyse et la qualification du monde actuel. Selon une étude parue en janvier dans le journal The Anthropocene Review, l'homme serait entré dans une nouvelle époque depuis les années 1950, passant de l'holocène (époque géologique) à l'anthropocène (époque entièrement régie par l'homme). Il serait en effet devenu le seul et l'unique acteur de l'évolution de la planète, même si cette théorie, validée par le monde scientifique, n'a pas encore été actée par la Commission internationale de stratigraphie, précise Le Monde.
En France aussi
Conséquences de son activité néfaste, détaillée par l'ONU, une espèce de mammifères sur quatre, une espèce d’oiseaux sur huit et plus d’une d’amphibiens sur trois sont menacées, d'après la dernière édition de la Liste rouge mondiale, à l'origine de l'inventaire de la biodiversité. Au total, 22.413 espèces sont classées comme telles, sur les 76.199 étudiées.
Et le phénomène ne concerne pas uniquement les tigres du Bengale ou les pandas géants. La France figure parmi les dix pays qui hébergent le plus grand nombre d'animaux en danger.