Le sourire au lèvres, les larmes au yeux, on souffre en silence pour faire croire qu'on va mieux

L’épreuve s’abat sur une vie. Avec la désespérance il y a la révolte et un immense sentiment de solitude. Dans ces moments là nous pensons :

Personne ne connaît ma peine, ma douleur, ma souffrance… Nous cherchons alors par divers moyens a être consolés. Parmi nos recherches de soutien il y a les amis ou supposés tels. Mais nous constatons très vite que les amis dont nous avons besoin quand nous sommes dans la peine sont rares et quand ils existent, nous nous rendons compte au bout d’un moment ,qu’ils sont dans l’incapacité de tout comprendre de notre souffrance et qu’ils peuvent être très maladroits, ce qui en rajoute à notre peine.

Parce qu'il y a des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur. »

Je fais l'impossible pour ne pas faire couler une larme.. Je les refoule.. C'est pleurs, parce que je sais d'office que chaque larme me fera plonger dans le regret. Ce n'est qu'après le décès de la présence d'une certaine personne.. Qu'on réalise qu'elle nous manque affreusement

Cette larme pour tout ce que je viens de découvrir

Cette œil triste qui vous montre a quel point je suis triste

Cette larme a tous ceux qui m'ont decus dans ma vie

Cette larme a tous ces disparut mais toujours existant dans mon cœur

Cette larme a ceux qui m'ont brisé le cœur

En défiant les lois de la gravité,dans son œil brillait une petite larme,mais en quelques moments après,elle s’est détachée et disparue au coin du nez. On le sait bien,la mer a inondé l’Atlantide et ,en écrasant les rochers comme les noisettes,a creusé toute la planète .Les courants d’eau cassent les turbines,les rivières en crue penchent un peu leur chapeau et recouvrent la Chine ou L’Inde comme le linge répandu .... ça arrive de temps en temps. Pourtant , la force la plus puissante de tous les cours d’eau,c’est la larme. La larme est la reine .

Accueillons un temps notre douleur. Laissons-la vivre et exprimer ce que nous ne savons pas dire avec des mots : donnons-lui la parole. Alors il se peut qu'elle s'en aille, tout doucement, ayant eu le temps et l'espace dont elle avait besoin pour se libérer. Si elle persiste, écoutons ce qu'elle a à nous dire : pourquoi une telle intensité, voire une telle violence dans son expression ? Qu'avons nous vécu, vu, entendu qu'il l'ait éveille, ou réveillée - même quand elle dort, elle n'est pas loin ? Si nous l'écoutons, nous apprenons peu à peu à mieux la connaître ; alors pouvons-nous lui répondre. Trouver les mots susceptibles de l'apaiser.

Le temps nécessaire pour qu'elle cesse, nous l'ignorons ; il faut être patients. La société, les autres, il est vrai, ne laissent guère le temps de revenir sur ce qui est perdu, ou que l'on croit perdu. Les retours en arrière incessants sur ce qui nous a fait souffrir et nous fait encore souffrir ne vont pas dans le sens, au moins en apparence, de ce qui nous permettrait d'avancer. Or dénouer les fils de notre histoire nous fait progresser. Le passé ne devient passé que s'il est dépassé, digéré, assimilé

On pleure infiniment plus en son coeur que dans les yeux ou sur les joues. Les larmes du dedans rongent. Les autres, paraît-il, soulagent plutôt qu'elles ne rongent.»

Une Tendre pensée pour les proches pour la Toussaint ... Nous pensons bien à vous en silence. Tout ce que nous possédons sont des mémoires, des souvenirs et des photos... Le ciel vous a dans ses bras , nous nous vous avons dans notre cœur...

pour tous les anges partis trop tot