ANCIEN MINEUR
Publié à 12:00 par georgessylviemarie
UN PEU DE TOUT SUR LES MINEURS
JE V CREE UNE NOUVELLE RUBRIQUE DETAILLER SUR LA VIE DES MINEURS
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Casque de mineur de fond (utilisé surtout avec mes "singlespeed" non équipés en lumières)
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SUPER NON?????????????????????
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«Marthe s'impatiente !... Elle sert les mineurs au Café alors que Jean en oublie son tour ! ... Il est si fier de son jardin. En ce mois d'avril, il plante l'échalote avec ses gros doigts, parle avec le voisin.Les communautés polonaises s'étendent dans le Nord/Pas-de-Calais. Elles dynamisent leurs activités culturelles et la pratique du culte.Les Sokols, les chorales et les formations musicales fleurissent. Devant la dureté du labeur, voilà le plaisir de se retrouver ensemble avec gaieté : même langue, tradition et identité !Les instituteurs viennent-ils ? A la mine, les accident sont nombreux. La rage grandit ! On opère les expulsions.La grande famille Smarzyk est installée. François dévale, mais il mène aussi les oies au risque d'avoir un procès. L'hiver, il attrape les oiseaux avec son petit frère Joseph !Des trieuses se plaignent au Consulat. Les salaires sont en-dessous du seuil légal.Marthe a 12 ans. Elle quitte l'école où elle se rend le soir avec les voisines, pour débuter à la mine. Elle est fière d'être trieuse, comme Maria sa soeur ! Au retour, Françoise lui réchauffe les mains gelées, pleines de gerçures. Les pieds sont insensibles. Grâce aux frères et soeurs déjà embauchés à la Compagnie, elle aura une meilleure place !Thérèse qui s'y trouve déjà, va subir les harcèlements de la part de Zéda.La famille va connaître deux mariages et aura des bras en moins. Walenty craint de perdre son logement !On observe l'industrie allemande et la Rationalisation du travail apparaîtLa parole est donnée aux mineurs et ouvrières, anciennes trieuses de charbon: Johanna Mroz, Elisabeth Luszka, Thérèse Smarzyk...Au Pays minier, les mineurs polonais, les trieuses de 12 ans, Martha et Thérèsa est un livre essentiel, bien documenté.(suite de Les Mineurs polonais, après 14-18, Walenty et Marianna et leurs 8 enfants.)L' auteur, Patrice Dufossé-Rybka, est d'origine polonaise par sa mère.
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Il y a des mineurs de fond à la campagne... Avec ma Renault 5, je suis parti à leur rencontre. J'emprunte la ligne d'autobus des Gueules noires, à travers le Nord et le Pas-de-Calais. Le cadre de vie bucolique, me dépayse !Je parle avec Jean-Pierre Désongnis, Louis Tonelle, passionné par les rosiers et les géraniums, Léon Olivier surnommé ch'Roux, Octave Morel et son chien Canelle... Ils évoquent Adamo, l'mineur cinteux, Jean Corrette l'chiffloteux. Les ouvriers du charbon à la retraite, rencontrés ici, allèrent au puits en autocar. Les plus jeunes ont fini leurs années à l'usine automobile. Ils vivent en toute quiétude, cultivent leur jardin ou s'ils ont la santé, chantent à la chorale. A 15 ans, a-t-on vraiment choisi entre la vie agricole et la descente aux enfers ? Leur père dévalait déjà, y allait en bicyclette, en camion après la Libération. Et les chauffeurs, Paul le pionnier, Louis Tellier et René Véret, l'débrouillard ! En parlant, chacun demandait les nouvelles de l'autre qu'il n'avait plus vu !Mon rêve est qu'à travers leurs yeux, je réussisse à recouvrir les couleurs des cars, garées dans la mémoire. L'autobus des Gueules noires, est un livre nourri de témoignages exceptionnels et d'anecdotes cocasses, proposés spontanément par d'anciens mineurs dont le travail dépendait du passage d'un autobus.«Imprégné par les paysages, j'ai pu voyager dans l'autobus, écouter la chanson Mélanie. C'est un devoir de mémoire exceptionnel !!»
Publié à 12:00 par georgessylviemarie
«Un dimanche sur deux, nous ne travaillions pas. C'était la décision des Allemands sous l'Occupation. Le dimanche de repos, on faisait la grasse matinée -, on allait au champ avant le dîner. Notre repas : un pot au feu avec un morceau de bœuf ! Ou bien, un lapin aux haricots ! Et chez nous, une bouteille de vin mais pas d'apéritif !
Certains dimanche après-midi, grand-père et les frères viennent faire une partie de cartes. Les femmes discutent entre elles, de choses et d'autres, en prenant une tasse de café. Les parties de cartes sont souvent entrecoupées de discussions sur la mine. Vous pensez ! Avec quatre porions, c'est inévitable ! Et le soir, chacun rentre chez soi pour reprendre le travail du lundi...
... Je rapporte ma quinzaine à mes parents, c'est comme ça.
Joseph Mascart, ancien mineur et agent de maîtrise, a pris le crayon et collecter des photos vers 1976. Il témoigne avec passion dans ses notes éditées : «Mineur de fond, de père en fils». Sa vie est bercée par le travail, exercé avant lui par ses grands-parents dès 1889, ses oncles, ses parents : de galibot, au poste de contremaître !
Souvenirs en photos, l'auteur parle du vécu à la cité, l'Occupation allemande... mais surtout du travail, des installations minières, des techniques d'exploitation, de la formation du charbon...
Pour ceux qui souhaitent comprendre le milieu de la mine.