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quelle amour
Par robertapampa, le 02.08.2012

bonne nuit a tous les amoureus(e)
Par robertapampa, le 02.08.2012

j'adore merci
Par ciboulette, le 06.03.2012

bonne chance véro !
Par ciboulette, le 06.03.2012

très mignon!!!
Par ciboulette, le 06.03.2012

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Date de création : 22.12.2007
Dernière mise à jour : 06.03.2012
73835 articles


ANCIEN MINEUR

MINEUR DE FOND 31

Publié à 12:00 par georgessylviemarie
MINEUR DE FOND 31
UN SUPER BEAU TIMBRE NON???????????????????????

MINEUR DE FOND 30

Publié à 12:00 par georgessylviemarie
MINEUR DE FOND 30
A 18 heures, l'horreur...



Malgré les précautions prises, relatives à la sécurité, comme l'utilisation de lampes électriques, les dangers d'explosion n'étaient pas encore écartés surtout quand on extrait du charbon gras plus riche en gaz dangereux. L'explosion, qui eut lieu, vers 18 heures, alerta tous les mineurs de la Fosse 7 bis. L'alarme fut aussitôt donnée et la direction des Mines de l'Escarpelle fit remonter d'urgence tous les mineurs qui se trouvaient au fond.

Quand ils eurent tous déposé leurs lampes à la lampisterie, il fut constaté que huit d'entre-eux manquaient.

Une équipe de sauveteurs fut aussitôt organisée sous la direction de M. Dubernard, directeur des Mines de l'Escarpelle, de M. Lelouffe, ingénieur, ainsi que de quatre autres ingénieurs du Service des Mines.

Entre-temps, une équipe de sauveteurs des Mines de Lens, dirigée par M. Fenzy , ingénieur, explorait galeries et failles.

C'est vers 23 heures que la première victime sera remontée, les sept autres corps étant découverts, quelques temps plus tard au même endroit.

Averti par téléphone, M. Peytral, le Préfet du Pas-de-Calais, arriva sur les lieux, ainsi que M. Natonneli, sous-Préfet de Béthune, et M. Berthot, Procureur de la République.

Une foule, évaluée à plus de 3000 personnes, attendait le retour des sauveteurs. Grâce aux fiches individuelles, on put identifier les victimes de la catastrophe. Les corps furent déposés dans une salle mortuaire où les familles désespérées venaient reconnaître un époux, un frère, un cousin, scènes émouvantes et pénibles se déroulant dans un silence pesant... "`

Les victimes

L'accident avait fait huit victimes, dont les noms sont gravés dans l'histoire de la commune. Parmi eux, un surveillant et boutefeu de l'équipe nommé Paul Leterne, âgé de 30 ans, marié et père d'un enfant. ainsi que des ouvriers mineurs : Pierre joseph Dehaies, 5 7 ans, demeurant Cité de la Fosse 7 ; Charles Lefebvre, 51 ans, demeurant Cité du Cimetière, (il était aussi conseiller municipal) ; Jean Magyar, 29 ans, célibataire, de nationalité hongroise, demeurant chez sa saur Vieille Cité ; Victor Zebrouck dit « Macot », 55 ans, marié, quatre enfants, demeurant à Auby ; Antoine Pietrzyk, 44 ans, de nationalité polonaise, père de quatre enfants, demeurant à Flers-en-Escre­bieux ; Joseph Pietezyk, 21 ans, fils du précédent, célibataire François Pitcharski, 36 ans, Polonais, père de trois enfants, demeurant Flers-en-Escrebieux.

Les funérailles

Les funérailles des huit mineurs tombés en plein travail, eurent lieu, le samedi matin, 3 août 1929, en présence d'une foule considérable. Les huit corbillards vinrent s'aligner dans le fond de la cour de la Fosse n'7, les cercueils disparaissant sous les fleurs.

À côté des drapeaux tricolores apparaissaient des drapeaux écarlates suivis des délégations syndicales, puis de larges bannières polonaises portées par des sokols en costume national.

Après avoir annoncé à la tribune que le ministre de l'Intérieur avait décerné à chaque victime la médaille d'Honneur du Travail, les préfets du Pas-de-Calais et du Nord vinrent, tour à tour, épin­gler ces médailles sur chaque cercueil.

C'est sur une marche funèbre jouée par la Fanfare de Courcelles, que s'est formé un immense cortège, de hautes personnalités accompagnant les Préfets et notamment M. Caillot, directeur des mines de Paris, M. Elby, sénateur, de nombreux députés, les dignitaires ecclésiastiques et les délégués des administrations de la mine. Devant l'église, nouvellement restaurée, un corbillard se détacha du cortège et se rangea à l'écart, celui jean Magyar, le mineur hongrois. Quant aux sept autres cer­cueils soulevés par des mineurs, ils furent amenés dans le choeur de l'église.

Au cours de la messe dite par l'abbé Penin, curé de Courcelles-les-Lens, il fut difficile de trouver une place bien que l'église soit très spacieuse. La cérémonie religieuse ne manqua pas d'impressionner la très nombreuse assistance. Il revint au prêtre d'adresser le suprême adieu à ses paroissiens tout en rappelant l'émotion causée par la terrible catastrophe.

L'absoute fut donnée par le vicaire général Maréchal, les corps furent ramenés dans les corbillards. Puis ce furent les discours des personnalités officielles. Enfin les convois suivis des parents des victimes prirent la direction du cimetière des trois communes : quatre corbillards vers ce­lui de Courcelles, trois autres vers celui de Flers-en-Escrebieux et un dernier pour celui d'Auby.
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MINEUR DE FOND 29

Publié à 12:00 par georgessylviemarie
MINEUR DE FOND 29
Courrières 10 mars 1906 - 10 mars 2006 par Géraldine CSIZMADIA, Philippe BESSIN, Hubert FÉRET et Pierre-Laurent FLAMEN Un recueillement profond sur fond de lutte politique Le centenaire de la catastrophe du 10mars 1906 a rassemblé des centaines de personnes à la nécropole et sur le Parcours des rescapés. Pour l’occasion, les discours politiques ont fustigé le libéralisme.
LE bassin minier était en émoi hier matin pour rendre hommage, sous la pluie, un ciel pesant et dans un vent glacial, aux 1 099 victimes de la catastrophe du 10mars 1906, qui a touché trois puits de la compagnie des mines de Courrières (Méricourt, Billy-Montigny, Sallaumines).

La population tenait à être présente pour montrer son attachement à son territoire. Elle le fut en nombre. Perpétuer la mémoire de la corporation minière, son courage et son sacrifice leur était, à tous, un devoir. Et la présence de ces anonymes effaçait les velléités politiques affichées ça et là avant l’hommage intercommunal à la nécropole, où ont été inhumés 476 corps de mineurs non identifiables. L’endroit a été réaménagé, engazonné. Propice au recueillement. D’anciens mineurs, des anonymes, y ont versé quelques larmes.
Retenu ensuite par d’autres obligations, François Hollande, le numéro un du Parti socialiste avait choisi de participer à une commémoration communale à Fouquières-lez-Lens, à 8h30, soit deux heures avant la cérémonie «phare» à la nécropole de Méricourt. Le premier secrétaire du PS a évoqué la puissance des compagnies minières dans le contexte de 1906: «On a rouvert des puits (NDLR : pour les exploiter) alors qu’il y avait des hommes dessous qui cherchaient la lumière.» Pour François Hollande, cet hommage aux «martyrs » ne doit pas s’arrêter là. «C’est dur aujourd’hui de trouver un travail digne», a-t-il déclaré face aux nouvelles mesures du gouvernement. Le député de Corrèze était accompagné d’une importante délégation emmenée par la fédération socialiste du Pas-de-Calais: Jack Lang, Daniel Percheron, Serge Janquin, Jean-Pierre Kucheida… Un PS en force à Fouquières avant de se fondre dans la manifestation de Méricourt.

À 6h34, les sirènes

Autre lieu, autre famille. À Méricourt, où le maire avait convié Marie-George Buffet, secrétaire nationale du Parti communiste, et Bernard Thibault, celui de la CGT, c’est à 6h34, au retentissement des sirènes, comme il y a cent ans, que la commémoration a débuté. Au menu, un briquet partagé avec les tiots des écoles, un hommage aux galibots au cimetière, l’inauguration d’un chemin, baptisé Ricq, du nom d’un mineur syndicaliste qui s’était, le 10mars 1906, violemment querellé avec les ingénieurs de la compagnie de Courrières, pour que les mineurs ne descendent pas. En vain. Il est parti courageusement sauver 17 de ses camarades: Clemenceau avait voulu lui décerner la Légion d’honneur. Refus, «pour ne pas être classé parmi les voleurs et les assassins».
Un courage qui aura d’abord incité les deux leaders à faire preuve de respect, Marie-George Buffet en tête: «J’ai envie de faire silence, pour honorer ces vies brisées, ces vies volées. Faire silence, pour se faire petit devant ces gueules noires, devant ces 1099 crimes commis par les puissants.» Avant de partir au charbon. Bernard Thibault pour souligner que «ces événements conservent toute leur actualité, en ce que les patrons ne respectent toujours pas aujourd’hui leur devoir d’écoute»; Marie-George Buffet pour vilipender: «Le temps de la mine, la droite et le patronat veulent y revenir. Qu’ils prennent garde de ne pas réveiller en même temps la solidarité de ceux et celles qu’ils veulent écraser sous la semelle de leurs bottes.»
Avant de couper le ruban du Parcours des rescapés, Otello Troni, président de l’Association 10mars 1906, a fait un rappel des événements. Aux explications techniques des historiens, il préféra celle des syndicalistes de l’époque. Le feu dans la veine Cécile, les recommandations du délégué-mineur Pierre Simon, dit Ricq. «Ceux qui descendirent étaient des condamnés à mort», martela-t-il. Il fit réfléchir, enfin, en rappelant que des hommes continuent et continueront de se battre au travail et pour leur travail.
Avant d’emprunter ce chemin jusqu’à l’espace Léon-Delfosse – où Bruno Troni, maire de Billy-Montigny, Daniel Percheron, président du conseil régional et Michel Vancaille, président de la CommunAupole de Lens-Liévin prononcèrent les dernières allocutions –, le député Jean-Pierre Kucheida, président de l’association des communes minières de France, a fustigé la soif de profit des actionnaires de l’époque. Un siècle est passé, la lutte des hommes pour le travail fait toujours l’actualité.
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MINEUR DE FOND 28

Publié à 12:01 par georgessylviemarie
MINEUR DE FOND 28
L'Canchon-Dormoire

Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin
Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main.

Ainsi l'aut' jour, eun pauv' dintelière,
In amiclotant sin p'tit garchon
Qui d'puis trois quarts d'heure, n'faijot qu'braire,
Tâchot d'lindormir par eun' canchon.
Ell' li dijot: Min Narcisse,
D'main t'aras du pain d'épice
Du chuc à gogo
Si t'es sache et qu'te fais dodo.

Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin
Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main.

Et si te m'laich eun'bonn' semaine,
J'irai dégager tin biau sarau,
Tin patalon d'drap, tin gilet d'laine
Comme un p'tit milord te s'ras farau
J't'acaterai, l'jour de l'ducasse
Un porichinel cocasse,
Un turlutu,
Pour jouer l'air du capiau-pointu.

Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin
Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main

Nous irons dins l'cour Jeannette-à-Vaques,
Vir les marionnett's. Comme te riras,
Quand t'intindras dire: un coups pou Jacques
Pà d'porichinel qui parl' magas.
Te li mettra din s'menotte,
au lieu d'doupe, un rond d'carotte
it'dira merci
Pins' comme nous arons du plaisi

Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin
Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main

Et si par hasard sin maite s'fâche,
Ch'est alors Narcisse; que nous rirons!
sans n'avoir invi', j'prindrai m'nair mache
J'li dirai sin nom et ses sournoms,
J'li dirai des faribolles
I m'in répondra des drôles;
Infin un chacun
Vera deux pesta'c au lieu d'un

Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin
Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main

Allons serr' tes yeux, dors min bonhomme
J'vas dire eun' prière à P'tit-Jésus
Pou'qui vienne ichi, pindant tin somme,
T'fair' rêver qu'j'ai les mains plein d'écus,
Pour qu'i t'apporte eun'coquille,
Avec du chirop qui guile
Tout l'long d'tin minton
Te pourlèqu'ras tros heur's de long

Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin
Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main

L'mos qui vient, d'Saint'Nicolas ch'est l'fête.
Pour sûr, au soir, i viendra t'trouver.
It f'ra un sermon, et t'laich'ra mette
In d'zous du ballot, un grand pannier.
I l'rimplira, si tes sache
d'séquois qui t'rindront bénache,
San cha, sin baudet
T'invoira un grand martinet.

Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin
Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main

Ni les marionnettes, ni l'pain n'épice
N'ont produit d'effet. Mais l'martinet
A vit rappagé l'petit Narcisse,
Qui craignot d'vir arriver l'baudet
Il a dit s'canchon dormoire
S'mèr, l'a mis dins d'nochennoire
A r'pris son coussin,
Et répété vingt fos che r'frain.

Dors min p'tit Quinquin Min p'tit pouchin min gros rojin
Te m'fras du chagrin si te ne dors point ch'qu'à d'main





MINEUR DE FOND 27

Publié à 12:01 par georgessylviemarie
MINEUR DE FOND 27
Le terril de la fosse Ledoux, à Condé sur l'Escaut (59)
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MINEUR DE FOND 26

Publié à 12:01 par georgessylviemarie
MINEUR DE FOND 26
Terril d'Escaudain (59)

MINEUR DE FOND 25

Publié à 12:01 par georgessylviemarie
MINEUR DE FOND 25
La Sainte Barbe, patronne des mineurs, se fête le 4 décembre.

MINEUR DE FOND 24

Publié à 12:01 par georgessylviemarie
MINEUR DE FOND 24
La fosse Enclos à Denain (59),

MINEUR DE FOND 23

Publié à 12:01 par georgessylviemarie
MINEUR DE FOND 23
Chevalement du puits n°9 bis de Oignies (62), avant sa restauration qui a commencé dans les années 90.

MINEUR DE FOND 22

Publié à 12:01 par georgessylviemarie
MINEUR DE FOND 22
Le chevalement du Sarteau (entre Fresnes-sur-L'Escaut et Condé-sur-l'Escaut 59), s'est refait une beauté en 2006. C'est le plus ancien chevalement du Nord, en briques (construit en 1823).

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