J'aime pas ce que je ressens aujourd'hui. Même pas du tout. Cette boule au ventre qui me nargue.C'est un combat de chaque instant, un combat dur et éprouvant que je mène face à moi-même. Je me bat contre moi depuis maintenant plusieurs mois et je dois l'avouer, je me perd. Plus le temps passe et plus je sens la force et le courage m'abandonner.

J'aimerais tellement te dire que ma vie est super. Que, ça va, que J'arrive à me lever le matin sans penser a toi. Que je peux passer mes journées sans souffrir. Mais en vrai on efface pas une absence. Rien ne sert de courir, on échappe pas a sa propre douleur

Il y a des personnes qui nous parlent et que nous n'écoutons pas ....

Il y a des personnes qui nous blessent sans laisser de cicatrices ...

Mais il y a des personnes qui simplement apparaissent et nous marquent pour toujours ..!!!

Bien trop de femmes, dans bien trop de pays parlent la même langue : le silence.

Encore une fois je t'ai décue. Encore une fois...

Encore une fois c'est de ma faute. Encore une fois...

Encore une fois je n'est rien. Encore une fois...

Encore une fois je t'ai fait souffrir. Encore une fois...

Encore une fois j'ai mal réagi. Encore une fois...

Encore une fois c'est arriver. Encore une fois...

Encore une fois... Encore une fois...

Quand cela se terminera-t-il?

Quand j'arrêterais de vivre...

Regarde par ta fenêtre : Bonheur et Pauvreté, Amour et Solitude, Misère et Amitié

Pourquoi tant de souffrances ?

Pourquoi tant d’injustices ?

Quand on peut s’entraider en devenant complices, Des Sourires de la vie, des Caresses enjouées Où s’évaporent la haine, et la rivalité.... Mais, pourquoi ce beau RÊVE s’est-il donc envolé ?

Parle-moi de ce temps ou les gens s’aimaient Raconte-moi le temps ou le ciel était bleu sans fumé pour le cacher Dessine – moi l’eau quand on pouvait se baigner dedans Montre-moi les montagnes avant qu’elles soient échevelées Parle-moi du rire des enfants qui jouaient dans les champs Raconte-moi les histoires que leur racontaient leurs mères en les couchant Dessine-moi le monde avant que n’existent les bombes Montre-moi ça à l’air de quoi des amoureux Les oiseaux est-ce vrai qu’ils allaient boire dans les ruisseaux ? Y’avait-il un coin où les enfants ne connaissaient pas le chagrin Existait-il des gens heureux Ça avait l’air de quoi des gens qui marchent deux par deux Le monde a changé La terre ne cesse de pleurer Pourquoi l’homme l’a-t-elle déchirée Si on essaie crois-tu qu’on pourrait la consoler

Et revoilà la pluie qui lèche mes carreaux .Elle emporte avec elle les dernières lueurs de ta peau ,Nettoyant tout sur son passage, Jusqu'à ton indescriptible image. Je regarde s’éloigner l’être que j’ai le plus aimé .Je ne peux même plus te crier. Il ne me reste qu’à espérer Que le temps fasse son œuvre ,Pour que ne reste inachevé Cet amour auquel je devais sans cesse m’abreuver

Enfin, j’ai levé les voiles, les vents me sont favorables. Je n’ai plus qu’a savouré l’air doux qui m’envahi. Ne soyez pas triste surtout. Je sais pourtant que si c’était moi qui restais sur la rive, j’aurais du chagrin de ne plus être à vos cotés. Je pars mais quitte -t-on jamais vraiment ceux qui nous ont été si précieux ? Je ne le crois pas. Dès que j’aurai atteint l’autre rive, je reviendrai m’assuré que la vie a reprit sa course et que je ne suis plus dans votre cœur qu’un doux souvenir qui saura vous faire sourire.

"Parfois, on voudrait se perdre, simplement pour savoir si quelqu'un nous chercherait... Et on se rend compte qu'on est seul ..."