La solitude du ♥ vous ronge jusqu au plus profond de votre être, jusqu a ce qu il ne reste plus rien, pas même l'envie d'avoir envie......

Il y a toujours mille raisons pour s enfermer Sortir est beaucoup plus difficile

Voici l'histoire d'un petit ♥ qui aimait trop, qui aimait tant... Qui aimait si fort qu'il n'avait qu'une envie : Rendre heureux celui qui le prenait entre ses mains. Trop confiant il s'est laissé prendre sans méfiance ! Ce petit ♥ était libre de croire à l'amour absolu. Mais des orages l'ont transpercé, de tant d'erreurs, en blessures qui ne cicatriserons jamais. Même s'il pense un jour les oublier, Petit ♥ a froid ! Il a tant aimé, il a trop aimé ... Il voudrait encore sourire, rire, chanter et danser. Rêver sans soupirer... Mais il ne regarde pas la vérité en face, Car toutes ces blessures ont laissé leurs traces. Se pourrait-il vraiment que le temps les efface ? Voilà ! Petit ♥est en repos. De courage il se nourrit, Pour supporter l'absence, oublier les silences, Survivre à l'errance ... La nuit est tombée Sur ce petit ♥ las d'espérer. Dormant à la lueur de tant de mauvais et bonss souvenirs ... Je voudrais le réconforter, Lui demander d'espérer encore. De ma gomme effacer les blessures du passé. Viens petit ♥, viens sous ma couette .Ferme les yeux, laisse-moi te réchauffer. Et en doux rêves te consoler.

La solitude, ce n'est pas forcément être seule... C'est parfois être entouré et se sentir ignoré C'est, dans son ♥, se sentir délaissé C'est, dans la vie, se sentir oublié C'est de n'avoir personne avec qui partager Ni ses peines, Ni ses angoisses, Ni ses bonheurs, Ni ses désespoirs, Ni ses joies La solitude... c'est une ombre! L'ombre de soi-même! La solitude... s'est sournois Regardez bien autour de vous, là pas très loin, Il y a sûrement quelqu'un qui se sent seul, perdu Et peut être vous passez à côté sans vous en appercevoir Un regard lointain, un sourire inexistant, s'est un ♥ qui saigne

La plus grande partie de la souffrance humaine est inutile. On se l'inflige à soi-même aussi longtemps que, à son insu, on laisse le mental prendre le contrôle de sa vie.

Le chagrin est comme la maladie : pour les uns, il est bénin ; pour les autres il est aigu

Oublier n'est pas si facile, des souvenirs restent, des folies se gardent dans notre mémoires et c'est en repensant à tous ça, qu'une larme sort et que notre ♥ se vide.

Les monstres existent...les fantômes aussi! Ils vivent en nous, et parfois...ils gagnent..

Les gens disent qu'en restant optimiste, on est plus heureux et en meilleure santé.

Enfant, on nous apprend à sourire, à être de bonne humeur, à faire bonne figure.

Puis, adultes, on nous dit de voir le bon côté des choses, faire contre mauvaise fortune bon cœur, voir le verre à moitié plein.

Mais régulièrement, la réalité nous force à laisser tomber la comédie du bonheur... Vous pouvez tomber malade,vos amis peuvent vous décevoir...ect C'est dans ces moments là qu'on a envie le plus envie d'être soi-même, de tomber le masque et de montrer son vrai visage : angoissé, malheureux.

Certaines personnes, au bout de six mois, se réveillent, prétendent que vous leur manquez, puis se fondent à nouveau à la foule d'inconnus, à qui votre prénom n'évoque rien. Le manque, ce n'est pas ça!!!! Ça revient le soir, souvent très tard quand il n'y a plus que vous et le noir. Ça revient en boucle, de plus en plus, de plus en plus fort. Ça finit par s'infiltrer dans vos pensées en permanence. Le manque, ça ne s'invite pas simplement tous les trente-et-un du mois. Ça s'incruste, ça laisse des traces, ça ruine la santé parfois. Le manque, c'est votre cœur qui ne veut pas s'endormir de peur d'oublier."