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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Alfred Sisley

Publié à 20:23 par lusile17 Tags : femme amour enfants nature paysage
Alfred Sisley

Alfred Sisley

 

Les Petits Prés au printemps

Les Petits Prés au printemps est un tableau d'Alfred Sisley. Il se trouve actuellement à la National Gallery de Londres dans le bâtiment principal au 1er étage dans la section 44 (Seurat et Pissarro). Il a été prêté en 1997 par la Tate Gallery.

Sisley est aujourd’hui considéré comme l’impressionniste même: l’essentiel de son inspiration c’est le paysage. Les personnages dans ses peintures ne sont que des silhouettes ; en outre les portraits de ses proches (femme et enfants) et les quelques natures mortes sont rares. Selon Gustave Geffroy, l’un des ses premiers historiographes, Sisley vouait en effet un amour instinctif au paysage. Pour lui il n’y avait dans la nature rien de laid dès lors qu’il s’agissait du rapport entre le ciel et la terre. Il écrira : « toutes les choses respirent et s’épanouissent dans une riche et féconde atmosphère qui distribue et équilibre la lumière, établit l’harmonie ».

Sisley choisit inlassablement pour sujet de ses toiles le ciel et l’eau animés par les reflets changeants de la lumière dans ses paysages des environs de Paris, la région de Louveciennes et de Marly-le-Roi. La région de Moret-sur-Loing eut notamment une incidence toute particulière sur l'œuvre de Sisley, comme en témoigne Un soir à Moret. Fin d'Octobre, peint en 1888. Il s’inscrit dans la lignée de Constable, Bonington et Turner. S’il subit l’influence de Monet, il s’éloigne de son ami par sa volonté de construction qui lui fait respecter la structure des formes.

Se montrant sensible à l’écoulement des saisons, il aimait à traduire le printemps avec les vergers en fleurs ; mais ce fut la campagne hivernale et enneigée qui attira particulièrement Sisley dont le tempérament réservé préférait le mystère et le silence à l’éclat des paysages ensoleillés de Renoir.

 

Giovanni Bellini

Publié à 23:21 par lusile17 Tags : chez fond nature art paysage tendresse
Giovanni Bellini

Giovanni Bellini

Giovanni Bellini naît à Venise, ville dans laquelle il révèle petit à petit son art, pour finalement être reconnu comme le plus grand des Bellini.

C’est dans l’atelier paternel que Giovanni apprend son métier de peintre. Il fait par la suite connaissance avec le milieu savant et novateur de Padoue, et ce à travers l’art de son beau-frère Andrea Mantegna, époux de sa sœur Nicolosia Bellini, qui devait le marquer profondément. Plus tard, le coloris de Giovanni est plus profond, plus homogène et joue déjà un grand rôle dans la représentation du relief. Il y a plus d’humanité dans les sentiments exprimés, tendresse, joie ou douleur. La nature est représentée, ce qui est nouveau : souvent les compositions se détachent sur un fond de paysage où l’on reconnaît la campagne ou les collines de Vénétie.

Les premiers ouvrages sont des petits panneaux peints alors qu’il n’a que 21 ans, telle la Pietà, qui groupe, selon un thème fréquent chez les Bellini, les figures de la Vierge, de Saint Jean l’Évangéliste et du Christ au Tombeau. On peut dater de la même année la Transfiguration et le Christ au mont des Oliviers. C’est à 31 ans que Giovanni commence à multiplier les variations sur un thème qu’il ne cessera d’exploiter : celui de la Vierge à l’Enfant.

S’étant fait connaître par ces ouvrages, il se voit confier lors de ses 36 ans, des travaux plus ambitieux. Ainsi, le polyptyque de saint Vincent Ferrer est une des grandes entreprises de Giovanni.

C’est entre 1470 et 1475 que Bellini doit se rendre à Rimini pour peindre le retable de San Francesco qui marque un tournant capital dans sa carrière. Les années suivantes donneront à Bellini l’épanouissement de ses moyens. Cette période est celle de l’équilibre entre la forme et les couleurs, plus belles les unes que les autres.

Giovanni Bellini

Publié à 22:21 par lusile17
Giovanni Bellini

Giovanni Bellini

Le Baptême du Christ

Giovanni Bellini dit Giambellino (né à Venise, entre 1425 et 1433 - Venise, 29 novembre 1516) est un peintre italien de la Renaissance,
considéré comme le précurseur de l'école vénitienne, dont l'œuvre marque la rupture définitive avec le style gothique, par son attachement à la rigueur géométrique, à travers des peintures qui effacent la différence entre monde sacré et profane

Titien

Publié à 22:06 par lusile17 Tags : enfant cadre voyages
Titien

Titien 

 

La Vierge à l'Enfant avec sainte Catherine, saint Dominique et un donateur

 

Titien appartient incontestablement à l'école vénitienne, dont il a été l'un des chefs de file au XVIe s. Cependant, à la différence d'un Tintoret, voire d'un Véronèse, son activité ne s'est pas exercée entièrement dans le cadre de Venise ou de la Vénétie, et une visite de Venise ne permet pas d'en avoir une vue d'ensemble ; elle a débordé largement ce cadre, prenant des dimensions italiennes et même européennes. La société de Venise – gouvernement, familles patriciennes, églises, scuole – a certes sa part dans l'œuvre de Titien ; mais le renom du peintre, longtemps entretenu par la plume de l'Arétin, dont il fut l'ami, lui valut la faveur des cours : cours princières de l'Italie (Ferrare, Mantoue, Urbino) ; cours pontificale et de la famille Farnèse, à Rome et à Parme ; cour des Habsbourg surtout, à partir de 1530 environ, grâce à la protection de Charles Quint puis de Philippe II d'Espagne. Peintre de cour, et de stature internationale, Titien a fait des voyages lointains, notamment à Rome en 1545, à Augsburg en 1548 et en 1550. L'étendue de sa clientèle est pour beaucoup dans le fait que son œuvre se partage très largement entre les grands musées du monde, le Prado de Madrid et le Kunsthistorisches Museum de Vienne venant en premier lieu. Venise et les villes placées autrefois dans la sphère vénitienne ont gardé surtout les grandes peintures religieuses.

   La carrière de Titien présente un autre trait dominant : sa longueur. Avec la capacité de renouvellement qui fut toujours celle du maître, on comprend que l'œuvre accuse une évolution très sensible.

Titien

Publié à 21:59 par lusile17 Tags : nature enfant bleu paysage prénom chez femme histoire mort art peinture ange
Titien

Titien

 Le ravissement d'Europe, (1560-1562)

Le thème de l'enlèvement d'Europe est un classique de la peinture de l'époque moderne. Il s'agit là de l'un des mythes fondateurs à la base de l'identité européenne et il a fait l'objet de plusieurs représentations iconographiques (peintures, gravures). Dans le tableau de Titien, Europe est enlevée de manière énergique et conduite à travers les flots. Le mouvement est dramatique, l'action presque brutale.


Les autres exemples sont des variations sur ce thème et s'accordent au style de leurs périodes respectives.

 

Le peintre italien Tiziano Vecellio, dit Titien ou Le Titien, naît en en 1488 ou 1490 à Pieve di Cadore dans les Dolomites au nord de l’Italie, dans une famille de notables. Ce nom, Le Titien le tient de son prénom Tiziano. Il décède le 27 août 1576 à Venise.

Dès son plus jeune âge, il suit une formation chez un mosaïste. Quelques années plus tard, il intègre l'atelier des Bellini tenu par le fils aîné Gentile. Mais c'est véritablement son frère, Giovanni, qui l'inspire et lui inculque la primauté de la couleur sur la technique. Durant ces années de formation, il rencontre également Giorgione qui se situe entre le clair-obscur de De Vinci et la couleur pétillante de Giovanni. Tous les deux se mettent à travailler ensemble et peignent des fresques extérieures pour le compte de la ville.

En 1516, Giovanni Bellini meurt et Titien hérite de son titre : "peintre officiel de la République de Venise". Il continue son ascension. La mort de sa femme en 1530 transforme sa vision du physique féminin en corps mince et svelte. En 1545, Paul III lui offre la citoyenneté romaine et sa confrontation avec les oeuvres de Michel Ange va encore une fois faire évoluer sa peinture.

En 1548, il réalise une suite de portrait de Charles Quint puis s'attaque à sa série "Poésie", des nus féminins mythologiques pour le roi Philippe II. Titien meurt de la peste à l'âge de 90 ans, mais beaucoup disent que c'est la vieillesse qui l'a emporté.

Titien

Publié à 21:53 par lusile17 Tags : ange dessin
Titien

Titien

 

Danae et Cupidon

 

En 1545, Le Titien accepte l'invitation du neveu du Pape, le Cardinal Alessandro Farnese et s'installe à Rome. Il emporte avec lui cette Danae, peint pour Ottavio Farnese, qu'il avait achevé juste avant son départ.

Ce tableau constitue la preuve la plus claire d'un changement stylistique. Ce tableau ne pouvait pas être apprécié dans le climat artistique de la Rome d'alors. Vasari rapporte comment le grand Michel-Ange était venu admirer Titien dans son atelier et, ayant vu la Danae, avait loué "la coloration et le style". Mais, en quittant la maison du peintre, s'était exclamé "C'est une honte qu'à Venise ils n'aient pas appris les bases du dessin et que leurs peintres n'aient pas poursuivi leurs études avec plus de méthode."

 

Titien

Publié à 21:41 par lusile17 Tags : femme peinture texte
Titien

Titien

 

Danae recevant la pluie d'or

Entre 1553 et 1554 Le Titien exécute pour les Habsburgs deux "fables mythologiques" aux intentions clairement érotiques, Danae recevant la pluie d'or et Vénus et Adonis, tous les deux maintenant conservés au Prado.

Cette Danae est une variation sur la toile peinte dix ans plus tôt pour la famille Farnese,Danae et Cupidon. La fidélité au texte d'Ovide est plus grande. Cupidon a été remplacé par la nurse âgée qui utilise son tablier pour recueillir la pluie d'or par laquelle Jupiter s'était transformé pour posséder la jeune femme.

Titien

Publié à 21:18 par lusile17 Tags : mort art peinture dessin
Titien

Titien  

Bacchus et Ariane

Bacchus et Ariane est une peinture de la Renaissance réalisée par Titien en 1523. Elle fait partie du cycle de peintures à sujet mythologiques commandé par Alphonse Ier d'Este, duc de Ferrare, pour une pièce de son palazzo de Ferrare. La commande initiale de cette toile avait été faite à Raphaël mais, à la mort de celui-ci en 1520, seul un dessin préliminaire avait été réalisé et la commande passa alors à Titien. Le thème de la peinture est inspiré des œuvres des poètes latins Catulle et Ovide. La toile, œuvre majeure du cycle, est désormais exposée à la National Gallery de Londres. Les autres peintures importantes du cycle sont Le Festin des dieux (en grande partie de Giovanni Bellini, exposée à la National Gallery of Art de Washington, La Bacchanale des Andriens et L'Offrande à Vénus (toutes deux

Jean COUSIN le Père

Publié à 22:05 par lusile17 Tags : femme homme histoire amis paysage artiste mort
Jean COUSIN le Père

Jean COUSIN le Père  ou le fils ???

 

Enlèvement d'Europe.

L’un des plus célèbres peintres français de la Renaissance, cité dans la « Vie des plus excellents peintres » de Vasari. Il est cependant difficile de lui attribuer des œuvres avec certitude, son fils peintre également portant les mêmes noms et prénoms et un autre Jean Cousin (sans lien de parenté) étant sculpteur alors à Paris.

Il réalisa des vitraux pour la cathédrale Saint-Etienne de Sens en 1530 sur le sujet de la « Légende de Sainte Eutrope » et celui de « la Sibylle tiburtine » ainsi que de nombreux vitraux pour des châteaux et églises de la région sénonaise, dont la « Sibylle tiburtine » du château de Fleurigny ou les vitraux de l’abbaye de Vauluisant. C’est probablement après1530, date de ses derniers travaux connus à Sens, qu’il part pour Paris (peut-être en 1538) où il travaille d’abord comme orfèvre bien qu’aucune de ses œuvres d’orfèvrerie ne soit connue.

A Paris, il continua de travailler sur verre, réalisant notamment des vitraux pour la Sainte Chapelle au château de Vincennes ainsi que celles de l’église Saint-Gervais à Paris.

Il fut un artiste complet, réalisant des sculptures comme celles du tombeau de l’Amiral Chabot. On lui attribue aussi le superbemonument funéraire de Louis de Brezé, mari de Diane de Poitiers (dans la cathédrale de Rouen), et il aurait aussi travaillé aux sculptures du château de Chambord et de nombreux dessins pour gravure, ou tapisseries comme la légende de Saint Mammès commandées par le cardinal de Givry et conservées au Louvre (1544).

Il obtint les faveurs de nombreux souverains français de la dynastie Valois, travaillant pour Henri II, François II, Charles IX et Henri III.

Par exemple, il réalisa des entrées royales, notamment celles d’Henri II à Paris avec Jean Goujon (en 1549) et de Charles IX à Sens en 1563.

Il forma aussi son fils, le peintre Jean Cousin le jeune (né à Sens en 1522 – mort à Sens en 1595), auteur notamment d’un « Jugement dernier » mais dont l’attribution des œuvres est encore plus incertaine.

Jean COUSIN le Père

Publié à 22:05 par lusile17 Tags : femme homme paysage histoire amis
Jean COUSIN le Père

Jean COUSIN le Père

 

Eva Prima Pandora_Vers 1550

Ève, qui selon la Genèse commit le péché originel, est assimilée à Pandore qui, dans la mythologie grecque, répandit les maux parmi les hommes en ouvrant par curiosité le vase d'Épiméthée. Lors de l'entrée d'Henri II à Paris en 1549, Jean Cousin orna un arc triomphal d'une allégorie de Paris en "nouvelle Pandore vêtue en nymphe".

Cette représentation imaginaire et sensuelle d'Ève, la première femme, se veut une vision idéale de la femme, posant devant un double paysage ; paysage sauvage et rappelant les errements du paradis terrestre à droite, organisé et dominé par l'homme à gauche. L'inspiration italienne de Jean Cousin est évidente : perspective rigoureuse dans la construction ; mise en place savante de l'espace pictural ; modelé du corps construit à partir d'un éclairage subtil venant de la gauche ; sensualité du corps de la jeune femme et raffinement dans le traitement des bijoux et des accessoires. L'utilisation symbolique de l'architecture, ou du crâne, évoque le caractère éphémère de la vie et de la beauté terrestre rappelant les symboles raffinés de Mantegna.

Qui est cette jeune femme, mystérieux nu féminin aux proportions allongées.

Le titre de l'oeuvre, que le peintre a figuré dans le tableau, au-dessus de la tête de la figure, montrant bien qu'il ne se rapporte qu'à elle, renforce encore le mystère : est-ce Ève ou bien Pandore, appartient-elle au monde de la Bible ou à celui de la mythologie païenne ?

Selon un exercice intellectuel prisé par les humanistes de la Renaissance, Cousin conduit ceux qui contempleront son oeuvre sur le chemin d'une comparaison : n'y a-t-il pas de profondes similitudes entre la première pécheresse de la tradition judéo-chrétienne et la première femme modelée par Hephaïstos ?

Toutes deux désobéirent, et pour le même motif coupable : la curiosité. Toutes deux furent à l'origine de tous les malheurs de l'humanité. Ainsi, du vase, sur lequel Pandore pose en vain la main, se sont déjà échappés les fléaux et les désastres qui devaient à jamais y rester prisonniers, ce dont témoigne le crâne, emblème de toutes les Vanités.
Nous connaissons peu de choses quant aux circonstances de la réalisation de cette oeuvre et à son histoire. Demeurée dans une famille de Sens, originaire du même village que Jean Cousin, elle fut acquise par la société des Amis du Louvre et donnée au musée du Louvre en 1922.