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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
L'éducation pour la coexistence. Éduquer pour acquérir une conscience de la justice. Éduquer sur l'égalité pour ne pas qu'elle se perde un seul talent par manque d'opportunités..
Leurs relations familiales sont plus fidèles que celle de l'humain. La meute se forme autour d'un loup et une louve avec ses chiots, et adoptent des structures , où se protège les membres et se respectent
Wolf 527 est né dans le druide meute de loups du Lamar Vallée dans le parc national de Yellowstone en 2002., elle porte un manteau noir moelleux et étonnantes des yeux d'Ambre.
Elle chassait les wapitis, a donné naissance à de nombreux chiots, et a fondé sa propre meute. Une créature très intelligent, Wolf 527 a vécu de ses charmes et maintenu sa meute dans une zone où quatre autres packs avaient échoué.
Elle a évité avec vigilance les humains. Mais en 2009, alors que la chasse à l'extérieur de la limite, elle a été abattu par un flingue.
Wolf 527 a été l'un des premiers loups prises durant une chasse de loup dans le montana et de L'Idaho.
Il n'y a pas d'animaux dangereux, simplement des hommes qui ne savent pas cohabiter avec eux. Devant certains animaux sauvages il faut simplement prendre les précautions élémentaires
Abattre des loups, un «remède pire que le mal»
REPORTAGE Les agents de l’environnement chargés de mettre en œuvre les décisions préfectorales d’abattage d’animaux sauvages déplorent des mesures « politiques »…
De notre envoyée spéciale à Gap (Hautes-Alpes) NB: Les personnes citées dans cet article le sont au titre de leur appartenance au Syndicat national de l'environnement (SNE-FSU) Lorsqu’on entre dans les bureaux de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) à Gap (Hautes-Alpes), la première chose que l’on voit est un loup empaillé.
Ce n’est pas un trophée, plutôt une mascotte dans ce département où le loup divise la population. Entre les éleveurs et les défenseurs des animaux , Dominique Melleton, chef de service au Service départemental des Alpes de Haute-Provence de l’ONCFS, a tout entendu sur le loup : avec une carrière commencée dans les années 1980 comme garde-chasse, il a vu l’animal repeupler les Alpes françaises, y compris le massif des Ecrins tout proche, et a été amené à organiser des battues pour abattre quelques spécimens.
Dominique Melleton, chef du service départemental des Hautes-Alpes à l’ONCFS, montre les zones d’intervention de ses services. (A.Chauvet/20Minutes) « Le remède peut être pire que le mal »
Revenu hanter les montagnes françaises depuis le début des années 1990, le loup a prospéré : on en compte aujourd’hui environ 280 en France.
Mais les tensions se sont exacerbées avec les éleveurs de montagne : les attaques contre les troupeaux de moutons ont provoqué la colère des paysans, qui ont frappé un grand coup en séquestrant, en septembre, un des deux dirigeants du parc national de la Vanoise.
Et ils ont obtenu gain de cause : le gouvernement a concédé une augmentation du nombre de bêtes pouvant être abattues chaque année. Pour la période 2015-2016, 36 animaux peuvent être tués.
On en est déjà à treize depuis début juillet. Evolution du nombre cumulé de loups tués par an, affichée dans le bureau de l’ONCFS à Gap (A.Chauvet/20Minutes) Pour les agents de l’ONCFS, chargés d’appliquer les décisions d’abattage, le sujet du loup est trop « passionnel » pour pouvoir être géré correctement. « Nous n’avons pas à prendre parti pour ou contre le loup, explique Dominique Melleton.
Mais on constate que les décisions sont prises plutôt par souci politique que par rapport aux données techniques. » Deux jours auparavant, un loup a été abattu sur la commune du Monêtier-les-Bains (Hautes-Alpes), au nord du Parc national des Ecrins, « sur un territoire où il n’y a pas eu de problème pendant l’estive et à un moment où les troupeaux ne sont plus dans les alpages », déplore Dominique Melleton.
Pour l’agent de l’ONCFS, le « remède peut être pire que le mal » : « Cet abattage risque de déstructurer la meute, ce loup sera remplacé par un autre l’an prochain », regrette-t-il. « Ils nous disent que ce sont "nos loups" »
Les associations de défense des animaux se sont émues de la mort d’un loup supplémentaire, qualifiant les arrêtés préfectoraux de « carnage inutile ».
Pour ceux qui travaillent au quotidien dans les montagnes, le loup n’est toutefois pas menacé de disparition en France: « Le nombre de proies augmente, les campagnes se désertifient, donc il n’y a pas de crainte à avoir : on n’éradiquera pas le loup », estime Dominique Melleton.
Mais il serait favorable à une « gestion raisonnée de l’espèce », où chacun balaie devant sa porte : « Les modes d’élevage actuels ne sont pas compatibles avec la présence de prédateurs », confie-t-il.
Dans les Parcs nationaux, comme celui des Ecrins, les agents du Parc ont pour mission, entre autres, de travailler avec les éleveurs à la mise en place de mesures « agro-environnementales » : emploi de bergers, nombre maximal d’animaux, calendrier de pâturage… Les relations entre les agents du Parc et les éleveurs sont plutôt bonnes, même si les paysans les plus militants continuent « à nous dire que ce sont "nos loups" », sourit Michel Bouche, technicien pour le secteur Embrunais au Parc national des Écrins.
Choqué par l’action menée contre le dirigeant de la Vanoise, sans aucune poursuite judiciaire contre les auteurs de la séquestration, Michel Bouche estime qu’un « jour où l’autre, il y aura un problème chez nous ».
La possibilité de tirer des loups dans les zones « cœur de parc » est déjà un sujet de tension qui pourrait devenir explosif et certaines déclarations politiques ne font qu’attiser la colère : lorsque Christian Estrosi déclare en avril dernier que la réintroduction du loup en France est un « scandale d’Etat », le Syndicat National de l’Environnement (SNE-FSU), auquel appartiennent Dominique Melleton et Michel Bouche, y voit une instrumentalisation dangereuse pour les agents confrontés aux éleveurs.
Le syndicat a porté l’affaire devant les tribunaux et a obtenu la condamnation du maire de Nice. « Il y a deux ans, un agent du Mercantour a été tabassé par un éleveur : il faut faire attention quand on attise les populations », estime Jean-Luc Ciulkiewicz, secrétaire général du SNE-FSU.
Pour les agents de l’ONCFS, comme pour tous ceux qui se sont engagés dans des métiers de l’environnement par passion pour la nature, être en charge d’appliquer des décisions d’abattage qui ne résoudront, selon eux, aucun problème, est lourd en termes psychologiques :
« Dans les Ecrins, nous avons eu trois longs arrêts maladie pour des problèmes psychiques cette année », dénombre Michel Bouche. « On nous demande de faire le grand écart entre la protection de l’espèce d’un côté et la mise en œuvre des arrêtés préfectoraux », témoigne Dominique Melleton, qui confie « allumer un cierge » à chaque battue destinée à abattre un loup : « Encadrer un prélèvement sur une zone aussi vaste est compliqué.
Vingt groupes de chasseurs partent dans des zones où la communication est difficile : il est utopique de penser qu’on sait réellement ce qui se passe », explique-t-il, redoutant qu’il n’y ait plus de loups tués en réalité que selon les chiffres officiels.
Tchernobyl : les loups y sont sept fois plus nombreux
Elans, cerfs, chevreuils, sangliers et loups sont de nouveau abondants, dans la zone d'exclusion de Tchernobyl désertée par les humains
Près de trente ans après l'accident nucléaire de Tchernobyl en Ukraine, la faune est florissante dans la zone d'exclusion désertée par les humains où élans, cerfs, chevreuils, sangliers et loups sont de nouveau abondants, indique une étude internationale publiée lundi dans la revue Current Biology.
L'étude montre que ces mammifères sont au moins aussi nombreux à l'intérieur du périmètre de 4200 km2 autour de la centrale, que dans les RÉSERVES naturelles environnantes non contaminées par la radioactivité.
Les activités humaines pire que la radioactivité ? Ce recensement a été effectué par observations aériennes sur la vaste zone dévastée par un incendie suivi d'une explosion d'un des réacteurs en avril 1986. Il montre que les mammifères locaux sont aussi nombreux que dans les réserves voisines.
Des chats seraient revenus à l'état sauvage. En revanche, les loups y sont sept fois plus nombreux que dans les parcs proches de la région. «Il est très probable que les populations de ces animaux à Tchernobyl sont beaucoup plus nombreuses aujourd'hui qu'elles ne l'étaient avant l'accident», estime Jim Smith de l'Université de Portsmouth au Royaume-Uni, un des co-auteurs de ces travaux.
«Cela ne signifie pas que la radioactivité est bonne pour la faune sauvage mais seulement que les effets des activités humaines comme l'agriculture, la chasse et l'exploitation forestière sont nettement pires», ajoute-t-il.
Comprendre l'impact à long terme de la catastrophe de Fukushima Les premières études après l'accident nucléaire avaient révélé des effets importants de l'irradiation dans la zone d'exclusion, dont une forte réduction des populations animales.
Cette dernière observation montre à quel point la nature est tenace et pourrait aussi fournir des éclairages importants pour mieux comprendre l'impact potentiel à long terme de la catastrophe de Fukushima au Japon en 2011.
Les observations par hélicoptère ont révélé un regain des élans, des chevreuils et des sangliers à Tchernobyl dans une période allant de un à dix ans après l'accident et ce au moment où les populations de ces mammifères déclinaient ailleurs dans l'ex-Union Soviétique, précisent les chercheurs.
La catastrophe de Tchernobyl qui a forcé tous les habitants à évacuer la zone pour ne jamais y revenir, avait aussi contaminé une bonne partie de l'Europe, mais surtout l'Ukraine, la Russie et le Belarus, alors des républiques soviétiques.
les loups ne perdent pas de temps : regardez ce qu'il ce passe quand ils attaquent...
Des louveteaux menacés de mort
Ces images exceptionnelles montrent 5 louveteaux, filmés par un appareil automatique, quelque part dans une forêt des Alpes. Ils sont âgés d’à peine 2,5 mois et jouent paisiblement. Mais ils sont actuellement traqués par des chasseurs, dans le cadre d’un arrêté préfectoral de « tir de prélèvement ».
Si les chasseurs les trouvent, c’est le carnage assuré. Et si leurs parents sont tués, ces louveteaux ne survivront pas seuls. Les battues en cours pour détruire cette famille de loups sont ordonnées par le préfet sous prétexte de « protection du bétail ».
Pourtant, parmi toutes les crottes de loups examinées sur place, aucune ne contenait un reste de mouton, malgré la présence aux alentours de troupeaux de brebis non protégés. Ces louveteaux sont nourris par leurs parents avec leurs proies naturelles, des ongulés sauvages.
La politique des « tirs de prélèvement » est décidément absurde et révoltante
Voir toutes vidéos de CAP Loup : http://www.cap-loup.fr/les-images/les-videos/
Continuons à diffuser la pétition CAP Loup ! Plus de 70 000 signatures, c’est déjà beaucoup mais nous pouvons faire encore mieux pour montrer à la ministre que les citoyens ne sont pas d’accord avec sa politique de destruction des loups !
http://www.mesopinions.com/…/vive-loup-vive-pastorali…/12096