>> Toutes les rubriques <<
· Au jour le jour (75)
· Déclaration d'amour (57)
· Saint Valentin (162)
· Mes creas - Jour de la semaine (307)
· Le jour du Seigneur (168)
· Mes creas - Bonne journée (456)
· La vie de l'Eglise (45)
· Gifs dieu nous bénisse (133)
· Carême 2014 Année A (52)
· Carême 2015 Année B (93)
aimer amis amour anges annonce background belle bisous bonjour bonne bonne journée centerblog
Rechercheramen
Par Anonyme, le 25.07.2021
j'aime vraiment ce message
Par Anonyme, le 25.07.2021
merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
Par Stéphane, le 23.06.2021
ma lumière et mon salut c'est le seigneur
Par Anonyme, le 06.06.2021
c'est mon anniversaire
Par Anonyme, le 10.05.2021
· Déclaration d'amour
· Fête st valentin... Poème
· Message d'amour en image
· Poême d'amour
· Merci Seigneur
· Poême d'amour
· Bon Dimanche dans la paix du Christ
· Les 5 préceptes ou commandements de l'église catholique
· St Valentin...Poême
· Bienvenue dans le blog de l'espérance
· Déclaration d'amour
· La prière du Rosaire
· message d'amour
· Neuvaine à St André
· Déclaration d'amour
Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
4342 articles
Toutes ces images sont trouvées sur le net
si une vous appartiens et que vous désirez que je la retire, ecrivez moi
merci
Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux. Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez, et vous serez pardonnés. Donnez, et l’on vous donnera. Luc 6,36-38
La mesure de ma vie réside dans ma capacité aimante et désintéressée à imiter la vie de Jésus. Le Seigneur m’invite à accueillir son humilité d’enfant, sa transparence, sa disponibilité, pour aller à la rencontre de ceux et celles qui attendent cette miséricorde. Mais il me faut d’abord me débarrasser de tous les caractères trop sérieux, rudes et tranchants qui m’étouffent et m’aveuglent et que j’associe bien trop souvent à la sainteté. Maintenant, je désire imiter Jésus par la manière dont il exprime sa miséricorde envers les pécheurs. Jésus n’était pas intéressé par les hommes religieux de son époque, trop arrogants et hypocrites, insensibles envers les pauvres, les malades et les pécheurs. Jésus mangeait avec les pécheurs (Lc 15,2), on parlera de lui comme « un glouton et un ivrogne, un ami des pécheurs » (Lc 7, 34-35). Sans réserve, Jésus a pris soin d’abord des plus faibles, des plus pauvres, des plus opprimés, des pécheurs. Aujourd’hui, il compte beaucoup sur moi pour poursuivre sa mission sans réserve, sans jugement, sans condamnation et avec un amour irréprochable. C’est seulement comme ça, que je pourrai prétendre à la sainteté et être miséricordieux comme mon Père l’est.
Seigneur, écoute la prière de ton Eglise, qui t’implore pour le don de vocations au sacerdoce. Comme Marie et avec elle, enseigne-nous à écouter la voix de ton Fils ! Aide-nous à dire par notre vie : « Me voici, ô Dieu, je viens pour faire ta volonté. »
En ce temps de carême, je vous invite à tourner vos regards vers la Vierge Marie pour la contempler et l’écouter, elle nous révèle un merveilleux chemin de vie chrétienne pour nous aujourd’hui.
Au jour de l’Annonciation, elle a dit “oui”, elle est là, elle écoute, elle est toute disponible pour accueillir le projet de Dieu : “Je suis la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon ta parole”. Pour nous aussi, tout commence par un oui, par une écoute, par une disponibilité totale : “Seigneur, parle, ton serviteur écoute !”. Alors, avec Marie, nous pouvons accueillir le don de Dieu, accueillir Dieu lui-même qui a soif de venir faire sa demeure en nous, de venir prendre chair dans nos vies aujourd’hui. Pendant ce carême, prenons le temps d’accueillir Dieu, donnons-lui carte blanche pour faire en nous tout ce qu’il voudra !
Aujourd’hui, le Seigneur nous invite au discernement et à la contemplation. Discerner comment Dieu s’adresse à moi. Certes les pharisiens recherchent la gloire par l’homme, mais ils sont enseignants de la Loi de Moïse, donnée par Dieu pour faire grandir son peuple. Par l’homme, aussi pécheur qu’il soit, Dieu peut m’interpeller. Contempler le mystère vers lequel nous cheminons. C’est une glorification par Dieu (et non par l’homme), qui nous est donnée en Jésus le Christ. Après sa résurrection, Jésus Christ est monté au ciel avec son corps, lui vrai Dieu et vrai homme. Il y a donc de l’homme en Dieu Trinité : Il me divinise. Cette glorification, Dieu l’opère dans le couple « abaissé, relevé ». A Noël, Dieu se fait petit enfant, dépendant de ses parents, inutile pour la société qui ne le recense pas. A sa mort, Il est sur une croix : la condamnation de l’esclave pour le Romain, la condamnation du maudit par Dieu pour le Juif. Quoi de plus bas aux yeux du monde païen ? Quoi de plus bas aux yeux du monde religieux ? « C’est pourquoi Dieu l’a exalté : il l’a doté du Nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse au ciel, sur terre et aux enfers, et que toute langue proclame : ‘’ Jésus Christ est Seigneur ‘’ à la gloire de Dieu le Père. » (Ph 2,9-11).
Cela, Dieu le veut pour moi. Ma glorification aussi passe par l’abaissement, la mort à moi-même, c’est-à-dire mourir à mes peurs.
Axe d’effort pour aujourd'hui
Seigneur, accorde le don d’intelligence aux jeunes qui discernent l’appel au sacerdoce que tu leur adresses.
Le pain est un aliment de base quotidien. Instinctivement, nous mangeons et buvons pour couvrir nos besoins physiologiques. Mais recherchons-nous tout aussi naturellement la présence de Jésus pour remplir notre «réservoir spirituel» ?
« celui qui veut devenir grand parmi vous sera votre serviteur ; et celui qui veut être parmi vous le premier sera votre esclave. Ainsi, le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir, et donner sa vie en rançon pour la multitude. » Mt 20,17-28
Jésus et ses disciples montent à Jérusalem. Jésus en profite pour faire part à ses disciples de sa Passion, de sa mort et sa Résurrection. Les disciples donnent l’impression de ne pas écouter leur Maître : Ils passent par la médiation de leur mère, qui intercède auprès de Jésus afin qu’ils siègent l’un à sa droite et l’autre à sa gauche, dans son Royaume. Jésus les met à l’épreuve, en leur demandant si ils sont prêts à boire à sa coupe. Cela peut également nous arriver. Nous voulons suivre le Seigneur, mais nous agissons comme si nous n’avions jamais médité ou écouté la Parole de Dieu. Jésus, dans sa pédagogie divine, prend le temps d’expliquer aux disciples ce que signifie le suivre et boire à sa coupe : La croix qu’Il portera, les disciples devront également la porter. Et ne nous arrive-t-il pas de vouloir passer directement à la gloire de Dieu sans passer par la croix ? Mais nous pouvons compter sur le Christ à travers sa pédagogie divine. Dans le carême que nous vivons, le Seigneur nous rappelle qu’il n’y a pas de résurrection sans passage par la croix, par l’apprentissage du pardon et du service auprès des autres. Le Royaume des cieux ne fonctionne pas comme les royaumes terrestres. Au royaume des cieux, « les premiers seront les derniers », nous devons suive l’exemple du Christ Premier Serviteur, venu servir chacun d’entre nous. Pour suivre le Christ, nous devons être des hommes et de femmes de prière et de sacrifice et par conséquent accepter cette dépendance à l’égard du Christ, qui n’est pas un signe de faiblesse, mais signe que nous ne pouvons pas devenir saints sans sa grâce et sans son aide.
Seigneur, ton peuple tout entier te rend grâce pour les prêtres que tu lui donnes. Que des jeunes découvrent dans nos communautés la joie de te servir. Qu’ils reçoivent la force de répondre à ton appel.
Dieu prend soin de nous. Au-delà de nos besoins physiques, Il comble nos «faims» spirituelles: Il l restaure l’âme (Psaume 23:3). Lorsque notre vie passe par un désert, lorsque nous sommes inquiets ou désemparés, rappelons-nous cette magnifique promesse !
Aujourd'hui, invoquons ensemble le Dieu qui change le désert en étang et demandons-lui d'agir en faveur de nos frères et soeurs chrétiens qui traversent d'arides désert.
L’Église nous donne aujourd’hui à méditer un texte que nous avons déjà entendu bien des fois. Mais en vivons-nous aujourd’hui ? Réécoutons Jésus nous parler. S’il ne donne pas de nom au riche, c’est que ce riche est chacun de nous. Peut-être suis-je, comme lui, riche de mes habits plutôt que de revêtir le Christ, ou riche de des repas qui nourrissent mon corps, alors que j’oublie mon âme. Le Pauvre, lui, n’a rien. Pas de quoi manger, sans doute peu de quoi s’habiller. Même son corps est couvert d’ulcères léchés par les chiens. Ulcères physiques mais aussi intérieurs, ceux du regard méprisant des autres, voire de l’absence de regard. Il en est ainsi, jusqu’à ce que Dieu rappelle à lui les deux hommes. Alors tout s’inverse. Le pauvre Lazare monte au ciel porté par les anges, alors que le riche attend sur terre son heure. Le pauvre, qui a passé son existence terrestre à la porte, est maintenant bien loin de lui, riche d’une tout autre richesse. La distance que le riche à lui-même instaurée avec le pauvre sur Terre, il en souffre maintenant. Lorsqu’enfin il songe à ses proches, même si quelqu’un ressuscitait ils ne seraient pas non plus convaincus. Alors que je vais bientôt fêter la Résurrection du Christ, est-ce que je me laisse convaincre ? Suis-je prêt à me libérer de ma richesse matérielle, pour rechercher la richesse du Christ dans la vie éternelle, même au prix des ulcères del’inconfort et du regard des autres, puis à courir au pied de la croix dans l’espérance qu’au soir de ma vie, le Christ me prenne auprès de lui, avec tous ses Pauvres, et que je puisse chanter éternellement la gloire du Ressuscité ?
Ô Père, fais se lever parmi les chrétiens de nombreuses etsaintes vocations au sacerdoce, qui maintiennent la foi vivante et gardent une mémoire pleine de gratitude de ton Fils Jésus, par la prédication de sa Parole et l’administration des sacrements. Fais que l’Eglise accueille avec joie les nombreuses inspirations de l’Esprit, qu’en étant docile à sesenseignements, elle prenne soin des vocations auministère sacerdotal et à la vie consacrée. Soutiens les évêques, les prêtres, les diacres, les consacrés et tous les baptisés dans le Christ, afin qu’ils accomplissent fidèlement leur mission au service de l’Evangile.
Y avons-nous déjà pensé ?Nous réverbérons la lumière duDieu trois fois saint ! Matthieu 5.14-16nous dit en effet que nous sommes lalumière du monde. Qu’est-ce que celaimplique ? Dans les jours à venir,recherchons la face de l’Éternel afin que
notre vie Le célèbre «en tout temps».
Au lendemain de l’Annonciation, Marie se lève et en hâte, elle part chez sa cousine Élisabeth, elle a soif de visiter sa cousine, de partager sa joie avec elle. Dieu vient de s’incarner en elle, immédiatement un mystérieux rayonnement se produit, la présence divine vient toucher Élisabeth, le petit Jean dans son sein se met à danser de joie et il transmet sa joie à sa mère et le souffle de l’Esprit les envahit. Marie, dès l’instant de l’incarnation devient, missionnaire.
Nous aussi, si nous laissons Dieu prendre chair dans nos vies, sa présence non seulement nous habitera, mais rayonnera pour se donner à tous ceux que nous visiterons ; l’Esprit Saint met en œuvre en nous son dynamisme d’amour, sa joie rayonnante. Impossible d’accueillir Jésus sans devenir missionnaire, sans tambour ni trompette, tout simplement par le rayonnement de celui qui nous habite. Pendant ce carême, avec Marie, retrouvons cette joie de la Visitation.
Le Règne de Dieu nous est donné. Par le baptême, nous sommes devenus enfants de Dieu, avec tout ce que cela implique comme grâces, mais aussi comme devoirs. « À qui l’on a beaucoup donné, on demandera beaucoup. »(Lc 12, 48). Or nous avons reçu Dieu Lui-même, nous sommes devenus enfants de Dieu, héritiers avec le Christ, temples de l’Esprit Saint. Souviens-toi, ô chrétien, de ta dignité ! Nous avons tout reçu gratuitement, à l’exemple de ces vignerons. Bien souvent, nous avons l’impression que c’est dur d’être un bon chrétien. Or Dieu ne nous demande pas de grands sacrifices, mais après nous avoir donné son Esprit Saint, il espère nous voir porter des fruits. Et ces fruits, quels sont-ils ? « Amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, fidélité, douceur et maîtrise de soi. » (Ga 5, 22). Voilà un programme qui peut nous conduire toute notre vie. Avant de penser à toutes sortes de mortifications, rendons au Seigneur les fruits qu’il attend de nous, c’est déjà bien assez. Aussi, rendons grâce à Dieu pour le don immense qu’il nous a fait, vivons dans le feu de son amour, portons des fruits dignes des enfants du Très-Haut, de peur qu’un jour, il ne nous adresse cette parole effroyable : « Le royaume de Dieu vous sera enlevé ».
Axe d’effort pour aujourd'hui
Père éternel, envoie ton Esprit sur ceux que tu as appelés à te suivre, afin qu’ils portent beaucoup de fruits pour ta plus grande gloire.