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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Pieter Bruegel
La Tour de Babel
L'épisode biblique de la tour de Babel a fait l'objet de trois tableaux chez Bruegel, dont deux seulement nous sont restés à ce jour. Le plus célèbre est la "grande tour", qui est exposé au Kunsthistorisches Museum de Vienne.
La description de l'architecture de la tour par Bruegel, avec ses nombreuses arches et d'autres exemples de l'ingénierie romaine fait penser de manière délibérée au Colisée qui représentait pour les chrétiens de l'époque le symbole de la démesure et de la persécution.
La peinture de Bruegel semble attribuer l'échec de la construction à des problèmes d'ingénierie structurelle plutôt qu'à de soudaines différences linguistiques d'origine divine. Bien qu'à première vue la tour semble constituée d'une série stable de cylindres concentriques, un examen plus attentif montre à l'évidence qu'aucun étage ne repose sur une vraie horizontale ; la tour est plutôt construite comme une spirale ascendante, elle est un édifice circulaire dont les étages ont un diamètre qui va en diminuant. Les contrebutements, qui encadrent des baies géminées, s'allègent de plus en plus. Les arches sont cependant construites perpendiculairement au sol incliné ce qui les rend instables, quelques unes se sont d'ailleurs déjà écroulées. Plus troublant peut-être : le fait que les fondations et les couches inférieures de la tour n'ont pas été finies avant que les couches supérieures ne soient construites.
En montrant la tour à divers niveaux d'avancement, selon les étages, Bruegel permet de pénétrer au coeur de l'édifice et de cerner les différentes étapes de la construction. Si le dessin architectural est très précis, il n'en reste pas moins absurde. La tour semble composée d'un étrange réseau de galerie voûtées en berceau qui ne mènent à rien. Il est évident que Bruegel n'a pas cherché à reproduire un espace habitable. En effet, l'intention des constructeurs de la tour n'est pas de faire un bâtiment fonctionnel mais de pénétrer les cieux.
La peinture est censée représenter les dangers de l'orgueil humain mais aussi l'échec de la rationalité classique face au divin. C'est aussi une allégorie du fier empire international des Habsbourg basé sur une foi unifiée et constitué de banquiers, de ministres, de clercs, de soldats et de penseurs humanistes sycophantes soumis à un tel projet.
L'autre œuvre du peintre sur le même sujet, La "Petite" Tour de Babel (c. 1568) se trouve au Musée Boymans-van Beuningen à Rotterdam.
Antoine Watteau
Pierrot
Pierrot est un tableau d'Antoine Watteau, peint en 1718-1719 et exposé aujourd'hui au Louvre. Il a longtemps été appelé Gilles.
Le pierrot est un des plus célèbres personnages de la comédie italienne. Le thème de ce tableau vient certainement de l’expérience de Watteau en tant qu'élève de Gillo, qui peignait entre autres de nombreux décors de théâtre. Ce fut un des tableaux favoris de La Case, son propriétaire au XIXème siècle. La poésie transparaît dans le regard de cet homme, plongé dans le vague. En un sens, il inspire la pitié par le ridicule (vêtements mal ajustés) ; il est d’ailleurs la risée de ses camarades, représentés en arrière plan.
Le décor est de toute évidence d’inspiration théâtrale : Pierrot semble comme monté sur scène et le fond paysager peu vraisemblable
Antoine Watteau
La Partie carrée
La représentation de deux couples relaxant dans un parc ou dans un décor similaire était un sujet classique dans la peinture galante, tel qu'illustré dans La Partie carrée (1713) d'Antoine Watteau.
Jean Antoine Watteau (ou Wateau), né à Valenciennes le 10 octobre 1684 et mort à Nogent-sur-Marne le 18 juillet 1721, est un peintre français.
Il est un des premiers représentants du mouvement rococo. Inspiré par la commedia dell'Arte, il aime à représenter le théâtre dans ses tableaux, que ce soit à travers les rideaux lourds ou les thèmes. Ses tableaux les plus célèbres sont un Pierrot (anciennement intitulé Gilles) et ses deux Pèlerinages à l'île de Cythère.
Jean-Antoine Watteau est le deuxième des 4 fils de Jean-Philippe Watteau (1660-1720), maître-couvreur, marchand de tuiles, et de Michelle Lardenois (1653-1727). Vers l’âge de dix ans, il est mis en apprentissage chez Jacques-Albert Gérin, l’un des peintres renommés de la ville, dont le musée et les églises de Valenciennes conservent quelques ouvrages, de valeur médiocre, dans le goût flamand.
Watteau passe les derniers mois de sa vie dans la propriété d'un ami de l'abbé Haranger, l'intendant des Menus-Plaisirs Philipe Le Fevre. Il meurt dans les bras de Gersaint en 1721, peut-être des suites de la tuberculose, à l'âge de 37 ans.
Watteau semble dans ses toiles condenser l’esprit de la Régence, alors qu'il ne survécut que six ans à Louis XIV.
Les tableaux de Watteau sont loin de se caractériser uniquement par une frivolité qui serait propre aux « fêtes galantes ». Une mélancolie sobre peut y être observée, un sentiment de la futilité de la vie, une légèreté pleine de grâce. Des peintres comme Nicolas Lancret et Jean-Baptiste Pater essaieront de reproduire ces thèmes mais n'arriveront pas à capturer l'esprit et à rendre cette ambiguïté.
Antoine Watteau
Embarquement pour Cythère
Le Pèlerinage à l'île de Cythère est un tableau d'Antoine Watteau, réalisé en 1717, et présenté par le peintre comme morceau de réception à l'Académie royale de peinture. Il est reçu à l'Académie, qui crée spécialement pour lui le genre de la fête galante. Le tableau est aujourd'hui exposé au musée du Louvre.
En 1718, Watteau en fit lui-même une réplique sensiblement différente, intitulée Embarquement pour Cythère, ayant appartenu à Frédéric II de Prusse et exposée aujourd'hui au Château de Charlottenburg à Berlin.
Pèlerinage à l'île de Cythère
Paul Cézanne
Sa résidence du Jas de Bouffan (1878).
Paul Cézanne (19 janvier 1839 à Aix-en-Provence, France et mort le 22 octobre 1906 à Aix-en-Provence) est un peintre français. Membre du mouvement impressionniste, il est l'auteur de nombreux paysages de Provence, et particulièrement de la campagne d'Aix-en-Provence. Il a notamment réalisé plusieurs toiles ayant pour sujet la montagne Sainte-Victoire.
Son père, Louis Auguste Cézanne, originaire de Saint-Zacharie (Var), descendant de petits artisans (drapiers, ferronniers, etc.) repérés à Marseille depuis la fin du XVIe siècle, possède une chapellerie sur le cours Mirabeau. La famille est relativement aisée et le père crée une banque, le 1er juin 1848, 24, rue des Cordeliers, établissement qu'il transfère en 1856 13, rue Boulegon, et à laquelle il donnera le nom de « Banque Cézanne et Cabassol », de son nom propre et de celui de son associé
En octobre 1906, alors qu'il peint sur le motif, dans le massif de la Sainte-Victoire, un violent orage s'abat. Cézanne a un malaise. Il est recueilli par des charretiers et déposé dans sa maison de la rue Boulegon, à Aix, où il mourrut, le 22, emporté par une pneumonie.
Paul Cézanne
"Les joueurs de carte"
Les Joueurs de cartes de Paul Cézanne ont fait l'objet de plusieurs versions de la part de l'artiste. La première composition comporte plusieurs personnages, mais au fur et à mesure que Cézanne traite le sujet, il en réduit le nombre jusqu'à aboutir à une composition à deux personnages dont le caractère évoque une nature morte.
Dans la version à quatre personnages, une lumière diurne blafarde à la tonalité bleue et froide domine le tableau. Les visages et les mains des joueurs sont peints dans un ton chaud d'orange qui indique la concentration, la tension intérieur sous une apparence tranquille. Ce contraste est repris en haut à droite dans la tenture bouffante et dans la blouse bleue du personnage de droite.
Dans la version à deux personnages, la composition est totalement différente. L'arrière-plan est presque complètement sombre et seules quelques bandes claires offrent un indice sur la localisation, probablement la terrasse couverte d'un café. Chaque détail du tableau a sa fonction pour l'effet d'ensemble. Rien n'est laissé au hasard. Refusant toute mise en scène naturaliste ou représentation anecdotique, Cézanne parvient ici à réaliser une composition soigneusement conçue, constituée de lignes axiales et de correspondances chromatiques et formelles, dans laquelle sont immortalisées de la même manière monumentalité et intimité.
Le Tintoret (Jacopo Robusti)
La Cène
L' église Saint-François-Xavier à Paris, consacrée en 1894, abrite une magnifique toile du Tintoret ( 1518-1594 ) : la Cène, peinte en 1559.
Elle fut commandée par la Scuola du Saint-Sacrement de l' église Saint-Félix, à Venise. Enlevée à l' époque napoléonienne, elle fut achetée en France. La baronne du Teil en fit don à la paroisse Saint-François-Xavier.
Le Tintoret, de son vrai nom Jacopo Comin est né le 29 septembre 1518 à Venise, alors capitale de la République de Venise, où il est mort le 31 mai 1594)et doit son surnom (« le petit teinturier ») à son père, Battista Robusti, qui travaillait dans une teinturerie (tintorìa en italien). Élève de Titien, il est réputé pour avoir dépassé son professeur dans la maîtrise des couleurs et des ombres, du rendu de la matière, s’inscrivant ainsi parmi les grands du style vénitien
Les œuvres les plus connues de Tintoretto sont une série de peintures de scènes de la vie de Jésus et de la Vierge Marie dans la Scuola Grande di San Rocco, dont il est nommé décorateur officiel en 1564.
Le Tintoret (Jacopo Robusti)
L'enfant Jésus tend la main droite pour bénir sainte Catherine, agenouillée devant lui. Autour d'elle se pressent trois saints : Jean-Baptiste, drapé dans sa tunique en poils de chameau, Marc avec son attribut, le lion, et Augustin, évêque d'Hippone. Étrangement, sainte Catherine porte le manteau d'or à gros boutons des doges de Venise. Une radiographie a permis de déceler sous son visage la présence d'un cornu, bonnet ducal des doges. Ainsi a-t-on pensé que Tintoret aurait profité de l'absence de Titien à Venise pour tenter d'obtenir une commande officielle de la ville :il aurait peint, peu avant l'élection de celui-ci en 1545, le doge Francesco Donà aux pieds de la Vierge. Ayant échoué, il aurait ensuite transformé ce personnage en sainte Catherine, et féminisé son costume par un léger foulard. Tintoret construit ici une composition d'un admirable équilibre : les figures se répondent deux à deux, masses triangulaires ordonnées selon un schéma elliptique. La colonnade du temple placé derrière le visage de la Vierge en fait le symbole de l'Eglise, tandis que le paysage désertique et le grand ciel orageux, à l'arrière-plan, traités dans des tons sourds et contrastés, mettent en valeur la palette vive des costumes. L'or et la pourpre rayonnent d'un vif éclat, sous l'effet d'une lumière ardente. La monumentalité des figures, la véhémence des attitudes, l'équilibre entre naturalisme et idéalisation renouvellent le genre traditionnel de la sainte conversation.
Théodore Géricault
Louise Vernet enfant, fille du peintre Horace Vernet
Même si Théodore Géricault est principalement connue pour son tableau "Le radeau de la méduse", on retrouve un chat dans une de ses oeuvres.
Le félin aux airs de chat sauvage, pose sur les genoux de Louise Vernet
THÉODORE GÉRICAULT, incarnation de l’artiste romantique, est un peintre francais, né à Rouen et décédé à Paris. Son père George, magistrat et riche propriétaire, tiendra par la suite une manufacture de tabac. Sa mère descend d’une famille normande riche. Le peintre ne connaîtra pas de problèmes d’argent, et n’aura pas le souci de vendre ses oeuvres pour vivre.
Vers 1876, la famille Géricault s’installe à Paris et Théodore fait ses études au Lycée Imperial. Il étudie dans des ateliers de peintres avant de s’inscrire à l’École des Beaux-Arts de Paris en 1811. Géricault decide, en 1816, de partir pour l’Italie. Il est impressioné par les peintres de la Renaissance italienne, en particulier Michel-Ange. En 1820 et 1821, il voyage en Angleterre et découvre les grands paysagistes anglais, Constable et Turner.
En décembre 1821, le peintre revient à Paris. Il tombe malade et ne se débarasse pas de son état que Baudelaire décrira si bien: son « spleen », ennui de la vie. Théodore Géricault meurt en 1824, affaibli par une tuberculose chronique.
Théodore Géricault
Le Radeau de la Méduse -1819
Le peintre s'est inspiré d'un fait authentique, un drame de la mer dont il a eu connaissance. Il ne s'agit pas d'une catastrophe ayant marqué la mémoire des hommes par le nombre des victimes, quoiqu'il fut important pour l'époque, mais par les scènes d'horreur qui se sont perpétrées sur le désormais tristement célèbre Radeau de la Méduse.
La Méduse est un beau bâtiment, moderne, frégate de trois mâts et quarante-quatre canons, la plus récente et la plus rapide de la flotte française. Initialement, à la chute de l'Empire, elle se trouvait en rade de Rochefort, prête à appareiller pour permettre à Napoléon et toute sa suite de prendre de la distance en se rendant en Amérique. Hélas pour l'Empereur, ce plan avait été déjoué par la présence de la frégate anglaise l'Agamemnon se trouvant au large et attendant bien évidemment la Méduse pour l'arraisonner ou l'envoyer par le fond. L'Empereur avait donc renoncé à ce projet et la Méduse allait bientôt voguer vers son tragique destin.........