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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Le pape François a accueilli jeudi au Vatican le président américain pour leur première rencontre, qui devrait être centrée sur la lutte contre les inégalités et dont Barack Obama espère des retombées pour sa politique intérieure.
L'entrevue a débuté peu avant 9H30 GMT dans la bibliothèque du Palais apostolique. "Thank you, thank you" (merci, merci), a dit le président américain au pape en disant être "son grand admirateur". Souriant, le pape lui a répondu en anglais: "bienvenue Monsieur le Président".
Cette rencontre est pour M. Obama une parenthèse bienvenue au milieu d'une tournée délicate en Europe et en Arabie saoudite dominée par la crise ukrainienne et les négociations nucléaires sur l'Iran.
Dans une interview au Corriere della Sera publiée jeudi, M. Obama a dit vouloir "écouter le pape" dont "la pensée est précieuse pour comprendre comment remporter le défi contre la pauvreté".
Dans le volet italien de sa visite, M. Obama verra le chef du gouvernement Matteo Renzi et le président Giorgio Napolitano avant de visiter le Colisée.
Dès 13h00 (12h00 GMT), les alentours du Colisée et des forums impériaux seront fermés aux touristes par mesures de sécurité. Première rencontre entre Obama et le pape François unis dans la lutte contre les inégalités.
Les relations entre l'Italie et les Etats-Unis sont étroites même si Rome est soucieuse de ménager Moscou sur l'Ukraine en raison de ses intérêts économiques et énergétiques.
Le président américain s'est dit convaincu, dans son entretien au Corriere, que Matteo Renzi réussira, lors du semestre de présidence italienne de l'Union européenne à "rendre cette période très productive".
M. Obama, saluant le fait que le premier voyage à l'étranger de M. Renzi ait été en Tunisie, y a vu un "signe que l'Italie veut renforcer le leadership qu'elle exerce déjà en Méditerranée, du Liban à la Libye".
Au Vatican, selon la Maison Blanche, le dirigeant américain discutera avec François de leur "combat contre la montée des inégalités", un leitmotiv de M. Obama.
Les crises au Moyen Orient, en Afrique -en particulier en Centrafrique - l'environnement, l'immigration également entre Amérique latine et Amérique du Nord, devraient être aussi abordées.
Pour Jeremy Shapiro, de l'institut Brookings de Washington, M. Obama cherche à "profiter de l'Aura du nouveau pape". Selon lui, "ce n'est pas vraiment une étape consacrée à la politique étrangère". Même si de son côté, le Vatican est de retour sur la scène diplomatique, particulièrement sur la Syrie, pour laquelle François s'était opposé en septembre à une intervention américaine.
Les propos radicaux de François sur "l'idole de l'argent" l'ont fait dépeindre par certains protestants américains ultra-conservateurs comme marxiste.
M. Obama, de confession protestante, a invoqué la place importante que tient sa foi: "j'ai été très impressionné par les déclarations du pape. (...) Parce que d'abord, c'est quelqu'un qui incarne les enseignements du Christ", avait-il dit en octobre 2013.
Pourtant tout n'est pas au beau fixe entre le gouvernement américain et le Saint-Siège. On est loin de l'alliance forgée entre Jean Paul II et Ronald Reagan.
"La politique d'Obama plaît-elle au Saint-Siège ?", semble douter Radio Vatican sur son site, en soulignant que "des pierres d'achoppement entre l'Eglise et l'administration Obama subsistent, sur le mariage homosexuel et la contraception".
Selon Mgr Anthony Figueiredo, directeur au collège pontifical nord-américain à Rome, ces questions de bioéthique devraient être abordées par le pape: "Ce qui se passe aux États-Unis, un peu comme le Coca-Cola, ça se propage aussi en Europe et dans le monde entier. Nous avons donc une responsabilité particulière", a-t-il fait valoir.
La réforme de l'assurance-maladie promulguée en 2010 a provoqué des frictions avec les institutions catholiques américaines. La loi prévoit la prise en charge de la contraception par les employeurs, ce que plusieurs écoles ou hôpitaux ont contesté en justice.
François s'est associé en janvier dans un tweet à une "Marche nationale pour la vie" contre l'avortement.
Selon un commentateur de Radio Vatican, Alessandro Gisotti, "les sondages montrent que François jouit d'une popularité très élevée, en particulier parmi les catholiques, conservateurs comme progressistes".
"Le président (Obama) risque de perdre le Sénat à mi-mandat. Il a donc besoin du vote des catholiques", analyse le vaticaniste John Allen.
Selon un sondage publié par l'Université Saint-Leo, François est aimé de 85% des catholiques et de 63% des Américains alors que seulement 47% des Américains approuvent l'action de leur président.
C'est la deuxième fois que Barack Obama se rend au Vatican, après l'audience que lui avait accordée Benoît XVI en juillet 2009; et la 28ème venue d'un président américain au Vatican depuis Woodrow Wilson en 1919.
Le président pourrait inviter le pape en septembre 2015 au moment où se tiendra à Philadelphie une rencontre mondiale des familles catholiques.
La musique indienne, source de spiritualité ! La musique indienne, exotique et mystérieuse, vient nous chercher au plus profond de nous-mêmes. Mais pour les maîtres indiens, elle serait à l’origine de « tout » et s’inscrirait dans une communion avec l’Univers.
D’après les légendes, de certains saints émanaient un parfum de rose. On dit d’ailleurs qu’une fragrance musquée suivait les interprétations musicales d’Annapurna Devi. Première femme du célèbre sitariste Ravi Shankar, elle a maîtrisé l’art de la musiquehindustani, musique de l’Inde du Nord, à la perfection. Source de tensions, l’admiration qu’elle suscitait lui coûta son mariage.
Et pourtant, la tradition veut que la pratique de l’art musical indien ressemble à une ascèse spirituelle : le calme, la patience, le contrôle de soi et de sa respiration, ainsi qu’une immense humilité à l’égard du maître, sont de rigueur. Ravi Shankar Mishra, maître de bansouri, la flûte indienne, l’explique : « La première condition est l’engagement, la seconde est le « surrender », ce qui signifie de s’en remettre totalement à l’enseignement du maître. Et pour cela, il faut savoir écouter, aussi bien la musique que le maître. C’est très beau. » Si le maître transmet bien une part de technique à son disciple, son enseignement va bien au-delà car sa qualité la plus précieuse est immatérielle : il apprend à ressentir la musique et à retransmettre ce ressenti.
Un son tellurique à l’origine de tout :Depuis la nuit des temps, dans toutes les sociétés, la musique vient toucher les profondeurs de l’âme humaine, et en Inde l’apprentissage de l’art musical exige le déploiement d’une grande intériorité. Des qualités comme le calme et la patience ne sont pas seulement nécessaires pour tenir une posture durant plusieurs heures ; c’est grâce à sa pleine attention au moment présent que se révèle au musicien le secret des notes. Le calme et la méditation lui ouvrent ainsi l’accès à un autre espace-temps, une autre fréquence : le son ou « nada » en sanskrit. « Il s’agit du yoga Nada, le yoga du son, c’est une méditation », commente Ravi Shankar Mishra. « En Inde, la musique est un domaine très spirituel. Toutes les compositions musicales proviennent de ce son subtil, « Nada ». C’est ici que réside le secret de la musique indienne. »
La tradition musicale indienne considère que toutes les notes de musique se fondent et jaillissent d’un seul son pur et absolu : le son « AUM », chanté par tous les yogis d’Inde et du Tibet. De ce son pur naîtrait tous les autres ; primordial, il serait à la fois le principe, le pouvoir et la source de toute création. De très faible intensité, il peut se rapporter à la vibration sonore permanente « AUM… » émise par la terre, découverte par des chercheurs japonais en 1998. Ce son mystérieux est inaudible aux oreilles ordinaires ; seuls ceux dont la conscience est profondément tournée vers l’intérieur, en méditation, peuvent le saisir. Kabir, le saint soufi, l’appelait la « musique inaudible », et Ravi Shankar Mishra souligne le paradoxe : entendre ce son exige le silence. « Il ne peut y avoir de bonne musique sans silence intérieur. Au fur et à mesure de la pratique, ce silence s’établit dans le musicien, grâce à des techniques de yoga et à la dévotion, et en écoutant de belles compositions. Cette dernière constitue une part fondamentale de l’apprentissage. »
Une musique pour communier avec l’univers :Dans sa plus pure tradition, l’art musical indien s’inscrit en communion avec l’univers entier, qui, avec ses sons et ses formes, n’est autre que pure harmonie. Sur les pas de son cheminement musical et spirituel, le musicien devient canal d’expression de cette harmonie universelle en jouant des « ragas ». Ce mot sanskrit se traduit par « passion », et représente un groupe de sons caractérisés par un état émotionnel. Compilés dans les textes millénaires des Védas, en particulier les textes des Samaveda, les ragas détiennent un grand pouvoir : leur structure, génératrice d’une atmosphère particulière telle que la nostalgie, l’amour ou l’exaltation, confère au musicien qui les joue la faculté de transformer son environnement aussi bien physiquement que psychologiquement. La force des éléments peut être ainsi démultipliée sous l’effet de la musique d’un raga.
L’exemple surprenant de Tansen, célèbre musicien de la cour du roi Akbar au XVIème siècle, est souvent cité par les maîtres de musique pour ses prodiges : il pouvait provoquer la pluie en jouant le « Raga Megh », ou Raga pour la saison des pluies, ou savait allumer une lampe en jouant le « Raga Dipika », ou Raga de la flamme. Si de tels exemples semblent un brin mythique, pour des maîtres indiens tels que Ravi Shankar Mishra il s’agit bien « du pouvoir des ragas ».
La croyance en de tels pouvoirs, développés grâce à une pratique assidue, ne se limite pas à l’Inde. Ainsi, au Tibet, les écrits d’explorateurs rapportent comment des lamas tibétains, au moyen du son de leurs cors, de leurs trompettes et des battements de tambours, pouvaient disperser des nuages chargés de pluie, ou au contraire les concentrer et provoquer les averses. Le pouvoir serait ainsi contenu dans les sons, bien plus que dans les mots.
En connexion étroite avec le cosmos, les ragas s’associent également à certains moments de la journée et des saisons. « Certains ragas se jouent le matin, d’autres le midi ou le soir », explique le maître de flûte indienne. Au point que « s’il est joué au petit matin alors qu’il est destiné à la nuit tombée, le Raga excellemment interprété par un grand musicien recouvre celui-ci d’obscurité », écrivait le sanskrite et spécialiste de musique indienne, Alain Daniélou.
Pour le musicien dont le plus profond de l’être vibre avec les rythmes sacrés de l’univers, les enchaînements de notes ne peuvent se réduire à une suite d’intervalles de sons saccadés. Au contraire, chaque note constitue une vibration provenant de l’intérieur du musicien, créant comme un arrondi d’une note à l’autre, de sorte qu’au contact de la vibration intime de l’interprète, le résultat d’ensemble exalte une harmonieuse unité, au plus près du rythme cosmique. Le musicien partage ainsi avec les membres de son public une fréquence vibratoire, et si ces derniers sont suffisamment réceptifs, alors le temps se suspend et devient méditation, rétablissant ordre et harmonie. Un langage de l’univers.
Le pape François a créé samedi dans la basilique Saint-Pierre ses 19 premiers cardinaux, avec l'appui moral de son prédécesseur Benoît XVI, venu pour la première fois assister à une cérémonie publique depuis sa démission il y a un an.
Le pontife émérite de 86 ans, était au premier rang, habillé tout de blanc, calotte blanche sur la tête, parmi les cardinaux, vêtus de rouge. Il a été salué avec chaleur à son entrée par François, et de nouveau à la fin de la cérémonie, les deux hommes se serrant la main longuement.
Le secrétaire d'Etat Pietro Parolin a remercié Benoît XVI pour sa présence, lors de cette cérémonie très solennelle conduite en latin.
Jorge Mario Bergoglio François a succédé le 13 mars 2013 à Joseph Ratzinger qui avait démissionné le 28 février. C'est la première fois que l'ancien pape allemand, qui vit retiré au Vatican et a promis de ne pas s'immiscer dans les affaires de son successeur, participe à une grande cérémonie publique dans la basilique.
Vraisemblablement, le pape François le lui a demandé pour manifester la pleine communion au sein de l'Eglise.
Dix-huit des dix-neuf nouveaux cardinaux étaient présents, car le très âgé Loris Francesco Capovilla, 98 ans, ancien secrétaire du pape Jean XXIII, n'a pas réussi à venir de Bergame (nord de l'Italie).
Chaque nouveau cardinal s'est approché et agenouillé pour se voir poser sur la tête la barrette (coiffe rouge à quatre bords). Le pape leur a passé l'anneau cardinalice à un doigt, et remis son titre dans un parchemin enroulé, chacun recevant symboliquement la charge d'une des centaines d'églises romaines. Il les a ensuite embrassés avec plus ou moins de chaleur. Il a notamment manifesté beaucoup d'attention pour Lorenzo Baldisseri, le secrétaire général du synode des évêques.
De Ouagadougou, d'Abidjan, des Cayes en Haïti, de Cotabato aux Philippines, de Managua, de Castries (Sainte-Lucie) aux Antilles, de Pérouse (centre de l'Italie), plusieurs des nouveaux cardinaux étaient venus de villes des "périphéries", formule qu'aime utiliser François.
Le choix du pape argentin reflète l'accent qu'il met sur les pasteurs plutôt que les administrateurs.
Il avait écrit dès janvier aux heureux choisis que leur sélection n'était "ni une promotion, ni un honneur, ni une décoration", mais "un service". Il leur avait demandé d'éviter "toute fête étrangère à l'esprit évangélique d?austérité, de sobriété et de pauvreté".
Seize nouveaux électeurs (moins de 80 ans, en cas de Conclave) entrent au Sacré collège, et trois autres sont émérites sans droit de vote. Le Sacré collège compte 218 cardinaux dont 122 électeurs. La moitié de ceux-ci (61) sont encore européens. 17 sont d'Amérique du Nord et 17 d'Amérique centrale et du sud (Antilles comprises), 13 sont Africains et 13 Asiatiques, un est d'Océanie.
François a demandé aux cardinaux nouveaux et anciens de "vivre en communion" avec lui et entre eux, et d'être armés de "compassion".
S'adressant à ces hommes vêtus de pourpre - la couleur du martyr -, il les a exhortés au "courage, pour annoncer l'Évangile en toute occasion, opportune ou inopportune, et pour rendre témoignage à la vérité" et être "des hommes de paix".
"Nous voulons exprimer notre proximité spirituelle à tous les chrétiens qui souffrent de discriminations (....) L'Église a besoin de notre prière pour eux, afin qu'ils soient forts dans la foi et qu'ils sachent réagir au mal par le bien", a-t-il dit, appelant à éviter la tentation du conflit intercommunautaire dans une allusion implicite à la Centrafrique ou au Soudan du Sud.
Comme au lendemain de son élection, François a insisté sur la nécessité pour l'Eglise d'être en mouvement: "Dans les Évangiles: Jésus marche beaucoup, il instruit les siens au long du chemin. Jésus n'est pas venu pour enseigner une philosophie, une idéologie? mais une route à parcourir avec lui. Et la route s'apprend en la faisant, en marchant. Mais ce n'est pas facile, ce n'est pas confortable, parce que la route que Jésus choisit est celle de la Croix".
Jamie Coots, un pasteur du Kentucky persuadé que les croyants ne pouvaient pas être mordus par les serpents, est décédé dimanche passé.
Saint-Marc avait écrit que les vrais croyants pourraient prendre des serpents dans leurs mains et même boire un poison mortel sans problème. C’est l’un des commandements de l’Evangile selon le culte pentecôtiste.
Jamie Coots, un pasteur du Kentucky, est décédé à la suite d’une morsure de serpent en plein tournage de l’émission "Snake Salvation" ce dimanche. Elle suivait Jamie Coots et ses proches afin de comprendre pourquoi cette pratique illégale existe toujours dans les zones rurales de la "Church Belt" dans le sud-est des Etats-Unis d’Amérique.
Un an de liberté surveillée en 2013 :
"Même après avoir perdu la moitié de son doigt suite à une morsure, après avoir vu plusieurs ecclésiastiques mourir pour la même raison, Jamie Coots pensait toujours qu’il devait accepter les morsures et suivre sa Sainte destinée", indique le site de la chaîne "National Geographic".
En 2013, Jamie Coots avait été condamné à un an de liberté surveillée pour avoir transporté des serpents venimeux dans le Tennessee. 125 églises pratiquent encore la manipulation de ces animaux dangereux. En mai 2012, Marc Wolford, un autre pentecôtiste, avait été mortellement mordu par un serpent.
(Source : RTL)
Le Comité des droits de l'enfant des Nations Unies a demandé mercredi au Vatican de déférer devant la justice tous les pédophiles au sein de l'Eglise, critiquant l'attitude du Saint Siège dans le passé.
Le Comité demande au Vatican "de relever immédiatement de leur fonction toute personne suspectée d'abus sexuel et de déférer leur cas aux autorités judicaires compétentes à des fins d'enquête et de poursuites".
Le Comité souligne dans son rapport publié mercredi à Genève "sa profonde préoccupation quant aux abus sexuels d'enfants par des membres de l'Eglise catholique placés sous l'autorité du Saint Siège, avec des religieux impliqués dans l'abus de dizaines de milliers d'enfants dans le monde".
De paroisse en paroisse :
"Le Comité est profondément préoccupé que le Saint Siège n'ait pas reconnu l'étendue des crimes commis et n'ait pas pris les mesures nécessaires pour traiter les cas d'abus sexueIs d'enfants et protéger ces enfants, et ait retenu des politiques et des pratiques qui ont conduit à la poursuite de ces abus et à une impunité pour leurs auteurs", affirme le rapport.
Il dénonce notamment les transferts de paroisses en paroisses dans un même pays ou dans un autre pays, pour cacher ces crimes et les occulter des autorités judiciaires."La pratique de la mobilité des auteurs de sévices a permis à de nombreux prêtres de rester en contact avec des enfants et de continuer à les abuser", affirme le rapport.
Il fait suite à l'examen le mois dernier par le Comité -constitué de 18 experts indépendants des droits de l'Homme de divers pays- de la position sur ces questions du Vatican, Etat représenté à l'ONU.
Un graffiti peint sur un mur de Rome, montrant le pape François en superman, a été twitté mardi par un compte Twitter du "ministère" des communications sociales du Vatican.
Ce tweet reproduit l'image d'un pape en plein vol, tout de blanc vêtu mais dans la célèbre posture de Superman, poing en avant, tenant de l'autre main une serviette en cuir sur laquelle est écrit en espagnol: "valores" (valeurs, au sens de valeurs éthiques).
Des tweets ont été envoyés en espagnol et en anglais: "Les compartimos este graffiti que vimos hoy" et "We share with you a graffiti found in a Roman street near the Vatican" ("Nous partageons avec vous un graffiti découvert dans une rue de Rome près du Vatican").
C'est un message de "bonne humeur" qui a été twitté par quelqu'un au ministère des communications sociales sur un compte qui est principalement suivi par les personnes s'occupant de communications sociales à travers le monde, a-t-on expliqué à ce ministère.
Les communications sociales du Vatican se sont profondément renouvelées depuis que Benoît XVI a décidé en décembre 2012 d'être présent sur Twitter.
Le compte personnel du pape en neuf langues (@pontifex, qui est un autre compte, géré par la Secrétairerie d'Etat) est suivi par plus de dix millions de "followers", dont plus de 200.000 en latin.
Vendredi, lorsque les Américains se rendront au kiosque à journaux, ils seront surpris du look de leur Rolling Stone. Ce mois-ci, c’est le Pape François qui fait la couverture du magazine de pop culture.
Lorsqu’il chantait Jesus Was a Rockstar, Scott Stapp était un visionnaire. La religion, c’est punk : la preuve. Bref, les temps changent et le nouveau Pape, élu il y a à peine un an, en est l’incarnation.
En une année de pontificat, « le Pape François s’est largement distingué de ses prédécesseurs et s'est imposé en pape du peuple», explique d’ailleurs le magazine. Dans un article intitulé « À l’intérieur de la révolution tranquille du pape », le journaliste Mark Binelli brosse, à la première personne, un portrait d’un Souverain Pontife simple et plus ouvert d’esprit que son prédécesseur, Benoît XVI. «François a choisi de ne pas habiter le palais pontifical mais de rester dans une dépendance du Vatican [la résidence Sainte-Marthe, NDLR]. Il préfère conduire sa Ford Focus plutôt qu'une limousine avec chauffeur. Et il paye lui-même ses notes d'hôtels», souligne le magazine, conquis. L’Argentin de 77 ans a également engagé une enquête contre des soupçons de corruption au sein de l’Eglise catholique et lutte activement contre la pédophilie. Très accessible, il entre facilement en contact avec ses fidèles, petits et grands. Tout cela le rend extrêmement populaire, bien au-delà de la communauté chrétienne. A ce propos, Rolling Stone souligne que François a attiré trois fois plus de monde sur la place Saint-Pierre du Vatican que son prédécesseur.
Elu personnalité de l’année 2013 par le Time Magazine, et désigné Homme le mieux habillé, le Pape François ne cesse d’être distingué. Sa personnalité rock’n’roll – il a reçu, en juin dernier, une Harley Davidson en cadeau – tranche radicalement avec celle, plus austère, de Benoît XVI. Son discours sur l’économie mondiale, en septembre, qui condamnait le capitalisme («un système sans éthique» régi par «une idole, ce dieu argent») a même heurté certaines sensibilités qui n’ont pas hésité à le traiter de communiste. Voilà qui sonne le glas de tous ces siècles de sectarisme religieux qu’a connu l’Eglise. «Le pape est un homme autant attaché aux traditions religieuses qu'à ses combats pour faire entrer l'Eglise dans une nouvelle ère», affirme Rolling Stone, qui n’a jamais accordé un tel honneur à un homme de foi, pas même au bien-aimé Jean-Paul II.
Ce n’est cependant pas la première fois que Rolling Stone défraie la chronique en choisissant une personnalité insolite pour faire sa couverture. Ainsi, en juillet 2013, c’est le visage du terroriste Djokhar Tsarnaev, commanditaire de l’attentat de Boston avec son frère, qui s’exposait en une du magazine. A cette époque, cela avait choqué l’Amérique et le monde entier. Cette édition devrait susciter moins de commentaires ...
La Nonciature apostolique à Paris a validé la supplique au Saint Père, rédigée par de jeunes catholiques français, qui a été signée par plus de 111.000 pétitionnaires.
Les 130.000 sont visés d'ici à vendredi, jour où François Hollande sera reçu au Vatican.
(*) Nous souhaitons qu'à l'occasion de la visite de François Hollande au Pape François, le 24 janvier prochain, celui-ci puisse officiellement lui faire état du profond malaise et de l'inquiétude grandissante de nombreux catholiques de France face à la promotion par son gouvernement d'atteintes majeures aux droits fondamentaux de la personne humaine (Loi Taubira, PMA-GPA, recherches sur l'embryon humain, euthanasie, Gender, etc.) et face aux attaques dont ils sont l'objet quotidiennement (campagne médiatique de dénigrement, profanations d'églises, etc.)
Très Saint Père,
Vous avez accordé audience au Président de la République Française, que vous recevrez au Vatican le 24 janvier prochain.
C’est avec confiance et espérance que nous nous tournons vers votre Sainteté pour lui demander de bien vouloir se faire, auprès de Monsieur François Hollande, l’interprète du profond malaise et de l’inquiétude grandissante de nombreux catholiques de France.
Malaise, car les catholiques de France qui se sont levés en masse l’an dernier pour crier leuropposition à la loi dite du « mariage pour tous »,loi injuste qui prive délibérément l’enfant de sondroit élémentaire à avoir un père et une mère, et qui ouvre la voie à la marchandisation du corps humain, n’ont pas été écoutés par monsieur François Hollande.
Ces manifestations, bien que non violentes, ont été réprimées dans des conditions indignes dénoncées d’ailleurs par le Conseil de l’Europe dans sa résolution 1947.
Malaise car, depuis un an, les catholiques de France sont l’objet d’une campagne médiatique de dénigrement d’une rare violence
Les profanations d’églises se sont multipliées récemment à l’initiative d’un groupe féministe radical, les Femen. Ces profanations n’ont quasiment trouvé aucun écho dans les médias; aucun membre du gouvernement ou responsable politique de la majorité gouvernementale n’a jugé utile de condamner ces profanations qui nous blessent ni même de nous exprimer son soutien.
Les suites judiciaires ont toutes été étouffées. Beaucoup de catholiques de France ne peuvent s’empêcher de faire le rapprochement avec la sévérité unanime et justifiée des réactions lorsque ce sont d’autres communautés religieuses qui sont attaquées en France.
Malaise enfin, car les moqueries et les attaques de la part des plus hautes instances pleuvent. Sur une grande radio nationale, il y aquelques mois, le Ministre du Travail tournait en ridicule la Sainte Eucharistie en déclarant « Nous ne sommes pas dans les invocations. On n’est pas à la messe à faire des prières. Nous on est dans l’action. » Sur les réseaux sociaux, l’attaché parlementaire d’un sénateur socialiste, rapporteur du projet de loi ouvrant le mariage aux homosexuels , en appelait à tirer sur la foule des manifestants opposés à la loi Taubira et recevait le soutien inconditionnel de ce sénateur. Les exemples, hélas, pourraient être multipliés à loisir.
Les catholiques de France sont las d’être un groupe religieux de qui l’on puisse se moquer en toute impunité.
Inquiétude, car ces attaques contre les catholiques vont de pair avec la promotion parle gouvernement de régressions majeures de droits fondamentaux de la personnehumaine, sous les coups deboutoirs de la culture de mort.
En juillet dernier, l’Assemblée Nationale a assoupli les conditions de recherche sur les embryons humains. Les catholiques de France réaffirment leur rejet d’une conception de l’enfant dans laquelle ce dernier n’a pas de droits en propre, hors du projet de ses parents sur lui.
Récemment, le délit d’entrave à l’avortement a été étendu à la simple expression d’une parole critique de l’avortement et de ses conséquences auprès d’unefemme venant chercher conseil. Les catholiques de France seront ainsi empêchés pour l’avenir d’exprimer leur opposition aux politiques de promotion de l’avortement, au mépris de la liberté d’expression qui était jusqu’à présent le fondement de notre démocratie.
Le gouvernement pose des jalons pour faire voter une loi autorisant l’euthanasie; à cette fin plusieurs membres du Comité National Consultatif d’Ethique ont été changés par Monsieur François Hollande et plus aucun représentant des autorités religieuses n’y siège.
Enfin, le Ministre de l’Education Nationale qui est le promoteur actif de la théorie du Gender à l’école a affirmé clairement sa volonté d’« arracher l’élève à tous les déterminismes », en ce compris les déterminismes familiaux.C’est ainsi le droit des parents à élever leur enfant conformément à leurs convictions qui est menacé.
Très Saint Père vous saurez, bien évidemment, trouver mieux que nous, les mots pour exprimer notre malaise sur l’ensemble des sujets évoqués ci-dessus, mais nous vous prions instamment avec confiance et gratitude, de bien vouloir faire officiellement état à Monsieur François Hollande de la terrible inquiétude de nombreux catholiques de France, lors de sa visite auprès de votre Sainteté le 24 janvier prochain.
Nous avons l’honneur d’être, avec le plus profond respect de Votre Sainteté, les très humbles et dévoués serviteurs.
Un collectif de catholiques de France
(*) Cela fait déjà plusieurs mois que l'Elysée cherche à organiser une rencontre entre François Hollande, et le pape François. Reçu fin novembre au Vatican, l'envoyé spécial du chef de l'État, Nicolas Hulot, avait transmis une demande d'audience.
Au fil des mandats présidentiels, la visite au Vatican est devenue un passage obligé. Valéry Giscard d'Estaing a rencontré Paul VI, Mitterrand et Chirac ont rendu visite à Jean-Paul II, et Nicolas Sarkozy a été reçu par Benoît XVI.
François Hollande, lui, n'avait jusqu'alors pas fait preuve d'un enthousiasme débordant à l'idée d'un tête-à-tête avec le Saint-Père. Le chef de l'Etat, qui revendique son athéisme et qui citait encore, lors de ses vœux du 31 décembre, la laïcité comme une «condition du vivre ensemble», ne s'était pas rendu à la messe d'intronisation du nouveau pape, en mars.
A l'époque, le débat sur le mariage gay battait son plein. Une séquence au cours de laquelle la popularité du chef de l'Etat auprès de l'électorat catholique s'est sensiblement dégradée ... Déjà, lors de la campagne présidentielle, les prises de positions du candidat socialiste sur le mariage homosexuel et l'euthanasie avaient crispé les catholiques : 66% des pratiquants avaient voté pour Nicolas Sarkozy au second tour. La radicalisation du conflit entourant l'adoption de la loi sur le mariage pour tous, suivie du débat sur la procréation médicalement assistée (PMA), n'a fait qu'aggraver ce désamour : en mars, la cote de popularité moyenne du président de la République s'élevait à 36% chez les catholiques pratiquants,contre 48% dans l'ensemble de la population.
Par petites touches, l'exécutif tente de reconquérir le cœur des catholiques.A l'approche des échéances électorales du printemps, cette désaffection croissante inquièteles experts électoraux du PS. Car le vote des catholiques pourrait se révéler déterminant lors des municipales, notamment dans l'ouest de la France, où la gauche était parvenue à capter une partie de cet électorat, déçu par Nicolas Sarkozy. «Les gains de Hollande ont été faits sur le centre-droit, lié à une tradition catholique. Avec le "mariage pour tous", le PS vient de s'aliéner ce qui a été à la base de son succès lors des dernières élections. C'est une erreur électorale énorme», commentait au printemps le démographe Hervé Le Bras.
Affirmer sa foi ? La croix et la bannière ! A Moscou, un musulman est monté sur le toit de la cathédrale de Kazan, sur la place Rouge, hurlant l’appel à la prière la veille du Noël orthodoxe. Le personnel a fait sonner les cloches pour étouffer les tonitruants Allahou Akbar –Dieu est le plus grand – du prêcheur autoproclamé. Le conseil des muftis, la plus haute autorité islamique de Russie, a dénoncé cette “dangereuse provocation”,note The Moscow Times. Le muezzin improvisé a été placé en hôpital psychiatrique.
Aux Etats-Unis, c’est avec une passoire sur la tête qu’un politicien a prêté serment lors de sa solennelle entrée en fonctions, rapporte le New York Daily News. Pour ceux qui l’ignoreraient, l’égouttoir n’est pas seulement un ustensile de cuisine : c’est aussi un couvre-chef religieux. M. Christopher Schaeffer, intronisé conseiller municipal à Pomfret, dans l’Etat de New York, est un disciple du pastafarisme. L’emblème de cette religion est la passoire, sa divinité, un être en spaghettis, créateur de l’Univers. L’Eglise du Monstre en spaghettis volants n’a qu’un dogme : rejeter tous les dogmes.Cette prestation de serment est un pas de plus dans la croisade de cette religion satirique créée en 2005 par un physicien athée pour dénoncer le créationnisme. L’an passé, un pastafarien tchèque a obtenu de figurer avec une passoire sur sa carte d’identité et un Texan a été autorisé à arborer sa coiffe religieuse sur son permis de conduire. L’Autrichien Niko Alm porte un égouttoir sur le sien depuis 2011. Il a bataillé pendant trois ans pour obtenir la bénédiction des autorités.
(Source : Courrier International)