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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
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· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Paris prend la pose ...
"Que de problèmes nous pose chaque jour la coexistence de nos deux natures, supérieure et inférieure ! C’est pourquoi quand notre nature supérieure nous encourage à nous conduire honnêtement, à faire des efforts, on doit aussi veiller à ce que la nature inférieure n’en soit pas informée, afin qu’elle ne vienne pas dresser des obstacles. C’est un principe de stratégie : les généraux qui mettent au point des plans de bataille ne les étalent pas partout, car si l’ennemi en avait connaissance il préparerait une riposte. De même, quand la nature supérieure fait des projets, il faut qu’elle les protège des manœuvres de la nature inférieure.
Mais si la nature inférieure doit ignorer ce que fait la nature supérieure, en revanche, la nature supérieure doit surveiller la nature inférieure afin de déjouer ses pièges, car elle est sans cesse occupée à fomenter des affaires louches. Il est donc nécessaire de garder constamment notre nature supérieure en éveil, afin qu’elle observe ce qui se passe et intervienne, au besoin, pour remettre de l’ordre. "
Travail de mémoire ... Chute du mur de Berlin !
Étoile sur les Ambulances - Dite « Étoile de vie » ...
Amérique : Léo R. SCHWARTZ a donc conçu cette étoile à six branches, dont chacune représente l’une des missions de l’urgence médicale : repérage, alerte, intervention, secours sur place, soins en cours de transport et transfert au service hospitalier.
Elle est arrivée en France, depuis les années 1970.
"Dans les temps anciens, il était de tradition que des prêtres et des prêtresses aient pour unique fonction d’entretenir dans les temples un feu qui ne devait jamais s’éteindre. Le feu, la flamme, la lumière dans les sanctuaires rappellent la présence de la Divinité dans l’univers, mais aussi en l’homme. Ce feu, en l’homme, c’est l’amour qui, à l’image du soleil, doit sans cesse brûler dans son cœur, et il est alimenté par le sacrifice.
Qu’est-ce que le sacrifice ? Une transmutation. Seul celui qui sait faire des sacrifices possède le secret de la transmutation de la matière, qui est la condition même de la vie. Cette transmutation de la matière ne peut se faire que par le feu, et surtout par le feu spirituel de l’amour. La vie n’est possible que grâce au sacrifice, grâce à l’amour. Partout, depuis les pierres jusqu’aux étoiles, l’amour soutient la charpente de l’univers ; si l’amour disparaissait, notre corps même tomberait en poussière. Et c’est grâce à l’amour, grâce aux sacrifices des humains les uns pour les autres, que les familles et les nations peuvent aussi subsister. L’amour est la plus grande force de l’univers."
Pino Daeni, né le 8 novembre 1939 à Bari en Italie et mort le 25 mai 2010 dans le New Jersey aux États-Unis, est un illustrateur de livres et un artiste italo-américain. Il est connu pour son style et ses représentations de femmes sensuelles et romantiques ou d'hommes puissants peints à l’aide de traits légers mais précis. Considéré comme l'un des illustrateurs de livres les mieux payés de son temps, il a créé plus de 3 000 couvertures de livres, affiches de films et des illustrations de magazines.
Voyage à travers les siècles ...
"Une religion n’est qu’une forme que prend l’esprit divin pour se manifester. Or, aucune forme ne peut demeurer inchangée. Le christianisme, qui est né dans le Moyen Orient, a reçu dès le début certains éléments des cultures grecque et latine ; ces éléments se sont ajoutés à ceux hérités de la religion juive, qui avait elle-même été influencée par les religions des pays voisins : Egypte, Mésopotamie, etc. Une religion ne naît jamais de rien, elle reçoit certains éléments de religions antérieures, et elle-même se transforme au fur et à mesure de sa diffusion loin de son lieu d’origine.
Bien qu’ils conservent et étudient toujours les mêmes textes sacrés, il y a une distance de plus en plus grande entre ce que les personnes lisent et la manière dont elles comprennent et ressentent ces textes. L’évolution est la loi de la vie, c’est pourquoi il n’est pas raisonnable de s’acharner à éterniser la forme d’une religion quelle qu’elle soit, il faut seulement veiller à ce qu’elle soit toujours vivifiée par l’esprit."
Lundi 11 novembre 1918, 11 heures : dans toute la France, les cloches sonnent à la volée.
Au front, les clairons bondissent sur les parapets et sonnent le « Cessez-le-Feu », « Levez-vous », « Au Drapeau ». La « Marseillaise » jaillit à pleins poumons des tranchées. Même soulagement en face, dans le camp allemand.
Pour la première fois depuis quatre ans, Français et Allemands peuvent se regarder sans s'entretuer. Un armistice (arrêt des combats) a été conclu le matin entre les Alliés et l'Allemagne, dernière des Puissances Centrales à rendre les armes. Il laisse derrière lui huit millions de morts et six millions de mutilés.
Les survivants ont perdu la foi dans les valeurs morales et spirituelles qui ont fait la grandeur et l'unité de l'Europe. Mais ils veulent croire que cette guerre qui s'achève restera la dernière de l'Histoire, la « der des der »...
Dès l'échec de leur contre-offensive de juillet 1918, les Allemands ont compris qu'ils n'avaient plus aucun espoir d'arracher la victoire.
C'est que les troupes américaines, fortes de quatre millions d'hommes, arrivent en renfort des Anglais et des Français.
Le 3 octobre, l'empereur Guillaume II nomme à la chancellerie (la direction du gouvernement) le prince Max de Bade. Il espère que cet homme modéré saura obtenir des conditions de paix convenables de la part des Alliés.
Cela devient urgent car l'Allemagne bascule dans l'anarchie et la guerre civile cependant que ses alliés cessent les combats et signent l'un après l'autre des armistices.
Les militaires s'étant défaussés, c'est à un civil, Matthias Erzberger, que revient la pénible tâche de négocier l'armistice.
En France, la demande d'armistice fait débat. Le président de la République Raymond Poincaré et le général Philippe Pétain voudraient profiter de l'avantage militaire pour chasser les Allemands de Belgique, envahir l'Allemagne elle-même et signifier à celle-ci l'étendue de sa défaite.
Mais le généralissime des troupes alliées, Ferdinand Foch, et le chef du gouvernement, Georges Clemenceau, ne croient pas l'armée française capable de se battre encore longtemps et souhaitent en finir au plus vite.
L'armistice est signé dans le wagon spécial du généralissime Foch, au carrefour de Rethondes, au milieu de la forêt de Compiègne, le 11 novembre à 5h15 du matin.
Les Français ne manquent pas de noter que ce jour est la fête du saint patron de leur pays, Saint Martin, alors très populaire.
Les Allemands se voient soumettre des « conditions » sans aucune marge de négociation :
– Ils doivent livrer l'essentiel de leur armement, de leur aviation et de leur flotte de guerre.
– Leur armée est sommée d'évacuer sous 30 jours la rive gauche du Rhin (en Allemagne même) ainsi que trois têtes de pont sur la rive droite, Coblence, Cologne et Mayence.
L'armistice est conclu pour 36 jours, mais sera régulièrement renouvelé jusqu'au traité de paix du 28 juin 1919.
La demande d'armistice étant venue des représentants civils et non militaires de l'Allemagne, ces derniers échappent à l'infâmie de la défaite. À Berlin, les représentants de la jeune République accueillent les combattants en ces termes : « Soldats qui revenez invaincus »
Dans les mois qui suivent l'armistice, les généraux Ludendorff et Hindenburg attribuent avec aplomb la défaite militaire à un « coup de poignard dans le dos » de la part des politiciens et des bourgeois cosmopolites. L'expression est reprise avec ferveur par les Allemands meurtris et humiliés. Elle va faire le lit des partis ultranationalistes, dont le parti nazi.
L’armistice de 1918, signé le 11 novembre 1918 à 5h15, marque la fin des combats de la Première Guerre mondiale (1914-1918), la victoire des Alliés et la défaite totale de l'Allemagne, mais il ne s'agit pas d'une capitulation au sens propre.
Le cessez-le-feu est effectif à onze heures , entraînant dans l'ensemble de la Francedes volées de cloches et des sonneries de clairons annonçant la fin d'une guerre qui a fait plus de 8 millions de morts, d'invalides et de mutilés. Les généraux allemands et alliés se réunissent dans un wagon-restaurant aménagé provenant du train d'État-Major du maréchal Foch, dans la clairière de Rethondes, en forêt de Compiègne.
Plus tard, le 28 juin 1919, à Versailles, sera signé le traité de paix de Versailles, qui met réellement fin à l'état de guerre.