HISTOIRES VRAIES
Un petit garçon de trois ans et son labradoodle font une belle équipe !
L’un est un petit garçon adopté et l’autre un chien de race labradoodle.
Les parents adoptifs de Buddy âgé de trois ans trouvent que leur chien adopté lui aussi à l’âge de huit semaines était complètement attiré par leur fils qui d’ailleurs l’adore plus que tout au monde !
Le duo qu’ils forment est vraiment superbe. C’est même très impressionnant !
Deux amis des plus mignons qui s’adorent et se comprennent !
Cet enfant vivra entre de bonnes pattes et ce chien aura l’occasion de vivre heureux avec un humain qui sera là pour lui tenir compagnie et le gâter de tout ce dont il a besoin.
Bel exemple qui montre que la vie avec un chien est encore meilleure !
Sophia Chiappalone, 5 ans, s'est mariée pour de faux à son amoureux, lors d'une séance photos adorable ... Sophia Chiappalone est une battante. A seulement 5 ans, elle a déjà eu trois chirurgies à cœur ouvert en raison d'une série de malformations cardiaques. Quand il est apparu récemment qu'elle devrait subir une nouvelle opération, sa mère, Kristy Somerset-Chiappalone, lui a demandé ce qu'elle aimerait faire avant le jour de l'intervention. La fillette n'a pas demandé un jouet ou une sortie dans un parc d'attractions, non elle voulait simplement deux choses : être une princesse et épouser son meilleur ami, Hunter Laferrière.
Une photo émouvante ...
Les deux enfants ont posé devant l'objectif de la photographe Marisa Balletti-Lavoie de l'agence Sassy Mouth Photography dans un parc de leur ville. La petite Sophia était vêtue d'une longue robe blanche et portait un bouquet de fleurs. Les deux enfants ont passé une après-midi magnifique.
"Quand il a vu Sophia sourire, il était tellement heureux ", a assuré la mère du petit garçon très émue.
Marisa, la photographe, a elle aussi eu du mal à contenir ses larmes : "Je peux me mettre à pleurer en regardant ces jolies photos. Ce fut un grand plaisir de l'aider à voir son rêve se réaliser."
Sophia souffre actuellement d'une insuffisance pulmonaire, et la prochaine opération est prévue dans les prochaines semaines à l'hôpital pour enfants de Boston.
"J'essaye d'être forte pour Sophia, a déclaré sa maman. En réalité, elle glisse de plus en plus dans l'insuffisance cardiaque, et c'est peut-être la seule fois où je la vois dans une robe de mariée."
La mère a pris l'initiative de lancer une cagnotte participative sur le site communautaire, GoFundMe, pour faire face à ses factures médicales.
Vieillesse !
« Que vois-tu, toi qui me soignes, que vois-tu ?…
Une vieille femme grincheuse, un peu folle,
Un regard perdu qui n’y est plus tout à fait,
Qui bave quand elle mange et ne répond jamais.
Qui, quand tu dis d’une voix forte : “ Essayez ”,
Semble ne prêter aucune attention à ce que tu fais…
Alors ouvre tes yeux, ce n’est pas moi.
Je vais te dire qui je suis…
Je suis la dernière des dix,
Une jeune fille de quinze ans, des ailes aux pieds…
Mariée déjà à vingt ans…
J’ai vingt-cinq ans maintenant et un enfant à moi
Qui a besoin de moi pour lui construire une maison…
Cinquante ans, à nouveau jouent autour de moi des bébés.
Nous revoilà avec des enfants moi et mon bien-aimé.
Voici les jours noirs, mon mari meurt.
J’ai regardé vers le futur en frémissant de peur,
Car mes enfants sont tous occupés à élever les leurs.
Et je pense aux années et à l’amour que j’ai connus.
Je suis vieille maintenant…
Mon corps s’en va, la grâce et la force m’abandonnent,
Et il y a une pierre là où jadis j’eus un cœur.
Mais dans cette vieille carcasse, la jeune fille demeure,
Et le vieux cœur se gonfle sans relâche.
Je me souviens des joies, je me souviens des peines,
Et à nouveau, je sens ma vie et j’aime.
Je repense aux années trop courtes et trop vite passées,
Et j’accepte cette réalité implacable que rien ne peut durer.
Alors ouvre les yeux, toi qui me soignes, et regarde.
Non la vieille femme grincheuse, regarde mieux, tu me verras. »
( Texte publié par le docteur Béatrix Paillot dans La Revue du gériatre d’avril et de mai 2002, dans un article intitulé : "Le rôle du gériatre face au travail spirituel du sujet âgé.")
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A cause des livres, une petite fille dit qu'elle ne veut plus être Chinoise ... Son père décide d'en faire un juste pour elle !
Jerry Zhang est un père qui est prêt à tout pour combler et rassurer sa petite Madison, 4 ans.
En effet, après qu’elle lui a dit que quelque chose clochait dans ses livres préférés, et qu’elle ne désirait ne pas être Chinoise, il s’est tout de suite intéressé à ce sujet et a décidé de créer un livre financé grâce à Kickstarter. Sa petite fille, déjà passionnée par la lecture, notamment par «Madeline» et «Eloise», se demandait pourquoi les héroïnes de ses livres étaient toutes blanches avec des cheveux roux ou blonds.
Le père, qui n’avait pas de réponses suffisamment convaincantes pour sa fille, s’est mis en tête de chercher des livres pour enfants pour qu'elle puisse s'identifier aux personnages.
Cependant sa recherche s’est avérée être plus laborieuse qu’il ne le pensait, puisque les livres qu’il ramenait avec comme protagoniste une femme asiatique ne comportait n’étaient que des histoires sur la Chine et sa culture… En 2016, sur les 3 200 livres pour enfants publiés, seulement 7% représentaient un personnage asiatique !
Bien loin des histoires de personnages asiatiques qui vivent des aventures extraordinaires qui découvrent des choses fascinantes ou apprennent des leçons de vie : « Bien que ce soit important pour un enfant d’en apprendre plus sur leur culture à travers les livres, c’est également essentiel pour un enfant asiatique de se voir représenté dans les livres comme des individus intéressants et intelligents » dit-il sur Kickstarter.
L'avocat, passionné par l’écriture, s’est décidé à créer une héroïne qui pourrait servir de modèle pour Madison et dont elle pourrait s’inspirer. C’est de là qu’est née « Pepper Zhang, une artiste extraordinaire », dans lequel on retrouve une Chinoise qui parcourt le monde à la recherche de grandes aventures.
Quand il a mis son idée sur Kicktarter, il pensait réunir assez d’argent pour pouvoir fabriquer quelques livres pour Madison et sa petite sœur. Le 17 mai, lorsque la période de financement s’est terminée, il avait atteint 30 000 $ (presque 27 000 €) sur les 5 000$ demandés. Pendant tout ce temps, il a reçu de nombreux messages pour le féliciter et l’encourager dans sa démarche, mais aussi pour qu’il essaye par la suite de diffuser ses livres dans d’autres pays.
Il a maintenant un autre objectif en tête : « Faire de Pepper Zhang une série, parce qu’il y a tellement d’histoire encore à raconter avec Pepper » et d’ensuite pouvoir les retrouver dans les libraires, écoles, magasins et maisons et que d'autres enfants comme Madison puisse trouver un personnage auquel s'identifier.
Cette histoire montre bien que la représentation n’est pas qu’un sujet de discussion, elle compte vraiment pour les enfants. Ils ont besoin, à cet âge-là, de pouvoir vivre des aventures à travers des personnages qui leur ressemblent.
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Un homme de 93 ans s’enfuit de sa maison de retraite pour un rendez-vous romantique ♥ ♥
Dans les Côtes-d’Armor, à Pléneuf-Val-André un nonagénaire fougueux a quitté discrètement sa maison de retraite pour aller retrouver l’élue de son cœur, provoquant ainsi la panique de la famille et du personnel de l’établissement.
On le sait tous, l’amour n’a pas d’âge et un grand-père breton de 93 ans l’a encore prouvé. Comme chaque semaine, la petite fille de celui-ci est venue lui rendre visite dans sa maison de retraite « Les Jardins d’Arcadie » de Pléneuf-Val-André. Lorsque la petite fille de l’homme entre dans sa chambre, il n’est plus là comme le rapporte "France Bleu".
Le personnel de la maison de retraite se met alors à chercher le grand-père disparu partout. Finalement la famille appellera les gendarmes pour leur signaler la disparition de l’homme. Prévenu que le nonagénaire portait un jean, un gilet sans manche de couleur bleue et une casquette au moment de sa disparition les forces de l’ordre le retrouveront très rapidement à quelques mètres de la résidence, en plein centre-ville et en parfaite santé : avec sa petite amie.
" Ils se promenaient dans le parc bras dessus, bras dessous " confirment les gendarmes. Plus de peur que de mal pour cette famille qui se réjouira probablement de cette nouvelle histoire d’amour !
Cette mariée profite de ses voeux de mariage pour faire passer un sublime message à son beau-fils de 4 ans ...
Le 22 juillet dernier, la jeune mariée Emily Leehan ne s’est pas contentée de rédiger un vœu de mariage pour son nouveau mari Joshua Newville. Elle a aussi voulu en écrire un juste pour son beau-fils Gage, âgé de 4 ans !
Cette mariée profite de ses voeux de mariage pour faire passer un sublime message à son beau-fils de 4 ans.
Le 22 juillet dernier, la jeune mariée Emily Leehan ne s’est pas contentée de rédiger un vœu de mariage pour son nouveau mari Joshua Newville. Elle a aussi voulu en écrire un juste pour son beau-fils Gage, âgé de 4 ans !
Emily, qui est une caporale de l’armée de l’air, connaît Gage depuis ses 2 ans. Elle a partagé de nombreux moments avec lui et compte en vivre d’autres encore plus beaux. Se marier avec son père, sergent dans les marines, était donc l’occasion idéale pour lui faire une déclaration plus que touchante, qui l’a immédiatement touchée au plus profond de lui-même et l'a fait pleurer.
« Je veux que tu sois en sécurité et que tu fasses de ton mieux pour être une bonne personne. Je sais que toi et moi allons nous prendre la tête, mais j’espère de tout mon cœur qu’en grandissant tu comprendras mes méthodes. Que tu réaliseras que ce que je n’ai fait que ce qu’il y avait de mieux pour toi et que je t’aime », alors qu’elle prononçait ces paroles, le petit étreignait en alternant son père puis Emily, avec les larmes aux yeux.
Le plus important pour elle, comme elle l’explique au Huffingtonpost, était qu’il sache à quel point elle l’aime : « La dernière chose que je veux que tu apprennes est que tu es un garçon très spécial, tu es tellement intelligent, génial et gentil avec les autres. Tu m’as aidé à devenir la femme que je suis. Je ne t’ai peut-être pas donné la vie mais la vie m’a offert comme cadeau de t’avoir ».
La véritable mère du garçon, Kali Nuckols, s’est réjouie qu’Emily soit sa belle-mère sur Facebook : « Étant sa mère, je peux dire qu’elle est une merveilleuse belle-mère pour lui. Je n’aurais pas pu choisir quelqu’un de mieux. Gage a de la chance de l’avoir et je suis tellement reconnaissante de pouvoir lui faire confiance pour être là quand je ne peux pas l’être ». C’est une vraie leçon de vie que nous enseigne cette nouvelle famille !
(Crédit photo : Jessica Husted Photography)
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C'est une simple photo, qui est en train de faire le tour du monde : elle représente le triomphe de la vie face à la mort, celui de l'amour face à la haine et à la peur.
Dans la nuit du vendredi 2 au samedi 3 juin, à l'hôpital Hadassah de Jérusalem, une infirmière israélienne allaite un bébé palestinien âgé de neuf mois, lui sauvant ainsi la vie.
L'infirmière en question s'appelle Ola Ostrovsky-Zak. Âgée de 34 ans, sa famille est installée en Israël depuis deux générations. Alors qu'elle était en poste, une ambulance arrive, apportant en urgence les passagers d'une voiture ayant subi un grave accident de la route. Il s'agit d'une famille de Palestiniens, originaires de Hébron, en Cisjordanie. Le père décède quelques instants plus tard des suites de ses blessures, tandis que la mère, souffrant d'un grave traumatisme crânien, est entre la vie et la mort. Mais miraculeusement, le petit Yaman, qui se trouvait sur la banquette arrière, n'a rien. Problème : il est encore sous le choc de ce qu'il vient de vivre, et surtout il a très faim.
Malgré tous les efforts de l'équipe médicale, le petit refuse catégoriquement de toucher aux biberons que les infirmières lui tendent. Les deux tantes de l'enfant, qui sont venues lui porter secours et attendre des nouvelles de leur sœur, expliquent : Yaman n'a jamais encore bu au biberon, car depuis sa naissance il avait l'habitude que sa mère l'allaite en lui donnant le sein. L'enfant hurle dans la salle d'attente, sans pouvoir s'arrêter : cela fait plus de sept heures qu'il n'a rien avalé, et les deux tantes, qui tentent tant bien que mal de le bercer, sont désemparées ...
« Elles m'ont demandé si quelqu'un pouvait l'allaiter : Je leur ai dit que si elles étaient d'accord, je pouvais le faire, a expliqué l'infirmière Ostrovsky-Zak, jointe par nos confrères du Huffington Post. Les tantes ont manifesté leur surprise. Elles ne pouvaient pas croire qu'une mère juive accepte d'allaiter un bébé palestinien. Elles m'ont pris dans les bras, m'ont embrassée, n'arrêtaient pas de m'enlacer.»
En effet, Madame Ostrovsky-Zak est elle-même mère de trois enfants, dont le petit dernier est âgé d'un an et demi. C'est donc sans se poser de questions qu'elle a offert son sein au petit Yaman, qui a enfin pu satisfaire sa faim . Pour elle, il ne s'agissait que d'un geste humain, naturel : « Beaucoup de mes amis feraient la même chose. Moi, j'étais heureuse à cette idée », explique-t-elle avec simplicité. Difficile, cependant, de ne pas y voir aussi un beau symbole porteur de paix, d'amour et d'espoir, au vu du conflit qui déchire ces deux peuples ... depuis bientôt 70 ans.
Une seconde mère symbolique :
Toute la nuit, Ola est restée aux côtés du nourrisson, l'allaitant pas moins de cinq fois. C'est alors que les tantes de l'enfant lui expliquent qu'en Islam, le chiffre cinq est sacré et qu'une femme qui nourrit cinq fois un bébé au sein est ainsi considérée comme étant sa seconde mère .. . Une distinction symbolique qui n'a pas manqué d'émouvoir la courageuse soignante : «J'ai été très touchée, confie-t-elle encore au HuffPost. Évidemment, je ne remplacerai pas sa mère, mais maintenant, je peux dire que j'ai un fils palestinien. »
Lorsqu'à la fin de son service Ola rentre chez elle, au petit matin, elle ne peut se résoudre à abandonner le bébé et ses deux tantes. Alors elle prend les choses en main et demande de l'aide sur un groupe Facebook de mères allaitantes. En deux heures à peine, près d'un millier de mères de toutes origines confondues (juives, musulmanes, Israéliennes ou Palestiniennes) ont répondu présentes à l'appel. Ola, pour sa part, est revenue allaiterl'enfant le samedi et le dimanche suivant.
Après cet épisode, l'un des oncles s'est approché d'Ola pour lui dire qu'elle était comme une sœur pour lui à présent. Aujourd'hui, l'enfant a pu rentrer chez lui, et sa grand-mère ainsi qu'une autre tante ont pris le relais pour s'occuper de lui.
Décédés le même jour à 96 ans, main dans la main ...
Un couple de Britanniques, mariés depuis 77 années, est décédé le même jour au début du mois d’avril. Heureux parents et grands-parents, âgés de 96 et 97 ans, ils sont morts dans la même chambre d’hôpital, main dans la main.
Même la mort n’a pas réussi à les séparer. Franck Dodd, 96 ans et Joyce Dodd, 97 ans, mariés depuis 77 années, sont décédés le même jour à quelques heures d’intervalle dans une chambre de l’hôpital de Darent Valley à Dartford, à l’est de Londres, en Angleterre.
Tous les deux étaient malades depuis quelque temps, mais étaient soignés à des étages différents. Franck Dodd avait eu une crise cardiaque, et après cinq semaines en maison de retraite, avait été transféré à l’hôpital, où sa femme le rendait visite quotidiennement, jusqu’à ce qu’elle aussi tombe malade.
« Le personnel a été formidable, raconte Angela Bonell, leur fille âgée de 75 ans. Maman était en haut et papa en bas, et on nous a demandé si nous voulions les installer côte à côte. Ils ont transporté papa à l’étage, afin qu’il puisse être allongé près de maman et lui tenir la main. » Le couple est décédé le 8 avril. Franck à 4 h du matin, Joyce à 18 h, quelques jours après leur anniversaire de mariage.
Une grande famille :
Le couple a eu cinq enfants, douze petits-enfants, dix arrière-petits-enfants et deux arrière-arrière-petits-enfants. Joyce et Franck vivaient à Gravesend, une commune proche de la ville de Dartford, où ils s’étaient rencontrés à l’âge de 14 ans. Joyce était alors serveuse et Franck travaillait comme scieur dans un dépôt de bois. Cinq ans après, ils se sont mariés et ont vécu un temps chez les parents de Joyce, avec leurs trois aînés.
Franck et Joyce se sont rencontrés à l’âge de 14 ans et se sont mariés cinq ans plus tard. (Photo : SWNS/South West News Service)
Un an après avoir ému le monde en apparaissant famélique sur cette photo, le petit Hope a repris du poil de la bête et va maintenant à l'école :
Il y a un an au Nigéria, une bénévole humanitaire danoise, Anja Ringgren Loven, avait publié la photo d’un petit enfant âgé de deux ans qui avait été abandonné par ses parents, persuadés d’avoir affaire à un … sorcier !
A l’époque, la photo avait ému le monde entier. Ce petit bonhomme livré à lui-même durant huit mois, en très mauvaise condition physique, s’abreuvait alors de quelques gorgées d’eau grâce à l’intervention salvatrice d’Anja, qui travaille pour la fondation « African Children’s Aid Education and Development Foundation ». Elle l’emmena dans un hôpital pour lui faire reprendre des forces et lança un appel aux dons pour l’aider, récoltant alors plus d’un million de dollars.
Baptisé Hope (« espoir » en anglais, ndlr), le petit enfant avait repris du poil de la bête en quelques semaines, comme on peut le voir sur la photo ci-dessous.
Aujourd’hui, Anja Ringgren Loven a publié une nouvelle photo de Hope complètement métamorphosé, superbement vêtu pour son premier jour à l’école. La bénévole a refait la fameuse scène avec lui et a publié un montage « avant/après » : « Aujourd’hui, cela fait exactement un an que le monde entier a fait la connaissance d’un petit garçon appelé Hope. Cette semaine, il va commencer l’école ».
Avec son mari David Emmanuel Umem, elle a d’ailleurs commencé la construction d’un orphelinat au Nigéria afin de poursuivre son travail dans le recueil d’enfants abandonnés.
Déchirant : présente à Rio pour les JO, cette ex-médaillée olympique abandonne la compétition, en pleurs, au dernier moment, pour sauver son cheval, qu'elle ne sent « pas bien »
Durant les qualifications des épreuves de dressage aux JO de Rio, Adelinde Cornellisen a interrompu sa reprise car son cheval tirait anormalement sa langue. Elle a décidé d’abandonner pour le sauver !
Les Jeux Olympiques sont parfois cruels pour les sportifs. Ils se préparent durant quatre ans afin d’être au maximum de leur potentiel au moment de la compétition. Malheureusement, quand vient le moment de l’olympisme, le corps lâche. Et pour les chevaux, en lice dans la compétition équestre, c’est la même chose.
Médaillée d’argent en individuel et médaillée de bronze en équipe il y a quatre ans lors des JO de Londres, Adelinde Cornellisen est une vraie star de l’équitation. Tout comme Jerich Parzival, son fidèle cheval à qui elle doit sa réputation. Cependant, ces olympiades brésiliennes ont tourné court alors que le duo faisait partie des favoris pour la médaille d’or.
Mardi matin, lors du début de l’épreuve du dressage, la jockey interrompt sa série de qualifications car son étalon tire anormalement la langue, et crache beaucoup de salive. Inquiète, Adelinde Cornellisen abandonne tout simplement la compétition et ramène Parzival dans le box.
D’après elle, le mauvais état de son cheval serait dû à « une piqûre mardi matin sur la joue par une bête, peut-être une araignée ». Âgé de 19 ans, Jerich Parzival était censé disputer sa dernière compétition mais les circonstances en décidèrent autrement. Il souffrait d’une fièvre assommante (plus de 40 degrés), le laissant totalement léthargique.
« Son corps était rempli de toxines, il était fiévreux. Nous sommes parvenus à abaisser la fièvre après 9 heures de perfusion » indique Adelinde Cornelissen. Si la version de la piqûre d’insecte n’est pas officielle, nul doute que la décision d’abandonner ces olympiades était la meilleure à prendre pour la santé de Parzival.
En larmes dans le box après son abandon, Adelinde Cornelissen peut se consoler en se disant qu’elle a probablement sauvé la vie de son cheval. De son côté, Jerich Parzival vivra une retraite bien méritée, en bonne santé.