Parfois je pleure en silence,seule dans mon lit, j'évacue ma souffrance, seule toute la nuit ,je me sent minable ,je me sens plus que pitoyable de pleurer sans plus pouvoir m’arreter..

Nul n'a plus besoin d'un sourire que celui qui n'en a plus à offrir.

Larmes, de nouveau des larmes .Unique réponse Impuissante devant cette vie sublimement transcendante .a vatar de femme préparée à l’infini.Encore une fois j’ai souffert. Encore une fois j’ai pénétré l’éclipse. Encore une fois j’ai respiré l’absence .Réveillée dans ma torpeur matinale .J’ai vu mes rêves d’enfance s’éloigner. Ma carapace se briser Mes joues se couvrir de larmes, de nouveau de larmes.

Tous les matins elle ouvre les yeux lentement ,elle essuie son visage, encore souillé par les larmes de la veille. Elle se prépare à affronter le jour… Chaque seconde est un pas vers la mort, un pas de plus vers la nuit éternelle… Ses yeux d’enfant ont perdu leur éclat, et son aura s’est teintée de noir .Elle a beau rêver d’un futur meilleur, d’un monde sans douleur, sans larmes ni cris, elle sait que les rêves s’achèvent à l’aurore .Alors, elle traîne son pauvre corps… Elle n’attend rien de l’avenir. Tous les soirs elle supplie la mort de l’emporter, d’arrêter les battements de son cœur pleins de haine, d’effacer les bleus de son pauvre petits corps, de la libérer de ce monde qu’elle redoute tant, elle ne souhaite que le sommeil… Tous les matins elle ouvre les yeux, elle essuie les larmes de la veille, alors que les larmes de désespoirs apparaissent .Elle doit encore affronter le jour qui se lève, encore faire semblant d’être heureuse, sourire et rire alors que son cœur saigne… Elle affronte les jours qui inlassablement passent .Mais elle sait qu’elle n’a aucun avenir

On m'a souvent dit que le temps atténuait les peines, mais pour moi il ne fait que resserrer les chaînes, .On m'a dit aussi que le temps pansait les blessures, qu'il résistait aux mauvais temps et aux éclaboussures. Mais aujourd'hui le passé a baissé son masque, Il s'est insinué en mon ♥ comme une bourrasque, et mes peines ont ressurgies hors de l'abri de leur serre, les larmes de rosée qui roulaient sur ces pétales n'étaient que poussière en ce monde qui se dévoile. Les rayons de la nuit, ont laissé place à ceux du jour, ils se sont ensuite enfuis.Le temps a suivi son interminable mouvement, En nous laissant esclaves de notre attachement .Mon amour a péri en même temps que mes larmes, après m'avoir tant meurtri, j'ai rendu les armes.Désormais, je ne suis plus maîtresse de mes cris. Chaque jour, une nouvelle cicatrice apparaît dans ma vie. J'essaie tant bien que mal de retenir ma peine, qui me sera pourtant fatale à l'ombre de ma haine .Les heures filent sans que je puisse les compter, mais restent mon unique repère vers la réalité ,et les souvenirs qui me broient . Dans mes larmes je me noie, a présent, je ne garde qu'une page écrite dans un grimoire. Je referme le livre de mon destin dans une dernière larme, en y rangeant tout mon chagrin avant de le jeter aux flammes

Chaque soir j'ai peur, peur de fermer les yeux et de m'évader dans un monde lointain, que certains nomme au petit matin le rêve...Pour moi c'est le cauchemar

Par les volets souvent fermés, le soleil essaie de faire son entrée. Que pourrait-il donc bien trouver? Une femme ayant mille secrets. Cette femme aux cheveux blanc teintée pleure toujours son amour. Comme chacun ,quelques tourments, mais cet amour, toujours présent ! On ne peut plus faire semblant quand on accuse les années. S'est arrêté le temps, longtemps elle pleurera son amour.

Tu m'as embrassé pour la dernière fois.Déjà,ta peau sentait le parfum de la nostalgie..déjà,tu me manquais avant de partir..je transpirais nos moments d'antan en fines gouttelettes de regret..mes larmes volcaniques attendaient ton départ pour une éruption qui remplira mes yeux de cendres et mon ♥ de lave colérique..des rues de chagrin dégoulinent de mon âme qui me déchire de l intérieur..

"Jour après jour, heure après heure, j'ai appris ce qu'était pleurer"

Petites gouttes d'eau salée sur mes joues veulent couler.. Petites gouttes d'eau salée, mes yeux, vous noyez.. Petites gouttes d’eau salée ,vous vous échappez ..Petites gouttes d'eau salées ,en larmes vous me mettez.. Larmes de mon cœur ,témoins de mes maux en pleurs