La vie me tourne toujours le dos .La vie me considère comme une accro. Je cherche à tourner souvent la page .Mais les souvenirs me jettent au fond de la mer .Les larmes sont mes intimes amies .Et le sourire va me conduire un jour à la folie. Toujours mon stylo trace des mots,des mots qui expriment mille maux ..Toujours ma plume écrit des poèmes,a minuit sous le chant de la bohème. Souvent que mes yeux pleuraient . Souvent j'ai chanté à l'absence du son .Je cherche mille fois une façon pour quitter cet état .Je constate que je dois quitter la terre et tous les Etats .J'écoute souvent les paroles du grand corps malade, et je remplace le corps par mon large cœur malade...

Dis-moi seulement si les larmes de joies Emportent le même goût que les larmes de tristesse, Si c'est une pluie d'orage ou un brin de caresse, Ou bien une marée qu'on ne maîtrise pas... Et dis-moi si le sel qui coule sur les joues A ces parfums étranges comme les rires des enfants, Ou ces douceurs d'enfance que parfois on avoue, Jusqu'à recommencer le voyage dans le temps. Mais quand c'est le chagrin qui monte au bord des cils, C'est le sel qui dépose au plus profond du coeur, Les voiles asséchés sur ces chairs trop fragiles, Oubliant un instant les ondes de tiédeur. Mais joie ou bien tristesse, c'est une émotion vive, Quelques élans complices, un opressant tourment... Et ces gouttes silencieuses conduisent vers l'autre rive, Où s'exaltent et soupirent de troubles sentiments. Je connaîtrai encore ces msytérieuses larmes... Mais dis toi que le goût dépend de la personne Qui fait verser ces pleurs en traversant une âme, Et toi-même tu sais bien où ces parfums résonnent...

J’ai le cœur prisonnier... Et j’aimerai bien le délivrer... A cause de cette pénible tristesse qui m’a enchaîné... Mais malheureusement, je n’ai pas la clé... Qui me permettrai de le libérer ,de cette amertume que j’ai goutté... Et de m’échapper de ces mers de larmes que j’ai versées... Qui veulent me faire noyer... Alors, j’ai cherché dans le livre qui sait... J’ai trouvé au creux de ses versés... Que le moyen de me sauver était de patienter... Car c’est un examen auquel je devais procéder qui tôt ou tard s’achèverai... Alors j’ai compris que tout simplement c’est ma destinée... A laquelle jamais je ne pourrai échapper

On parle d'amour quand on souffre ; le manque, l'absence, l'attente attisent la souffrance, et on appelle ça de l'amour

De gaieté en gaieté J’ai contrefait ma joie

De tristesse en tristesse J’ai camouflé ma peine

De saison en saison J’ai galvaudé le temps

De raison en raison J’ai nié l’évident

De silence en silence J’ai parlé sans rien dire

De méfiance en méfiance J’ai douté sans finir

De rancoeur en rancoeur J’ai brisé l’essentiel

De pensée en pensée J’ai flétri sans appel

De reproche en reproche J’ai pétrifié les jours

Et puis de proche en proche J’ai détruit tout amour…

De pleurs en espérances J’ai conjuré le sort

De regrets en souffrances J’ai torturé mon corps

Les meilleurs SOUVENIR sont ceux qu'on essaye d'expliquer si FORT, mais qu'on finit par se dire qu'au fond, il fallait seulement être là pour COMPRENDRE et c'est vrai. Parce qu'en RÉALITÉ, personne ne peut vraiment nous comprendre. Personne ne peut RESSENTIR ce qu'on ressent, parce qu'on ne voit pas la vie à travers les YEUX des autres

poeme

poeme

La vie est un défi fait lui face

La vie est précieuse prends en soin

La vie est tristesse surmonte-la

La vie est un combat accepte le

o esprit, efface toutes ces pensées, Qui font de mon âme un tourbillon, Tourbillon de mots déchaînés, Comme un volcan en irruption. Je rêve d'un esprit libéré, D'une âme moins tourmentée... Je rêve de retrouver Le bien-être, le joie et la gaieté... Ne plus me cacher sous un sourire... Ne plus faire semblant... Ne plus avoir envie de partir... Vouloir vivre pleinement