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Juste pour le fun ... trop fort ce toutou !

Publié à 16:16 par yvonne92110 Tags : images animées trop fort ce toutou

Romantiquement vôtre ...

Publié à 16:18 par yvonne92110 Tags : belles femmes romantiquement votre

Humour ... quoique !!!

Publié à 17:38 par yvonne92110 Tags : humour quoique

Douce nuit mes petits lapins ... faites de doux reves !

Publié à 00:17 par yvonne92110 Tags : douce nuit mes petits lapins faites de doux reves

La pensée du jour ... Jeudi 17 avril 2014 !

Publié à 11:00 par yvonne92110 Tags : la pensée du jour à méditer
La pensée du jour   ...   Jeudi 17 avril 2014 !
« Quand arrive le printemps, nous commençons à nous nourrir des rayons du soleil qui se lève, car la lumière est la meilleure des nourritures. Et l’air pur, la terre qui s’éveille, les arbres alentour nous nourrissent aussi, si nous savons comment les cuisiner… Oui, les cuisiner ! Par notre pensée, par notre amour, nous pouvons faire de tous ces éléments des plats délectables.
La vie spirituelle est une nutrition. Elle est l’art de transformer tout ce que nous recevons de l’extérieur en sagesse, en bonté, en puissance, en paix. Nous contribuons à cette transformation en portant d’abord toute notre attention sur le soleil qui se lève. En retournant ensuite à nos activités quotidiennes, nous nous sentons chaque fois rassasiés et plus forts, plus riches. Oui, plus riches, car cette lumière du soleil que nous avons reçue, c’est de l’or, de l’or éthérique, et cet or vaut plus que tous les lingots entassés dans les banques, car il nous apporte la vie. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Un requin de 5 m s'échoue sur une plage bretonne !

Publié à 11:08 par yvonne92110 Tags : bretagne un requin de 5m s échoue sur une plage bret
Un requin de 5 m s'échoue sur une plage bretonne !

Capture d'écran Le Télégramme

 

Samedi 12 avril, un requin pèlerin s'est échoué sur la plage de Névez, dans le Finistère, rapporte Le TélégrammeLe specimen mesure cinq mètres et pèse pas moins de 650 kilos, mais malgré sa taille, le requin n'était encore qu'un "adolescent", puisque la taille d'un requin pèlerin adulte est d'environ 12 mètres. Par ailleurs, l'animal ne représente aucun danger pour l'homme puisqu'il se nourrit exclusivement de plancton. 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                       L'Apecs, l'Association pour l'étude et la conservation des sélaciens de Brest, et la station biologique de Concarneau ont effectué des prélévements et une autopsie sur l'animal. D'après l'autopsie, sa mort serait due à une maladie ou à une capture accidentelle mais trop longue du requin, qui aurait été remis à l'eau trop rapidement. 

 Selon l'Apecs, d'autres requins pèlerins devraient s'approcher du littoral. Un phénomène similaire s'est produit en 2010. le requin pèlerin retrouvé alors ne mesurait "que" 3,20 mètres pour 150 kilos. 

On nous appelait ... les sauvages !

Publié à 11:53 par yvonne92110 Tags : histoires vraies on nous appelait les sauvages
On nous appelait     ...    les sauvages  !
 
Dominique Rankin est homme-médecine et chef héréditaire algonquin. Victime des violences perpétrées au Canada contre les amérindiens, il a su dépasser la rancœur et la haine pour avancer vers le pardon et la réconciliation. Un parcours hors du commun.
 

Vous aimeriez, vous, qu’on vous traite de maudit sauvage ? Qu’on vous arrache à votre terre et à vos parents ? Qu’on vous oblige à renier vos origines et vos valeurs ? L’histoire paraît d’un autre temps. Le chef amérindien Dominique Rankin, pourtant, du haut de ses 67 ans, peut en témoigner. C’est l’histoire qu’il a vécue, enfant, lorsque les Blancs ont exproprié sa famille pour s’accaparer la forêt où elle vivait. Lorsqu’ils se sont retrouvés parqués à proximité de la ville, sans avoir le droit de la fréquenter. Lorsque qu’il a été envoyé de force avec cinq de ses frères et sœurs au « pensionnat des petits sauvages », confiés aux bons soins d’hommes et de femmes d’Eglise « qui ne nous aimaient pas ».

                                                                                                                                                                                                                                                                       Un processus déshumanisant :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                         « Leur but était de faire de nous des Blancs, en tuant le petit indien à l’intérieur », se souvient Dominique Rankin. Interdiction de parler l’algonquin ou de porter des vêtements traditionnels. Interdiction d’être identifié autrement que par un numéro. Interdiction de croire en autre chose que dans le Diable et le Bon Dieu… La violence est morale, mentale, mais aussi physique. Chaque pas de travers est puni par des sévices corporels et des abus sexuels, perpétrés par des hommes autant que par des femmes. « Certains missionnaires étaient bons, tient-il à nuancer, mais ils se protégeaient les uns les autres. »

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Les jeunes amérindiens sont cloîtrés, désemparés, incapables de concevoir ce qu’ils endurent et d’en parler. « Avant d’arriver là, nous ne connaissions pas la violence, rappelle Dominique Rankin. Dans notre langue, il n’y a pas de mot pour désigner le viol ; on n’en a pas besoin. » Au fil des années, les élèves se blindent, apprennent à répondre à la haine par la haine, à la violence par la violence. Après 6 ans au pensionnat, « à 14 ans, j’étais devenu dangereux, confirme le chef algonquin. Tout ce qu’on voulait, c’était faire mal », au point de s’organiser pour filer une raclée au plus sadique de leurs oppresseurs. Bilan : fracture du crâne pour l’agressé, passage devant la justice pour ses jeunes agresseurs, et là, miracle, l’oreille attentive d’un juge. Le magistrat écoute leur récit et ordonne qu’ils ne remettent jamais les pieds au pensionnat.

                                                                                                                                                                                                                                         Mais le mal est fait. « Nous avions appris à ne pas nous aimer, à ne pas aimer nos parents et à détester les Blancs », indique Dominique Rankin. Comme bien des siens, il sombre alors dans l’alcool et l’errance, jusqu’au jour où sa mère vient le chercher dans le parc où il a échoué. Sans un pourquoi, juste pour le ramener chez lui, à lui – car « pas de réconciliation possible avec les autres sans réconciliation, d’abord, avec soi-même ».

                                                                                                                                                                                                     Retour à soi :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   Au contact de sa terre, des anciens et de leurs enseignements, Dominique Rankin retrouve ses esprits.« Dans la nature, tu as l’esprit et le cœur libres, estime-t-il. En observant les arbres, les plantes, les animaux, en les écoutant, tu reçois de purs enseignements. Quand je suis retourné dans la forêt, je suis redevenu moi ; non plus l’enfant du pensionnat mais celui de la forêt », que ses aînés avaient reconnu dès l’âge de 7 ans comme un futur homme-médecine.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                    « Le pensionnat avait fait de moi un objet, une victime. » Au gré des initiations, au contact des anciens et du monde spirituel, il lâche prise de la violence et de la rancœur qui le rongeait. « Pendant des années, j’ai jugé : l’Eglise, les religieux, les Blancs. Dans ma tête, c’est tout ce monde-là qui m’avait violé. Mais ce n’est pas vrai ; c’est simplement l’homme et la femme malades ». La force de Dominique Rankin est d’avoir pris conscience que « l’autre » n’est pas « tous les autres ». Que le bourreau peut être aussi victime : d’un système, d’un schéma de pensée, d’un problème ou d’une pathologie personnelle… Et qu’il avait en lui la possibilité de recouvrer sa liberté d’être. « Ma chance est d’avoir eu des bases solides, dit-il. Merci à mes ancêtres, merci au grand esprit ! J’ai simplement eu à aller rechercher ce que j’avais délaissé. »

                                                                                                                                                                                                                      Dominique Rankin est devenu un exemple. Son témoignage a permis à d’autres de s’ouvrir et de faire le chemin. En tant que chef politique, il a œuvré pour l’affirmation et la reconnaissance de la culture amérindienne. Aujourd’hui, il se consacre à son rôle d’homme-médecine et de leader spirituel, tant pour les siens que pour les Blancs qui, de plus en plus, font la démarche de venir à lui pour bénéficier de sa sagesse et de ses enseignements. « Aujourd’hui, j’aime le monde, conclut-il. Avant je le détestais. » Mais impossible d’oublier. Le processus de guérison est quotidien. Tous les jours, il doit, nous devons tous, dépasser nos peurs et nos conditionnements pour faire l’effort de « nous trouver comme humains » et travailler, ensemble, au rassemblement.

                                                                                                                                                                                                                (Source : INREES)

                                                                                                                                                                                                                                                                                                           Rencontres avec Dominique Rankin en Europe

 On nous appelait les sauvages, Dominique Rankin              Marie-Josée Tardif.
  Le jour (Mars 2012 : 160 pages

La start-up qui photographie nos légumes qui poussent !

Publié à 12:05 par yvonne92110 Tags : inventions la start up qui photographie nos légumes
La start-up qui photographie nos légumes qui poussent !
  
Cette jeune entreprise propose de cultiver son propre potager à distance, d’observer ses plants pousser et de recevoir les fruits et légumes une fois récoltés.

 

Alors que de plus en plus de personnes se tournent vers une agriculture de proximité, MonPotager surfe sur cette vague et propose de cultiver son propre potager à distance. " Le concept est tout simple, annonce Thierry Desforges. Je choisis la taille de ma parcelle, je sélectionne les espèces, je les vois pousser grâce à des notifications et des photos qui me sont envoyées, puis je reçois mes fruits et légumes ".

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Un projet pour locavores :

                                                                                                                                                                                       Installée dans les régions parisiennes et lyonnaises, la start-up propose des abonnements mensuels dont les prix varient selon la taille de la parcelle. Les récoltes sont ensuite envoyées aux consommateurs au fil des saisons dans des points relais. " Nous garantissons à nos clients un rendement minimum, et tous les maraîchers avec lesquels nous travaillons ont été rigoureusement sélectionnés " affirme le jeune fondateur.

                                                                                                                                                                                                                                      Adapté aux " locavores ", MonPotager cherche avant tout à raccourcir les circuits de distribution, en produisant principalement à proximité. Les potagers virtuels des abonnés parisiens sont ainsi remplis avec des produits cultivés en Ile-de-France. " Bien évidemment, les produits nécessitant un climat plus chaud font figure d’exception " nuance Thierry Desforges.

                                                                                                                                                                                                                             Une idée qui a germé …

Fils d’agriculteur, le fondateur de MonPotager a passé dix ans en tant que directeur marketing dans l’industrie. Le lien avec la terre ne s’étant jamais rompu, et voyant la retraite de son père incertaine, il commence fin 2010 à imaginer un système permettant d’utiliser au mieux les exploitations maraîchères, en respectant les nouvelles attentes des consommateurs.

                                                                                                                                                                                                                                     " J’ai rencontré plus de 150 personnes, afin de savoir ce qu’ils recherchaient véritablement, raconte Thierry Desforges. Beaucoup souhaitaient cultiver leur propre potager, mais savaient que cela n’était pas réalisable en ville. " Le futur dirigent réalise alors une étude de marché, qui va confirmer son intuition, et fonde officiellement MonPotager en juin 2013, notamment grâce à un prêt bancaire et un prêt d’honneur octroyé avec le Réseau Entreprendre.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                           … et mûrit doucement :

                                                                                                                                                                                                                                     Avec 1 900 inscrits sur le site, dont 200 abonnés, le fondateur de MonPotager considère 2014 comme une année de test. . " Nous sommes en train de développer une interface permettant aux consommateurs de troquer leurs fruits et légumes " annonce ce dernier. Ambitieuse, la start up espère 1.000 souscriptions d’ici fin 2014, et couvrir l’ensemble de l’hexagone en 2016. De nombreux projets de partenariats sont également dans les cartons, notamment avec la Ruche Qui Dit Oui, réseau de distribution de produits locaux, et une entreprise de robotique, dans le but d’automatiser la prise de photos des plants envoyées aux clients.

                                                                                                                                                                                                                               Ce dernier avoue cependant que les fruits et légumes reviennent entre 10% et 15% plus cher que via d’autres canaux de distribution, " le prix à payer pour des produits de qualité supérieure " justifie Thierry Desforges. Avec la baisse de pouvoir d’achat, reste à savoir si la frilosité des ménages ne va pas geler les récoltes espérées par MonPotager.

                                                                                                                                                                                                                                                                 (Source : L’Express)

Les poissons perdent leur instinct de survie !

Publié à 12:16 par yvonne92110 Tags : animaux les poissons perdent leur instinct de survie
Les poissons perdent leur instinct de survie !
 Les poissons perdent leur instinct de survie, allant même jusqu’à être attirés par leurs prédateurs, au fur et à mesure de l’acidification des océans causée par le réchauffement climatique, avance une étude publiée lundi. Des travaux menés au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée dans des récifs coraliens dotés d’eaux plus acides que la moyenne en raison d’une activité volcanique sous-marine, ont montré un comportement à risque des poissons.

                                                                                                                                                                                                                                                               "Les poissons évitent en général l’odeur d’un prédateur, ce qui est logique", note le profeseur Philip Munday, de l’université australienne James Cook. Mais les poissons dans ces eaux acides "commencent à être attirée par cette odeur, ce qui est incroyable". "Ils nageaient par ailleurs plus loin de leur abri, ils étaient plus actifs (…), accroissant ainsi le risque pour leur survie car ils sont plus facilement repérables par un prédateur", a ajouté après de l’AFP le scientifique, dont l’étude est publiée dans la revue Nature Climate Change.

                                                                                                                                                                                                               Quelque 30% du dioxide de carbone relâché dans l’atmosphère est absorbé par l’océan, ce qui accroit l’acidité des eaux. Les eaux étudiées dans le cadre de cette étude ont un taux d’acidité comparable au taux prévu à la fin du siècle dans la plupart des mers du monde.

                                                                                                                                                                                                                                         Selon Philip Munday, les poissons semblent avoir échoué à s’adapter aux conditions d’acidité, bien qu’ils vivent dans ce milieu depuis leur naissance. "Ils ne semblent pas s’adapter pendant leur durée de vie", souligne le scientifique. Les recherches ont été menées par le centre de recherches sur les coraux de l’université James Cook, l’Institut australien de science marine, la Société nationale de géographie et l’Institut de technologie de Georgie.

                                                                                                                                                                                                                                                                   (Source : AFP)

C'est la FETE ... des Secrétaires !

Publié à 12:44 par yvonne92110 Tags : bonne fete 17 avril à toutes les secrétaires
C'est la FETE       ...      des Secrétaires  !
C'est la FETE ... des Secrétaires !
  •                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          La fête des secrétaires, quoi que l’on en dise, est une bonne occasion de préparer une petite surprise et d’en profiter pour créer une petite animation au sein d’une équipe.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            C’est surtout le bon moment d’organiser un moment convivial et de remercier votre collègue de travail qui vous aide au quotidien. Que vous l’organisiez au sein du service ou que vous en cherchiez un de votre côté vous devriez trouver un cadeau Fête des secrétaires qui devrait lui plaire parmi cette sélection de petites trouvailles.

                                                                                                                                                                                                                                                            Une de mes idées favorites pour la fête des secrétaires est d’offrir une jolie plante à faire pousser au coin de son bureau. Il y a notamment ces très jolis « eggling », ces plantes soigneusement cachées dans un œuf de céramique. Une jolie manière de fêter le printemps !

                                                                                                                                                                                                                                          Peut-être aime-t-elle le café ou le thé ? Car il y a toute une série de jolies idée cadeaux autour de ces univers : de l’ingénieux stick à thé, au très design mug objectif photo … Elle poura l’arborer fièrement à chaque petite pause café !

                                                                                                                                                                                                                        Donc plus d’excuses, vous trouverez forcément le petit cadeau fête des secrétaires idéal dans cette sélection !

                                                                                                                                                                                                                                                                                 Du joli bouquet de fleurs qui lui fera forcément plaisir et qui embellira son espace de travail, à la petite trouvaille rigolote pour son bureau, vous trouverez quelques jolies pistes.

                                                                                                                                                                                                                                                                           - BON A SAVOIR  :  " La fête des secrétaires est née en 1951 aux États-Unis pour pallier la pénurie nationale en personnel de bureau qualifié. A l’initiative de la campagne de sensibilisation, Mary Barrett, Présidente de l'Association Nationale des Secrétaires des États-Unis (National Secretaries Association) et C. King Woodbridge, Président de Dictaphone Corporation, avec l'aide d'Harry Klemfuss, consultant en relations publiques chez Young & Rubicam ".

                                                                                                                                                                                                                             (Wikipédia)