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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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"Le cœur et l’intellect n’ont pas les mêmes exigences, chacun doit être nourri différemment et doit donc s’exercer différemment. Les artistes chez qui le cœur, la sensibilité est particulièrement développée, ont besoin d’être encouragés. Ils souffrent particulièrement de la critique. Combien d’artistes sont morts d’avoir été incompris !
Au contraire, être l’objet de critiques renforce les penseurs et les philosophes, car l’intellect progresse à travers les difficultés et les obstacles. Il est toujours prêt à chercher de nouveaux arguments, de nouvelles solutions, il a besoin de s’exercer et la critique lui en fournit de nombreuses occasions, les affrontements ne lui font pas peur, il est construit pour résister.
Montrez donc aux artistes que vous les appréciez, félicitez-les, mais n’applaudissez pas trop les intellectuels. Louanges et critiques, il faut savoir quand, comment et à qui les donner."
Il vole les chéquiers de ses amis et les invite au restaurant avec !
Plutôt gonflé cet escroc interpellé à Rennes. Il n’hésitait pas à voler les chéquiers de ses amis, à les inviter au restaurant et à payer avec les chèques volés !
Les policiers de la sûreté départementale interpellent un homme de 32 ans. Son signalement leur a été communiqué par des Rennais qui se sont aperçus, ces derniers jours, de la disparition de leurs chéquiers. Des victimes qui avaient justement hébergé l’homme interpellé par la police.
Grand seigneur … Et grand escroc !
Sur lui, les fonctionnaires trouveront plusieurs chèques de deux comptes différents. Ces derniers jours, il aurait émis au moins cinq chèques volés. Il n’hésitait d’ailleurs pas à jouer les grands seigneurs ! Il invitait ses amis au restaurant et payait avec les chèques qu’il leur avait subtilisés peu de temps auparavant. Un véritable virtuose de l’escroquerie. Il avait réussi à dormir dans des hôtels ou à louer une voiture sans débourser le moindre centime. Avec beaucoup de bagout, il arrivait à faire envoyer les notes à des entreprises où il est passé.
Placé en garde à vue, il devrait faire l’objet d’une procédure en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Rennes.
(Source : Ouest France)
Paris, à la recherche des vignes perdues ... La butte de Montmartre célèbre ce week-end ses 80èmes vendanges. Mais Paris accueille bien d'autres vignes, méconnues et pourtant vestiges du passé : à Bercy, Belleville ou dans le hameau de Vaugirard.
"Avant, il y avait du vin sur tout le pourtour de Paris. Il s'y produisait des petits vins de consommation courante, les transports ne permettant pas d'acheminer facilement des bouteilles du Bordelais ou du Rhône vers la capitale", raconte Jean-Pierre Langouet, chef jardinier du parc Georges Brassens.
La vigne de Montmartre est la plus ancienne : dès l'époque gallo-romaine on y trouve du raisin, raconte la Ville de Paris sur son site. Au XVIIIème siècle, les parcelles disparaissent "devant l'assaut conjugué des promoteurs immobiliers et de la concurrence des autres régions viticoles françaises".
A Belleville, ce n'est pas l'urbanisation mais la chute des prix du vin qui poussa les agriculteurs à troquer leurs vignes pour des fleurs. Même sort dans le hameau de Vaugirard, où les maraîchers remplaceront les vignerons, puis, en 1897, les abattoirs remplaceront définitivement les champs.
Pour se souvenir de ce passé, la Ville a replanté des vignes : près de 2.000 pieds à Montmartre en 1932, plus de 700 pieds dans le parc Georges Brassens (XVe arrondissement) en 1983 et 140 pieds dans le parc de Belleville (XXe) en 1992.
Même chose au parc de Bercy, où 350 pieds rappellent que, jusqu'au milieu du XXe, le vin arrivait ici par bateau.
Cultiver des vignes au milieu du béton n'est pas une mince affaire. "Dans la ville, ce n'est pas assez ventilé. Alors quand il pleut, les vignes ne sèchent pas : le risque majeur, c'est le développement de champignons", explique Jean-Pierre Langouet.
Ces vignes de la ville de Paris sont toutes vendangées. Mais seules les bouteilles de Montmartre et de Georges Brassens sont vendues, les autres jardiniers partageant leur récolte lors de différentes festivités.
Le parc Georges Brassens passe une partie de sa cave aux enchères chaque année depuis deux ans. Jean-Pierre Langouet reconnaît que ce n'est pas un grand vin, un pinot noir (rouge) qui se garde deux à trois ans et se négocie entre 8 et 25 euros, estampillé clos des Morillons, comme avant.
Outre ces vignes, officielles et bien référencées, le promeneur peut tomber, au hasard de la balade, sur des vignes, ici ou là dans la capitale. Souvent l'oeuvre de particuliers amoureux des belles et bonnes choses.
Comme dans cette vieille ruelle du XIIème arrondissement que ses habitants veulent jalousement garder secrète. Trois pieds de vigne plantés vers 1950 tapissent une partie du ciel, avec des grappes en suspension comme des lanternes.
Avant, les voisins vendangeaient pour y faire leur vin. Aujourd'hui, les raisins font le plaisir des étourneaux en décembre, "ce sont nos vendanges tardives", s'amuse une propriétaire des lieux.
Au Bistrot Melac, rue Léon Frot (XIe), "un repas sans vin est une journée sans soleil".
Ici, la vigne trône comme une auréole au dessus du restaurant et prend sa source ... dans la cave ! Une fête des vendanges se tient chaque année, le 2ème ou 3ème samedi de septembre, raconte le nouveau patron des lieux, Didier Madamour, pressé par les habitués de perpétuer la tradition viticole de la famille Melac.
Selon un couple accoudé au comptoir, le père Melac serait mort en descendant à la cave chercher une bouteille de Chablis. La légende est là !
Toutes ces vignes sont dites patrimoniales et n'ont pas le droit - sauf autorisation exceptionnelle - de commercialiser leur vin. Une association, les Vignerons franciliens réunis, milite pour obtenir "la reconnaissance de leur spécificité et la possibilité de pouvoir en retirer un revenu par des produits dérivés comme des oeuvres d'art, pour pouvoir entretenir ces parcelles", explique son président Patrice Bersac.
D'autant que leur développement progresse, à Paris, mais aussi à Marseille, Dijon ou Strasbourg, pour ne citer que les plus grandes des villes qui souhaitent renouer avec leur passé viticole.