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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
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· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
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· David Hamilton ... talentueux et marginal !
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· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Les chapeaux tendance du Royal Ascot :
Le rendez-vous sportif du Royal Ascot est aussi l'occasion d'un défilé de chapeaux qui rivalisent d'originalité. Quelques images de l'un des événements britanniques les plus tendances de l'année.
Le curé de Champagne-au-Mont-D’or, dans l’agglomération lyonnaise, organise tous les 14 mai une bénédiction destinée aux animaux.
"Tous les animaux sont invités, accompagnés de leurs maîtres : chats, chiens, poissons rouges, canaris, chevaux sur le parvis, canards, etc.", explique le père Frédéric Lequin dans un message laissé à l’adresse des fidèles dans son église Saint-Louis Roi.
"Bénir, c’est vouloir le bien " dit-il pour justifier son initiative. "C’est faire entrer ce que j’aime et ce qui m’appartient dans le divin. Bénir une maison, c’est faire entrer le bien dans ce lieu.
"La bénédiction s’oppose à la malédiction qui veut le mal" conclut-il.
Cette pratique, qui peut paraître insolite, n’est pourtant pas unique. L’église Saint-Louis Roi est la seule à la pratiquer autour de Lyon, mais des cérémonies identiques sont parfois organisées dans plusieurs villes de France, dont Nice.
Le diocèse de Lyon explique que la bénédiction des animaux est une tradition très ancienne dans l’église chrétienne, qui persiste encore, même amoindrie.
"Dans l’évangile, Jésus bénit les personnes, c’est-à-dire qu’il appelle la bienveillance de Dieu sur une personne, mais par extension, il bénit aussi tout ce qui a trait à l’activité humaine, les maisons, les instruments de travail et les animaux qui contribuent au bien-être des humains", rappelle Mgr Jean-Pierre Batut, évêque auxiliaire du diocèse de Lyon.
TRADITION :
"Bénir les animaux est une pratique qui s’est perdue mais qui garde toute sa pertinence, elle touche beaucoup les gens car c’est une prière très concrète", fait valoir l’évêque, qui parie sur une importante participation à cette cérémonie.
A Champagne, l’initiative séduit effectivement les fidèles.
Jean-Pierre et Suzanne Desprez, qui fréquentent l’église et abritent dans leur petite ferme nombre d’animaux (canards, poules, vaches, chevaux …) saluent l’initiative.
"Je connais cette pratique de l’église qui est très ancienne", explique le retraité. "Autrefois, on mettait même des planches sur les marches d’escalier à l’entrée de l’église pour que les chevaux puissent y pénétrer".
"La chrétienté doit conserver ses traditions, et cela rappelle aussi aux gens que les animaux font partie de la vie depuis l’arche de Noé", poursuit Jean-Pierre.
Les Désprez ont la ferme l’intention de se rendre à la bénédiction avec l’un de leurs compagnons.
"Je me ferai un plaisir d’amener à l’église un mouton bien docile", confie Jean-Pierre.
Hello Kitty ... une passion à 62.000 euros !
Natasha Goldsworth est une jeune femme de 29 ans à la recherche de l’âme sœur comme beaucoup d’autres femmes de son âge. Mais sa quête de l’amour est freinée par une passion, pour ne pas dire une obsession, très envahissante. La Britannique collectionne à l’envi tous les articles Hello Kitty qui croisent son chemin et son porte-monnaie. Une manie coûteuse qui donne la nausée à tout homme qui passe la porte de son appartement …
L’adorable petit chaton au noeud rose made in Japan a sans doute fait craquer toutes les petites filles un jour. Nombre d’adultes profitent encore de l’engouement intergénérationnel de leurs filles, nièces et filleules pour Hello Kitty afin d’acheter à l’occasion l’un des millions de produits dérivés. Natasha Goldsworth, elle n’est pas passée au-delà du stade mignon-kitsch Hello Kitty. Ses achats sont des cadeaux qu’elle s’offre à elle-même, toute victime qu’elle est de sa folie dépensière et de son obsession pour le personnage japonais.
10.000 Hello Kitty à la maison :
"Ils me rendent heureuse", explique la jeune femme au sujet de ses 10.000 objets au chaton rose qui jonchent son appartement du sol au plafond. Meubles, rideaux, boîtes à tartines, milliers de peluches, sapin de Noël, figurines sont exclusivement "brandés" Hello Kitty dans le monde de Natasha Goldsworth, qui a dépensé pour sa passion pas moins de 50.000 livres soit 62.000 euros. Assez pour ne plus savoir mettre un pied dans certaines pièces de son chez-elle. Trop peu pourtant pour apaiser ses pulsions.
Car l’ameublement, la décoration et les objets pratiques truffés de chats stylisés ne suffisent pas à cette collectionneuse excessive. Habillée en Hello Kitty des pieds à la tête – de la couronne aux souliers en passant par les sous-vêtements – Natasha ne passe pas inaperçue. Et si un homme craque malgré tout pour elle, il devra accepter ad vitam ce look enfantin, voire puéril, au risque de prendre la porte.
"Il accepte ou il s’en va" !
Car pas question pour cette célibataire de renoncer à sa manie pour un homme, fût-il parfait. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le coût de sa passion, mêlé au caractère obsessionnel de la jeune femme, n’aident pas ses amoureux éphémères à tolérer longtemps l’encombrement et l’écoeurement causés par cette adoration accaparante. "La plupart des hommes veulent que j’arrête de collecter les objets et que je les vende. Ou il me demandent de m’habiller autrement. Mais je ne m’y résous pas encore, Hello Kitty est une partie de moi et je veux rester moi-même. Donc je les mets dehors. Si un homme ne peut accepter mon Royaume Hello Kitty, il ne m’intéresse pas", résume simplement la fanatique.
Fauchée :
Et si l’on pouvait croire que sa folie aurait une fin marquée par les limites d’espace de son petit appartement, il n’en est rien. Natasha Goldsworth s’apprête à déménager pour que sa collection s’étende enfin à l’envi. Mais ses finances sont au plus mal, car les 62.000 euros dépensés en babioles ne lui permettent plus aucun autre écart. Voilà des années que la jeune femme se prive de vacances pour acheter des bricoles Hello Kitty. Des années également qu’elle n’a, pour la même raison, plus pu se permettre un restaurant. Sa frustration est grande, mais uniquement car elle n’a plus les moyens d’assumer sa folie dépensière qui l’empêche de résister devant chaque nouvel article. Ses proches viennent alors à la rescousse et la couvrent d’objets rêvés pour les anniversaires et fêtes diverses. Au moins une femme à qui on sait comment faire plaisir… mais est-ce vraiment lui rendre service ?
A Lyon, un prêtre fait le buzz en annonçant qu’il va bénir des téléphones portable lors de la fête de la Pentecôte 2014. D’autres paroisses à travers le pays auraient déjà mis en place ce genre d’opération. Et les fidèles en redemandent.
L’Eglise se met à l’heure de la modernité, le curé Frédéric Lequin qui officie à la paroisse Notre-Dame de Bellecombe prépare une drôle de messe pour la Pentecôte qui aura lieu ce dimanche 8 juin. L’homme va profiter des célébrations pour proposer à ses fidèles de faire bénir leur smartphone. Une drôle d’idée qui fait pourtant des émules.
Véritable tendance :
C’est en 2011 que le pionnier en la matière, Gil Florini, prête de l’église Saint Pierre d’Arène à Nice décide d’instaurer cette cérémonie au sein de sa paroisse. Moquée, celui-ci défend pourtant ses choix et très vite d’autres hommes d’église se joignent à lui.
Frédéric Lequin s’est donc inspiré de son aîné le père Gil Florini. Pour ces curés il s’agit de donner une image plus jeune et ouverte au progrès technique du clergé. Mais au-delà de faire le buzz, l’objectif principal de cette opération est de faire réfléchir à de meilleurs usages de ces appareils électroniques.
Un moyen de communication :
Le père Lequin justifie la bénédiction des smartphones en invoquant les rituels religieux. "Il faut rappeler que la bénédiction des moyens de communication est inscrite au rituel de l’Eglise tout comme celle des bateaux, des charrues, de tous les instruments de travail et des animaux", explique-il au quotidien Le Progrès.
Et nombreux sont les paroissiens à apprécier l’initiative qu’ils voient comme un moyen d’assainir leurs appareils. L’un d’eux déclare : "Ça m’arrive de recevoir des tas de choses parasites sur mon ordinateur que je n’ai pas demandé". Si la bénédiction n’a pas encore prouvé son utilité dans la protection informatique en revanche il s’agit pour les responsables religieux de faire passer un message fort.
"J’espère que les gens comprendront qu’ils peuvent s’en servir pour envoyer des choses aux gens qu’ils aiment", explique le père Gil Florini. Dans les semaines à venir, le curé lyonnais, Frédéric Lequin devrait également bénir des transports en commun ... Tout un programme.
En 1880, 10 ans avant le début de la production du vrai Couteau Suisse, John S. Holler a créé ce couteau multifonctions en Allemagne.
Il comporte 100 outils, dont revolver à 5 coups qui fonctionne, des ciseaux, un tire-bouchon, une scie, un coupe-cigare, un stylo et un crayon, un miroir, un rasoir et une multitude de lames.
Le manche s’ouvre également pour dévoiler des couteaux et ciseaux miniatures dont un couteau-crucifix.
Il ne lui manque qu’un décapsuleur … la capsule ayant été inventée 12 ans plus tard.
John Brookerest un jardinier anglais de 75 ans, vivant à Norfolk en Grande-Bretagne, qui possède une haie pas comme les autres. En effet, celle-ci n’est autre qu’un dragon long de 30 mètres ! Sa créature possède six pattes, des ailes et des dents soigneusement affûtées ainsi que de nombreux autres détails qu’il prend soin d’ajouter au fur et à mesure. Le résultat est à couper le souffle !
I TRADIZIONALI sont des tatouage-recettes illustrés qui peuvent être appliqués sur son avant-bras. Non seulement le tatouage insiste sur le geste commun, mais il aide aussi le cuisinier se rappeler l’ordre dans lequel la recette doit être préparée.
Il fait partie de la culture traditionnelle de chaque pays. Avec « I Tradizionali », cependant, échanger des recettes devient une expérience encore plus agréable. Non seulement ils aident les générations plus âgées en passant les recettes à leurs enfants,
L’idée de combiner des recettes avec le tatouage traditionnel de la culture, est ce qui a inspiré le nom du projet et des illustrations des tatouages. Pour la première fois dans l’histoire, ce projet d’ajouté des tatouages à la culture culinaire. Pour créer un nouveau jargon pour combiner ces deux cultures, le projet a mandé d’être créatif de la tradition de tatouage avec des recettes traditionnelles.
Le produit a été initialement conçu pour un concours appelé le Premio Lissone Design 2013. I Tradizionali remporta la deuxième place dans la catégorie « Rituel ». « Le projet pilote du comportement traditionnel suivant des livres de cuisine. Au contraire, il met notre corps au cœur de la cuisine. Cette idée a clairement inspiré des illustrations qui servent aussi à démontrer comment la recette est faite. »
C’est une scène qu’on croirait tirée d’un cauchemar. Mardi soir, une semi-remorque transportant 460 rûches s’est renversée sur une autoroute près de Newark au Delaware, rapporte le site de Buzzfeed.
D’après la police, entre 16 et 20 millions d’abeilles ont été libérées dans l’accident. Le conducteur du véhicule et les deux passagers ont reçu entre 50 et 100 piqûres chacun et ont été emmenés à l’hôpital, mais leurs jours ne sont pas en danger.
Les essaims d’insectes, "traumatisés et bouleversés", étaient si importants que la police n’a pas pu approcher le camion pendant près d’une heure. Incroyable mais vrai, il existe un plan d’urgence à appliquer dans un tel scénario. C’est la première fois qu’il est appliqué depuis sa création il y a 14 ans, indique NBC.
La police a donc fait appel à des spécialistes de l’apiculture, qui ont tenté de calmer et de disperser les abeilles en pulvérisant de l’eau.
Comment gagner 2.300 euros par mois pour simplement vingt-minutes de travail par jour ? Impossible n’est pas humain, le chinois de 48 ans originaire de la province de Hubei, Xie Shuiping, a décidé de se faire taper pour gagner de l’argent. Et ça marche.
Dans la ville de Wuhan, province de Hubei, le Chinois Xie Shuiping a décidé de transformer sa vie en punching-ball ambulant. A quarante-huit ans, cet homme vous propose de le taper trois fois dans l’estomac moyennant rémunération.
Xie Shuiping avait commencé sa carrière d’homme "sac de frappes" dans les supermarchés. Les clients pouvaient alors lui casser des bouteilles de vin sur la tête. "Je faisais ça pour m’amuser, jamais je n’aurais cru que j’allais pouvoir en toucher quoi que ce soit", déclare-t-il au DailyMail. Avec son nouveau travail, Shuiping gagne environ 20 000 Yuans par moi, une somme considérable dans le pays du kung-fu, équivalant à 2000 euros.
Commencées en 2004, ses performances prennent de l’ampleur aujourd’hui. Le personnage issu de Wuhan propose aux passants, ou aux clients des bars qui font appel à son service, de le taper dans le ventre "aussi fort qu’ils peuvent". Sa prestation dure une vingtaine de minutes, si l’un des candidats réussit a le mettre à terre ou à le secouer, il est récompensé par une boisson. Sympa ce Xie Shuping.
Métier de tout repos :
Sauf que le principal souci pour cet habitant de l’ancien empire d’orient, c’est que sa femme et ses deux filles sont totalement contre son mode de vie et ce métier si particulier. Lui qui ne jure que par la pharse "au moins je suis payé pour ce que je fais", nourrit les craintes de sa famille.
En même temps ça ne doit pas être de tout repos lorsqu’on voit son père ou son mari se faire frapper le ventre toute la journée. Mais cela ne fait quand même pas revenir à la raison ce punching-ball vivant, il est même invité sur les plateaux de télé chinois pour pouvoir démontrer à tous son art si particulier ... de l’encaissement.
Le conglomérat japonais a révélé une nouvelle activité. Après les réacteurs nucléaires, et le matériel électronique, Toshiba va vendre des légumes.
Décidément, le japonais Toshiba a un faible pour les légumes. Voici quelques années, il avait mis au point un système de lecture optique destiné à aider les caissières des magasins d’alimentation. L’appareil était capable de reconnaître les légumes en fonction de leur couleur et de leur forme ; un véritable œil électronique remplaçait le code barre. Cette fois, Toshiba a décidé de se lancer dans l’agriculture. Il s’apprête à cultiver des légumes sans pesticides ni autres substances chimiques dans une usine totalement close et aseptisée mais régie par un phénoménal appareillage électronique sensé remplacer le savoir-faire humain.
Fujitsu et Panasonic aussi :
Dans un site inutilisé de 2.000 m2, proche de Tokyo, le groupe japonais a installé des éclairages fluorescents spéciaux optimisés et destinés à favoriser la croissance des végétaux. Un système de climatisation maintient non seulement une température identique mais aussi un degré d’humidité constant. Enfin, les plantes sont surveillées et stérilisées avant l’emballage par un système électronique que l’on imagine ultra sophistiqué.
«En minimisant l’entrée en contact de particules avec les produits, il est possible d’en augmenter considérablement la conservation en bon état», souligne Toshiba qui par cette méthode produira l’équivalent de 3 millions de salades par an pour approvisionner des supermarchés et des restaurants. La tentation d’améliorer les légumes est réelle puisque le groupe prévoit le cas échéant d’augmenter la teneur en vitamine C de certains légumes. Ce n’est pas la première fois que des conglomérats japonais se lancent dans l’agriculture : Panasonic et Fujitsu ont eux aussi déjà fait leurs premiers pas. L’an dernier, Fujitsu avait annoncé qu’il se lançait dans la culture hors-sol à une centaine de kilomètres de Fukushima, à Waikamatsu. Des légumes qui deviendront peut-être un jour une appellation contrôlée.