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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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NUIT ... origine et signification !
Si vous ne connaissez pas l’origine et la signification du mot : NUIT, en voici l’explication :
Dans de nombreuses langues européennes, le mot NUIT est formé par la lettre « N » et suivi du numéro 8 dans la langue respective du pays. La lettre « N », est le symbole mathématique de l’infini, et le nombre 8 symbolise aussi l’infini.
Ainsi, dans toutes les langues, NUIT signifie l’union de l’infini ! (N + 8)
Quand ce fait a été découvert, il est apparu évident que l’on ne comprenait pas comment on ne l’avait pas remarqué avant.
Et voici quelques exemples :
Portugais : ........ noite = n + oito (8)
Anglais : ............ night = n + eight (8)
Allemand : ........ nacht = n + acht (8)
Espagnol : ......... noche = n + ocho (8)
Italien : .............. notte = n + otto (8)
Français : .......... nuit = n + huit (8)
INTÉRESSANT .... à savoir !
Heureux celui qui transmet le savoir et qui vous conseille au moins 8 heures de sommeil ...
Et comme le disait Raymond DEVOS : « Ne pas dormir la nuit ... NUIT ! »
La petite fille aux allumettes !
Il faisait effroyablement froid ; il neigeait depuis le matin ; il faisait déjà sombre ; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue : elle n'avait rien sur la tête, elle était pieds nus. Lorsqu'elle était sortie de chez elle le matin, elle avait eu de vieilles pantoufles beaucoup trop grandes pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu'elle eut à se sauver devant une file de voitures ; les voitures passées, elle chercha après ses chaussures ; un méchant gamin s'enfuyait emportant en riant l'une des pantoufles ; l'autre avait été entièrement écrasée.
Voilà la malheureuse enfant n'ayant plus rien pour abriter ses pauvres petits petons. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes : elle en tenait à la main un paquet. Mais, ce jour, la veille du nouvel an, tout le monde était affairé ; par cet affreux temps, personne ne s'arrêtait pour considérer l'air suppliant de la petite qui faisait pitié. La journée finissait, et elle n'avait pas encore vendu un seul paquet d'allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.
Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières : de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur, celle de l'oie, qu'on rôtissait pour le festin du soir : c'était la Saint-Sylvestre. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.
Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d'allumettes, l'enfant aperçoit une encoignure entre deux maisons, dont l'une dépassait un peu l'autre. Harassée, elle s'y assied et s'y blottit, tirant à elle ses petits pieds : mais elle grelotte et frissonne encore plus qu'avant et cependant elle n'ose rentrer chez elle. Elle n'y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la battrait.
L'enfant avait ses petites menottes toutes transies.»Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts ?» C'est ce qu'elle fit. Quelle flamme merveilleuse c'était ! Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d'ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s'éteignit brusquement : le poêle disparut, et l'enfant restait là, tenant en main un petit morceau de bois à moitié brûlé.
Elle frotta une seconde allumette : la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente. Derrière, la table était mise : elle était couverte d'une belle nappe blanche, sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine. Au milieu, s'étalait une magnifique oie rôtie, entourée de compote de pommes : et voilà que la bête se met en mouvement et, avec un couteau et une fourchette fixés dans sa poitrine, vient se présenter devant la pauvre petite. Et puis plus rien : la flamme s'éteint.
L'enfant prend une troisième allumette, et elle se voit transportée près d'un arbre de Noël, splendide. Sur ses branches vertes, brillaient mille bougies de couleurs : de tous côtés, pendait une foule de merveilles. La petite étendit la main pour saisir la moins belle : l'allumette s'éteint. L'arbre semble monter vers le ciel et ses bougies deviennent des étoiles : il y en a une qui se détache et qui redescend vers la terre, laissant une traînée de feu.
«Voilà quelqu'un qui va mourir» se dit la petite. Sa vieille grand-mère, le seul être qui l'avait aimée et chérie, et qui était morte il n'y avait pas longtemps, lui avait dit que lorsqu'on voit une étoile qui file, d'un autre côté une âme monte vers le paradis. Elle frotta encore une allumette : une grande clarté se répandit et, devant l'enfant, se tenait la vieille grand-mère.
- Grand-mère, s'écria la petite, grand-mère, emmène-moi. Oh ! tu vas me quitter quand l'allumette sera éteinte : tu t'évanouiras comme le poêle si chaud, le superbe rôti d'oie, le splendide arbre de Noël. Reste, je te prie, ou emporte-moi.
Et l'enfant alluma une nouvelle allumette, et puis une autre, et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand-mère le plus longtemps possible. La grand-mère prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut, en un lieu où il n'y avait plus ni de froid, ni de faim, ni de chagrin : c'était devant le trône de Dieu.
Le lendemain matin, cependant, les passants trouvèrent dans l'encoignure le corps de la petite ; ses joues étaient rouges, elle semblait sourire ; elle était morte de froid, pendant la nuit qui avait apporté à tant d'autres des joies et des plaisirs. Elle tenait dans sa petite main, toute raidie, les restes brûlés d'un paquet d'allumettes.
- Quelle sottise ! dit un sans-coeur. Comment a-t-elle pu croire que cela la réchaufferait ? D'autres versèrent des larmes sur l'enfant ; c'est qu'ils ne savaient pas toutes les belles choses qu'elle avait vues pendant la nuit du nouvel an, c'est qu'ils ignoraient que, si elle avait bien souffert, elle goûtait maintenant dans les bras de sa grand-mère la plus douce félicité.
(Conte de Hans Christian Andersen)
L’Évolution de l’homme se fait uniquement sur la terre - "Il n’existe pas pour les pécheurs un lieu de châtiments éternels, et ce que les chrétiens ont appelé l’Enfer est une invention. Seul existe le Purgatoire qui est, comme son nom l’indique, la région où, pendant un temps plus ou moins long, l’homme va « se purger » de ses fautes, c’est-à-dire se laver, se purifier ; et cette purification s’accompagne évidemment de souffrances.Mais l’évolution de l’être humain ne s’arrête pas au moment où il a expié ses fautes. La véritable évolution de l’homme se fait sur la terre. Puisque c’est sur la terre qu’il a mal agi, c’est sur la terre qu’il doit revenir pour réparer le mal qu’il y a commis. Car il ne suffit pas de regretter et de souffrir, la souffrance n’est pas une réparation pour les fautes commises. C’est sur la terre qu’il doit revenir les réparer. Il n’y a pas d’autres explications à la réincarnation. Si l’homme avait déjà expié ses fautes dans l’au-delà, pourquoi devrait-il redescendre sur la terre ? La loi l’oblige à réparer ses erreurs dans toutes les régions de l’univers où ces erreurs ont produit des désordres et des destructions." |
"Le principe de vie et le principe de mort ne cessent de se manifester partout dans la nature et donc dans l’être humain. Dès la formation du fœtus dans le sein de la mère, le principe de mort commence à entrer en lutte contre le principe de vie. Son action est d’abord limitée, c’est l’esprit qui triomphe. Mais plus tard, quand il a réussi à réaliser ses projets dans l’homme, l’esprit quitte peu à peu le corps.
Tout ce qui naît doit mourir, c’est une loi. Il est impossible de vaincre le principe destructeur, mais nous ne sommes pas obligés de nous soumettre à lui. Lorsqu’arrive la vieillesse, lorsqu’on perd ses forces et ses moyens physiques, il faut se dire que c’est plus que jamais le moment de rechercher d’autres activités. Car il y a toujours d’autres travaux et d’autres sources de joie pour celui qui sait creuser en lui-même afin de faire jaillir les énergies spirituelles, et ces énergies sont inépuisables. "
Une lueur d’espoir ...
C'est de la religion chrétienne que nous vient la légende de Saint Nicolas. Évêque de Myre ayant vécu aux 3ème et 4ème siècles, Saint Nicolas serait mort un 6 décembre, date choisie par la suite pour sa commémoration. En tant qu'évêque, Saint Nicolas est représenté vêtu d'une chasuble mauve ou rouge et portant une mitre ainsi qu'une crosse épiscopale. Il dégage une image de bienfaisance et de sagesse, renforcée par son grand âge symbolisé par sa longue barbe blanche. Ses nombreuses qualités lui valent d'inspirer un grand respect, lié à une image moins bonhomme que celle de son héritier, le débonnaire Père Noël. On dit que dans la nuit du 5 au 6 décembre, il fait le tour des villes sur son âne, auquel on offre parfois une carotte et distribue des friandises aux enfants : le fameux pain d'épice de la forme du Saint Évêque bien sûr, remplacé ensuite par du chocolat, mais aussi des speculoos en Belgique ou des noix et des oranges en Autriche. En Lorraine, Saint Nicolas est resté très populaire : il est d'ailleurs le Saint-Patron de la région et pendant longtemps sa fête était plus importante pour les lorrains que celle de Noël !
Saint Nicolas, bienfaiteur et faiseur de miracles :
L'image de bienfaiteur de Saint Nicolas est fortement liée à sa légende, qui rapporte plusieurs anecdotes témoignant de sa grande générosité. Ainsi, par exemple, à un homme endetté qui allait se voir obligé de vendre ses trois filles en esclavage, il fit don de la somme nécessaire pour rembourser ses dettes et payer les dots de ses filles. Mais la plus célèbre histoire de Saint Nicolas est celle qui lui attribue un miracle. Trois enfants qui s'étaient perdus demandèrent l'hospitalité à un boucher. Celui-ci les accueillit, mais les tua dans leur sommeil avant de les découper en morceaux et les placer en salaison ! Sept ans plus tard, Saint Nicolas vint également demander l'hospitalité au boucher et insista pour manger le petit-salé préparé à l'époque par ce dernier. Terrorisé, le boucher s'enfuit, tandis que Saint Nicolas ressuscitait les trois enfants. Une légende d'ailleurs reprise en chanson : "Petits enfants qui dormez là / Je suis le grand Saint Nicolas / Et le Saint étendit trois doigts / Les petits se levèrent tout trois". Ce que beaucoup ignorent, c'est que cette légende serait née d'une mauvaise interprétation d'une scène représentée sur un vitrail. On y voyait trois chevaliers réclamer l'aide de Saint Nicolas au sommet d'une tour. Selon les conventions en usage à l'époque, Saint Nicolas, personnage principal de la scène, était représenté beaucoup plus grand que les chevaliers, qui furent ainsi plus tard pris pour des enfants dans un baquet. Quoiqu'il en soit, les aspects les moins ragoûtants de la légende de Saint Nicolas furent progressivement mis de côté, et l'on évoque aujourd'hui guère plus que son image bienfaisante.
Cependant, un élément sombre de la légende a subsisté jusqu'à nos jours. Il s'agit bien sûr de l'effrayant Père Fouettard, personnage sinistre dont le visage noirci est caché sous le capuchon de son lourd manteau. Pour parachever cet aspect menaçant, il porte des bottes noires, et menace de son martinet les enfants dissipés. Selon certaines traditions, le Père Fouettard ne serait autre que le boucher de la légende, que Saint Nicolas a contraint à l'accompagner lors de ses tournées pour le punir de ses mauvaises actions. Les historiens imputent d'ailleurs l'invention du Père Fouettard aux Messins, qui, assiégés par les Bourguignons en pleine période de la Saint-Nicolas, commencèrent à se moquer du chef adverse, Charles Quint, en se le représentant sous les traits du boucher de la légende. A noter enfin que la tradition du Père Fouettard varie selon les régions. En Belgique, il a la peau couleur charbon et ses vêtements sont de couleurs vives. Aux Pays-Bas, les nombreux Zwarte Piet, sont les assistants - un peu bêtes ! - de Sinterklaas. En Autriche, les Krampus menacent même les enfants de les emmener en Enfer dans leur hotte s'ils ne connaissent pas leurs prières ! Partout où il est célébré, Saint Nicolas est donc toujours accompagné de cette présence malfaisante, dont l'existence augmente encore son aura bienveillante.