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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
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· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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Un menhir - du breton men signifiant pierre et hir signifiant long - est un monument mégalithique composé d'une seule pierre, taillée ou brute, petite ou grande et posée verticalement. Les menhirs sont également qualifiés de monolithes. Ils peuvent être disposés seuls ou en groupe. Lorsqu'ils sont arrangés en files, on parle d'alignements. Ceux-ci peuvent s'étendre sur plusieurs kilomètres.
On trouve des menhirs dans différents endroits du monde : en Europe de l'Ouest, en Asie ou en Afrique notamment. Ils semblent avoir été érigés dès 6.500 ans avant J.-C. et jusqu'au premier millénaire de notre ère. L'essentiel des menhirs aurait été déposé à l'époque du néolithique.
Différentes formes de menhirs :
Les menhirs ne sont pas tous de grandes pierres pointues comme celles que taille et livre le célèbre Obélix. Ils peuvent être plan-convexes, en triangle, en trapèze ou en ovale. Des formes variées qui correspondraient à des usages différents. Ainsi les menhirs plan-convexes semblent surtout utilisés pour marquer l'entrée de dolmens. Ils sont alors placés avec grande précision pour permettre au rayon du soleil levant, au solstice ou à l'équinoxe, d'éclairer le fond de la chambre du dolmen. Les menhirs triangulaires indiquent plutôt des routes ou des directions et les menhirs ovales, une frontière ou le lieu d'un événement.
Légende de la Dame Blanche ...
La Coccinelle & Le Chardonneret ...
Au cours d'une journée d'ombre et de lumière
Un élégant chardonneret robe châtain
Se tenait sur un néflier vert de satin
Assistant l'orée pourpre des roses trémières
Éclaireur des aurores aux rosées exquises
De son bec avait-il tant piqué de cerises
Qu'il en avait le collier tout rouge de varves
Fort en était repu à ne point chercher larves
Encore à moité endormi sur son perchoir
Gaillardement concentré sur la digestion
Quelle ne fut une surprise le faire choir
De voir en les thyrses autre coloration
Ordinairement bête à bon dieu la suivait
Des yeux parcourant inlassablement les tiges
A la recherche de pucerons de voltige
Ce jour était fleur parmi les fleurs enclavée
Demoiselle coccinelle fixait l'oiseau
D'un regard enfoui au plus profond de ses larmes
Elle pleurait l'implorant non de lever son arme
Mais d'accompagner son âme à l'eau de roseau
Le gracieux la prit en pitié de s'enquérir
Qu'elle avait peur sans délai de devoir mourir
Sentiment jusqu'alors inconnu mais sans rire
Susurré par un puceron vengeant son ire
Lui signifia qu'il l'épargnerait bien content
De la savoir promue au rang des espèces
Évoluées escomptant trépas aux pièces
Et pires inquiétudes pour solde au comptant
Mignonne éplorée s'enquit alors de savoir
Comment rois du monde de cent ans d'existence
Pouvaient telle catastrophe au futur avoir
Sans en charrier de sang noir visqueux par avance
Nos amis humains érigent des religions
Inventent poèmes ou se laissent aller
À faire et refaire le monde ils sont légions
À vouloir sur tout ou rien toujours s’étaler
Telle est la glorieuse harmonie de la nature
Conclut-il d'un fluide gazouillis tendu
Et qu'il valait peut-être mieux finir mature
Plutôt qu'entendre le cri amer des pendus...
Ecrit par Anita Smb
Tous Droits réservés ©
« Non seulement le plaisir n’est pas le bonheur, mais c’est souvent la recherche acharnée du plaisir qui empêche de trouver le bonheur. Le plaisir est une sensation momentanément agréable qui pousse les humains à croire qu’en la prolongeant le plus longtemps possible, ils seront heureux. Eh bien, non. Pourquoi ? Parce que ces activités qui leur procurent rapidement et facilement une sensation agréable ne se situent pas, la plupart du temps, sur un plan très élevé : elles ne touchent que le corps physique, peut-être le cœur et un peu l’intellect. Or, on ne peut pas être heureux quand on cherche à satisfaire uniquement le corps physique, le cœur ou même l’intellect, car ce sont des satisfactions limitées et éphémères. Contrairement au plaisir, le vrai bonheur n’est pas une sensation de l’instant, il concerne la totalité de l’être, c’est-à-dire aussi l’âme et l’esprit. Quelqu’un ou quelque chose vous plaît, vous semble attirant, sympathique ? Ne vous précipitez pas. Utilisez ces critères et demandez-vous si c’est vraiment là que vous trouverez le bonheur. » |
Omraam Mikhaël Aïvanhov |
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Un homme de 93 ans s’enfuit de sa maison de retraite pour un rendez-vous romantique ♥ ♥
Dans les Côtes-d’Armor, à Pléneuf-Val-André un nonagénaire fougueux a quitté discrètement sa maison de retraite pour aller retrouver l’élue de son cœur, provoquant ainsi la panique de la famille et du personnel de l’établissement.
On le sait tous, l’amour n’a pas d’âge et un grand-père breton de 93 ans l’a encore prouvé. Comme chaque semaine, la petite fille de celui-ci est venue lui rendre visite dans sa maison de retraite « Les Jardins d’Arcadie » de Pléneuf-Val-André. Lorsque la petite fille de l’homme entre dans sa chambre, il n’est plus là comme le rapporte "France Bleu".
Le personnel de la maison de retraite se met alors à chercher le grand-père disparu partout. Finalement la famille appellera les gendarmes pour leur signaler la disparition de l’homme. Prévenu que le nonagénaire portait un jean, un gilet sans manche de couleur bleue et une casquette au moment de sa disparition les forces de l’ordre le retrouveront très rapidement à quelques mètres de la résidence, en plein centre-ville et en parfaite santé : avec sa petite amie.
" Ils se promenaient dans le parc bras dessus, bras dessous " confirment les gendarmes. Plus de peur que de mal pour cette famille qui se réjouira probablement de cette nouvelle histoire d’amour !
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Lille : arrêté pour polygamie, il avait 19 femmes ...
C’est une des pires affaires de polygamie que viennent de résoudre les forces de l’ordre en arrêtant un homme de 43 ans marié pas moins de 19 fois. Celui que nous appellerons Rocco, afin de préserver son anonymat, serait aussi le père de 47 enfants qu’il aurait eus avec ses différentes épouses.
Étrangement, aucune des femmes avec qui il est passé devant Monsieur le Maire, ne se sont doutés une seule seconde que depuis une vingtaine d’années, leur tendre chéri ne vivait que de mensonges et de tromperies, et ce, jusqu’à sa dernière épouse. En effet, ses multiples vies auraient encore pu durer des années s’il n’avait pas choisi de se marier, le 26 juin dernier, avec la jeune Angela (nom d’emprunt), inspectrice des impôts. Cette dernière, très certainement suite à une déformation professionnelle, s’est montrée beaucoup plus sceptique que les autres victimes quant à l’activité professionnelle de Rocco, seulement quelques jours après leur lune de miel. C’est la raison pour laquelle elle a engagé un détective privé pour savoir si oui ou non, son homme était bien Agent Secret comme il le prétendait. Heureusement, il n’aura fallu que deux petites semaines à l’enquêteur pour découvrir le pot au roses.
“Je sentais bien qu’il me cachait quelque chose et que son vrai prénom n’était pas James” a indiqué la pauvre femme à la police venue l’interroger. “Lorsque le détective m’a montré les photos de toutes ses femmes et ses enfants, je me suis presque évanouie. Jamais je n’aurais pu imaginer une telle chose de lui ! Cet homme est un véritable psychopathe qui doit être immédiatement enfermé avant qu’il ne blesse plus de femmes !”
Selon le porte-parole de la police, Rocco a utilisé un grand nombre de fausses identités afin de pouvoir se marier sans se faire remarquer. La fouille de son véhicule a révélé des centaines de faux documents, fausses cartes d’identités, certificats de naissance, cartes bancaires, permis de conduire, numéros de sécurité sociale, etc.
Chômeur depuis 2003, le Lillois a toujours prétendu avoir une activité professionnelle très prenante, afin de pouvoir justifier ses très nombreuses absences des domiciles familiaux. Entre autres, il se présentait comme étant agent secret, explorateur des fonds marins, chercheur dans une base secrète en Antarctique, testeur de choux au Guatemala, astronaute, et même voyageur temporel ! Ses histoires étaient si bien rodées que les différentes épouses n’y ont vu que du feu.
Cependant, la loi Française, qui inclut des sanctions envers les fraudeurs pratiquant la polygamie jusqu’à 15 épouses, risque fort de se trouver dans l’incapacité constitutionnelle de pouvoir juger un tel cas. C’est pourquoi Rocco ne risquerait, finalement, pas grand-chose pénalement grâce à son dépassement du quota. Toutefois, les 19 femmes trompées ont promis de l’attendre à la sortie du poste de police avec leur rouleau à pâtisserie … Un léger mauvais moment à passer en quelque sorte, mais heureusement que la loi est là pour servir ses citoyens et il pourra ainsi porter plainte pour coups et blessures …
Des scènes miniatures dans des fournitures de bureau ...
Le photographe Derrick Lin se sert uniquement d’un iphone, de l’éclairage de son bureau et d’une variété de petites figurines pour recréer ces scènes célèbres ou visions personnelles, qui sont comme autant de commentaires visuels sur la vie de bureau.
Beaucoup des photos qui composent ce travail ont été rassemblées dans un livre à paraître cet automne intitulé « Work, figuratively speaking : the big setbacks and little victories of office life« . (Le travail, au sens figuré : les grosses déceptions et les petites victoires de la vie de bureau »).
(On peut en voir plus sur sa page instagram).
Automne ...
Le vent tourbillonnant, qui rabat les volets,
Là-bas tord la forêt comme une chevelure.
Des troncs entrechoqués monte un puissant murmure
Pareil au bruit des mers, rouleuses de galets.
L’Automne qui descend les collines voilées
Fait, sous ses pas profonds, tressaillir notre coeur ;
Et voici que s’afflige avec plus de ferveur
Le tendre désespoir des roses envolées.
Le vol des guêpes d’or qui vibrait sans repos
S’est tu ; le pêne grince à la grille rouillée ;
La tonnelle grelotte et la terre est mouillée,
Et le linge blanc claque, éperdu, dans l’enclos.
Le jardin nu sourit comme une face aimée
Qui vous dit longuement adieu, quand la mort vient ;
Seul, le son d’une enclume ou l’aboiement d’un chien
Monte, mélancolique, à la vitre fermée.
Suscitant des pensées d’immortelle et de buis,
La cloche sonne, grave, au coeur de la paroisse ;
Et la lumière, avec un long frisson d’angoisse,
Ecoute au fond du ciel venir des longues nuits…
Les longues nuits demain remplaceront, lugubres,
Les limpides matins, les matins frais et fous,
Pleins de papillons blancs chavirant dans les choux
Et de voix sonnant clair dans les brises salubres.
Qu’importe, la maison, sans se plaindre de toi,
T’accueille avec son lierre et ses nids d’hirondelle,
Et, fêtant le retour du prodigue près d’elle,
Fait sortir la fumée à longs flots bleus du toit.
Lorsque la vie éclate et ruisselle et flamboie,
Ivre du vin trop fort de la terre, et laissant
Pendre ses cheveux lourds sur la coupe du sang,
L’âme impure est pareille à la fille de joie.
Mais les corbeaux au ciel s’assemblent par milliers,
Et déjà, reniant sa folie orageuse,
L’âme pousse un soupir joyeux de voyageuse
Qui retrouve, en rentrant, ses meubles familiers.
L’étendard de l’été pend noirci sur sa hampe.
Remonte dans ta chambre, accroche ton manteau ;
Et que ton rêve, ainsi qu’une rose dans l’eau,
S’entr’ouvre au doux soleil intime de la lampe.
Dans l’horloge pensive, au timbre avertisseur,
Mystérieusement bat le coeur du Silence.
La Solitude au seuil étend sa vigilance,
Et baise, en se penchant, ton front comme une soeur.
C’est le refuge élu, c’est la bonne demeure,
La cellule aux murs chauds, l’âtre au subtil loisir,
Où s’élabore, ainsi qu’un très rare élixir,
L’essence fine de la vie intérieure.
Là, tu peux déposer le masque et les fardeaux,
Loin de la foule et libre, enfin, des simagrées,
Afin que le parfum des choses préférées
Flotte, seul, pour ton coeur dans les plis des rideaux.
C’est la bonne saison, entre toutes féconde,
D’adorer tes vrais dieux, sans honte, à ta façon,
Et de descendre en toi jusqu’au divin frisson
De te découvrir jeune et vierge comme un monde !
Tout est calme ; le vent pleure au fond du couloir ;
Ton esprit a rompu ses chaînes imbéciles,
Et, nu, penché sur l’eau des heures immobiles,
Se mire au pur cristal de son propre miroir :
Et, près du feu qui meurt, ce sont des Grâces nues,
Des départs de vaisseaux haut voilés dans l’air vif,
L’âpre suc d’un baiser sensuel et pensif,
Et des soleils couchants sur des eaux inconnues…
Albert Samain - Le chariot d’or - (Magny les Hameaux, octobre 1894).