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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Sainte Rose de Lima
Le 20 Avril 1586, naît à Lima, au PEROU, la dixième enfant de la famille de Florès: Isabelle-Rose. Charmante, candide et très pieuse, la petite Rose est de santé fragile, souvent malade. Très vite, pour l'amour de son Dieu, elle ajoute à ses épreuves physiques et morales déjà si nombreuses, des pratiques héroïques d'humilité, de pauvreté et de mortification.
Reçue dans le Tiers Ordre de Saint Dominique sous le nom de " Rose de Sainte Marie ", elle vit son union au Christ dans la prière incessante et joyeuse. Active auprès des malades et des déshérités qu'elle soigne, qu'elle visite, qu'elle accueille avec tout son amour et sa patience; elle est toujours disponible à tous. Ses parents Gaspard et Marie de Florès, sont maintenant âgés; leur relative aisance a disparu. Rose, grâce à ses broderies et ses travaux d'aiguille peut les aider efficacement. Rose meurt le 24 Août 1617. Elle a 31ans et 4 mois.
Plusieurs miracles " opérés par son intercession, et attestés par plus de 100 témoins " permettent sa Béatification par le Pape Clément IX en 1668, et sa Canonisation trois ans plus tard ( 1671 ), par Clément X.
Sainte Rose de Lima est la première sainte de l'Amérique. Sa renommée et son culte s'étendent très vite hors des frontières du PEROU. Dès 1671, des récits de sa vie sont édités en latin, puis en français ( conservés à la bibliothèque nationale ) . Sainte Rose est vénérée à Ballan depuis plus de deux siècles puisqu'on trouve déjà trace en 1748. La légende raconte qu'un habitant de Ballan, désolé de savoir que sa fille perdait la vue, fit voeu de consacrer une partie de ses terres et la fontaine qui s'y trouvait, et d'ériger un oratoire à Sainte Rose si son enfant guérissait. Promesse tenue.
SAINTE ROSE de LIMA Vierge (1586-1617)
Rose naquit à Lima, au Pérou, le 20 avril 1586, et reçut au Baptême le nom d´Isabelle. Sa mère, penchée sur son berceau, ayant cru apercevoir une rose épanouie sur son visage, s´écria: "Désormais, tu seras ma "Rose", changement de nom qui fut confirmé par la Sainte Vierge dans une vision qu´eut plus tard la jeune fille.
La vie de cette petite Sainte a été une suite ininterrompue de souffrances volontairement acceptées et héroïquement supportées. Dès son bas âge, Rose comprit que la vraie sainteté consiste avant tout à accomplir ses devoirs d´état. Une source de difficultés lui vint de concilier l´obéissance à ses parents avec la fidélité aux appels intérieurs dont le Ciel la favorisait. Elle s´ingénia à trouver le moyen d´obéir à la fois à Dieu et à sa mère. Décidée à ne chercher à plaire à personne qu´à Dieu, elle portait néanmoins une couronne de fleurs imposée par sa mère; mais elle sut y cacher à l´intérieure une aiguille qui faisait de cet ornement un instrument de supplice.
À l´exemple de sainte Catherine de Sienne, Rose se voua à une vie de pénitence. Dès son enfance, elle s´exerça au jeûne et put le pratiquer à un degré héroïque. Elle ne mangeait jamais de fruits. À six ans, elle jeûnait le vendredi et le samedi. À quinze ans, elle fit voeu de ne jamais manger de viande. Plus tard, elle ne mangea qu´une soupe faite de pain et d´eau, sans sel ni autre assaisonnement. Toutes les nuits, elle se frappait cruellement avec des chaînettes de fer, s´offrant à Dieu comme une victime sanglante pour l´Église, l´État, les âmes du purgatoire et les pécheurs. Non contente du lit de planches sur lequel elle reposa longtemps, elle se fit un lit avec des morceaux de bois liés avec des cordes; elle remplit les intervalles avec des fragments de tuiles et de vaisselle, les acuités tournées vers le haut. Rose coucha sur ce lit pendant les seize dernières années de sa vie.
SAINTE ROSE de LIMA Vierge (1586-1617)
La vraie sainteté ne réside pas dans la pénitence du corps, mais dans celle du coeur, qui est impossible sans l´humilité et l´obéissance. Toutes les austérités de Rose étaient soumises à l´obéissance; et elle était toujours prête à tout abandonner. On s´étonnera que ses directeurs aient pu approuver dans une si frêle enfant d´aussi cruelles macérations; mais il faut savoir que chaque fois que des confesseurs voulurent s´y opposer, il en furent empêchés par une lumière intérieure.
Toute la personne de Rose, défigurée par la pénitence, attirait l´attention du public et la faisait vénérer comme une Sainte. Désolée, elle eut recours à Dieu, afin que ses jeûnes n´altérassent pas les traits de son visage. Chose admirable! Elle reprit son embonpoint et ses vives couleurs; ses yeux se ranimèrent. Aussi arriva-t-il qu´après avoir jeûné tout un Carême au pain et à l´eau, elle rencontra des jeunes gens qui se moquèrent d´elle en disant: "Voyez cette religieuse si célèbre par sa pénitence! Elle revient sans doute d´un festin. C´est édifiant, vraiment, en ce saint temps!" Rose en remercia Dieu.
La charité de Rose pour le salut des âmes était en proportion de son amour pour Jésus-Christ. Elle ressentait une poignante douleur en pensant aux âmes qui se perdent après avoir été si chèrement achetées. Elle pleurait sur le sort des Chinois, des Turcs, et des nombreuses sectes hérétiques qui désolaient l´Europe.
Rose mourut le 24 août 1617, à l´âge de trente et un ans.
Sainte-Rose de Lima est la patronne des Amériques, des brodeuses, des fleuristes, des jardiniers, de la Californie, du Pérou et de l’Amérique du Sud en général. Elle est invoquée par les personnes qui craignent de succomber à la vanité.
Sainte Virginie
Virginia Centurione veuve Bracelli.
Italienne originaire de Gênes, elle doit épouser un jeune vaurien, malgré son ardent désir de devenir religieuse. Devenue veuve très tôt, elle se consacre aux enfants abandonnés, aux vieillards et aux malades. Une fois ses deux filles mariées, elle fonde l'Institut des Auxiliaires des Dames de la Miséricorde. Elle fut béatifiée en 1985 et canonisée le 18 mai 2003 par Jean-Paul II.
SAINT THADDEE (JUDE)
Le saint apôtre Thaddée, frère de Jacques le Mineur et cousin de Notre Seigneur Jésus-Christ, portait le prénom de Jude mais était désigné par un surnom ; on lui en donnait même deux : Lebbée et Thaddée, ce qui fait dire à saint Jérôme qu'il était trinomius, à trois noms. Les deux surnoms peuvent se traduire par l'expression : homme de cœur ; encore que le premier exprime plutôt le courage, tandis que le second exprime plutôt la tendresse, qui, sans doute, étaient les caractéristiques de cet apôtre. Et c'est peut-être pour son âme affectueuse, que le peuple chrétien l'a de préférence nommé Thaddée.
A la suite de Notre-Seigneur, saint Thaddée ne se distingua pas des autres apôtres. Très attaché à sa personne, mais ne voyant en lui que le restaurateur temporel du royaume d'Israël, ne comprenant guère les hauts enseignements et les terribles prédictions par lesquels Jésus s'efforçait d'ouvrir et d'élever l'intelligence de ses apôtres, Jude fut peut-être, avec ses frères Simon et Josès, de ces frères du Seigneur qui doutaient de lui et le poussaient à se manifester au monde , et qui, après la résurrection, eurent quelque peine à reconnaître sa vérité, comme le leur reprocha le Maître . Ainsi le permettait la Providence divine pour donner à notre foi une base plus inébranlable. Il fallait la diffusion du Saint-Esprit dans ces âmes d'enfants du peuple, pour y faire germer la foi inébranlable et les vues sublimes.
Après la Pentecôte, Simon et Thaddée unirent leurs efforts à ceux de leurs frères pour l'évangélisation de la Palestine. Bientôt la persécution éclata. Jacques, fils de Zébédée, mis à mort, Simon Pierre emprisonné par Hérode et miraculeusement délivré, il sembla que l'heure était venue d'obéir à l'ordre du Seigneur .
Thaddée avait accompli à la lettre le précepte de détachement du Maître et laissé sa famille, car il aurait été marié au moment de sa vocation par Notre-Seigneur, et avait eu des enfants : sous le règne de Domitien ses descendants, dénoncés à l'empereur comme fils de David, furent mandés à Rome, soigneusement interrogés sur leur fortune, qui était petite, sur leur travail, qui avait durci leurs mains, sur leurs espérances au Christ, qui étaient toutes surnaturelles ; enfin ils furent renvoyés dans leur pays, où ils vécurent en paix jusqu'au règne de Trajan.
Thaddée, sans doute, commença par prêcher en Samarie et en Idumée, puis en Arabie et en Syrie. C'est alors qu'il écrivit l'épître qui porte son nom où il stigmatise les erreurs que saint Pierre condamne dans sa seconde épître ; entre ces deux documents il existe des ressemblances qui forcent à conclure à une influence mutuelle, à une imitation volontaire de l'un des écrivains par l'autre, constatations nécessaires mènent à placer la composition de l'épître de saint Jude à une époque peu avancée de sa vie apostolique. Du reste, si particulièrement utile qu'elle fût pour ses contemporains, cette lettre ne le reste pas moins pour nous, lorsqu'elle nous apprend à " élever de plus en plus haut l'édifice de notre foi, à nous conserver dans l'amour de Dieu, en attendant la miséricorde de Notre-Seigneur Jésus-Christ " .
Elle porte à chaque ligne la justification de ce nom de Thaddée, l'homme de cœur, que fut Jude et qui se montre si à découvert dans la doxologie qui la termine : " A celui qui a le pouvoir de vous préserver de toute chute et de vous faire paraître irrépréhensibles et pleins d'allégresse devant le trône de sa gloire, au seul Dieu ; notre Sauveur, par Notre-Seigneur Jésus-Christ, soient gloire, majesté, force et empire dès avant tous les siècles et maintenant et dans tous les siècles ! Amen ! ".
Sortant d'Arabie, marchant vers l'est, il entra en Mésopotamie, il pénétra en Perse. Il semble toutefois que c'est entre les fleuves de l'Euphrate et du Tigre qu'il prêcha et fut, selon la tradition la plus vraisemblable, martyrisé, en un lieu mal défini qu'on appelle Arat ou Arara [bien défini en réalité : il s'agit de la région de l'Ararat, dont l'appelation provient de l'ancien royaume païen d'Urartu, situé au coeur de l'Arménie historique. Romaric THOMAS .Dans des circonstances absolument ignorées, il aurait été cloué à la croix, et son supplice se serait achevé sous les traits ou les pierres dont on l'aurait accablé.
Judes de Jacques est l'un des douze apôtres de Jésus-Christ, généralement identifié avec Thaddée .Désigné sous la forme dérivée Addaï dans la version syriaque des Actes de Thaddée. Il est cité dans quelques manuscrits dont le codex Bezae sous le nom de Lebbée de l'hébreu libbay, "courageux", devenu Tadday. Le nom Thaddée est rapporté à l'araméen tadday, "à la mamelle". Saint Jérôme disait de lui qu'il était trinomius, à trois noms.
Il ne serait pas à confondre avec Jude, frère de Jésus ("frère" étant à prendre au sens large et oriental du terme, c'est-à-dire "cousin"). En effet, l'Épître de Jude n'est vraisemblablement pas de lui, puisque l'auteur ne se présente pas comme faisant partie des apôtres au verset 1 et s'en distingue au verset 17 .
Après la descente du Saint-Esprit, il alla prêcher l'Évangile dans l'Idumée, la Syrie et la Mésopotamie. Il souffrit le martyre, en Perse ou en Arménie, vers l'an 80.
Selon la tradition il est à l'origine avec Barthélemy de l'Église apostolique arménienne.
Il est reconnu comme étant le saint de l'espoir, puisque c'était un être bon. C'est le patron des causes désespérées pour les catholiques, comme Sainte Rita de Cascia. Il est le saint patron des causes perdues , celui qui continue quand plus rien ne retient, à part l'espoir et la foi d'aller au bout de ces espoirs... Il est honoré le 28 octobre.
Jude Thaddée est traditionnellement représenté portant l'image de Jésus à la main ou près de sa poitrine.
Jésus lavant les pieds de Jean
Saint Jean - Apôtre et évangéliste
Un homme avait deux fils, comme lui pêcheurs sur le lac de Tibériade. Jacques et Jean, les fils de Zébédée, ne manquaient pas de personnalité: on les appelait "fils du tonnerre". Grande était leur soif spirituelle. C'est pourquoi ils s'attachèrent à l'enseignement de Jean le Baptiste: "Celui qui vient derrière moi est plus grand que moi." Aussi, quand le Baptiste dit un matin, en leur montrant Jésus de Nazareth: "Voici l'agneau de Dieu." Jean suivit cet homme. Jacques dut hésiter encore. Lorsque quelques jours après, Jésus dit aux deux frères qui maillaient leurs filets: "Venez avec moi." Jacques et Jean suivirent le Maître.
Jean était jeune. Il avait un grand amour du Christ. Il pensait que celui du Christ était plus grand encore. Alors il s'appela: "le disciple que Jésus aimait." Il fera partie du petit groupe des fidèles d'entre les fidèles. Il est sur le Mont Thabor lors de la Transfiguration, à la Cène, tout contre Jésus et au Calvaire, le seul parmi les apôtres, au pied de la croix. C'est là que Jésus lui confie Marie, sa mère.
Selon la tradition de l'Eglise catholique, c'est toute l'Eglise qui est confiée à la Mère de Dieu. Au matin de Pâques, il court et précède Pierre au tombeau: "Il voit, il croit."
Une tradition ancienne veut que Jean vécut ensuite à Ephèse avec Marie. Qu'il y écrivit le quatrième évangile. Qu'un séjour à Patmos fut l'occasion d'une révélation qui devint l'Apocalypse. Qu'enfin, lorsqu'il fut vieux, il ne sut que rabâcher l'essentiel de ce que le Christ lui avait enseigné et donné de découvrir: "Dieu est amour. Aimez-vous les uns les autres."
Selon la tradition, saint Jean aurait été amené d'Ephèse à Rome, chargé de fers, sous l'empereur Domitien. Il fut condamné par le sénat à être jeté dans l'huile bouillante. Cette condamnation fut exécutée devant l'actuelle Porte Latine. Il en sortit plus frais et plus jeune qu'il n'y était entré. Le fait n'est pas prouvé, mais il fallait bien que saint Jean soit venu à Rome, comme Pierre et Paul
SAINT JEAN
Apôtre et Évangéliste
Dans l'Évangile et au sein du collège apostolique, saint Jean occupe une place de choix. Représentant l'amour, il marche à côté de Pierre, qui symbolise la doctrine. Jésus semble avoir réservé à cet Apôtre les plus tendres effusions de Son Coeur. Plus que tout autre, en effet, Jean, dont l'âme était pure et virginale, pouvait rendre amour pour amour au divin Maître. Le Sauveur prit plaisir à multiplier les occasions de témoigner envers Son cher disciple une prédilection singulière: il le fit témoin de la résurrection de la fille de Jaïre; il lui montra Sa gloire sur le Thabor, au jour de Sa transfiguration merveilleuse; mais surtout la veille de Sa Passion, à la dernière cène, Il lui permit de reposer doucement la tête sur Son Coeur divin, où il puisa cette charité et cette science des choses de Dieu, qu'il répandit dans ses écrits et au sein des peuples auxquels il porta le flambeau de l'Évangile.
Une des gloires de saint Jean fut d'être le seul, parmi les Apôtres, fidèle à Jésus dans Ses souffrances; il Le suivit dans l'agonie du Calvaire; il accompagna dans ces douloureux instants la Mère du Sauveur. Jésus, ayant vu Sa Mère au pied de la Croix, abîmée dans Sa tristesse, et près d'Elle saint Jean, Il dit à Marie: "Femme, voilà Votre fils!" Ensuite Il dit au disciple: "Voilà votre Mère!". L'Apôtre, en cette circonstance, nous disent les saints docteurs représentait l'humanité tout entière; en ce moment solennel Marie devenait la Mère de tous les hommes, et les hommes recevaient le droit de s'appeler les enfants de Marie.
Il était juste que saint Jean, ayant participé aux souffrances de la Passion, goûtât l'un des premiers les joies pures de la Résurrection. Le jour où le Sauveur apparut sur le rivage du lac de Génésareth, pendant que les disciples étaient à la pêche, saint Jean fut le seul à Le reconnaître. "C'est le Seigneur," dit-il à saint Pierre. Jean était donc bien, tout l'Évangile le prouve, le disciple que Jésus aimait, et Il l'aimait parce qu'il était vierge. Après l'Ascension et la Pentecôte, il ne s'éloigna pas de Jérusalem aussi promptement que les autres Apôtres; il vivait dans sa maison du mont Sion, en compagnie de Marie, célébrait devant Elle le Saint Sacrifice et Lui donnait chaque matin la Sainte Communion.