amour ange anges animaux art artiste background bébé belle belle image belles images bonne
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Images pieuses( Tous les Saints) (384)
· Cartes humour (divers) (499)
· Bébés droles (473)
· Peintres et peintures divers (1) (500)
· Peintres et peintures divers (501)
· Images pieuses, icones( la vierge Marie) (420)
· Belles illusts -gifs et images de Noël (1083)
· Enfants en noir et blanc (364)
· Illustrations - Contes et fables divers (412)
· Nature et paysages insolites (390)
mer
Par Anonyme, le 17.06.2025
les 13 miracles de sainte antoine de padoue.
Par Anonyme, le 13.06.2025
et je chante « happy birthday to you »
bonhe urs à gogo !
sincèremen t vôtre.
m.p.
Par Séverine Roi, le 21.05.2025
eh beh jérémy tu fais!!!!
Par Anonyme, le 12.04.2025
je l'aime beaucoup
Par Anonyme, le 31.03.2025
· Poésies de Noël- Le sapin de Noël
· Gif et image de chat
· Poèmes de la Saint Valentin
· Poésie -Le bonhomme de neige
· Poémes(Le paradis des mamans )
· Lady DIANA
· Carte humour de chasseur
· Alice au pays des Merveilles (Disney)
· La Belle au Bois Dormant (Disney)
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Contes de Grimm - Boucles d'Or et les trois ours
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Conte de Perrault - Le petit Poucet
· Lady DIANA
Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Giovanni Boldini
Portrait de Marthe de Florian
Le tableau de Giovanni Boldini (1842-1931) était accroché dans le salon et représente une superbe femme, Marthe de Florian, nimbée dans une robe du soir en mousseline rose pâle.
En reconstituant l'histoire, à partir des nombreux documents trouvés dans l'appartement, "c'était des gens qui ne jetaient rien", les experts sont arrivés à la conclusion que Mme de Florian était ce qu'on appelle à l'époque "une demi-mondaine" ou une cocotte. Actrice de théâtre, Marthe de Florian - un nom d'emprunt-- était d'une beauté exceptionnelle.
Giovanni Boldini
Portrait de Femme
Giovanni Boldini est un peintre italien né à Ferrare (Italie) le 31 décembre 1842 et mort à Paris le 11 janvier 1931.
À l'instar de John Singer Sargent, Giovanni Boldini fut un portraitiste de réputation internationale, travaillant principalement à Paris et à Londres.
Au début du XXe siècle, il était le portraitiste le plus en vue à Paris, avec une réputation égale à celle de Sargent.
Jusqu'en 1923-1924, Boldini produira nus, natures mortes, paysages de Venise, de Rome, de la province française. Sa vue s'affaiblit, et en 1931 il meurt, à 89 ans
Fra Angelico
La descente de Croix
La Descente de Croix (Deposizione dalla Croce ) de Fra Angelico est une peinture exécutée entre 1432 et 1434 pour la sacristie dite chapelle Strozzi de la basilique Santa Trinita. Ce retable polyptyque est conservé et présenté aujourd'hui au public au Musée national de San Marco à Florence.
L'historien de l'art et peintre Giorgio Vasari définit cette œuvre comme « peinte par un saint ou un ange ».
La Descente de Croix ou Déposition de la Croix est un thème de l'iconographie de la peinture chrétienne qui montre le Christ mort sur la Croix que des personnages saints descendent avant sa mise au tombeau. Certaines scènes sont déduites de cette situation comme la Pietà montrant Marie tenant Jésus mort dans ses bras, La Déploration ou les Lamentations sur le Christ mort..
Guido di Pietro, en religion Fra Giovanni (Fra Angelico pour les Français et Beato Angelico pour les Italiens) ou parfois le peintre des Anges (Vicchio di Mugello, en 1387 – Rome, 18 février 1455) est un peintre du Quattrocento de qui Vasari disait qu'il avait un « talent rare et parfait ». Il était connu de ses contemporains comme Fra Giovanni da Fiesole, dans les Vies écrite avant 1555, il était déjà connu comme Giovanni Fra Angelico (Frère Giovanni l'angélique).
Religieux dominicain, il a cherché à associer les principes picturaux de la Renaissance — constructions en perspective et représentation de la figure humaine — avec les vieilles valeurs médiévales de l'art : sa fonction didactique et la valeur mystique de la lumière.
Fra Angelico
L'Annonciation
L' Annonciation de Fra Angelico a été exécuté vers 1425, pour le Couvent San Domenico de Fiesole, est un retable conservé aujourd'hui au musée du Prado, en Espagne.
L' Annonciation a été peinte par Fra Angelico entre 1430 et 1432, et réalisée en tempera et or sur panneau de 194 cm x 194 cm (avec la prédelle).
Il s'agit de l'une des trois Annonciations de Fra Angelico sur tableau (les deux autres sont au Museo della Basilica di Santa Maria delle Grazie de San Giovanni Valdarno et au Museo Diocesano de Cortone). Deux autres, mais à fresque, figurent au couvent San Marco de Florence, celle en haut de l'escalier de l'accès et celle de la troisième cellule.
Il existe également des scènes du thème combinée à une Adoration des mages au musée San Marco, et sur un diptyque à la Galleria Nazionale dell'Umbria de Pérouse.
Diego Velasquez
Vénus à son miroir
Il s’agit du seul nu féminin du peintre ayant pu parvenir jusqu’à nous. Sa date de composition prête néanmoins à débat : jusqu’à récemment, les spécialistes étaient d’accord pour situer le tableau vers la fin de la décennie 1650, c’est-à-dire au crépuscule de la carrière de Vélasquez.
Diego Rodríguez de Silva y Velázquez (Séville, baptisé le 6 juin 1599 – Madrid, mort le 6 août 1660), dit Diego Vélasquez en français, est un peintre du siècle d'or espagnol. Il est célèbre pour ses portraits de la cour du roi Philippe IV à la manière libre presque ébauchée à la touche vive et apparente. Il était également courtisan, architecte, décorateur, collectionneur et administrateur. Il est généralement considéré, avec Francisco Goya et Le Greco, comme l’un des plus grands artistes de l’histoire espagnole. Son style, tout en restant très personnel, s’inscrit résolument dans le courant baroque de cette période. Ses deux voyages en Italie, attestés par les documents de l’époque, eurent un effet décisif sur l’évolution de son œuvre. Diego Vélasquez est l’auteur de nombreux portraits représentant la famille royale espagnole, de grands personnages européens et des gens du commun paysan, tisserand, porteur d'eau, nain... mais il est aussi l'auteur de compositions mythologiques et religieuses. Son art, de l’avis général, a atteint son sommet en 1656 avec la réalisation de Les Ménines, son chef-d’œuvre universellement réputé.
Son influence artistique est considérable dès le XVIIe siècle. À partir du premier quart du XIXe siècle, le style de Vélasquez fut pris pour modèle par les peintres réalistes et impressionnistes, en particulier Édouard Manet. Au XXe siècle, Francis Bacon, Pablo Picasso et Salvador Dalí ont rendu hommage à Vélasquez en recréant plusieurs de ses œuvres les plus célèbres.
Diego Velasquez
Les Ménines
Ce tableau a été peint en 1656 par Vélasquez, il est considéré comme le chef-d'oeuvre du peintre sévillan. C'est une huile sur toile de 318x276cm. Les Ménines sont exposées au musée du Prado à Madrid. Il représente la famille de Philippe IV. En espagnol, les ménines se dit las meninas et signifie "demoiselles d'honneur".
De gauche à droite, on aperçoit le peintre Diego Velasquez en train de peindre Philippe IV et sa femme, une demoiselle d'honneur Doña Marià Agustina Sarmiento, l'infante Marguerite-Thérèse, une autre demoiselle d'honneur, une naine allemande et un nain italien de la maison de la reine Marie-Anne. La demoiselle d'honneur Sarmiento tend un pichet d'eau parfumée à l'infante. L'autre demoiselle d'honneur, Doña Isabel Velasco, esquisse une révérence au roi et à la reine. Au premier plan, il y a un chien nommé Iago. Au fond de la pièce, Nieto Velazquez qui est le garde du corps personnel du roi se tient dans l'embrasure de la porte. On aperçoit aussi le reflet du couple royal espagnol dans un miroir car en fin de compte Philippe IV et la reine Marie-Anne d'Autriche sont en face de Vélasquez à la place du visiteur.
Diego Velásquez
La forge de Vulcain
Diego Velázquez (1599 - 1660) est un peintre du siècle d'or espagnol ayant eu une influence considérable à la cour du roi Philippe IV. Il est généralement considéré, avec Francisco Goya et Le Greco, comme l’un des plus grands artistes de l’histoire espagnole. Son style, tout en restant très personnel, s’inscrit résolument dans le courant baroque de cette période. Ses deux visites effectuées en Italie, attestées par les documents de l’époque, eurent un effet décisif sur l’évolution de son œuvre. Outre de nombreuses peintures à valeur historique ou culturelle, Diego Vélasquez est l’auteur d’une profusion de portraits représentant la famille royale espagnole, d’autres grands personnages européens ou même des gens du commun. Son talent artistique, de l’avis général, a atteint son sommet
en 1656 avec la réalisation de Les Ménines, son principal chef-d’œuvre. À partir du premier quart du xixe siècle, le style de Vélasquez fut pris pour modèle par les peintres réalistes et impressionnistes, en particulier Édouard Manet. Depuis, des artistes plus contemporains comme Pablo Picasso et Salvador Dalí ont rendu hommage à leur illustre compatriote en recréant plusieurs de ses œuvres les plus célèbres comme les Ménines (musée Picasso de Barcelone).
Jean Siméon Chardin
Le Bénédicité.
Le regard du XIXe siècle : Chardin, peintre des vertus bourgeoises
« Le dimanche 27 novembre 1740, M. Chardin de l'Académie royale de peinture et sculpture, fut présenté au roi par M. le contrôleur général avec deux tableaux que Sa Majesté reçut très favorablement; ces deux morceaux sont déjà connus, ayant été exposés au Salon du Louvre au mois d'août dernier. Nous en avons parlé dans le Mercure d'octobre, sous le titre: la Mère laborieuse et le Bénédicité. »
Ce fut la seule rencontre de Chardin avec Louis XV.
Le Bénédicité et la Mère laborieuse sont tombés dans l'oubli dix ans après la mort de Louis XV, puis ont été redécouverts en 1845 : le siècle bourgeois apprécie les représentations des vertus bourgeoises qu'il oppose à la dissolution supposée générale des mœurs de la noblesse.
La blanchisseuse
Une petite femme s’occupant à savonner
Jean-Siméon Chardin appelé à tort Jean-Baptiste-Simon est un peintre français, il est né le 2 novembre 1699 à Paris et considéré comme l'un des plus grands peintres du XVIII siècle.
D'un père artisan, Chardin a été l'élève de Cazes un peintre d'Histoire, puis a intégré l'Académie de Saint-Luc avec le titre de maître.
Parmi ses premiers oeuvres on trouve 'Le Buffet' qui a reçu une grande admiration depuis le WVIIIe siècle ainsi que'La Raie' ces deux tableaux furent remarqués par les membres de l'Académie royale à l'Exposition de la Jeunesse, Louis Boullongne le premier Peintre du Roi et le peintre Nicolas de Largillière, considéré parmi les meilleurs peintres français de natures mortes.
Jean-Simon Chardin devint peintre académicien ' dans le talent des animaux et des fruits', il commença à peindre ses premiers tableaux à figures en 1733.
Parmi ses principaux tableaux de 'scènes de genre' on cite 'Une femme occupée à cacheter une lettre ' , tableau exposé place Dauphine en 1743 et 'Une femme tirant de l'eau à la fontaine ' dit encore 'La femme à la fontaine' exposé quant à lui au salon du Louvre en 1737, 'La Blanchisseuse', 'La fillette au volant', 'Le Château de cartes'...etc
En 1740, JeanSoméon Chardin sera présenté à Louis XV à Versailles par Philibert Orry et présenta à cette occasion au Roi deux tableaux ' La mère laborieuse' et le 'Bénédicité' qui furent déjà exposés au Salon du Louvre.
En 1744, le peintre épousa Françoise Marguerite Pouget (1707-1791) et profitera de la protection et l'encouragement du marquis de Vandières (1727-1781) qui l'aida à obtenir une pension de 500 livres accordé par le Roy Louis XV, ainsi qu'un logement dans les Galeries du Louvre. Il a été nommé Trésorier de l'Académie en 1755
Il sera nommé en 1765, associé libre à l'Académie des Sciences, des Belles Lettreset des Arts de Rouen, mais à cause de son état de santé, aggravé par 'la maladie des pierres' ( colliques néphrétiques) il va démissionner de sa charge de trésorier de l'Académie' en 1774.
Le grand peintre Jean Siméon Chardin, s'est éteint à Paris le 6 décembre 1799, laissant derrière lui de grands oeuvres.
Jean Simeon Chardin
Nature morte_Raisins et grenades
Au 18ème siècle les natures mortes, apparues à la fin du 17è prennent tout leur sens avec les vanités.
Des objets de la nature sont représentés : fruits, fleurs coupées dans des vases avec d'autres objets inanimés.
Chardin est le peintre des natures mortes du 18ème. La nature morte contient une dualité. Elle est à la fois plaisir, ressemblance avec la nature (on a envie de croquer dans ces fruits trompeurs) et outil au service de la religion ; le réalisme devient symbolisme par son caractère immobile, mort comme les corps destinés à l'enfer.