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POEMES et POETES

Court poème de G. de Nerval ... à lire ou à relire !

Publié à 15:15 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes court poème de gérard de nerval
Court poème de G. de Nerval  ...  à lire ou à relire !
 ALLÉE DU LUXEMBOURG :

Elle a passé, la jeune fille,
Vive et preste comme un oiseau ;
A la main une fleur qui brille,
A la bouche un refrain nouveau.
C’est peut-être la seule au monde
Dont le cœur au mien répondrait ;
Qui, venant dans ma nuit profonde,
D’un seul regard l’éclairerait ! …
Mais non,  ma jeunesse est finie …
Adieu, doux rayon qui m’a lui ...
Parfum,  jeune fille, harmonie …
Le bonheur passait,  il a fui ...

GÉRARD DE NERVAL

 

Tendrement ... poème de Vincent Hispa !

Publié à 14:57 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes poème de V Hispa tendrement
Tendrement   ...  poème de Vincent Hispa !
Tendrement ...

 

D'un amour tendre et pur
Afin qu'il vous souvienne,
Voici mon cœur, mon cœur tremblant,
Mon pauvre cœur d'enfant.
Et voici, pâle fleur
Que vous fîtes éclore,
Mon âme qui se meurt de vous
Et de vos yeux si doux.

Mon âme est la chapelle,
Où la nuit et le jour
Devant votre grâce immortelle,
Prie à deux genoux mon fidèle amour.
Dans l'ombre et le mystère
Chante amoureusement
Un douce prière,
Païenne si légère,
C'est votre nom charmant.

D'un amour tendre et pur
Afin qu'il vous souvienne,
Voici mon cœur, mon cœur tremblant,
Mon pauvre cœur d'enfant.
Et voici, pâle fleur
Que vous fîtes éclore,
Mon âme qui se meurt de vous
Et de vos yeux si doux.

Des roses sont écloses
Au jardin de mon cœur,
Ces roses d'amour sont moins roses
Que vos adorables lèvres en fleur.
De vos mains si cruelles
Et dont je suis jaloux,
Effeuillez les plus belles,
Vous pouvez les cueillir,
Le jardin est à vous.

D'un amour tendre et pur

 Afin qu'il vous souvienne,
Voici mon cœur, mon cœur tremblant,
Mon pauvre cœur d'enfant.
Et voici, pâle fleur
Que vous fîtes éclore,
Mon âme qui se meurt de vous
Et de vos yeux si doux.

(Vincent Hispa)

L'été ... poème de Maurice Carême !

Publié à 11:20 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes l été de Maurice careme
L'été  ...   poème de Maurice Carême  !

Liberté !

Prenez du soleil
Dans le creux des mains,
Un peu de soleil
Et partez au loin !

Partez dans le vent,
Suivez votre rêve;
Partez à l’instant,
la jeunesse est brève !

Il est des chemins
Inconnus des hommes,
Il est des chemins
Si aériens !


Ne regrettez pas
Ce que vous quittez.
Regardez, là-bas,
L’horizon briller.

Loin, toujours plus loin,
Partez en chantant !
Le monde appartient
A ceux qui n’ont rien.

 

Maurice Careme
1899-1978

 

 

La rose de l' absent ... par Gaston Couté !

Publié à 15:14 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes la rose de l absent gaston couté
La rose de l' absent   ...  par Gaston Couté  !

La rose de l'absent !

(Légende du Moyen Age)

Le beau chevalier était à la guerre ...
Le beau chevalier avait dit adieu
A sa dame aimée, Anne de Beaucaire
Aux yeux plus profonds que le grand ciel bleu.

Le beau chevalier, à genoux près d'elle,
Avait soupiré, lui baisant la main :
" Je suis tout à vous ! soyez-moi fidèle ;
A bientôt ! ... je vais me mettre en chemin. "

Anne répondit avec un sourire :
" Toujours, sur le Christ ! je vous aimerai,
Emportez mon coeur ! allez, mon beau sire,
Il vous appartient tant que je vivrai. "

Alors, le vaillant, tendant à sa dame
Une rose blanche en gage d'amour,
S'en était allé près de l'oriflamme
De son Suzerain, duc de Rocamour.

Le beau chevalier était à la guerre ...
Anne, la perfide aux yeux de velours,
Foulant son naÏf serment de naguère,
Reniait celui qui l'aimait toujours ;

Et, sa blanche main dans les boucles folles
D'un page mignard, elle murmurait
Doucement, tout bas, de tendres paroles
A l'éphèbe blond qui s'abandonnait.

Mais, soudain, voulant respirer la rose
Du fier paladin oublié depuis,
Elle eut peur et vit perler quelque chose
De brillant avec des tons de rubis.

Cela s'étendait en tache rougeâtre
Sur la fleur soyeuse aux pétales blancs
Comme ceux des lis et comme l'albâtre ...
La rose échappa de ses doigts tremblants ;

La rose roula tristement par terre ...
Une voix alors sortit de son coeur ;
Cette voix était la voix du mystère,
La voix du reproche et de la douleur.

" Il est mort, méchante, il est mort en brave !
Et songeant à toi, le beau chevalier ;
Son âme est au ciel, chez le bon Dieu grave
Et doux, où jamais tu n'iras veiller ;

Où tu n'iras pas, même une seconde,
Car ta lèvre doit éternellement
Souffrir et brûler, par dans l'autre monde,
Au feu des baisers d'un démon méchant ... "

Et la voix se tut sous le coup du charme,
La fleur se flétrit, Anne, se baissant
N'aperçut plus rien, plus rien qu'une larme
Avec une goutte épaisse de sang.

Gaston Couté

Poème de la Saint Jean ... par Emile Verhaeren !

Publié à 13:22 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes la saint jean emile verhaeren
Poème de la Saint Jean  ...  par Emile Verhaeren !
La Saint-Jean !
 
Dansez sur la berge, les flammes,
Comme des petites madames,
Comme de tristes petites madames.
 
Voici les soirs de la Saint-Jean
Au long du fleuve et des étangs.
Dansez sur la berge, les flammes,
Avec des gamins roux autour de vous,
Copeaux follets, folles spirales,
Dansez, dansez, dansez,
Petites flammes pastorales.
 
L'oiseau vous frôle et jette un cri,
Les petites madames.
 
Le vent vous fouette et vous rougit,
Les petites madames.
 
Le curé passe et vous bénit,
Les petites madames.
 
Voici les soirs et l'horizon couleur de lie,
Dansez, dansez, les petites madames,
Dansez votre mélancolie.
Déjà la nuit et ses ombres se meuvent
Comme des veuves
Au long des fleuves ;
Dansez encor, dansez, les flammes,
Pour le bon Dieu
Un peu
Et rendez-lui votre âme,
Votre âme avec toutes ses flammes,
Les vacillantes petites madames.
 
(Émile Verhaeren)

Poème de Théophile Gautier ... les colombes !

Publié à 12:16 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes théophile gautier les colombes
Poème de Théophile Gautier   ...   les colombes  !

Sur le coteau, là-bas où sont les tombes,
Un beau palmier, comme un panache vert,
Dresse sa tête, où le soir les colombes
Viennent nicher et se mettre à couvert.

Mais le matin elles quittent les branches ;
Comme un collier qui s’égrène, on les voit
S’éparpiller dans l’air bleu, toutes blanches,
Et se poser plus loin sur quelque toit.

Mon âme est l’arbre où tous les soirs, comme elles,
De blancs essaims de folles visions
Tombent des cieux en palpitant des ailes

 

(Théophile Gautier)

Soirs d' antan ... Joli poème de V. de Fonclare !

Publié à 15:28 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes soir d antan merci à l auteure
Soirs d' antan   ...  Joli poème de V. de Fonclare !
Soirs d’antan ! 

 

Où sont ces soirs d’été, ces jolis soirs d’antan
A l’extrême douceur où l’on tirait sa chaise

Sur le pas de la porte; où l’on avait le temps
De rire entre voisins, tout en prenant ses aises,

Après le dur labeur d’une longue journée !
On était bien dehors, enroulé dans un châle,
Car il faisait frisquet sous la voûte étoilée
Après le grand cagnard d’un jour d’août infernal.

Où est cette vie calme et cependant très rude
Où tout petit bonheur semblait exceptionnel ?
Je me souviens encor de la Mamet Gertrude
Narrant à qui voulait combien elle était belle

En sa folle jeunesse. Et toutes ces histoires,
Ces contes, ces chansons … On avait presque froid
Mais c’était délicieux ! Oh, qu’ils sont loin, ces soirs
D’une époque bénie appelée … autrefois !

Pas de télé, alors, qui confine les gens
Au creux de leur maison bien fermée dès huit heures.
Est-ce bien un progrès ? Où est-il donc ce temps
Qui rapprochait les gens pour leur plus grand bonheur ?

Où sont ces soirs d’antan, ces jolis soirs d’été
Qu’on avait le loisir de goûter lentement ?
Ces veillées disparues et qui s’en sont allées,
Comme la vie qui passe en mangeant ses enfants !

 

(Vette de Fonclare)

L'abeille et la fleur ... joli poème de Khalil Gibran !

Publié à 12:59 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes poème de khalil gibran abeille fleur
L'abeille et la fleur   ...  joli poème de Khalil Gibran  !

 L'abeille et la fleur ... 

 

"Allez à vos champs et à vos jardins,

et vous apprendrez que c'est le plaisir

de l'abeille de butiner le miel de la fleur.

Mais, c'est aussi le plaisir de la fleur

de céder son miel à l'abeille.

Car, pour l'abeille,

la fleur est une source de vie.

Et, pour la fleur,

une abeille est une messagère d'amour.

 Et, pour les deux,

abeille et fleur,

 donner et recevoir le plaisir

sont un besoin et une extase."

 

- Khalil Gibran -

 

Tendrement ... joli poème de Vincent Hispa !

Publié à 13:28 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes tendrement merci à l auteur
Tendrement   ...   joli poème de Vincent Hispa !

Tendrement !

D'un amour tendre et pur
Afin qu'il vous souvienne,
Voici mon cœur, mon cœur tremblant,
Mon pauvre cœur d'enfant.
Et voici, pâle fleur
Que vous fîtes éclore,
Mon âme qui se meurt de vous
Et de vos yeux si doux.

Mon âme est la chapelle,
Où la nuit et le jour
Devant votre grâce immortelle,
Prie à deux genoux mon fidèle amour.
Dans l'ombre et le mystère
Chante amoureusement
Un douce prière,
Païenne si légère,
C'est votre nom charmant.

D'un amour tendre et pur
Afin qu'il vous souvienne,
Voici mon cœur, mon cœur tremblant,
Mon pauvre cœur d'enfant.
Et voici, pâle fleur
Que vous fîtes éclore,
Mon âme qui se meurt de vous
Et de vos yeux si doux.

Des roses sont écloses
Au jardin de mon cœur,
Ces roses d'amour sont moins roses
Que vos adorables lèvres en fleur.
De vos mains si cruelles
Et dont je suis jaloux,
Effeuillez les plus belles,
Vous pouvez les cueillir,
Le jardin est à vous.

D'un amour tendre et pur

  Afin qu'il vous souvienne,
Voici mon cœur, mon cœur tremblant,
Mon pauvre cœur d'enfant.
Et voici, pâle fleur
Que vous fîtes éclore,
Mon âme qui se meurt de vous
Et de vos yeux si doux.

(Vincent Hispa)

Etre triste ... merci à l'auteur de ce poème !

Publié à 13:47 par yvonne92110 Tags : poèmes et poètes merci à l auteur inconnu du poème
Etre triste  ...  merci à l'auteur de ce poème  !

            ETRE TRISTE                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  C’est oublier de vivre,
Oublier d’exister.
Fuir les chemins à suivre,
Sans cesse se retourner.

 

Etre triste,
C’est quand le silence n’a plus rien à dire,
Etre un être sans importance.
Un simple sourire ne peut plus suffire.
à faire oublier cette souffrance.

 

Etre triste
C’est quand les mots ne glissent plus sous mes doigts,
j’écris à l’encre transparente.
J’aimerais oublier ces mots sournois
et être de plus en plus indifférente.

 

Etre triste,
C’est confondre la pluie et les larmes de mes joues,
la grisaille soudain qui m’ attrape.
Ne plus faire semblant d’ être debout,
Mais être heureux de ce qui m’ échappe.

 

Etre triste,
C’est sans doute la pire des solitudes
qui devient presque une habitude.

 

Etre triste
C’est accepter cette vie
Aux couleurs de mélancolie.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       (auteur inconnu)