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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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LIEUX à DECOUVRIR
La Camargue et ses gardians ... chanson par Tino Rossi !
Le cheval de Camargue a des origines très lointaines.
Descendant direct de chevaux préhistoriques, tel le cheval de Solutré, au fil de son immigration, il s'installe dans le delta du Rhône. Successivement les croisements avec le barbe, l'arabe, lors des invasions sarrasines au VIIe siècle, fixe la race. Tout au long de l'histoire, le Camargue fut la monture des gardians dans le travail du taureau, utilisé à l'attelage pour les déplacements et au dépiquage des céréales. Au XVIIIe siècle, les camisards cévenols créent une cavalerie composée uniquement de camargues. En 1978, la race a été reconnue officiellement par les Haras nationaux grâce à l'Association des éleveurs de chevaux de race Camargue créée en 1964.
Avec une taille comprise entre 1.35m et 1.48m, le Camargue est un cheval calme, mais se montre vif, agile, courageux et très endurant lorsque c'est nécessaire. Il n'achève souvent sa croissance que vers l'âge de 5 à 7ans. Son élevage en plein air lui permet de conserver cette rusticité légendaire et de s'alimenter essentiellement à la pâture. Avec ses membres bien proportionnés, solides et forts, un pied très sûr, des cuisses et épaules bien musclées, c'est un excellent cheval de selle. Mais ce qui le caractérise le plus, c'est certainement sa robe toujours grise et ses crins bien fournis. Notons, qu'à la naissance, les poulains sont parfois bais ou rouans et qu'avec l'âge, la robe change en prennent une teinte plus ou moins claire ou légèrement mouchetée.
La La plupart des chevaux Camargue vivent ainsi en totale liberté toute l'année, et ne sont rassemblés qu'une fois par an pour l'inspection, le marquage, la castration ou tout autre type de soins ... Les chevaux font face à un climat difficile, caractérisé par l'humidité constante, la présence de hordes d'insectes, et une certaine rigueur en hiver, accentuée par des vents violents.
Le cheval Camargue est indissociable du gardian et du manadier dans toutes leurs activités. Des liens d'amour et de fidélité sont mis en avant entre le gardian et sa monture, ce dernier élève son cheval, le nomme et le soigne. 
Au tout début du vingtième siècle, le gardian ou bouvier, est un ouvrier agricole occupant le bas de l'échelle sociale du monde rural camarguais. Il appartient à la masse des manouvriers qui louent leurs bras dans les campagnes françaises. Il est attaché à un domaine, le mas, et travaille sous les ordres d'un régisseur ou baile gardian,sinon du maître lui-même (le pelot ou mèstre). Il n'est propriétaire ni de son cheval (quand on lui en confie un), ni de sa cabane (construite par un artisan sur les instructions du maître). Son rôle principal est de garder les biousou taureaux lorsqu'ils se sustentent, ce qu'il fait à pied et avec un bâton court (le calos) généralement en frêne,ou de trier le bétail, ce qu'il fait à cheval et avec une pique terminée par un trident (ficheiroun). Pour cette raison, il est souvent appelé gardo-besti(« garde-bêtes »). Une besace (ou brasso) lui sert à emporter sur son lieu de travail repas, boisson ou divers objets dont il a besoin.
Il existe aujourd'hui des gardians professionnels et des gardians amateurs :
- les premiers sont des salariés regroupés au sein de l'Association des gardians professionnels de taureaux et toros de Provence et de Languedoc ;
- les seconds sont des bénévoles, regroupés pour la plupart dans l'Association des gardians non salariés.
Les gardians, nos cow-boys français, sont le seul peuple cavalier de notre pays, et l’un des rares d’Europe, détenteurs d’une tradition équestre extrêmement intéressante. Ce qui se dégage le plus des chevaux comme des hommes, c’est la sérénité. Mais aussi, la beauté. Celle des chevaux, mais aussi celle des cavaliers, de leur harnachement ancien, et d’une certaine façon de voir les choses, très terrienne, très ancrée dans le moment présent. Ils ont encore des sedens tressés en crins de juments. Ils portent chapeau, et ce qui leur plait plus que tout, c’est montrer qu’ils savent garder les bêtes comme il faut, au vent, dans les marais. Les femmes se font des chignons bas, de longues tresses, et désormais dans les concours trient les vaches avec eux, calmes, rigoureuses, précises. Le monde des gardians évolue, intègre petit à petit les innovations équestres, s’ouvre de plus en plus. C’est une tradition en mouvement, bien vivante.
Le chant du gardian
C'est le chant d'un gardian de Camargue
Belles filles attendez son retour
Attendez et pourtant prenez garde
Car son chant c'est celui de l'amour.
Ladia, quand il reviendra
Ladia, il vous sourira
Ladia, puis il vous prendra
Dans ses bras.
Votre cœur dira oui par mégarde
Et alors votre cœur sera pris
Car le chant d'un gardian qui s'attarde
Prend les cœurs et les garde pour lui.
Ô vous qui entendez ce chant
Gardez vos belles fermement
Le chant d'un gardian de Camargue
C'est l'adieu pour un amant.
C'est le chant d'un gardian qui s'attarde
Belles filles attendez son retour
Attendez et pourtant prenez garde
Car son chant c'est celui de l'amour.
Ladia Ladia Ladia
Votre cœur dira oui par mégarde
Et alors votre cœur sera pris
Car le chant d'un gardian qui s'attarde
Prend les cœurs et les garde pour lui.
Ladia Ladia
Le chant du gardian, chanson du film "Le soleil a toujours raison" tourné en 1941 et sorti en 1943 :
Paroles : Louis Gasté - Jean Féline
Interprète: Tino Rossi (1942)
Les plus belles rues fleuries ... à travers le monde !
Quelques belles rues fleuries à travers le Monde ! * Molyvos, Lesvos, Grèce (photo en titre)
Chaque année à lapproche du printemps, les japonais célèbrent l'éphémère en profitant du Hanami et ses jolies fleurs de cerisiers.
Bordées de fleurs et ombragées, ces belles rues sont une invitation à la rêverie, au voyage, à vivre le "ici et maintenant".
* Bonn, en Allemagne :
* Valence, Espagne :
* Cullinan, Afrique du Sud :
* Taïwan :
* Grafton, Australie :
* Spello, Italie :
* Jerez, Espagne :
* Le tunnel de l'amour, en Roumanie :
* Positano, Italie :
* Brisbane, Australie :
Monde de Cristal, Swarovski, Autriche, Wattens ...
Monde de Cristal, Swarovski, Autriche, Wattens ... Lieu insolite !
Monde de Cristal, "Swarovski Kristallwelten", Autriche, Wattens.
Le monde de Cristal fut ouvert en 1995. Il est situé à Wattens en Autriche.
C'est en 1995 l'année de la 100è célébration de l'entreprise de D. Swarovski KG Wunderkammer que fut créé le monde de Cristal.
Dans ce monde de Cristal, le visiteur découvre des objets spéciaux. Le résultat se situe entre l'art et la culture du cristal. C'est un lieu unique et aussi interactif qui enchante les yeux et aussi les sens. Jane Haidacher a réalisé des œuvres dont la composition est aromatiques.
Depuis l'ouverture, le monde de Cristal est en transformation constante afin de pouvoir présenter de nouvelles facettes du cristal.
Un géant jaillissant de l'eau détient 14 chambres souterraines qui sont dédiées en grande partie à l'interprétation artistique du cristal et de la matière.
En allant au monde de Cristal, vous découvrirez les oeuvres d'artistes de renommée internationale comme Tord Boontje, Brian Eno, Jimi Whiting, Niki de Saint Phalle, Salvador Dali, Andy Warhol, Keith Haring et Susanne Schmögner entre autre...
Le Hall d'entrée du monde de Cristal vous accueille avec une atmosphère assez impressionnante et vous invite à un voyage à travers les chambres merveilleuses du géant.
Le Cristal "Nana" de Niki de Saint Phalle, la stèle de Keith Haring, et le travail de Andy Warhol ....
Les visiteurs en prennent plein les yeux car il y a encore d'autres objets bien imposants dans le Hall d'entrée et sur les murs lumineux on peut découvrir le travail artistique de Yves Klein Bleu.
Un peu plus loin, on découvre le théâtre mécanique de Jim Whiting : un Adonis et une femme qui marchent et qui représentent la relation entre homme et femme.
Le dôme de cristal de André Heller, Brian Eno et Susanne Schmögner est inspiré de l'architecture d'un kaléidoscope avec 595 miroirs colorés. Un magnifique spectacle accompagné par la musique de Brian Eno.
La lumière de Alexander McQueen et Tord Boontje est inspirée par un paysage hivernal, la lumière silencieuse est un arbre cristallin, un miroitement, un scintillement inspiré par la neige.
Le Crystalloscope de Peter Mandel et André Heller reflète les variations infinies de l'image. C'est très surréaliste et fascinant.
55 millions de cristaux de Brian Eno qui est un musicien de renommée mondiale et un artiste. 55 millions de cristaux est une œuvre d'art unique.
Et bien d'autres choses à voir et surtout à découvrir pour le plaisir des yeux et des sens.
Le site pour en savoir plus (en allemand) :
http://kristallwelten.swarovski.com/Content.Node/Startseite.de.html
Les merveilles architecturales d’Iran ...
Le pont Khaju a été bâti sous Shah Abbas II vers 1650. C'est le plus beau de la ville d'Ispahan, en Iran. Il mesure 132 mètres et comprend deux niveaux, le plus bas avec des écluses qui régulent le niveau du fleuve.
Le pont de Khajujoyau D'Ispahan en Iran ... avec une chanson de la chanteuse Farzana Khorshid (vidéo ci-dessous).
Lorsqu'il a vu des clichés de l'intérieur des pyramides d'Égypte, Mohammad Reza Domiri Ganji a eu l'idée de réaliser des photos semblables de sites historiques de son pays.
Âgé de 23 ans, l'étudiant en physique a immortalisé l'intérieur des grandes mosquées, des hammams, des maisons et palaces des villes d'Ispahan, de Chiraz et de Yazd, en Iran. Leur symétrie parfaite, leurs rosaces, la complexité des mosaïques et les jeux de lumière l'ont inspiré.
Le cimetière des chiens ... à Asnières sur Seine !
Un cimetière qui porte en réalité assez mal son nom puisqu’il accueille de nombreux chats ainsi que des lapins, des oiseaux, des chevaux, des souris, des tortues, des hamsters, une gazelle, un lion et un singe. Le cimetière des chiens est fondé en 1899 par l’auteur Georges Harmois et la journaliste féministe Marguerite Durand, créatrice du journal La Fronde. La mairie d’Asnières acquerra le site en 1987 pour assurer sa survie suite à la fermeture décidée par ses gestionnaires.
On y trouve actuellement 869 concessions, dont certaines abritent des animaux célèbres comme Rintintin et Prince of Wales, ou des animaux d’illustres propriétaires tels que Camille Saint-Saëns, Courteline et Alexandre Dumas.
Cela ne l’empêchera pas de faire l’objet, pendant les premières décennies du XXème siècle, de virulentes diatribes provenant notamment du monde catholique. Le journal La Croix dénoncera une « sottise dépravée », une « grotesque déviation des sentiments ». Léon Bloy évoquera quant à lui « les puantes âmes » des maîtres et des maîtresses.
D’autres critiques dénoncent l’aspect mercantile de l’affaire ou mettent l’accent sur l’iniquité de traitement entre ces animaux morts et les pauvres gens qui sont eux ensevelis dans la fosse commune.
On est frappés sur place par la grande similarité entre les sépultures humaines communes à nos cimetières et ces tombes animales qui en constituent les avatars miniatures, exception faite toutefois des symboles religieux qui y sont proscrits. Certains animaux portent d’ailleurs des prénoms habituellement réservés aux humains (Louis, Clément …), illustrant le changement de statut qui s’est opéré depuis un siècle en faisant passer l’animal de domestique à familier puis de familier à « familial » en quelque sorte. La lecture des épitaphes montre que la frontière entre l’humain et l’animal s’efface largement : le chien, le chat, deviennent le bébé, l’enfant, la femme ou le mari parfaits, un objet affectif de substitution qui comble le vide en représentant dans le même temps un idéal de constance, d’amour et d’honnêteté. Le compagnon à quatre pattes est celui qui ne trahit pas, qui n’abandonne pas, qui reste fidèle, contrairement aux humains. Cette manière de se représenter l’animal et de vivre avec lui revêt une force très particulière : le cimetière des chiens enferme bien plus de personnes recueillies que dans tout autre cimetière. Le culte dévolu à l’animal manquant ne connaît pas de limite, quelques tombes sont imposantes, beaucoup regorgent de décorations, d’inscriptions, de fleurs, d’objets et de photos. Mais au delà du culte rendu, le cimetière comble à son tour la solitude de personnes souvent âgées (mais pas toujours). Il devient un socle de sociabilité, de repères et de compréhension partagée. L’entrée étant payante pour les visiteurs, le cimetière n’en reçoit que très peu. Les maîtres et maîtresses esseulés se retrouvent entre eux dans un espace qui est le leur et dans lequel on entre sur la pointe des pieds.
Le monument érigé à la mémoire des chiens policiers victimes du devoir :
Le monument, proche de l’entrée, à la gloire du chien Barry qui aurait sauvé 40 personnes :
L’allée extérieure du cimetière :
Le Parc Oriental de Maulevrier ... en Vendée !
Le Parc Oriental de Maulevrier
Cathédrale St-Sauveur à Saint-Pétersbourg, Russie !
La cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé, Saint-Pétersbourg, Russie.
Cette église a été construite entre 1883 et 1907, à l’endroit ou le tsar Alexandre II fut assassiné. Cette cathédrale est dédiée à sa mémoire.
Basilique Saint-Pierre, Cité du Vatican !
Basilique Saint-Pierre, Cité du Vatican
La basilique Saint-Pierre est la plus grande église du monde et un travail reconnu de l’architecture de la Renaissance.
Mosquée Sheikh Zayed Abu Dhabi, Emirats arabes unis !
La mosquée Sheikh Zayed, Abu Dhabi, Emirats arabes unis
Il s’agit de la plus grande mosquée des Emirats arabes unis et la huitième plus grande mosquée du monde. Elle a été construite entre 1996 et 2007.
Balade au Brésil ... c'est d'actualité mes ami(e)s !
LE MONT DU PAIN DE SUCRE A RIO DE JANEIRO
Le mont du Pain de Sucre, ou simplement le Pain de Sucre (Pão de Açúcar en portugais), est un pic situé dans la ville de Rio de Janeiro au Brésil. Il culmine à 396 mètres d'altitude et est accessible par un téléphérique.
Le nom de Pain de Sucre serait apparu au XVIème siècle à l'instigation des Portugais. Il devrait son nom à sa forme très particulière évoquant les blocs de sucre raffiné et placé dans des moules en argile pour être transportés par bateau, à l'époque du commerce de la canne à sucre.
La carte de la colonie française de France antarctique de la baie de Guanabara dressée vers 1555 montre la confirmation topographique initiale du mont du Pain de Sucre, dénommé initialement « Pot de beurre ».
Il est cependant possible que cette explication ne soit qu'une étymologie populaire, le nom dérivant peut-être du tupi-guarani Pau-nh-acuqua (« grande colline » en français).
Ce pic, bloc monolithique de granite, est le seul parmi tous ceux de la ville de Rio de Janeiro à s'élever directement depuis le bord de mer. Il se situe sur une péninsule à l'entrée de la baie de Guanabara.
En 1907, l'ingénieur brésilien Augusto Ferreira Ramos a l'idée de relier les collines par câble aérien. Il fonde en 1910 la Société pour le Pain de Sucre et commence les travaux. Le projet est mis en œuvre en Allemagne et réalisé par des travailleurs brésiliens. Chaque élément est hissé en escaladant la montagne ou par le biais de câbles en acier. Le téléphérique est achevé en 1912 ; c'est le premier du pays et le troisième au monde. Les premières cabines sont partiellement en bois et restent en service pendant soixante ans. Un nouveau modèle ayant l'avantage de décupler la capacité de transport entre service en 1972. En 2009 est commandée une troisième génération de téléphérique.