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Par Anonyme, le 25.07.2021
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Par Anonyme, le 25.07.2021
merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
Par Stéphane, le 23.06.2021
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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Laissons Dieu nous parler dès notre réveil, afin d’être un encouragement pour notre entourage. Si nous sentons que les circonstances de la vie ont endormi notre coeur et nos oreilles, laissons Sa parole nous réveiller de cette torpeur !
« Cette génération est une génération mauvaise : elle cherche un signe, mais en fait de signe il ne lui sera donné que le signe de Jonas. Car Jonas a été un signe pour les habitants de Ninive ; il en sera de même avec le Fils de l’homme pour cette génération. » Lc 11, 29-32
Les foules qui s’amassent demandent un signe, ce que Jésus leur refuse. Pourtant, dans l’évangile d’hier, quand les disciples demandent à Jésus de leur apprendre à prier, ce dernier répond positivement. Pourquoi deux réponses différentes ?
Dans l’évangile du jour, les foules font une demande sans vraiment la prendre au sérieux. Leur « demande » n’en est pas réellement une. Du signe qu’ils « demandent », ils veulent que celui-ci leur ressemble, c’est-à-dire les conforte dans leur manière d’être et d’agir. Si ce n’est pas le cas, ils ne le reconnaitront pas comme un signe venant de Dieu. Ce qui est dénoncé ici, c’est l’arrogance dont ils font preuve en refusant d’écouter ce qui leur est annoncé par la Parole.
Ne m’arrive-t-il pas, d’exiger de Dieu certaines choses ? Suis-je disposé à écouter, quand bien même la parole entendue « ne me fait pas plaisir » ?
A partir du signe de Jonas, la foule est invitée à accueillir ce que Dieu veut lui dire pour la ramener à lui.Pour cela, il faut avoir l’intention sincère et droite de se mettre en chemin. Même si le chemin proposé, en ce temps de Carême, paraît long ou que nous nous sentons loin de Dieu, il ne faut pas passer à côté. Les habitants de Ninive, eux, ont bien perçu que le signe donné ne doit pas rester quelque chose d’extérieur à celui qui le perçoit, mais qu’il doit l’habiter, en vue d’un réajustement à Dieu. Le signe de Jonas se veut être un modèle du changement qui s’opère en ce moment même dans de nombreuses nations. Aussi cette génération est-elle aussi invitée à se convertir, de peur de se trouver en décalage avec le monde qui, lui, tend vers Dieu. Soyons donc attentifs à ce que notre temps de carême soit une démarche sérieuse, où nous laisserons Dieu nous montrer le chemin à arpenter pour retourner vers lui.
Axe d’effort pour aujourd'hui
Seigneur, permets que chacun de tes enfants se laisse toucher en écoutant ta parole et en la mettant en pratique et qu’ainsi il réponde librement au bonheur que tu veux pour lui.
Alors que les jours avancent, élargissons nos moyens d’expression pour exprimer notre reconnaissance au Seigneur. Afin de ne pas nous relâcher dans notre attitude de prière et d’écoute, dirigeons nos regards vers le Dieu qui ressource et restaure.
As-tu un moyen d'expression préféré pour dire "merci" à Dieu ? Le loues-tu avec des mots, des sons, des couleurs, des actes ?
« Demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira. En effet, quiconque demande reçoit ; qui cherche trouve ; à qui frappe, on ouvrira.» Mt 7, 7-12
En ce temps de Carême, l’évangile du jour nous invite à nous tourner résolument vers le Seigneur Notre Père, un père plein d’amour … débordant d’amour ! Dans ce mouvement d’amour infini, il a décidé de respecter, avec une incroyable douceur et délicatesse, notre liberté. Il nous laisse venir à Lui à notre rythme. D’une certaine manière, le Père veut nous prendre dans son mouvement d’amour, mais uniquement avec notre consentement, uniquement si nous passons à l’action, si nous « nous bougeons ».
Pour cela, l’Ecriture du jour, au verset 7, nous invite à « demander », à « chercher », à « frapper à la porte » ! Au verset 8, Notre Père nous assure que nos recherches et nos demandes ne seront pas vaines. Le Père assure de « bonnes choses » à ceux qui les lui demanderont, comme un bon père donnera à son fils qui lui demande quelque chose.
Alors, osons lui demander ce qui nous tient à cœur. N’ayons pas peur de le chercher, de le déranger, car Notre Père le Seigneur est là. Il nous attend. Il veut et peut tout pour nous. Le Père nous invite à faire confiance à son infinie bonté. Il nous demande de nous tourner avec confiance vers Lui, le seul qui peut tout pour nous.
Seigneur nous te demandons de nombreuses vocations sacerdotales et religieuses !
Merci Seigneur.
Chaque jour, dans nos défis comme dans nos joies, nous pouvons nous appuyer sur Dieu. Il promet de nous conduire dans la voie de la justice. Prenons aujourd’hui un temps pour réfléchir à la manière dont Dieu agit en nous et pour lui remettre dans la prière ce qui nous occupe.
«Tout homme qui se met en colère contre son frère devra passer en jugement. Si quelqu’un insulte son frère, il devra passer devant le tribunal. Si quelqu’un le traite de fou, il sera passible de la géhenne de feu. Donc, lorsque tu vas présenter ton offrande à l’autel, si, là, tu te souviens que ton frère a quelque chose contre toi, laisse ton offrande, là, devant l’autel, va d’abord te réconcilier avec ton frère, et ensuite viens présenter ton offrande. » Mt 5, 20-26
Le Carême est, nous le savons, un temps privilégié de pénitence et de conversion, que nous propose l’Eglise pour nous préparer à célébrer la Résurrection de notre Seigneur à Pâques. Du coup, c’est aussi la période où fleurissent (normalement dans le secret) les « bonnes résolutions » qui marquent concrètement cette démarche spirituelle de retour à Dieu, que nous désirons (re)mettre au centre de nos vies. Passer plus de temps en oraison, moins forcer sur le chocolat reçu pendant les fêtes de Noël, enfermer son paquet de cigarettes à double-tour pour s’en sevrer quarante jours durant ou encore se limiter héroïquement à un repas frugal par jour… A chacun sa formule ! Cependant, si ces mesures « disciplino-spirituelles » ne sont pas mauvaises en soi et peuvent nourrir positivement notre séjour au désert avec le Christ, elles peuvent également se transformer en petits défis personnels à relever, à la seule force du poignet… Aussi, le Christ nous donne-t-il une piste dans l’Evangile d’aujourd’hui. Il ne s’agit pas ici d’une énième privation alimentaire ou d’un objectif à atteindre : c’est sur la qualité de nos relations fraternelles qu’Il nous interpelle. Où en sommes-nous sur ce point ? Nous affirmons aimer Dieu ! Très bien ! Mais notre prochain ? Qu’il faille l’aimer, notre intellect l’a bien compris mais le passage de la théorie à la pratique s’avère bien souvent très difficile… Or, comme le disait St Paul, « Si je n’ai pas la charité, je ne suis rien » (I Cor 13,2). Arriver à Pâques en ayant vérifié notre petite liste de résolutions et nous présenter ainsi devant l’autel avec le sentiment du devoir accompli, c’est bien. Mais si cela s’est fait au détriment de l’amour fraternel, sincère et véritable, auquel Jésus nous invite, nous serons passés complètement à côté. Alors, disponibles à l’appel de notre Seigneur, laissons nos objectifs de côté et tâchons d’aimer de l’Amour même de Dieu, sans calculs, sans intérêts, sans insultes ni sélection. Que par notre Amour, notre justice puisse surpasser « celle des Scribes et des Pharisiens ». Alors, nous serons plus à même de nous présenter devant notre Dieu, d’un cœur renouvelé et purifié. A tous, je nous souhaite une belle conversion !
Axe d’effort pour aujourd'hui :
Tous, que ce soit au séminaire, au travail ou en famille, nous sommes confrontés aux difficultés et aux exigences de la vie fraternelle à laquelle notre Seigneur nous appelle. Il est si facile d’en arriver à insulter son frère ou à le mépriser, sans que cela nous empêche de nous présenter ensuite devant l’autel. Normal ! Pourtant, prier pour les frères et sœurs avec lesquelles nous sommes brouillés ne suffit pas. Aujourd’hui, laissons résonner en nous les mots mêmes de Jésus, prenons notre courage à deux mains, rejetons bien loin de nous notre orgueil et notre fierté et allons à la rencontre de ceux que nous peinons à aimer. Quelques mots, un petit geste, une attention… Peu importe, tant que cela se vit d’un cœur sincère et sans faux-semblants. Bon Carême à tous !
« Père Très-Saint, Toi qui a consacré et envoyé Ton Fils Jésus Christ dans le Monde pour qu’Il accomplisse tes œuvres afin que tous, nous croyions, Suscite à Sa suite, dans le cœur de ceux des fidèles que Tu appelles, le désir de te consacrer leur vie dans le ministère sacerdotal. Permets leur de Te répondre avec générosité et confiance, donne-nous de saints prêtres entièrement offerts à Jésus pour que Tes œuvres se poursuivent en Eglise et que « beaucoup croient en Toi ».
Nous te le demandons par Jésus Christ notre Seigneur, dans l’Esprit Saint. Amen »
Aujourd’hui, Dieu nous lance un défi: dépendre de Lui pour notre nécessaire au point de ne pas nous faire de soucis. Sommes-nous prêts à Lui accorder cette confiance inconditionnelle? Apprenons à nous cacher en Dieu (Ésaïe 49:2) lorsque la peur du manque nous assaille.
En ce temps-là, Jésus prend avec lui Pierre, Jacques et Jean, et les emmène, eux seuls, à l’écart sur une haute montagne. Et il fut transfiguré devant eux.Ses vêtements devinrent resplendissants, d’une blancheur telle que personne sur terre ne peut obtenir une blancheur pareille.Élie leur apparut avec Moïse, et tous deux s’entretenaient avec Jésus.Pierre alors prend la parole et dit à Jésus : « Rabbi, il est bon que nous soyons ici ! Dressons donc trois tentes : une pour toi, une pour Moïse, et une pour Élie. »De fait, Pierre ne savait que dire, tant leur frayeur était grande.Survint une nuée qui les couvrit de son ombre, et de la nuée une voix se fit entendre : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé : écoutez-le ! »Soudain, regardant tout autour, ils ne virent plus que Jésus seul avec eux.Ils descendirent de la montagne, et Jésus leur ordonna de ne raconter à personne ce qu’ils avaient vu, avant que le Fils de l’homme soit ressuscité d’entre les morts.Et ils restèrent fermement attachés à cette parole, tout en se demandant entre eux ce que voulait dire : « ressusciter d’entre les morts »
Dans l’Évangile de ce jour, il est question du « Fils ». Jésus emmène ses disciples sur une haute montagne pour un temps de prière. Et c’est le récit de la Transfiguration. Les disciples voudraient s’installer dans ce bonheur. Mais voilà que la voix du Père vient les ramener à la réalité : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-le ! » Aujourd’hui, vous voyez son visage transfiguré. Dans quelques jours, vous le verrez défiguré. Écoutez-le. Faites lui confiance quoi qu’il arrive.
Vivre le Carême c’est donc « écouter le Fils bien-aimé ». Cette parole qu’il faut écouter, nous pouvons la trouver chaque jour dans les Évangiles. Aujourd’hui, il nous invite à le suivre sur la « montagne ». Il veut nous aider à prendre de la hauteur par rapport à nos soucis de tous les jours. La voix du Père se fait entendre pour nous apprendre à voir les choses différemment. Il n’est plus question de s’installer. Dieu ne se laisse pas enfermer dans une maison. Ces tentes dont nous parle l’Évangile, il faut les construire dans le monde, dans les cœurs endurcis des humains, dans la vie ordinaire de tous les jours. C’est là, au cœur de ce monde, que Dieu veut faire sa demeure.
Malheureusement, ce monde que Dieu veut habiter se trouve défiguré par les guerres, les violences, les massacres, l’intolérance. Les pauvres et les exclus y sont de plus en plus nombreux. C’est ce monde que Dieu veut habiter. Il compte sur nous pour lui construire une demeure digne de lui. Cette beauté qui est en lui, Jésus, le Fils bien-aimé du Père veut nous en revêtir en nous faisant partager sa divinité.
Tout au long de ce Carême, nous sommes invités à remettre le Christ au centre de nos vies. Lui seul peut nous transfigurer. « Toi, Seigneur, qui es lumière, toi qui es l’Amour, mets en nos ténèbres ton Esprit d’amour. » Amen !
Source:Dimanche prochain
Bon Dimanche à tous
que Dieu nous donne la force
de son esprit saint pour continuer
notre marche vers Pâques,
que nous puissions tenir les engagements pris
afin d'être renouvelé pour entrer dans une vie
nouvelle avec Jésus.
Dieu pourvoit à nos besoins quotidiens; Il nous donne aussi une conscience pour user avec discernement des bienfaits matériels. Mais gare à la comparaison! Qui sommes-nous pour juger ou mépriser notre prochain alors que Dieu l’accueille ?