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Par Anonyme, le 25.07.2021
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Par Anonyme, le 25.07.2021
merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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« Ché bin l’fiu d’sin père ! »
Voilà une expression picarde à laquelle je pense en parcourant cet extrait de l’Evangile ! Une remarque comme nous en entendons souvent dans nos villages à propos d’une personne présentant des traits communs avec un de ses parents proches : « C’est bien le fils d’un tel…C’est bien le fils de son père ! » Une attitude, un parler, une présence dans le monde (parfois le fruit d’un patient apprentissage fait d’écoute, d’observation, d’imitation…) qui peut se transmettre de père en fils.
Oui, avec cet extrait de l’Evangile, nous pouvons penser à un proverbe familial ! Nous lisons bien : « le Fils ne peut rien faire de lui-même, il fait seulement ce qu’il voit faire par le Père ». Cependant, ici, Jésus évoque son rapport unique à Dieu son Père, un rapport d’amour et d’obéissance, un don de soi qui montre déjà son identité, l’engagement total de ce qu’il est au service de l’humanité.
Hier dans le récit, il nous était rapporté une guérison faite par Jésus. Aujourd’hui, nous avons la suite. A partir de là, son comportement est justifié et c’est l’évènement dans la vie locale. L’œuvre de Jésus, étroitement liée à celle du Père, fournit des informations inouïes sur cet homme qui est aussi de nature divine. Il se fait « l’égal de Dieu » parce qu’il L’est. C’est bien le Fils de son Père ! Du coup, il peut beaucoup pour nous ! Il nous parle de lui, mais surtout de nous tous. Nous pouvons bénéficier de ses pouvoirs si nous écoutons sa voix. Si nous nous mettons bien à l’école de la Parole de Dieu, nous pourrons être dynamisés, transformés en une belle œuvre qui dure et entrer, dès maintenant, dans l’abondante vie promise.
Avec Jésus le Fils de Dieu, apprenons du Père, laissons-nous éduquer par son amour et être de véritables fils, ses enfants rayonnants, ceux que l’on reconnaîtra comme tels au matin de Pâques ! Alors, si nous allons du côté d’Amiens, peut-être que nous pourrons nous entendre dire d’une certaine façon : « Ché bin l’fiu d’sin père ! ». Amen !
Notre Père du Ciel, envoie des ouvriers à ta moisson, afin que nous ayons toujours des prêtres qui nous donnent les sacrements, nous expliquent l’Evangile du Christ, et nous enseignent à devenir tes véritables enfants. Amen !
Ce verset nous invite à tourner nos regards vers le Roi éternel, vers le Dieu qui ne change pas. Quel que soit notre état d’esprit, quelle que soit notre situation, Dieu reste toujours le même: quel réconfort !
Pour la solennité de Saint Joseph, la liturgie nous donne à méditer un texte duquel Joseph semble absent. Son nom n’est pas mentionné, il est compris dans « ses parents » et « ils ». Il se tait, tandis que c’est Marie qui prend la parole. Quand au cœur du récit, c’est bien-sûr Jésus qui s’y trouve.A vrai dire, Joseph ne prend la parole à aucun moment dans l’Ecriture. Que ce soit lorsque l’ange du Seigneur vient lui dire de ne pas craindre de prendre Marie chez lui, à la naissance de Jésus, pour fuir en Egypte ou revenir en Palestine, ou encore dans le passage d’aujourd’hui, il se tait. Joseph est un homme discret. Il a une foi à déplacer les montagnes, il ne pose aucune question.Marie formule ses craintes, ses incompréhensions, ses doutes. Peut-être que l’instinct maternel prend le dessus ; après tout, c’est elle qui a porté Jésus en elle, qui lui a donné naissance.
Joseph, lui, fait confiance et obéit sans dire un mot. Le Seigneur lui a confié une tâche : il l’accomplit discrètement, humblement. Il n’en retire pas d’orgueil. Il aurait pourtant toutes les raisons du monde de le faire. Il pourrait tirer la couverture à lui. Mais il reste dans l’ombre. Il va passer trente ans à éduquer Jésus, à l’accompagner, à l’aider à grandir, à se former. Sa récompense, il le sait, se trouve dans les cieux.
Axe d’effort pour aujourd'hui
En période de Carême, il est souvent aisé de se glorifier pour les jeûnes que l’on entreprend, nos « bonnes résolutions », en espérant que nos proches et nos amis nous regardent avec admiration. Souvenons-nous de Saint Joseph, cet homme discret, qui accomplissait la volonté de Dieu en toute humilité, en sachant que sa récompense ne se trouvait pas parmi les hommes, mais bien dans le Royaume des cieux.
Par l’intercession de Saint Joseph, nous te prions Seigneur de susciter des vocations sacerdotales. Qu’à l’image de Saint Joseph, de nombreux jeunes répondent à ton appel, en ayant le désir de te servir humblement, en se décentrant d’eux-mêmes pour orienter tout homme vers toi, tout en découvrant la joie qu’il y a à te faire confiance.
Dans l’ordre des choses, le soir apporte la nuit. Mais rien n’est impossible à l’Éternel: Il peut faire briller la lumière à toute heure. Quand nous vivons des jours sombres, rappelons-nous cette promesse lumineuse du règne de Dieu annoncée par le prophète Zacharie.
Voici Marie qui arrive au Temple pour la Présentation, elle donne l’enfant Jésus à Syméon qui le prend et le serre dans ses bras. Et voici qu’aujourd’hui, elle le tend à chacun de nous, prenons-le et serrons-le sur notre cœur. Alors avec Syméon, le cœur plein de joie, nous pourrons dire :“Mes yeux ont vu mon Sauveur et mon Dieu !” Et nous pourrons rester là, dans un cœur à cœur où l’enfant deviendra notre maître. Mais Marie nous rappelle que son geste, nous aurons à le faire nôtre, car l’enfant, nous ne pourrons le garder pour nous, il faut le donner à nos frères et mystérieusement, plus nous le donnerons, plus nous vivrons dans son intimité. Expérimentons cela pendant ce temps du carême.
Jésus monte à Jérusalem pour la fête, « non pas ostensiblement, mais en secret ». Parfois nous sommes tenté d’utiliser Jésus comme un étendard, c’est une tentation qu’ont eue les disciples en demandant à Jésus de venir avec eux à Jérusalem. Les disciples voulaient profiter de la fête pour montrer Jésus au peuple rassemblé. Mais Jésus n’est porté que par son Père, et c’est Jésus qui portera l’humanité sur le bois de la Croix. Il ne fait que la volonté de son Père et non celle des hommes. Aujourd’hui encore, nous pouvons croire que c’est nous qui invitons Jésus dans nos vies, nous pouvons être tenté de le porter comme un insigne que l’on retire quand bon nous semble. Mais c’est Jésus qui s’invite dans nos vies comme il s’invite à la fête à Jérusalem. Il enseigne au Temple seul devant la foule, là où personne ne s’attend à le voir tout comme il s’adresse à nous parfois là où on ne s’attend pas à le trouver.
Certains pensent le connaître parce qu’ils savent d’où il vient. Mais il ne se pose pas la bonne question, la seule qui compte vraiment : non pas d’où mais de qui il vient. C’est ce que révèle Jésus, sa véritable origine qui n’est pas un lieu mais une personne, le Père. Et cette origine personne ne peut la connaître si ce n’est celui qui est envoyé. C’est ainsi que personne ne peut connaître le Père sans que le Fils ne le révèle. Parce qu’ils ont enfermé le Christ dans des schémas trop humain, ils n’ont pas su le reconnaître en Jésus. De même aujourd’hui, à la lecture de cet évangile, nous sommes appelés à ne pas faire la même erreur…
Seigneur, aujourd’hui comme hier, tu appelles des disciples à suivre ton Fils. Mets dans leurs cœurs assez de foi et de charité pour répondre à ton amour. Que ton Esprit les soutienne dans la mission qui les attend, pour ta plus grande gloire.
Sommes-nous sereins, confiants ? Louons Dieu pour ses bénédictions dans notre existence. Sommes-nous inquiets, anxieux ? Rappelons-nous que seul l’Éternel nous donne la sécurité dans notre demeure. Oui, il ne sommeille ni ne dort, Celui qui nous garde (Psaume 121).
En ce temps-là, il y avait quelques Grecs parmi ceux qui étaient montés à Jérusalem pour adorer Dieu pendant la fête de la Pâque.
Ils abordèrent Philippe, qui était de Bethsaïde en Galilée, et lui firent cette demande : « Nous voudrions voir Jésus. »Philippe va le dire à André, et tous deux vont le dire à Jésus.Alors Jésus leur déclare : « L’heure est venue où le Fils de l’homme doit être glorifié.Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit.Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle.Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive ; et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera.Maintenant mon âme est bouleversée. Que vais-je dire ? “Père, sauve-moi de cette heure” ? – Mais non ! C’est pour cela que je suis parvenu à cette heure-ci !Père, glorifie ton nom ! » Alors, du ciel vint une voix qui disait : « Je l’ai glorifié et je le glorifierai encore. »En l’entendant, la foule qui se tenait là disait que c’était un coup de tonnerre. D’autres disaient : « C’est un ange qui lui a parlé. »Mais Jésus leur répondit : « Ce n’est pas pour moi qu’il y a eu cette voix, mais pour vous.Maintenant a lieu le jugement de ce monde ; maintenant le prince de ce monde va être jeté dehors ;et moi, quand j’aurai été élevé de terre, j’attirerai à moi tous les hommes. »Il signifiait par là de quel genre de mort il allait mourir.
Tout au long de ce Carême, nous entendons des appels à réorienter notre vie vers le Christ : « Changez vos cœurs, croyez à la bonne nouvelle… Revenez à moi de tout votre cœur… Laissez-vous réconcilier… » Dimanche dernier, nous étions invités à tourner notre regard vers la croix du Christ Sauveur. C’est en lui que se trouve notre salut. Le grand projet de Dieu c’est d’apporter son salut à tous les hommes. L’Évangile nous montre que la promesse annoncée est en train de se réaliser. Des grecs venus à Jérusalem désirent voir Jésus. Ces grecs, ce sont des étrangers. Ils nous font penser aux mages venus d’Orient pour se prosterner devant lui. C’est une manière de dire que la bonne nouvelle annoncée par le prophète n’est pas réservée aux seuls membres de son peuple. Elle est offerte à tous les hommes de tous les pays et de toutes les générations.
En réponse, Jésus leur propose de le voir dans sa gloire. Et sa gloire, c’est la croix. Nous allons entrer dans la grande Semaine Sainte. C’est l’heure que Jésus attend depuis le début de sa mission. Ces grecs vont voir un homme comme les autres hommes, affreusement bouleversé de perdre sa vie. Ils verront la mort de Celui qui est l’auteur de la vie, un homme élevé au-dessus de tous et cloué sur une croix. Ce Jésus élevé de terre connaîtra la gloire puisqu’il attirera tous les hommes à lui.
« Nous voudrions voir Jésus ».Je pense à cette question d’un enfant du catéchisme : « Comment on sait qu’il existe puisqu’on ne l’a jamais vu ? » C’est vrai, nous ne le voyons pas, mais nous faisons confiance aux apôtres qui l’ont vu ressuscité et qui ont donné leur vie pour lui. Lui-même nous assure de sa présence tous les jours et jusqu’à la fin du monde. Il rejoint les communautés qui se réunissent pour prier, écouter sa Parole et célébrer l’Eucharistie. Il est également présent à travers le petit, le pauvre, l’exclu que nous rencontrons sur notre route.
Nous voudrions voir Jésus… Oui, c’est vrai. Mais c’est surtout lui qui voudrait nous voir et nous attirer à lui. Or trop souvent, c’est nous qui lui tournons le dos. C’est ce qui se passe chaque fois que nous organisons notre vie en dehors de lui. Nous n’accueillons pas l’amour qui est en lui. Nous voyons bien ce que cela donne. Nous assistons à des conflits qui n’en finissent pas de durcir les cœurs. Nous avons besoin de quelqu’un qui nous aide à sortir de la logique de la rancune et de la haine. Seul Jésus peut nous apprendre à aimer comme lui et à pardonner. Lui seul peut nous délier du mal.
Alors c’est vrai, cela vaut la peine d’aller à sa rencontre. Avec lui, la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres, aux prisonniers et aux exclus de toute sorte. Il est celui qui fait miséricorde aux pécheurs. Son salut est offert à tous. Lui-même nous dit qu’il n’est pas venu pour juger le monde mais pour le sauver. Son Évangile est un message d’espérance et d’amour qu’il faut proclamer à temps et à contretemps. Mais pour voir Jésus et le rencontrer, il y a une condition : il nous faut aussi aller vers les autres. Nous ne pouvons pas aller au Christ sans eux.
En ce jour, nous te prions Seigneur : Fais-nous découvrir le bonheur qu’il y a à donner sa vie pour ceux qu’on aime. Transforme notre cœur et notre esprit pour que triomphe dans nos vies le désir de te suivre jusqu’au bout. Amen !
Les scribes et les Pharisiens souhaitent mettre à l’épreuve Jésus en lui présentant une femme prise en flagrant délit d’adultère. Ils veulent montrer que son enseignement est incompatible avec la Loi de Moïse ; mais en mettant Dieu à l’épreuve, ils se retrouveront face au dilemme qu’ils ont voulu soumettre au Christ !
« Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il écrivait sur la terre » : la première réponse de Jésus à leur question n’est pas une parole mais un geste silencieux : Jésus s’abaisse, et trace des lettres sur la terre. Jésus nous montre le chemin, il nous demande de « lire » au fond de nous-mêmes, de lire les lettres que Dieu trace en nos cœurs : le critère de décision ne doit plus être seulement la lettre de la Loi mais la voix de Dieu qui résonne dans la conscience.
« Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre » : Jésusnous demande de nous regarder nous-mêmes avant de juger l’autre et de nous souvenir que nous aussi, nous sommes pêcheurs, nous aussi, nous avons besoin d’être guéris. Jésus apporte le remède sur cette terre où cohabitent le péché et la Loi qui le sanctionne : la miséricorde.
« Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus » : Quelle parole de consolation ! Va, c’est à dire reprends ta route mais dans une autre direction, que la miséricorde que tu viens de vivre soit la source d’une véritable conversion. Si la femme appelle Jésus Seigneur, si elle a foi en lui, elle est sûrement sur le bon chemin, celui de la conversion et du témoignage.
Seigneur Jésus, le Père t’a consacré Prêtre éternel et Roi de l’univers afin que tu t’offres toi-même sur l’autel de la Croix en victime pure et pacifique. Pour poursuivre et accomplir les mystères de notre rédemption, tu appelles à ta suite des serviteurs qui annoncent ton Evangile, célèbrent l’Eucharistie et manifestent ta miséricorde. Seigneur, ton peuple entier te rend grâce pour les prêtres que tu lui donnes. Que des jeunes découvrent dans nos communautés la joie de te servir ! Qu’ils reçoivent la force de répondre à ton appel ! Amen !
Pour chacun, la nuit évoque une image différente (fêtes, peurs, rêves, mystères, etc.). En observant plus attentivement, on constate aussi que la nuit évoque le calme et le repos. Peut-être est-ce alors le moment où l’on peut entendre Dieu plus clairement ?
La crainte de Dieu dont parle ce verset n’est pas la peur de s’approcher de Lui, mais plutôt la joie, le respect, l’honneur et la ferme intention de s’attacher à notre Seigneur. Fort de cela, l’auteur des proverbes nous dit que nos nuits seront reposantes et ressourçantes.
Seigneur, je me repose en Toi, même dans mes situations les plus sombres.