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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
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· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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- (photo ci-dessus : François Hollande reçoit le chef indien brésilien Raoni à l'Elysée, le 29 novembre 2012) -
Le chef indien Raoni "heureux" de plaider la cause de l'Amazonie à l'Elysée !
Raccompagné sur le perron de l'Elysée par le chef de l'Etat, Raoni, qui serait âgé de 82 ans, s'est dit "heureux" de cette rencontre, se félicitant du soutien du président de la République, des Français de "l'Europe et du monde", concluant son bref message par un : "Je vous embrasse."
"Le chef de l'Etat a salué son parcours personnel et son engagement courageux pour la préservation de l'environnement", a déclaré pour sa part l'Elysée dans un communiqué.
François Hollande "a rappelé la mobilisation de la France pour la préservation des grandes forêts primaires et la protection des peuples autochtones qui y vivent, en Amazonie comme partout dans le monde", a poursuivi la présidence.
Le président, selon l'Elysée, a fait valoir aussi l'action de la France en faveur du "développement durable de la zone amazonienne en Guyane", soulignant "l'importance d'une participation des peuples autochtones aux débats et négociations qui engagent leur avenir".
Le chef Raoni effectue actuellement une tournée en Europe qui doit le mener également en Allemagne, en Suisse et en Hollande pour soutenir la campagne "Urgence Amazonie", organisée par Planète Amazone avec le soutien de la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et pour l'Homme et Amazon Watch.
"Quand on a tendance à camper sur nos propres intérêts locaux, nationaux ou régionaux, il vient nous rappeler que ce sont des enjeux universels, que les changements climatiques, la déforestation, la perte de la biodiversité vont affecter l'humanité toute entière", a déclaré Nicolas Hulot, qui accompagnait le chef Raoni à l'Elysée.
Selon l'ex-animateur de l'émission de télévision "Ushuaïa", l'impact de projets agricoles ou miniers français sur la forêt amazonienne a été évoqué lors de cet entretien, tout comme le barrage géant de Belo Monte, sur le fleuve Xingu, un affluent de l'Amazone dans le nord du Brésil.
Le chef indien est un opposant à ce projet, qui a vu le groupe Alstom signer un contrat de 500 millions d'euros avec une compagnie brésilienne pour la fourniture de deux turbines.
Selon Nicolas Hulot, François Hollande "plaidera la cause (de Raoni) et des peuples indigènes et de la forêt amazonienne" auprès de la présidente brésilienne Dilma Rousseff, attendue en France le 11 décembre pour une visite d'Etat.
Angry Birds ou la poule aux oeufs d'or ! Grâce au succès de son petit jeu, une PME finlandaise est devenue en trois ans un poids lourd mondial des jeux vidéos. (le jeu a été téléchargé plus de : un milliard de fois !) ...
Tout commence en 2009, dans la banlieue d'Helsinki. Rovio, modeste éditeur de jeux vidéo, est à deux doigts de mettre la clé sous la porte. Cette PME d'une cinquantaine de personnes licencie les trois quarts de son personnel. Et abat sa dernière carte : la sortie d'un petit jeu tout bête et très addictif. Succès immédiat. Les fans restent scotchés durant des heures à ces oiseaux rouges que l'on catapulte sur des cochons verts sur fond de musique délicieusement entêtante.
Trois ans plus tard, Angry Birds (« les oiseaux en colère ») est l'application payante la plus téléchargée au monde sur iPhone et tablette iPad :plus d'un milliard en tout. Le jeu compte 22 millions de fans sur Facebook. Le chanteur Justin Bieber fait partie des accros. Salman Rushdie et David Cameron aussi.
« Les parties sont très courtes et l'on a tout de suite envie de recommencer », résume un adepte de 54 ans. Le jeu se décline à présent sur tous types de smartphones, sur ordinateurs et consoles. La dernière version, développée avec le poids lourd Star Wars, caracole en tête du top 50 des téléchargements en novembre.
En parallèle, les patrons de Rovio se sont lancés dans une impressionnante politique de diversification. Après le parc d'attractions Angry Birds, un dessin animé est en route... Des peluches aux vêtements, on ne compte plus les produits dérivés. En Finlande, les ventes du soda Angry Birds ont même dépassé celle de Coca et Pepsi.
La petite entreprise de douze personnes s'est bien remplumée. Rovio emploi aujourd'hui 500 salariés et a multiplié par dix son chiffre d'affaires (75 millions d'euros) en 2011
UMP. Comment va Jacques Chirac, qui fête ses 80 ans aujourd'hui ?
Jacques Chirac a 80 ans ce jeudi. L'occasion de se pencher sur son état de santé et sur ce qu'il pense de la crise à l'UMP.
Que pense Jacques Chirac de la crise à l'UMP, parti qu'il a créé il y a 10 ans ? Sans doute « rien », selon des proches, tant l'ex-président affaibli par la maladie, qui fête jeudi ses 80 ans, a pris ses distances avec l'agitation politique. Mais c'est bien son héritage - l'union de la droite et du centre-droit - qui est aujourd'hui en péril.
La crise à l’UMP ? « Il ne sait pas ce qui se passe »
« Je l'ai vu vendredi, il est assez fatigué, il n'a pas très envie d'en parler. J'ai évoqué avec lui le sujet, il ne s'y intéressait pas, il n'a fait aucun commentaire. Je ne crois pas qu'il se sente concerné, même si c'est sous son autorité qu'a été créée l'UMP », confie l'ancienne ministre Christine Albanel.
« Il est totalement éloigné de tout cela. Il ne sait pas ce qui se passe », dit une autre sous couvert d'anonymat.
L'ancien secrétaire général de la présidence Philippe Bas, qui voit régulièrement Jacques Chirac, n'a pas souvenir de l'avoir entendu se prononcer en privé sur la rivalité entre François Fillon et Jean-François Copé pour la présidence de l'UMP.
« Un état de santé très fragile »
L'écrivain et éditeur Jean-Luc Barré, qui a aidé Jacques Chirac à rédiger ses mémoires, pas davantage. « Il a pris ses distances avec tout cela depuis longtemps ».
« Il est dans un état de santé très fragile (...) je le trouve très affaibli. Il a été très affecté par la mort de Maurice Ulrich (l'un de ses anciens conseillers les plus proches). C'est une nouvelle qui l'a plus touché que les déboires de l'UMP dont je le sens très éloigné », témoigne Jean-Luc Barré.
L'ancien maire de Paris, dont les apparitions publiques sont rares - il pose toutefois cette semaine en famille dans Paris Match, notamment avec ses deux filles Claude et Laurence - n'était pas présent la semaine dernière à la remise du prix de sa Fondation pour la prévention des conflits.
Sa dernière sortie : dire qu'il vote Hollande
La dernière prise de position publique du fondateur du RPR, resté très populaire auprès des Français malgré sa condamnation en décembre 2011 dans l'affaire des emplois fictifs de la Ville de Paris, date de la campagne présidentielle.
En juin 2011, à Sarran (Corrèze), il avait affirmé qu'il "voterait François Hollande ». « Humour corrézien », avait-il rectifié dans un communiqué le lendemain, mais Jean-Luc Barré a soutenu en avril que Jacques Chirac voterait pour le candidat socialiste.
« Son dernier intérêt pour la vie politique a été la présidentielle. C'est le moment où il a dit ce qu'il avait à dire, ou qu'il l'a fait dire », assure Jean-Luc Barré, sur qui ont plu les critiques, pour avoir parlé au nom de l'ancien président.
Pour Philippe Bas, si « on ne peut faire parler Jacques Chirac, on peut en revanche parler de comment il a conçu l'UMP au moment de sa naissance, et quelle était la ligne politique » originelle du parti.
L'ex-président de la République Jacques Chirac, n'interviendra pas dans la guerre des tranchées à l'UMP, a affirmé jeudi son ami et proche Jean-Louis Debré, qui dînera avec lui ce soir pour fêter ses 80 ans.Interrogé par Europe 1 sur une éventuelle intervention de M. Chirac dans le psychodrame au sein du parti qu'il a fondé en 2002, le président du Conseil constitutionnel a tranché: "Sûrement pas !"
"Il s'intéresse beaucoup à la France, à la politique française non (...) Il a suivi avec grande attention l'élection présidentielle, les élections législatives, il s'intéresse à ça, mais la vie politique aujourd'hui ne l'intéresse pas".
"Les Français ont un regard attendri à l'égard de Jacques Chirac, ils ont un regard respectueux (...) Les Français, quand ils le rencontrent, ils ont l'impression d'avoir en face d'eux quelqu'un qui les aime", a assuré le président du Conseil constitutionnel.
"Le seul moment très difficile, quand on se promène avec lui, c'est le moment de la bière. c'est-à-dire à chaque fois qu'on passe devant un café, il y a un type qui sort avec une corona. Un jour j'ai dit : "donnez-nous à boire autre chose que de la bière", a raconté M. Debré, en allusion au breuvage préféré de M. Chirac.
Confiant qu'il allait "dîner ce soir" avec l'ex-chef de l'Etat, M. Debré s'est dit "inquiet, préoccupé et triste" par l'état de santé de son ami.
"Il n'est plus comme il était avant : il a des difficultés à marcher. On sent un homme usé, fatigué, c'est la vie, c'est la vieillesse, c'est la maladie, qui, même s'il ne veut pas le montrer, gagne un peu de terrain".
La rédaction du Monde sous le choc après le décès brutal d'Erik Izraelewicz .. Les journalistes du Monde étaient sous le choc mercredi, au lendemain du décès brutal à l'âge de 58 ans d'Erik Izraelewicz, directeur des rédactions du journal depuis février 2011 et ancien directeur des quotidiens économiques Les Echos et La Tribune.
Mardi, Erik Izraelewicz a été pris d'un malaise à la rédaction du Monde puis hospitalisé à la Salpêtrière où il est mort en début de soirée.
"Au cours de ses 68 années d'existence, Le Monde a, certes, connu bien des vicissitudes, des crises internes, des épreuves, mais pas de drames humains et intimes aussi douloureux", écrit la Société des rédacteurs du Monde.
"La rédaction est profondément choquée par ce décès", a confié un journaliste à l'AFP, à l'entrée de la rédaction du journal, dans le XIIIe arrondissement de Paris, alors que les salariés s'y engouffraient, la mine fermée.
Il était un des "rares qui savaient allier professionnalisme, talent, indépendance et rigueur... C'est aujourd'hui un ami que nous perdons", a écrit Louis Dreyfus, président du directoire du groupe Le Monde dans un message aux salariés publié sur le site du quotidien.
"Il y a une grande tristesse en plus du choc. C'est un journal dont l'identité est tellement forte que ça nous porte beaucoup dans ces cas, ça rassemble les gens, on se sent tous +très Monde+ et ça nous permet d'aller de l'avant", a souligné Sylvie Kauffmann, directrice éditoriale du Monde.
Un rassemblement a eu lieu dans le hall de la rédaction en fin de matinée, où quelques uns ont pris la parole pour parler d'Erik Izraelewicz.
Le numéro daté de jeudi consacre sa Une et deux pages du journal au directeur décédé, ainsi que le dessin de Plantu. L'article dépeint un journaliste économique "secret", "timide", "fin connaisseur du monde politique": "Lui, c'était le travail, le travail, le travail, plus le talent, plus les idées, plus l'art du scoop, plus l'intelligence aiguë des situations, plus cet ingrédient indéfinissable qui vous obligeait à reconnaître, parfois en râlant, qu'il était le meilleur".
"Un homme bien"
Son décès a suscité les réactions de nombreuses personnalités et les hommages se sont multipliés depuis mardi.
Le président de la République, François Hollande, a souligné qu'il "dirigeait les rédactions du Monde dans la tradition d'indépendance de ce grand journal tout en ayant la volonté de conduire son indispensable mutation".
La ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, a souligné qu'Erik Izraelewicz avait "marqué la presse économique puis Le Monde qu'il a su guider, notamment dans les enjeux du numérique". Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a salué son "extrême rigueur intellectuelle" et le maire de Paris Bertrand Delanoë "un journaliste indépendant".
"Il a su rassurer, rassembler et impulser un nouvel élan", lui ont rendu hommage les actionnaires du Monde, Pierre Bergé, Xavier Niel et Matthieu Pigasse.
Ils ont rappelé que sous sa direction furent lancés la refonte du journal, le magazine M et les nouveaux cahiers hebdomadaires, le rapprochement des équipes du Monde et du Monde.fr, ainsi que l'impression simultanée à Paris et en province, qui rend disponible le quotidien sur une plus grande partie du territoire en début d'après-midi.
Ce natif de Strasbourg au brillant parcours académique (HEC, Centre de Formation des Journalistes, docteur en économie) commence sa carrière à l'Expansion avant de participer à la création, en 1985, du quotidien économique la Tribune. Son président actuel Jean-Christophe Tortora, lui a rendu hommage mercredi en évoquant un "homme exemplaire".
A partir de 1986, il passe près de 15 ans au Monde, puis de 2000 à 2008, il exerce des postes à responsabilité au sein du journal Les Echos. Il était l'auteur de plusieurs ouvrages et occupait également la vice-présidence du conseil de surveillance des hebdomadaires Télérama et Courrier international.
Le président français François Hollande a fait part de sa "profonde tristesse" après le décès de M.Izraelewicz, en adressant ses condoléances à la famille et aux collaborateurs du journaliste. - (R.I.P.) -- (photo ci-dessus : La pyramide monumentale de Kukulkan, symbole fort de la fin du monde de l'ère Maya). -
Fausse fin du monde, mais vrai afflux touristique !
A Cancun, les hôteliers prévoient un taux d'occupation de 90%, un ballon d'oxygène pour cette destination affectée depuis 2009 par la crise économique mondiale.
Cette destination, ainsi que la Riviera Maya et sa vaste étendue de plages, est stratégique pour la promotion touristique de la tant attendue «fin du monde» en raison de sa relative proximité (188 km) du site archéologique de Chichen Itza, où se trouve la pyramide monumentale de Kukulkan, nom maya du Dieu le plus important du monde préhispanique, le Serpent à plumes.
Chichen Itza, dans l'Etat du Yucatan, est le site archéologique le plus célèbre et celui qui devrait connaître la plus forte affluence, avec pour point d'orgue une grande cérémonie le 21 décembre - date commerciale de l'évènement - avec la reconstitution de plusieurs rituels mayas.
L'association des hôtels de Cancun a proposé des séjours prévoyant pour la troisième semaine de décembre des visites à Chichen Itza, à Tulum, un site archéologique de bord de mer ou au parc naturel de Xcaret.
L'institut national d'archéologie et d'histoire (Inah) du Mexique, chargé des sites, a prévu des conférence et des événements de présentation de l'héritage maya, avec une volonté de remettre à leur juste place la valeur des visions catastrophistes.
«Nous voulons aller au-delà des manipulations qui, à partir de films ou de romans, font état d'une prophétie maya de la fin du monde. Nous insistons notamment sur les connaissances des mayas dans le domaine des mathématiques ou de l'astrologie», selon un responsable de l'Inah.
Villahermosa, dans l'Etat du Tabasco, est la ville du musée archéologique abritant des fragments du «Monument 6», l'imposante stèle de pierre taillée qui a donné lieu aux spéculations sur une prétendue prophétie maya de la «fin du monde». En réalité ce monument narre l'histoire d'un seigneur maya dans laquelle la date du 23 décembre, fin d'un cycle long du calendrier maya est simplement mentionnée.
C'est là qu'auront lieu des conférence sur le thème «une nouvelle ère commence».
A Tapachula, dans l'Etat du Chiapas, près de la frontière avec le Guatemala, une énorme horloge électronique, marquant le compte à rebours jusqu'à la date du 21 décembre, a été installée aux abords d'un site archéologique.
Les Mexicains prennent avec humour la prophétie maya, notamment quand on enregistre de forts séismes, comme le 21 mars ou à l'aube du 15 novembre, présentés parfois comme des «répétitions» des mayas pour la fin du monde.
Le président Felipe Calderon a joué dans ce registre en faisant un rapprochement entre la fin de son mandat le 1er décembre et la prophétie maya.
«Selon le calendrier maya, tout un cycle se termine en décembre 2012. Beaucoup de choses fantaisistes ont couru et on dit que cela va être la fin du monde. La seule chose sérieuse qui va se terminer à la fin de cette année, c'est mon gouvernement», a-t-il plaisanté fin octobre lors d'un déplacement.
– Le joaillier Swarovski se voit confier l’ornement du sapin des Galeries Lafayette à Paris(du 6 novembre au 12 janvier), ainsi que de celui de Strasbourg (du 8 novembre au 12 janvier), ville emblématique des marchés de Noël.
Ses parents ont toutefois expliqué lors d'une conférence de presse, samedi à Barjac, qu'elle avait été "prise par force" par "un individu qui s'est arrêté" devant leur domicile.
La jeune fille a commencé à raconter à sa famille ce qu'elle avait vécu au cours de cette semaine de captivité, mais à son rythme, en livrant plutôt des "flashs" que le déroulement complet des événements, d'après ses parents.
Les enquêteurs devront donc déterminer précisément ce qu'elle a subi mais également retracer le parcours du kidnappeur et de la jeune fille, retrouvés à Offenbourg en Allemagne, mais qui auraient pu passer par les Alpes italiennes, selon des éléments confiés par Chloé à ses parents.
Né à Bagnols-sur-Cèze, dans le Gard, le ravisseur présumé avait déjà été condamné à 5 ans de prison, dont 3 ferme, pour agression sexuelle. Une source judiciaire, qui a eu affaire à lui entre 2007 et 2009, décrit un homme qui se trouvait alors "en situation d'errance psychologique" et qui, "à l'époque où il a été arrêté, a dit +il faut qu'on me soigne+".
"Il se baladait dans sa voiture, il était complètement à l'ouest, il croisait une joggeuse, il l'agressait. Les premières fois, devant la résistance de ses victimes, il avait abandonné et elles avaient réussi à s'enfuir", se souvient cette source.
Sorti de prison le 14 septembre, le ravisseur présumé "avait une convocation au service pénitentiaire d'insertion et de probation, le 24 septembre à Avignon, mais il n'y est jamais allé", a indiqué le procureur de la République de Nîmes, Robert Gelli, qui a ouvert une information judiciaire pour "enlèvement et séquestration".
Cette situation aurait dû alerter les enquêteurs, selon le maire de Barjac, Edouard Chaulet. "Cet individu devait pointer dans un commissariat et il n'est pas venu. On aurait dû lancer l'alerte immédiatement et faire le lien avec la disparition!", affirme-t-il.
Les parents de Chloé Rodriguez ont commencé à dessiner samedi le profil psychologique d'un ravisseur avec lequel un dialogue "rationnel" était possible par moments. "(Chloé) nous a dit qu'elle avait réussi à avoir un dialogue avec ce monsieur", a raconté son père, ajoutant qu'"elle obéissait à tous ses ordres", car "tout ce qu'elle voulait, c'était rester en vie".
"C'est très classique, cette relation qui s'instaure entre un bourreau et sa victime: des parts d'humanité réapparaissent, souvent grâce à l'attitude de la victime", explique le pédopsychiatre Marcel Rufo. "Faire semblant de se soumettre est aussi une façon de ne pas avoir peur", ajoute-t-il.
Chloé n'avait plus donné de nouvelles depuis qu'elle avait quitté à scooter, le vendredi 9 novembre vers 17H30, le domicile d'une amie situé dans un autre village à une dizaine de kilomètres de Barjac. Son deux-roues avait été retrouvé abandonné dans la soirée devant le domicile familial.
"Ce Monsieur devait errer dans les rues et surveiller soit le passage de notre fille, soit d'une autre jeune fille. La première personne qu'il a vue à sa portée a été sa proie", a supposé M. Rodriguez samedi.
La mère de Chloé a pour part formulé le souhait que l'homme ravisseur soit "puni comme il se doit", car "la prochaine fois, il aura peut-être un geste irrémédiable".
La ministre des Affaires sociales a dit "respecter l'inquiétude" des manifestants mais a affirmé sur Europe 1 que le gouvernement "ne renonce pas à son projet", qu'"il ne le retire certainement pas".
La veille, un premier mouvement a rassemblé plus de 100.000 personnes dans l'Hexagone, une ampleur rare pour un sujet de société, rappelant les 100.000 manifestants mobilisés contre le Pacte civil de solidarité (Pacs) en janvier 1999 à Paris.
La manifestation de dimanche débutera à 14H30 devant le ministère de la Famille pour rallier l'Assemblée nationale. Une trentaine de cars de province grossiront les rangs du cortège, qui défilera aux cris de "oui à la famille, non à l'homofolie".
Ce mot d'ordre constitue un "dérapage", a prévenu sur France 3 la porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belkacem.
Pour le chef de Civitas, Alain Escada, l'homosexualité est un "mauvais penchant qui nécessite d'être corrigé et une personne qui a de tels penchants devrait être abstinente".
L'Institut Civitas, qui bénéficie du "conseil doctrinal" de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie-X (catholiques intégristes), revendique 1.200 adhérents et un réseau de sympathisants d'environ 100.000 personnes.
Samedi, une première mobilisation contre le mariage gay a eu lieu à l'appel du collectif "La Manif pour tous", qui se dit apolitique et non confessionnel, avec d'autres arguments que Civitas.
"La grande différence entre nous et eux, c'est l'homophobie, je suis personnellement favorable au Pacs", a expliqué à l'AFP l'humoriste catholique Frigide Barjot, "mais nous ne voulons pas du mariage et de l'adoption, nous voulons garder notre modèle de filiation".
Les opposants au mariage homosexuel ont revendiqué "des centaines de milliers" de participants et appelé à une nouvelle mobilisation le 13 janvier à Paris.
Quelque 70.000 manifestants ont été recensés à Paris, selon la préfecture de police, 200.000 selon les organisateurs. En province, les manifestations allaient de plusieurs milliers de personnes, à Toulouse, Nantes ou Rennes, à quelques centaines (350 à Laon, dans l'Aisne).
Des associations ou collectifs comme "Plus gay sans mariage" (homosexuels opposés au projet de loi), "La gauche pour le mariage républicain", les "Fils de France" (musulmans "patriotes"), ou l'association pro-vie Alliance Vita soutenaient ce mouvement.
A Toulouse, les forces de l'ordre se sont interposées entre manifestants et contre-manifestants. A Lyon, la police a interpellé une quarantaine de contre-manifestants.
L'ex-Premier ministre François Fillon a dit "comprendre parfaitement qu'on puisse manifester contre ce projet", prônant "un grand débat national".
Son rival à la présidence de l'UMP, Jean-François Copé, qui n'a pas non plus manifesté, s'est réjoui "que les militants UMP aient répondu si nombreux" à son appel à manifester.
"Il me paraît difficile de considérer qu'il n'y a pas eu débat", a déclaré Marisol Touraine, soulignant que le projet de loi, "modéré et nuancé", transcrivait une promesse de campagne de François Hollande.
"Le débat a déjà eu lieu", a renchéri Mme Vallaud-Belkacem.
Samedi, le pape Benoît XVI a demandé aux évêques comme aux fidèles "d'être attentifs aux projets de lois civiles pouvant porter atteinte à la protection du mariage entre l'homme et la femme".
Les partisans du mariage pour tous battront à leur tour le pavé le 16 décembre, à l'appel de l'association Inter-LGBT (lesbienne, gay, bi et trans), qui appelle les pouvoirs publics à "la plus grande fermeté" en cas de "dérapages" lors des manifestations, rappelant que "les propos homophobes sont réprimés par la loi".
"Nous allons nous mettre en forme avant la distribution des cadeaux et faire plaisir aux enfants", déclare la seule Mère Noël en lice, venue du Nord de la France. Elle a étrenné son costume de laine rouge l'an dernier et se réjouit de cette nouvelle compétition.
Samedi matin dans ce bourg de Laponie, les neufs participants paradent avec leurs assistants, elfes et lutins, jusqu'au lieu de la compétition en centre-ville.
Le Japonais est accompagné par trois rennes humains, qui, de bonne grâce, acceptent de tirer le traîneau du Père Noël lapon, le local de l'étape. Au fur et à mesure, les curieux se joignent à la procession.
Agnes, deux ans et demi, bien emmitouflée dans sa combinaison violette, est émerveillée. "Un Père Noël! Oh! Un autre encore... Il faut que je leur fasse des bisous. A tous! Je n'en ai jamais vu autant", s'exclame-t-elle.
Raïssa, Russe de 53 ans, vient assister à la compétition pour la cinquième fois. "J'aime tous ces Pères Noël. C'est drôle et agréable. C'est un événement qui me rend heureuse", dit-elle dans un sourire.
Alors que les spectateurs se pressent autour du terrain, elfes, lutins et rennes distribuent drapeaux, sifflets et sucreries. L'aide du Père Noël espagnol, Marco, trois ans, s'acquitte consciencieusement de sa tâche avant de plonger dans la neige, qu'il découvre.
Rodéo sur un renne, rapidité à avaler un bol de bouillie, karaoké et course à pied sur la neige, en sacs ou en traîneau-luge permettent au jury de départager les Pères Noël.
"Le Lapon doit gagner. Il déchire!", affirme Siri, 11 ans, qui avec ses amies commente la compétition du haut d'une butte de neige.
"J'ai promis au participant hollandais de le soutenir. Il est tellement sympathique", confie Ina-Britt, 76 ans, qui a assisté à tous les Jeux d'Hiver depuis la première édition en 2003.
La Mère Noël s'amuse, malgré l'effort. "Ce n'est pas facile quand même", glisse-t-elle entre deux épreuves.
"Oh, oh, oh, je suis heureux, joyeux Noël!", tonne en anglais dès qu'il en a l'occasion le participant chinois, qui vient de Hong Kong.
C'est finalement le Néerlandais qui est couronné. "Je suis ravi: je suis le premier à remporter la compétition deux années consécutives. Je reviendrai l'an prochain défendre mon titre", promet-il.
Et chacun de repartir déguster qui un vin chaud, qui un chocolat bouillant au marché de Noël.
Quelque 400 personnes, chaussées de solides après-ski et bonnets vissés sur la tête, ont bravé le froid polaire, un "record" selon les organisateurs. "L'année prochaine, on verra les choses en plus grand", affirme Mathias Svalenström, responsable de l'événement.
Patrick Edlinger, qui a popularisé l'escalade dans les années 1980, est décédé à l'âge de 52 ans.
La mort de Patrick Edlinger a été annoncée, vendredi soir, par le site du Dauphiné Libéré et celui des Rencontres du cinéma de montagne de Grenoble. Selon le site des Rencontres, auxquelles Patrick Edlinger devait participer jeudi, prochain, le sportif «a été retrouvé sans vie chez lui». «Les causes de son décès ne sont pas encore connues», précise-t-on de même source.
Gorges du Verdon :
Le sportif avait fait entrer l'escalade dans l'histoire de la montagne en effectuant un solo intégral sur un parcours particulièrement relevé des gorges du Verdon en 1982.
Cette prouesse, comme celles qui ont suivi, ont fait l'objet d'un documentaire diffusé dans le monde entier intitulé La Vie au bout des doigts qui ont entre autres contribué à faire connaître l'escalade auprès du grand public.
«Je suis un homme libre» :
Victime d'un grave accident en falaise, alors qu'il s'entraîne dans les Calanques, il met fin en 1995 à sa carrière de haut niveau.
Patrick Edlinger dont la cause du décès est inconnue avait confié au quotidien régional pratiquer chaque jour l'escalade. «Je suis un homme libre, je ne regrette rien de mon parcours», a-t-il confié au journal à quelques jours des Rencontres du cinéma de montagne.
GRIMPER ! PRATIQUE ET PLAISIR DE L'ESCALADE Patrick EDLINGER, Alain FERRAND, Jean-François LEMOINE
( Éd. Arthaud, Paris. 1985)
(Revue " Montagne et Alpinisme" N°2 - 1986)
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