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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Les quatre derniers otages français travaillant pour Areva et une filiale de Vinci, enlevés à Arlit au Niger par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui ont été libérés après trois ans de détention, sont arrivés mardi à l'aéroport de Niamey, a constaté l'AFP. Ils devraient rentrer à Paris dès demain ...
François Hollande a exprimé "toute sa gratitude" au président nigérien Mahamadou Issoufou, "qui a réussi à obtenir la libération de nos compatriotes". Selon son entourage, il a été prévenu "personnellement" par son homologue nigérien.
Les ministres français Laurent Fabius (Affaires étrangères) et Jean-Yves Le Drian (Défense) sont déjà sur place dans la capitale nigérienne et devaient s'entretenir avec le président Issoufou avant d'accueillir les otages. M. Fabius, qui accompagnait François Hollande mardi matin en Slovaquie, s'était éclipsé rapidement pour partir à Niamey.
"On vient de les accueillir à l'aéroport avec le président nigérien. Ils sont en très bonne forme", a déclaré le ministre Laurent Fabius.
Interrogé par Europe 1, le ministre des Affaires étrangères a insisté sur le fait que "la France ne payait pas de rançon".
"Ce que je peux vous dire c'est que la France ne paye pas de rançon, c'est clair et net", a-t-il déclaré, soulignant que la libération n'aurait pas été possible "sans l'action extrêmement efficace du président nigérien Mahamadou Issoufou".
Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a relayé le même message. "Il n'y a pas eu d'assaut. Il y a eu une initiative prise par les réseaux du président Issoufou qui a permis une libération sans heurt", a-t-il déclaré à TF1. Jean-Yves Le Drian a également démenti tout paiement d'une rançon. "On ne joue pas à cela", a-t-il dit.
"Depuis l'enlèvement des otages il y a trois ans, le Niger s'est employé aux conditions de leur libération. Aujourd'hui, c'est chose faite. On s'en félicite", a acquiescé le chef de l'Etat nigérien .
François Hollande a évoqué "trois ans d'épreuves pour ces ressortissants capturés, détenus par des geôliers sans scrupules", "trois ans de souffrance pour les familles qui vivaient un calvaire et qui sont aujourd'hui soulagées".
Les familles ont été informées par le président, juste avant l'annonce publique. "Seul l'Etat pouvait le sortir de là", a réagi Pascale Robert, mère de Pierre Legrand, sur la chaîne d'information en continu BFMTV. "On a l'impression de ressentir quelque chose que l'on n'avait jamais ressenti. On attend maintenant le retour physique, de les voir, leur parler, les toucher". "J'ai du mal à y croire encore. Je suis heureuse, émue", a déclaré à l'AFP Brigitte Laur, sa tante maternelle.
Sept Français toujours otages !
"Aujourd'hui, on me dit qu'ils sont libres sains et saufs. Nous sommes très heureux, même plus encore, c'est même indescriptible", a déclaré sur la radio RTL le président du comité de soutien de Thierry Dol, Karl Lebeau. "Tant que je ne toucherai pas Thierry Dol et les autres, je n'y croirai pas, je suis tellement heureux de cette annonce", a-t-il ajouté.
Jeudi 24 octobre, des sources sécuritaires régionales à Gao (Mali) avaient fait état de la présence d'émissaires dans le Sahel pour "accélérer les négociations en vue de la libération des otages français". Mais la France avait "formellement démenti" l'envoi de ces émissaires.
François Hollande a rappelé son engagement dans ce dossier : "Dès que j'ai pris mes fonctions, j'avais décidé d'utiliser tous les contacts possibles. La guerre que nous avons engagée au Mali (...) a pu suspendre ces initiatives", a expliqué le président français. "Elles ont été immédiatement reprises" ensuite, a-t-il ajouté.
Le 16 septembre 2010, sept personnes - cinq Français dont une femme, un Togolais et un Malgache - avaient été enlevées à Arlit, site d'extraction d'uranium dans le nord du Niger. Le 24 février 2011, la Française, Françoise Larribe, épouse de Daniel, ainsi que le Togolais et le Malgache, avaient été libérés "en territoire nigérien".
Le 21 mars de la même année, Aqmi avait réclamé "au moins 90 millions d'euros" pour la libération des quatre Français encore otages, demande rejetée par la France.
Après ces libérations, sept Français sont toujours détenus de par le monde : deux au Sahel, un au Nigeria, quatre en Syrie. "Je pense à ces sept otages", a affirmé M. Hollande, "je leur dis ce message simple et bref : ne perdez pas espoir, ne perdez jamais espoir, la République est là toujours solidaire".
La compagne du président de la République et la ministre de la Justice ont rencontré, ce lundi, plusieurs militants de la cause homosexuelle en Afrique du Sud.
Le mariage gay en Afrique du Sud, "c'est magnifique sur le papier, mais la vie quotidienne n'a rien à voir avec ça..." : c'est le message adressé, ce lundi 14 octobre, par des militants homosexuels des townships sud-africains à Valérie Trierweiler, compagne du président français.
En marge de la visite d'État de François Hollande en Afrique du Sud, sa compagne a rencontré, au cours d'un déjeuner à Pretoria, plusieurs de ces militants et militantes, puis un couple de lesbiennes noires. Alors que l'homosexualité est très largement acceptée dans les quartiers huppés de Johannesburg ou du Cap, majoritairement blancs, elle reste un tabou dans les townships populaires, où s'exerce la violence homophobe.
"Nous ne profitons vraiment pas de ces droits et privilèges inscrits dans la Constitution. Phindi Malaza, lesbienne sud-africaine"
Valérie Trierweiler était accompagnée pour l'occasion de la ministre française de la Justice, Christiane Taubira, qui a bataillé pour imposer en France en mai dernier le "mariage pour tous".
Initialement censée avoir lieu devant la presse, l'entrevue s'est finalement déroulée à huis-clos, illustrant le caractère toujours sensible du sujet en Afrique du Sud, malgré une législation très en pointe dans la défense des droits des homosexuels.
"En tant que gays et lesbiennes vivant dans les townships, nous ne profitons vraiment pas de ces droits et privilèges inscrits dans la Constitution", se désole Phindi Malaza, lesbienne sud-africaine qui a participé à la discussion avec la compagne du président français. "La rencontre était très informelle. Nous avons échangé sur notre travail. Nous vivons dans deux contextes différents", a-t-elle juste indiqué, restant très discrète sur la teneur de leurs échanges.
Après les décennies de répression du régime ségrégationniste d'apartheid, la "Nouvelle Afrique du Sud" de Nelson Mandela s'est dotée en 1996 d'une Constitution garantissant un maximum de liberté individuelle, dans tous les domaines. Une loi autorisant le mariage pour tous a été votée en 2006, et les couples de même sexe peuvent sans problème adopter des enfants, ou procréer en utilisant une mère porteuse, pour les gays.
Mais la vieille culture homophobe du pays n'a pas disparu pour autant, au point que des gays et lesbiennes sont régulièrement assassinés en raison de leur mode de vie. Et les associations continuent de dénoncer les "viols correctifs", pratiqués dans les townships pour "corriger" l'homosexualité féminine. En juin dernier, l'assassinat de Duduzile Zozo, une lesbienne de 26 ans retrouvée à demi-nue avec un manche à balai planté dans le vagin, avait ému quelques jours les médias, avant que l'histoire ne soit oubliée.
http://www.rtl.fr
Paris, à la recherche des vignes perdues ... La butte de Montmartre célèbre ce week-end ses 80èmes vendanges. Mais Paris accueille bien d'autres vignes, méconnues et pourtant vestiges du passé : à Bercy, Belleville ou dans le hameau de Vaugirard.
"Avant, il y avait du vin sur tout le pourtour de Paris. Il s'y produisait des petits vins de consommation courante, les transports ne permettant pas d'acheminer facilement des bouteilles du Bordelais ou du Rhône vers la capitale", raconte Jean-Pierre Langouet, chef jardinier du parc Georges Brassens.
La vigne de Montmartre est la plus ancienne : dès l'époque gallo-romaine on y trouve du raisin, raconte la Ville de Paris sur son site. Au XVIIIème siècle, les parcelles disparaissent "devant l'assaut conjugué des promoteurs immobiliers et de la concurrence des autres régions viticoles françaises".
A Belleville, ce n'est pas l'urbanisation mais la chute des prix du vin qui poussa les agriculteurs à troquer leurs vignes pour des fleurs. Même sort dans le hameau de Vaugirard, où les maraîchers remplaceront les vignerons, puis, en 1897, les abattoirs remplaceront définitivement les champs.
Pour se souvenir de ce passé, la Ville a replanté des vignes : près de 2.000 pieds à Montmartre en 1932, plus de 700 pieds dans le parc Georges Brassens (XVe arrondissement) en 1983 et 140 pieds dans le parc de Belleville (XXe) en 1992.
Même chose au parc de Bercy, où 350 pieds rappellent que, jusqu'au milieu du XXe, le vin arrivait ici par bateau.
Cultiver des vignes au milieu du béton n'est pas une mince affaire. "Dans la ville, ce n'est pas assez ventilé. Alors quand il pleut, les vignes ne sèchent pas : le risque majeur, c'est le développement de champignons", explique Jean-Pierre Langouet.
Ces vignes de la ville de Paris sont toutes vendangées. Mais seules les bouteilles de Montmartre et de Georges Brassens sont vendues, les autres jardiniers partageant leur récolte lors de différentes festivités.
Le parc Georges Brassens passe une partie de sa cave aux enchères chaque année depuis deux ans. Jean-Pierre Langouet reconnaît que ce n'est pas un grand vin, un pinot noir (rouge) qui se garde deux à trois ans et se négocie entre 8 et 25 euros, estampillé clos des Morillons, comme avant.
Outre ces vignes, officielles et bien référencées, le promeneur peut tomber, au hasard de la balade, sur des vignes, ici ou là dans la capitale. Souvent l'oeuvre de particuliers amoureux des belles et bonnes choses.
Comme dans cette vieille ruelle du XIIème arrondissement que ses habitants veulent jalousement garder secrète. Trois pieds de vigne plantés vers 1950 tapissent une partie du ciel, avec des grappes en suspension comme des lanternes.
Avant, les voisins vendangeaient pour y faire leur vin. Aujourd'hui, les raisins font le plaisir des étourneaux en décembre, "ce sont nos vendanges tardives", s'amuse une propriétaire des lieux.
Au Bistrot Melac, rue Léon Frot (XIe), "un repas sans vin est une journée sans soleil".
Ici, la vigne trône comme une auréole au dessus du restaurant et prend sa source ... dans la cave ! Une fête des vendanges se tient chaque année, le 2ème ou 3ème samedi de septembre, raconte le nouveau patron des lieux, Didier Madamour, pressé par les habitués de perpétuer la tradition viticole de la famille Melac.
Selon un couple accoudé au comptoir, le père Melac serait mort en descendant à la cave chercher une bouteille de Chablis. La légende est là !
Toutes ces vignes sont dites patrimoniales et n'ont pas le droit - sauf autorisation exceptionnelle - de commercialiser leur vin. Une association, les Vignerons franciliens réunis, milite pour obtenir "la reconnaissance de leur spécificité et la possibilité de pouvoir en retirer un revenu par des produits dérivés comme des oeuvres d'art, pour pouvoir entretenir ces parcelles", explique son président Patrice Bersac.
D'autant que leur développement progresse, à Paris, mais aussi à Marseille, Dijon ou Strasbourg, pour ne citer que les plus grandes des villes qui souhaitent renouer avec leur passé viticole.
"Le Qatar est un Etat esclavagiste", s’est insurgée jeudi la secrétaire générale de la Confédération syndicale internationale (CSI), Sharan Burrow, en marge de la réunion annuelle du Conseil général qui a lieu à Bruxelles. Les dirigeants syndicaux de cinquante-huit pays ont à cette occasion fait part de leur inquiétude quant à la situation du million de travailleurs recrutés pour l’organisation de la Coupe du Monde de football 2022.
"En moyenne, un travailleur meurt tous les jours au Qatar, où 1,3 million de travailleurs vivent dans des conditions déplorables", dénonce Mme Burrow. "Le gouvernement qatari refuse de s’attaquer au problème et d’assumer la responsabilité du mauvais traitement de la main-d’oeuvre."
La CSI déplore que la Fédération internationale de football (FIFA) n’ait pas assorti la désignation du Qatar à des conditions pour les droits des travailleurs. "Il faut que la FIFA prenne ses responsabilités et veille à la protection des personnes qui construisent les infrastructures et fournissent des services. Nous avons alerté le président Sepp Blatter il y a déjà deux ans sur le sujet, mais sans résultat. C’est pourquoi nous lançons une campagne internationale destinée à exiger une nouvelle désignation si la FIFA persiste dans son refus de s’attaquer aux violations des droits syndicaux au Qatar."
Selon une enquête du Guardian, 44 travailleurs népalais sont morts au Qatar entre le 4 juin et le 8 août. La CSI estime que quelque 4.000 travailleurs migrants mourront d’ici 2022 si aucune mesure n’est prise.
"Réputation associée à l’exploitation des ouvriers"
"La Coupe du Monde de football acquiert une triste réputation, associée à l’exploitation des ouvriers au Brésil, en Russie et au Qatar", hôtes des trois prochains tournois en 2014, 2018 et 2022, a souligné jeudi la secrétaire générale de la Confédération syndicale internationale (CSI), Sharan Burrow, en marge de la réunion annuelle du Conseil général qui a lieu à Bruxelles.
Au Brésil, la présidente Dilma Rousseff est intervenue pour mettre son véto à une disposition de la "législation sur la Coupe du monde" de 2014 qui aurait exclu du champ d’application de la loi la rémunération des bénévoles, explique Mme Burrow. "Il incombe à la Fédération internationale de football (FIFA) et à ses comités organisateurs nationaux de la Coupe du monde de garantir des conditions justes et équitables aux personnes qui mènent à bien cet événement sportif emblématique."
En Russie, la CSI et ses affiliés s’opposent à une législation adoptée par la Douma qui permettrait à la FIFA et à ses partenaires, y compris les entreprises russes et multinationales, d’établir des conditions de travail en dehors du cadre du droit national.
Plusieurs ouvriers de la construction ont déjà perdu la vie sur les chantiers des stades russes, déplore la Confédération. En 2012, un audit révélait que la moitié environ des 50 sous-traitants engagés sur le site de Kazan avaient été sanctionnés pour avoir négligé de fournir des équipements de protection et des formations en santé et sécurité à leur personnel. Selon les médias, trois travailleurs sont morts et plusieurs autres ont été blessés à Saint-Pétersbourg, tandis que l’inspection du travail a enregistré deux morts à Kazan.
Enfin, au Qatar, où en moyenne un travailleur employé sur les chantiers des stades meurt tous les jours, 1,3 million d’ouvriers vivent dans des conditions déplorables, dénonce Mme Burrow.
La situation de nombreux travailleurs peut être assimilée à de l’esclavage, soulignait mercredi une délégation de l’Internationale des travailleurs du bâtiment et du bois, après une mission d’une semaine au Qatar. "Leur liberté de mouvement est en outre sévèrement restreinte, puisque leur passeport a été suspendu."
"Il faut que la FIFA prenne ses responsabilités et veille elle-même à la protection et non à l’exploitation des personnes qui construisent les infrastructures et fournissent des services", conclut la secrétaire générale de la CSI, qui a lancé une campagne destinée à exiger une nouvelle désignation si la fédération internationale de football persiste dans son refus de s’attaquer aux violations des droits syndicaux au Qatar.
Le président de la plus haute instance du football estimait la semaine passée, à l’issue d’un comité exécutif, que "les droits des travailleurs (étaient) de la responsabilité du Qatar et des entreprises (de construction)" et non de la FIFA. "Une intervention peut uniquement émaner du Qatar lui-même et ils ont confirmé qu’ils le feraient", avait-il déclaré.
Patriote jusqu’au bout des ongles, Benjamin Carle a décidé durant neuf mois de faire l’expérience de ne consommer que du "Made in France". Un véritable défi qui demande à ce Français de repenser entièrement son mode de vie et même se devoir se passer de deux ou trois choses essentielles comme d’un frigo ou encore d’une machine à laver.
Le Made in France serait-il en passe de devenir un véritable mode de vie ? C’est ce qu’aimerait nous amener à penser Benjamin Carle qui projette prochainement de vivre durant neuf mois, en ne consommant exclusivement que des produits fabriqués sur le sol français.
Adieu machine à laver, frigo et ... disques de David Bowie !
Peut-on vivre correctement au quotidien en ne consommant exclusivement que des produits français ? C’est la question que c’est posé Benjamin Carle, 25 ans, qui a pris la décision de n’utiliser que des produits "Made in France" durant les neuf mois à venir. Le but de l’opération ? Arriver en mars 2014 à fonctionner de manière autonome avec des produits 100% français. "Les courses au supermarché vont être interminables. Je vais éplucher les étiquettes, traquer les AOC", explique avec humour à la presse Benjamin Carle.
Il raconte aussi qu’il devra se passer de machine à laver, de son lit Ikea ainsi que de certains de ses disques préférés comme ceux de David Bowie. "Fini les séries américaines, vive les vieux tubes de la chanson française et les groupes locaux comme Granville"!, raconte le jeune homme qui vit déjà ainsi depuis 4 mois. "Mon appartement a été vidé de presque tout car la plupart de mes biens n’étaient pas d’origine française. Même si ces biens ne sont pas remplaçables, je m’en suis passé", explique Benjamin Carle qui tente de vivre de la sorte avec chaque mois un salaire net de 1800 euros."Un montant suffisant même si c’est parfois un peu compliqué", assure-t-il.
Son expérience sera retranscrite dans un documentaire, au printemps prochain.
Inspiré par l’expérience de Morgan Spurlock, qui dans son film "Super Size Me" avait tenté durant un mois de se nourrir exclusivement chez McDonald’s ... l’expérience "Made in France" de Benjamin Carle va faire elle aussi l’objet d’un documentaire.
(Source : Yahoo)
PAKISTAN : Une île mystérieuse émerge dans la mer d'Arabie après le séisme !
Un "volcan de boue" d'une vingtaine de mètres de hauteur apparu au large du port de Gwadar fascine scientifiques et badauds.
Des milliers de personnes observaient mercredi ce gigantesque monticule d'une vingtaine de mètres de hauteur, d'une quarantaine de mètres de longueur et d'une centaine de largeur. (AP/SIPA)
Le puissant séisme au Pakistan survenu mardi 24 septembre a donné naissance à une "île", sortie subitement à la surface de la mer d'Arabie, à des centaines de kilomètres de l'épicentre, qui étonne badauds et scientifiques.
"Ce n'est pas une petite chose, mais un truc immense qui est sorti de sous les eaux", se frotte encore les yeux Muhammad Rustam, un habitant de Gwadar, port stratégique pakistanais situé à quelques 400 kilomètres au sud de l'épicentre du séisme.
Des milliers de personnes observaient mercredi ce gigantesque monticule d'une vingtaine de mètres de hauteur, d'une quarantaine de mètres de largeur et d'une centaine de longueur, planté dans la mer d'Arabie. Des pêcheurs intrigués s'étaient approchés mardi de cette protubérance maritime qui aimante les flashes des photographes amateurs locaux.
Arabie Saoudite : Des militantes saoudiennes ont annoncé dimanche qu'elles entendaient prendre le volant le 26 octobre, dans le cadre d'une campagne lancée sur internet, pour braver l'interdiction faite aux femmes de conduire dans le royaume ulraconservateur.
"Le 26 octobre, je conduirai une voiture", a déclaré à l'AFP Nassima al-Sada, une militante des droits de l'Homme. Elle a affirmé qu'une vingtaine d'autres femmes étaient également décidées à se mettre au volant le même jour dans la province Orientale où elle réside.
Les militants ont mis en ligne une pétition ces derniers jours pour réclamer l'autorisation de conduire. Ce droit ne contrevient pas, selon ses signataires, à la charia, la loi islamique invoquée dans les milieux conservateurs partisans de cette interdiction.
"Il n'y a pas un seul texte dans la charia ni la jurisprudence islamique qui stipule cette interdiction, laquelle ne trouve de justification que dans la tradition ou les coutumes", soulignent les militantes.
"Tout comme les femmes parmi les compagnons du prophète (Mahomet) se déplaçaient à dos de cheval et de chameau, il est de notre droit de conduire en utilisant les moyens de transport de notre ère moderne", poursuivent-elles dans leur pétition, qui a recueilli jusqu'à dimanche plus de 5.000 signatures.
L'Arabie saoudite, royaume ultra-conservateur qui applique une version rigoriste de l'islam, est le seul pays du monde à interdire aux femmes de prendre le volant.
Des militantes avaient lancé en juin 2011 une campagne pour braver cette interdiction, la plus importante après l'arrestation en novembre 1990 de 47 Saoudiennes qui avaient manifesté au volant de leur voiture.
Depuis, plusieurs d'entre elles ont pris le volant et certaines ont été forcées par la police à signer un engagement à ne plus récidiver, selon des militantes.
En juin 2012, des militantes avaient appelé à nouveau à défier l'interdiction de conduire à l'occasion du premier anniversaire de la campagne, mais avaient annulé leur appel à la suite de la mort du prince héritier, adressant une pétition au roi.
La controverse sur cette question "ne peut être tranchée que par une décision ferme" des autorités, estiment les signataires de la nouvelle pétition, avertissant que l'absence d'une telle décision "dans l'attente d'un consensus social ne fait que renforcer les divisions" au sein de la population.
"Plusieurs femmes sont volontaires pour apprendre à conduire ou pour former d'autres femmes" à prendre le volant, a expliqué Mme Sada, en évoquant des Saoudiennes ayant obtenu leurs permis de conduire à l'étranger.
Le 26 octobre, "je ne pourrai pas, personnellement, conduire à cause d'un engagement pris à m'en abstenir après avoir été arrêtée par la police au volant de ma voiture", a déclaré à l'AFP Najla al-Hariri, l'une des plus importantes militantes saoudiennes, qui avait participé à la campagne de 2011.
En Arabie saoudite, les femmes doivent engager un chauffeur ou, si elles n'en ont pas les moyens, dépendre du bon vouloir des hommes de leur famille. Elles sont en outre obligées de sortir voilées et ne peuvent voyager sans l'escorte de leur mari ou d'un proche.
Le roi Abdallah, un prudent réformateur, a accordé le droit de vote aux femmes à partir des prochaines élections municipales en 2015.
Allemagne : Angela Merkel a remporté un triomphe historique dimanche aux élections législatives allemandes et un troisième mandat d'affilée de chancelière, frôlant la majorité absolue au Bundestag, selon les résultats officiels provisoires.
A 59 ans, Angela Merkel a confirmé son statut de femme la plus puissante du monde, en devenant le premier dirigeant européen d'un grand pays à être reconduit depuis la crise financière et monétaire qui a secoué l'Union européenne.
La chancelière a offert à son parti, la CDU, son score le plus élevé depuis la Réunification du pays en 1990 avec 41,5% des voix, en hausse de 7,8 points par rapport à la dernière élection de 2009.
Le parti conservateur est arrivé très loin devant le parti social-démocrate (SPD) à 25,7% (+2,7), qui reste proche de son plus bas historique d'il y a quatre ans.
Mais l'allié libéral de Mme Merkel, le FDP, a été éjecté du parlement pour la première fois depuis l'après-guerre, avec son plus faible score jamais enregistré (4,8%).
Les Verts sont en baisse sensible à 8,4% (-2,3 points), victimes d'une mauvaise stratégie de campagne et d'une polémique sur la tolérance passée du mouvement envers la pédophilie. La gauche radicale, Die Linke, a baissé de 3,3 points, à 8,6%.
Un nouveau mouvement anti-euro, créé au printemps, a réussi un bon score, à 4,7%, sans atteindre les 5% nécessaires pour avoir des députés. L'AFD ("Alternative für Deutschland") espérait peser davantage en rassemblant un vote protestataire et en surfant sur l'hostilité de nombreux Allemands aux plans de sauvetage des pays européens en crise.
Angela Merkel est apparue rayonnante devant ses supporters pour se féliciter d'un résultat "super" et promettre "quatre nouvelles années de succès". Elle a jugé qu'il était "trop tôt" pour se prononcer sur la démarche à suivre en termes d'alliances. Prudente, elle a déclaré qu'il fallait "attendre les résultats définitifs", tout en soulignant qu'on avait "déjà le droit de faire la fête".
"La République Merkel", titrait l'édition en ligne du Spiegel, ajoutant: "Deutschland est définitivement Angela-Merkel-Land".
Les Allemands "n'ont pas offert à la chancelière une victoire, mais un triomphe", renchérissait le quotidien de centre-gauche Süddeutsche Zeitung, évoquant le "Merkelisme".
Jamais, depuis le chancelier Konrad Adenauer en 1957, les conservateurs (CDU/CSU) n'ont obtenu la majorité absolue des sièges au Bundestag (chambre basse du parlement).
Mme Merkel a échoué de deux sièges sur 598 à rééditer cet exploit, selon les calculs des médias allemands. Elle sera donc en position de force pour négocier une coalition, probablement avec les sociaux démocrates (SPD) --comme lors de son premier mandat (2005-2009)--, ou hypothétiquement avec les Verts.
Dans une telle configuration, elle pourrait sans problème continuer de mener sa politique de sauvetage de l'euro, selon son principe : "solidarité" en échange de "politiques de rigueur". Le SPD et les Verts ont jusqu'ici approuvé au Bundestag avec les conservateurs toutes les mesures d'aides aux pays en difficulté.
"L'Europe n'a pas de souci à se faire (...) nous allons continuer à jouer notre rôle de façon fiable", a commenté dimanche soir le ministre des Finances Wolfgang Schäuble.
Avec son deuxième plus mauvais score de l'après-guerre, le SPD semble avoir souffert de la campagne ratée de son candidat Peer Steinbrück qui a enchaîné les gaffes et polémiques : tout récemment un doigt d'honneur du candidat en Une du magazine Süddeutsche Zeitung a fait de l'ombre au parti. "Nous n'avons pas obtenu le résultat que nous voulions", a reconnu M. Steinbrück.
Outre la CDU/CSU, trois partis de gauche seraient représentés au Bundestag : le SPD, Die Linke, et les Verts, qui pourraient même disposer d'une majorité ensemble. M. Steinbrück a cependant exclu que son parti noue une alliance avec Die Linke.
Mme Merkel a donc été plébiscitée par les 62 millions d'électeurs allemands, qui la créditent d'avoir bien géré la crise de l'euro et d'avoir su protéger la première économie européenne. Elle a vanté durant la campagne la bonne tenue des finances publiques et la baisse du chômage, à seulement 6,8% de la population active, quand ce même indicateur explosait dans beaucoup de pays européens.
Aucun de ses homologues en Espagne, en France, en Italie ou au Royaume-Uni, ne s'est fait réélire depuis le début de la crise financière.
Dans l'Allemagne d'après-guerre, seuls Konrad Adenauer et le chancelier de la Réunification Helmut Kohl ont réussi à remporter trois mandats de chancelier.
Le président français François Hollande a félicité Mme Merkel pour son succès et les deux dirigeants se sont promis au téléphone de "poursuivre leur coopération étroite" au sein de l'Union européenne.
"J'ai confiance dans le fait que l'Allemagne, avec son nouveau gouvernement, poursuivra son engagement et sa contribution à la construction d'une Europe pacifique et prospère au service de tous ses citoyens", a dit pour sa part le président du Conseil de l'Union européenne, Herman Van Rompuy.
Des cowboys réclament de la country à la radio à coups de quadrilles ...
Un groupe baptisé "Cowboys For Country Music" s’est rendu devant les bureaux londoniens de stations de radio pour réclamer la programmation de country à l’antenne des radios nationales britanniques, a rapporté lundi le NME.
Les manifestants de Cowboys For Country Music, déguisés en cowboys et cowgirls, sont descendus dans la rue pour réclamer que leur genre musical de prédilection soit plus régulièrement programmé à l’avenir sur les ondes. La semaine dernière, ils n’ont pas hésité à montrer leurs talents en matière de "square dance" devant la BBC.
Leurs réclamations portent notamment sur l’absence de diffusion du single "Cruise" du duo américain Florida Georgia Line avec le rappeur Nelly, dont le clip a été vu des millions de fois sur YouTube, mais qui reste snobé par les radios mainstream britanniques.
Une pétition en ligne a été lancée sur le site ipetitions.com, mais sans grand succès jusqu’à présent: une dizaine de signataires seulement ont rallié la cause du "groupe de pression".
Le Costa Concordia est de nouveau debout !
Le Costa Concordia, qui avait fait naufrage au large de la petite île du Giglio le 13 janvier 2012, est de nouveau à la verticale. L’opération de redressement du paquebot s’est terminée ce mardi matin vers 4 heures.
Les sirènes ont de nouveau retenti et la foule s’est une nouvelle fois pressée dans le port du Giglio ce mardi matin. Mais cette fois-ci ce sont des hourras qui se sont fait entendre pour saluer l’opération de redressement du Costa Concordia. Couché sur le flan depuis le naufrage du 13 janvier 2012, qui avait fait 30 morts et deux disparus, le paquebot est de nouveau à la verticale. Véritable défi pour les équipes chargées de le remettre debout, le redressement de ce monstre des mers a été un succès. L’opération a duré environ 19 heures au total, mais il n’aura fallu qu’une dizaine de minutes pour le faire basculer.
Une première étape réussie !
Equipé, du côté émergé, de caissons remplis d’eau, le Costa Concordia a ensuite été tiré par des câbles métalliques jusqu’à atteindre le point de basculement. Il s’est ensuite redressé « tout seul », révélant son flan éventré. Un succès donc pour cette première mondiale. Mais les travaux ne sont pas terminés, il ne s’agit là que de la première étape et les habitants du Giglio devraient encore voir la carcasse durant encore plusieurs mois. Il va maintenant falloir installer sur l’autre flan du bateau des caissons qui serviront en quelques sortes de flotteurs. Le Costa Concordia pourra alors ensuite être remorqué. Il faudra ensuite trouver un port assez grand pour pouvoir l’accueillir et le désosser.