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PEOPLE

Photos exclusives ... de Kate Moss !

Publié à 17:32 par yvonne92110 Tags : people photos exclusives de Kate Moss
Photos exclusives ... de Kate Moss !
Kate Moss, mannequin, ose.
 
 




Vogue Hommes dénude Kate Moss




Kate Moss et Lea T s’embrassent pour Love Magazine

Docteur House ... Un diaporama pour ses Fans !

Publié à 17:20 par yvonne92110 Tags : People Dr House un diaporama pour ses fans
Docteur House  ...  Un diaporama pour ses Fans !

Juste pour faire plaisir à ses Fans :  Laissez défiler le Diaporama automatiquement .....        

Leonardo DiCaprio ... Qui l'eut cru et pourtant !

Publié à 17:07 par yvonne92110 Tags : People leonardo diCaprio qui l eut cru et pourtant
Leonardo DiCaprio ... Qui l'eut cru et pourtant !
Manque d’hygiène !


Il y a quelques années, quand les grands ayatollas riches et célèbres ont décidé de s’occuper de l’environnement et d’en faire une religion, tout le monde souriait. Ils les regardait descendre de leurs gros avions privés, prêts à nous donner des leçons sur la bonne gestion de l’eau, le recyclage, la bouffe, les terrains, bref sur tout ce qui nous touche tous les jours.

Ils avaient tous de grandes leçons à nous donner. Tout à coup, tous les beaux principes enseignés durant notre enfance n’avaient plus aucune valeur. Il fallait boire vert, manger vert, voir vert, penser vert et vivre vert. Sans le vert, point de salut.

Certains ont pris les consignes très au sérieux. C’est le cas de Leonardo DiCaprio qui a décidé de bouder tout ce qui s’appelle savon, dentifrice, eau, lotion, déodorant, produits nettoyants, bref tout ce qu’on fait machinalement tous les jours.

Leo ne se lave plus au grand dam de sa blonde qui ne peut plus le supporter, aux conseils de sa mère qui le supplie à deux genoux de se laver. Il veut préserver l’eau potable, alors il interdit à son personnel de faire sa lessive. Il peut porter les mêmes vieux jeans sales durant des semaines, il s’en fout. Tout ce qui compte pour lui, c’est de protéger l’environnement. Cinq minutes sous la douche, c’est vraiment beaucoup trop pour lui.

Céline Dion guérie ... Bientôt de nouveau sur scène !

Publié à 15:39 par yvonne92110 Tags : people céline dion guérie retour sur scène bientot
Céline Dion guérie ... Bientôt de nouveau sur scène !

Céline Dion sera "à 100% d'ici quatre semaines" : BONNES NOUVELLES enfin !

Les nouvelles sont bonnes pour Céline Dion. La chanteuse, qui avait annoncé qu'elle annulait certains concerts prévus au Colosseum du Ceasars Palace de Las Vegas et qu'elle se retirait de la scène musicale pour plusieurs semaines à cause d'un problème aux cordes vocales, sera bientôt de retour.

Sur son site internet officiel, la chanteuse québécoise a précisé le 19 mars 2012 que "les concerts du 9 juin au 19 août auront lieu comme prévu" et que le verdict du professeur Gerald Berke, le laryngologue de la clinique UCLA consulté début mars par la star, se veut rassurant. Céline Dion doit continuer à observer un repos le plus total, afin d'"être de nouveau à 100% d'ici quatre semaines".

Une fois qu'elle aura retrouvé la forme, la chanteuse a un programme chargé. "Céline est censée commencer à travailler avec son coach vocal le Dr. William Riley dans deux semaines et commencera l'enregistrement de chansons pour ses nouveaux albums en anglais et en français aux environs de la mi-avril. Céline reprendra ses concerts au Colosseum du Ceasars Palace Las Vegas samedi 9 juin", précise le message.

La star a tenu à remercier chaleureusement ses fans : "Je leur suis tellement reconnaissante pour leurs pensées et leur soutien, plus qu'ils ne pourront jamais l'imaginer". Il n'y plus qu'à lui souhaiter un prompt rétablissement pour revenir au top et se donner à fond devant son public.

Ludmila Tchérina ... une immense Artiste très complète !

Publié à 14:44 par yvonne92110 Tags : people ludmila tcherina une grande artiste complète
 Ludmila Tchérina ... une immense Artiste très complète !

Ludmila Tcherina (née Monika Tchemerzine à Paris,1924-2004) est une danseuse, tragédienneécrivainpeintre et sculpteur, qui a mené sa quête artistique sur tous les fronts ...

« Toute œuvre est un mouvement lancé à la recherche des proportions de l’éternité »(Ludmila Tcherina).  Son Père, Avenir Tchemerzine, est un prince tcherkesse, qui a fui Saint Pétersbourg et s'est exilé à Paris. Il est mathématicien et inventeur de la fusée éclairante. Sa mère, Stéphane Finette , Française, est ancienne élève de l' Ecole de Chartres. Avec son mari, elle travaille à une bibliographie des éditions originales de la poésie française du moyen-âge au XIXè siècle, reconnue comme un ouvrage de référence  "Tchermerzine" .   

Monika commence à danser dès l'âge de trois ans. Elle prend des cours de danse russe auprès d'OLga Preobrajenska,puis ses parents lui font prendre des cours de danse italienne auprès de Madame d'Alessandri, et enfin Tverskoi l'initie au mime dansé des émotions intérieures. Elle aura encore pour professeur Georges Ricaux qui est aussi le maître à danser de Jean Babilée et  de Roland Petit. Elle complète sa formation en intégrant l'École de danse de l'Opéra de Paris.

Forgée à la dure école des entrechats et des fouettés dès son plus jeune âge , la jeune Monika se produit sur scène dès l'âge de six ans dans le rôle d'un lutin du Songe d'une nuit d'été de Félix Mendelssohn.

Monika a 13 ans quand elle danse Les Sylphides. A l'âge de 15 ans, elle devient danseuse étoile des Ballets de Monte-Carlo sous le pseudo : Tcherzina. Dotée d'une sensibilité extrême, elle sera, sa vie durant, appréciée pour sa générosité et son ouverture d'esprit.

En 1946, Tcherina épouse Edmond Audran, danseur comme elle. Il devient son chorégraphe et partenaire. Son mari décède brutalement en juillet 1951, à l'âge de 33 ans, dans un accident de car, survenu peu après la fin du tournage deThe Tales of HoffmanLes Contes d'Hoffmann) dans lesquels il est son partenaire. Le choc laisse Tcherina désemparée. Elle ne souhaite plus danser et se réfugie dans le cinéma. C'est alors qu'elle connaît une gloire cinématographique mondiale avec The Tales of Hoffmann (Les Contes d'Hoffmann) de Powell et Pressburger. Elle tournera en tout dix-huit films en deux ans. Elle délaisse peu à peu ce dernier pour se consacrer à la peinture (elle expose dès les années soixante) et à la sculpture.

Le 28 mai 1953, elle se marie avec Raymond Roi, qui l'encourage à remettre ses chaussons de danse. Ensemble, il fonderont une troupe de ballet d'avant-garde dans laquelle la ballerine réalise son rêve de « théâtre total ». Ils resteront mari et femme jusqu'au décès de Ludmila Tcherina.

Au terme d'une « longue et douloureuse maladie », Ludmilla Tcherina s'éteint le 21 mars 2004 à Paris. Elle laisse d'elle-même l'image "d'une très grande artiste qui fit preuve d'une grande vitalité créatrice dans tous les arts qu'elle exerça avec talent" 

Résumant son personnage, un critique, confondu par l'insolente aisance avec laquelle l'enfant de cinq ans s'élance dans l'allée centrale de Notre-Dame-de-Paris pour danser devant l'autel, déclare : « Elle a une grâce d'ange et une malice de démon ».

L'étoile de la danse :

En 1939, à l'âge de quinze ans, sous son premier pseudonyme de Tcherzina, elle est danseuse étoile et chorégraphe des Ballets de Monte-Carlo dirigés par Serge Lifar  et entre dans l'histoire de la danse comme « la plus jeune étoile de l'histoire de la danse » (d'après le ministre de la culture Jean Jacques Aillagon  qui avait oublié de dire qu'elle avait partagé ce titre au même âge avec Ethéry Pagava).  

Après la guerre, elle devient une artiste indépendante. Elle est étoile des Ballets de Paris de Roland Petit (1947) et du Metropolitan Opera à New York (1950).

Au cours de sa carrière elle interprète les plus grands rôles du répertoire classique sur les plus grandes scènes lyriques du monde - l'Opéra de Paris, la Scala à Milan (Giselle, 1954, orchestre sous la direction d'Arturo Toscanini), ou le Metropolitan Opera de New York. Elle est la première danseuse occidentale à se produire auThéâtre Bolchoï (Giselle, 1959) et au Théâtre Mariinski (Kirov) de Saint-Pétersbourg.

Elle personnifie la Lumière du ballet Excelsior au Théâtre communal de Florence pour le Mai florentin de 1967.

Elle est l'interprète des principaux ballets russes de Diaghilev, notamment des personnages de Pavlova (Le Spectre de la rose) et Karsavina (Shéhérazade).

Au théâtre elle crée de nombreux ballets contemporains pour Serge Lifar,  George BalanchineRoland PetitMaurice Béjart, mais danse aussi au sein de la compagnie qu'elle a créée.


En 1948, elle joue dans l'opérette Le Chevalier Bayard aux côtés de deux artistes débutants : Yves Montand et Henri Salvador.

Le peintre et le sculpteur :

Peintre et sculpteur depuis sa jeunesse, elle expose dès les années 1960 dans toutes les grandes capitales.

À Paris, son exposition à l’hôtel de Sully, parrainée par André Malraux, et l’exposition autour de son Dynamogramme où elle allie peinture et danse au  Centre Georges Pompidou, ont fait découvrir sa théorie de l’art total dont tous les aspects naissent du souffle et du mouvement .

  • En 1973, elle exécute un fusain préparatoire à un bronze, L'Envol, puis Élan déployé ; au sujet duquel elle dit : « Je ne peux créer qu'à travers des mouvements représentant la Vie, la Mort, l'Amour, les trois thèmes dominants de la danse » 
  • En 1978, Fusain et Salomé (huile sur toile), Cri Bleu et Dionysie, deux autres huiles sur toiles, et L'Âme et la danse (huile), ainsi que de nombreux dessins et gouaches ...

En 1991, Ludmila Tcherina conçoit et réalise Europe à cœur, une sculpture monumentale   de 12 mètres de haut, officiellement choisie par la Communauté européenne pour symboliser l’Europe unie (placée sous le parrainage de la Fondation de l'Europe des Sciences et des Cultures). Elle est dévoilée au  Musée d'art moderne de la Ville de Paris en mars 1992. Une version en résine blanche se trouve devant le pavillon européen de l’Exposition universelle de Séville. La version en bronze est installée devant le Parlement européen deStrasbourg au printemps 1994. Cette sculpture a été déplacée sur le parvis du nouveau Parlement, place Louise-Weiss, elle a été officiellement dévoilée le 13 décembre 2000 par Nicole Fontaine, présidente du Parlement européen. En 1997 une médaille commémorative utilisant le visuel de la sculpture Europe à cœur a été éditée par la Fondation de l'Europe des sciences et des cultures. 

En 1994, elle conçoit et réalise Europa operanda, avec le parrainage de la Fondation de l'Europe des sciences et des cultures, une sculpture monumentale en bronze pour le terminal français d'Eurotunnel à Calais. Cette sculpture a été présentée officiellement, à Calais-Coquelle, à la reine d'Angleterre et au président de la République française, le 6 mai 1994 lors de l'inauguration du Tunnel sous la Manche. Le prototype en résine est exposé à la partie haute de la Gare de Paris-Nord depuis juin 1995. Europa operanda symbolise l’esprit de création et la construction de l'Europe.

Les dernières recherches plastiques de Ludmila Tcherina s'attachent à prolonger cette conception d'un art total qui constitue son destin artistique depuis ses débuts : « une vision synthétique du mouvement, du geste créateur traduit dans l'espace de la même manière que par la chair du danseur, le trait sur la toile, le volume du bronze ou une certaine vision de l'avenir » .

L'écrivain :

Ludmila Tcherina a publié deux romans sous son nom de scène aux éditions Albin Michel : L'Amour au miroir (1983), évoquant le monde de la danse, qui fut un best-seller, et La Femme à l'envers (1986), sorte d’opéra barbare.

Filmographie :

Tcherina aura tourné dix-huit films pour les studios ou la télévision :

Interprétations et participations :

Récompenses et distinctions honorifiques :

  • 1950 : Prix de la meilleure interprétation féminine - Festival du Cinéma de Vichy, France, pour : La nuit s'achève
  • 1950 : Meilleure interprétation - Festival des Films de Danse, pour le ballet: À la mémoire d'un héros (Bonaparte)
  • 1950 : Grand prix de la Danse, en Amérique du Sud pour : Mephisto-Valse
  • 1950 : Grand prix d'interprétation féminine, États-unis pour : Les Contes d'Hoffmann
  • 1956 : Médaille d'Argent de la Ville de Paris
  • 1957 : Chevalier de l'Ordre de la Courtoisie Française
  • 1959 : Médaille d'Argent du Souvenir
  • 1959 : Oscar de la Popularité pour la Danse, en Italie
  • 1962 : Cinq Étoiles de la critique (la plus haute récompense décernée par la presse pour le meilleur film étranger de l'année, États-unis) pour : Les Amants de Teruel
  • 1962 : Promue Chevalier des Arts et Lettres par Monsieur André Malraux, ministre des Affaires culturelles
  • 1970 : Promue Chevalier de la Légion d'Honneur, par Monsieur Edmond Michelet, ministre des Affaires culturelles
  • 1970 : Médaille de Vermeil de la Société d'Encouragement au progrès
  • 1971 : Médaille d'Or du prix Leonardo da Vinci
  • 1973 : Prix d'honneur du GEMAIL, Ame de la Lumière
  • 1975 : Grand prix de la meilleure performance d'une comédienne pour son interprétation TV (Festival de Monte-Carlo, France) pour La reine de Saba
  • 1978 : Grande médaille de Vermeil de la Ville de Paris, remise par Monsieur Jacques Chirac, maire de Paris
  • 1979 : Chevalier des Palmes Académiques par Monsieur Christian Beullac, ministre de l'Éducation nationale
  • 1980 : Officier de la Légion d'honneur par  Jean-Philippe Lecat, ministre de la Culture.

Marilyn Monroe ... Ses Fans vont adorer !

Publié à 16:05 par yvonne92110 Tags : people marilyn monroe ses fans vont adorer
Marilyn Monroe ... Ses Fans vont adorer  !

Vente aux enchères de photos inédites, intimes et amicales de la star des stars prises par son maquilleur, le 31 mars et le 1er avril 2012 ...  à Los Angelès !!!

Marilyn Monroe, cette inconnue ? A l'approche du cinquantenaire de sa mort,( cet été ), voici une nouvelle moisson d'images qui se promettent de dévoiler - enfin ?! - la vraie Marilyn, la femme douce, vulnérable et authentique, cachée derrière le casque platine, les faux-cils d'artiste et la bouche purpurine de la starlette tenace . Le samedi 31 mars et le dimanche 1er avril, la maison de ventes aux enchères Julien's Auctions proposera à Los Angelès, dans les collines de Beverly Hills, de faire flamber ses «Hollywood Legends sales» avec un ensemble de photos, menus objets et documents,  toute à sa dévotion et que le marché appelle d'ailleurs  «Memorabilia» ... Pas d'estimation annoncée de la vente, mais déjà, une information qui fait vibrer un " fan-club ", intergénérationnel et international ...

La star de l'écran américain traversa le siècle comme une comète (1er juin 1926- 5 août 1962). Elle bat tous les records sur la Toile, ce gigantesque audimat du monde : à l'évocation de son seul nom de scène, Norma Jeane Baker fait jaillir quelque 236 millions de réponses sur Google, soit largement plus que le Mahatma Gandhi (136 millions), Winston Churchill (93,5 millions), le Général de Gaulle (45,5 millions)... Mais moins, quand même, que Barack Obama, le premier président noir de l'Amérique (730 millions!).

L'ensemble de ces clichés, souvent inédits, montrent une Marilyn (presque) nature, jeune, potelée, assise comme une «college girl» dans son canoë mais en col roulé blanc et tout en taille de guêpe, prenant le soleil sur sa peau de rousse en petit haut trapèze coquelicot. L'art dramatique, c'est du travail. La preuve par ce déroulé d'images fraîches, mutines, amateurs, puis de plus en plus pros, qui se télescopent comme une vie en accéléré. Elles montrent comment l'assurance vient à cette belle plante au sourire de reine, de la débutante aux multiples prises, encore assez frisée et le nez en trompette, à ses derniers tournages où le mal existentiel creuse ses joues, accroît son glamour et lui donne un charme blessé.

Marilyn et l'objectif, c'est sans doute sa meilleure histoire d'amour. Sérieuse sous le pinceau de son ami Allan «Whitey» Snyder, maquilleur sur le plateau de Let's Make Love(Le Milliardairede George Cukor avec Yves Montand, sorti en 1960), ou souriante pour les photos d'essai à répétition, cette blonde de cinéma a une douceur de chatte sur un toit brûlant. Elle n'attend pas son heure, elle la précipite. La série de photos comprend une centaine de clichés provenant de la collection dudit Allan «Whitey» Snyder (1914-1994) qui fut son maquilleur attitré, de son premier essai à laTwentieth Century Fox en 1946 jusqu'à son maquillage funéraire après sa mort énigmatique en 1962. Là, on ne peut que penser à sonportrait posthume par Andy Warhol, embaumeur de l'Art !     - L'actrice et son maquilleur de génie se rencontrèrent à la Twentieth Century Fox , lorsque Marilyn fut reperée, un visage tout neuf qui allait illuminer 26 films inégaux où sa présence continue de sidérer. Complice, confident, fier de son oeuvre, Allan «Whitey» Snyder s'exécuta lorsque Marilyn lui demanda de la photographier chaque fois qu'elle apparaissait sur le plateau. Elle est rose et naturelle sous le chapeau à fanfreluches des filles de saloon, vamp et nacrée dans un océan de plumes très Hollywood, rieuse et 100% Américaine en chemisette écossaise et ceinturon de cowboy. Cet esthète fut donc l'un des premiers à éprouver cette fascination pour Marilyn qui la fait revenir, aujourd'hui, sur tous les produits dérivés, de l'horloge à plumes à la montre, de la bricole à strass jusqu'au magnet.

Outre les images à vendre - certaines avec (fait rare), leurs droits de reproduction - , quelques vestiges touchants. Comme ces Western Union Telegrams où «Marlyn» (sic) se disculpe auprès de «Whitey» d'un projet commun avorté. Comme ces jeans portés pendant le tournage de la Rivière sans retour(River of No Return) d' Otto Preminger, sorti en 1954. Ou, encore, comme ce pince-billets de Tiffany en or, à la dédicace glaçante «Whitey dear: While I'm still warm, Marilyn» («Cher Whitey, tant que je suis vivante») ... La maison de ventes californienne rappelle qu'en cette année anniversaire :                                                                                                           hebergeur d'image                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          Le Festival de  Cannes a choisi une photo songeuse de Marilyn, par Otto Bettmann pour l'affiche de sa 65e édition, du 16 au 27 mai 2012... 
(poupoupidou !)
  
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   En outre, la Getty Images Gallery à Londres expose ses photos, costumes et robes de légende jusqu'au 23 mars prochain ...

Michel Duchaussoy n'est plus !

Publié à 13:06 par yvonne92110 Tags : people michel duchaussoy n est plus
Michel Duchaussoy n'est plus !


À la télévision, Michel Duchaussoy a multiplié les rôles récurrents dans les fictions. À la fin des années 1970, il était le Juge Walder de Neuville dans la série Un Juge, un flic sur Antenne 2. Après Paparoff aux côtés de Michel Constantin, l'acteur a incarné le personnage d'Arnaud dans la saga Les Cœurs brûlés, avec Mireille Darc. Plus récemment, il a été Gabriel Saint-André dans Zodiaque et Claude Delgado au générique de Braquo, la production originale de Canal+. Il avait également joué dans A nous deux la vie ou Femmes de Loi.
 
En octobre prochain, le public le retrouvera dans le nouvel opus d'Astérix et Obélix : au service de Sa Majesté. Il y sera Abraracourcix, un rôle créé pour le grand écran par Michel Galabru en 1999.


Le comédien Michel Duchaussoy est décédé dans la nuit de lundi à mardi d'une crise cardiaque ... 
Homme de théâtre, de cinéma, de télévision, le comédien Michel Duchaussoy, sociétaire honoraire de la Comédie-Française, est décédé d'un arrêt cardiaque dans la nuit de lundi à mardi à l'âge de 73 ans, a-t-on appris auprès de son agent. Sociétaire de la Comédie-Française de 1967 à 1984, Michel Duchaussoy avait aussi tourné dans de nombreux films sous la direction notamment de Louis Malle, Bertrand Tavernier, Claude Chabrol, Patrice Chéreau ou Patrice Leconte.
Né à Valenciennes en 1938, Michel Duchaussoy entre au Conservatoire à Paris, après ses études de Lettres à Lille. Il intègre la Comédie Française en 1964 et en devient sociétaire en 1967. Il y joue des emplois très divers dans Molière, Pirandello, Marivaux ou Feydeau. Il quittera la maison de Molière en 1984.

Il débute le cinéma avec Louis Malle en 1961, dans «Vie Privée ». C'est grâce à Alain Jessua et à son « Jeu de massacre » qu'il acquiert une célébrité auprès du grand public. Il ne cessera plus de tourner et participera à près de 70 longs métrages. Chabrol lui offrira des rôle marquants : policier dans «La Femme infidèle» (1968), il crie vengeance dans «Que la bête meure» (1969). On le verra encore dans «Fort Saganne» d'Alain Corneau (1984), dans «Amen» de Costa-Gavras (2002).

Dernièrement, on avait pu le voir interpréter le père de Mesrine dans les deux films de Jean-Francois Richet, mais aussi en tant que directeur dans Le Petit Nicolas de Laurent Tirard, puis dans Persécution de Patrice Chéreau et Mères et filles de Julie Lopes-Curval. Vingt-six ans après leur rencontre sur le plateau de Fort Saganne, il retrouve Sophie Marceau, dans la comédie romantique de Yann Samuell, L' Age de raison (2010).

Second rôle de talent au cinéma, Michel Duchaussoy a également beaucoup tourné pour la télévision, notamment dans «Les Misérables» de Josée Dayan, ainsi qu'avec Nina Companeez «L'Allée du Roi», «Zodiaque» de Claude-Michel Rome ou Olivier Marchal «Braquo».

Nominé au César en 1991 dans la catégorie de meilleur second rôle pour son interprétation de Georges Vieuzac dans «Milou en mai», de Louis Malle, il sera également nominé trois fois aux Molières. Il obtiendra celui du comédien dans un second rôle pour Phèdre, en 2003. 
- Qu'il repose en paix, désormais - 

Elle énerve son entourage ... Rihanna !

Publié à 16:13 par yvonne92110 Tags : people elle énerve son entourage rihanna
Elle énerve son entourage  ... Rihanna !

Une autre qui semble au meilleur de sa forme mais qui exaspère tout son entourage, c’est la très sexy chanteuse Rihanna qui trône sur toutes les tribunes depuis 2009 alors qu’elle s’était fait battre par son compagnon, le rappeur Chris Brown. Rihanna fait la fête tous les soirs et voyage un peu partout à travers le monde. Depuis quelques mois, c’est Jay-Z, le mari de Beyoncé qui s’occupe de sa carrière et si jusqu’à maintenant, il existait une très belle relation d’amitié entre eux, tout est sur le bord de changer. Homme très discipliné, Jay-Z est extrêmement déçu de la conduite de sa petite protégée.

L’homme l’avait soutenue lors des événements de Rihanna et Chris Brown, une histoire qui avait fait scandale à l’époque et qui avait rompu l’amitié entre Brown et Jay-Z, semble branler dans le manche au sujet de sa protégée.

C’est que Rihanna est un peu comme une poule pas de tête. Elle semble avoir oublié que son ancien chum est un homme violent qui a bien failli la tuer en 2009. Or, voilà que trois ans plus tard, elle sort deux chansons avec son ex, ce qui a mis le feu aux poudres. Pour Jay-Z, Brown est un homme mort et le fait qu’il travaille avec Rihanna lui chatouille beaucoup l’ego. Il ne veut rien savoir de lui et encore moins travailler avec lui. Or, un contrat le lie à la chanteuse. Mais au-delà du fait que Rihanna ait pardonné à Chris Brown, Jay-Z s'inquiète également de l'incidence que cette réconciliation peut avoir, notamment sur les jeunes fans de la chanteuse.

Rihanna sait parfaitement qu’elle est au centre de la controverse, mais elle s’en moque. Le monde lui appartient, il n’est donc pas question qu’elle fasse des courbettes devant qui que ce soit.

C’est à se demander si la chanteuse n’est pas en faveur de la violence domestique. Au départ, tous ses clips et ses vidéos prônent la violence…

Claude François, pour ses Fans ... le téléphone pleure !

Publié à 14:04 par yvonne92110 Tags : people claude francois pour ses fans le téléphone pleure
Claude François, pour ses Fans  ...  le téléphone pleure !

Claude François, surnommé Cloclo, (1939-1978), auteur-compositeur-interprète français.

Né le 1er février 1939 près du lac Timsah, à Ismaïlia en Égypte, il est mort accidentellement le 11 mars 1978 à l'âge de 39 ans à Paris, électrocuté dans sa salle de bains en manipulant une applique murale défectueuse.


Famille :

  • Son père, Aimé, Français originaire d’Égypte, est contrôleur du trafic sur le canal de Suez, lors de sa naissance le 1er février 1939, à Ismaïlia en Égypte.

Il porte les prénoms Claude, Antoine, Marie. Il était de tradition chez les François d'appeler les garçons par un prénom commençant par un A, mais Chouffa, sa mère avec son caractère trempé d'italienne a su imposé le prénom de "Claude", Antoine fut donc attribué en deuxième prénom et Marie étant le prénom de la Vierge pour protéger l'enfant.

  • Sa mère, Lucia alias Chouffa, originaire de Calabre en Italie, s'occupe du foyer familial.
  • Frère : aucun.
  • Sœur : une seule (Josette François)
  • Claude François a aussi deux enfants, Claude Junior alias Coco, et Marc. 


Biographie :
  • Sa famille est expulsée d'Égypte (avec de nombreux Français et Britanniques) lors de la nationalisation du canal de Suez ; il arrive avec ses parents à Marseille en 1956. La famille s'installe à Monaco puis à Nice.
  • Il apprend le piano, le violon et la batterie.
  • Il trouve une place de batteur dans un orchestre de quartet de jazz à Monte-Carlo, place que son père refusera tout d'abord car celui-ci souhaitait que son fils soit comptable (réf: Clo-Clo, le film de sa vie)
  • C'est à l'hiver 1960 qu'il arrive à Paris sur les conseils de Brigitte Bardot et de Sacha Distel avec Janet Woolcoot, qu'il a épousée le 5 novembre 1960 à Monaco.
  • Mars 1961 : son père décède d'une maladie des poumons, se laissant mourir, persuadé que la France l'a abandonné.
  • 1962 : premier succès avec Belles belles belles.
  • 1963 : Claude François demande à Michel Bourdais, dessinateur à Salut les copains, de réaliser son portrait. Il qualifiera de « merveilleux » ce dessin hyperéaliste qui est devenu par la suite, très célèbre.
  • 1964 : Claude François à l'Olympia
  • 1966 : apparition des Clodettes, ses danseuses.
  • 1967 : il compose avec Jacques Revaux et écrit avec Gilles Thibaut le titre Comme d'habitude, à la suite de sa rupture avec la chanteuse France Gall, qui sera adapté en anglais par Paul Anka (My Way) et repris notamment par Frank Sinatra Elvis Presley et Sid Vicious (mais avec des modifications du texte).
  • 13 mars 1967 : Claude François et Janet Woolcoot divorcent. Elle l'avait quitté au printemps 1962 pour Gilbert Bécaud qu'elle avait rencontré à l'Olympia.
  • 1967 : il fonde sa maison de disques Flèche. Il rencontre Isabelle Forêt qui donne naissance à Claude Junior le 8 juillet 1968 et Marc le 15 novembre 1969. Sa chanson "Parce que je t'aime mon enfant" est adaptée en anglais et reprise par Elvis Presley, "My boy".14 mars 
    1970 : malaise pendant un concert à Marseille salle Vallier,
  • 17 mai : accident de voiture sur l'autoroute du sud près d'Orange, un pneu éclate, Claude saura faire par la suite la "publicité" de cette marque de pneu à chaque interview qui suivirent.
  • 1972 : Il fonde son journal Podium qui devient rapidement la plus grosse publication pour les jeunes.
  • Séparation d'avec la mère de ses enfants. Il rencontrera Sofia, une suédoise avec laquelle il restera quatre ans.
  • 1973 : un fan l'agresse lors d'un concert.
  • 1975 : il est une victime collatérale d'un attentat de l'IRA dans son hôtel Hilton de Londres. Il doit la vie à une passante qui prendra la déflagration de plein fouet.
  • 1977 : il découvre que les droits qui lui ont été versés pour les adaptations de My Way, qui est devenu un succès mondial, n'ont pas été calculés correctement. Son dossier lui permet cependant d'obtenir gain de cause vers la fin de l'année[1]. Le 26 juin, il se fait tirer dessus alors qu'il est au volant de sa voiture, en chemin vers son moulin de Dannemois. Il échappe miraculeusement à la mort alors que la course poursuite avec ses agresseurs a duré pendant une dizaine de kilomètres.
  • Son dernier titre sera Alexandrie Alexandra (composé à l'automne 1977). Claude François meurt le 11 mars 1978, par électrocution dans la salle de bains, boulevard Exelmans à Paris, alors qu'il tentait de redresser une applique en cuivre qui était de travers sur le mur au dessus de la baignoire. Il devait, l'après-midi même (il était déjà en retard) participer à l'émission Rendez-vous de Michel Drucker. Un flash spécial à la radio et à la télévision annonce, à 16 heures, son décès.
  • 15 mars 1978 : son nouveau 45 tours Alexandrie, Alexandra arrive chez les disquaires, jour de ses obsèques qui eurent lieu en l'église d'Auteuil, à Paris.
  • Il est enterré au cimetière de Dannemois (Essonne) où sa tombe est l'objet de nombreuses visites. Il était propriétaire du moulin du village, aujourd'hui transformé en musée.
  • Le 11 mars 2000, une place Claude-François est inaugurée à Paris, boulevard Exelmans dans le 16e arrondissement, au pied de son ancien domicile parisien.
  • En 2004, une statue est inaugurée au Musée Grévin et en 2005, une rue d'Ismaïlia est également baptisée en son honneur.

Discographie de Claude François :

La discographie de Claude François comporte un peu plus de 400 titres, (près de 500 chansons avec les versions en public). Il en a commercialisé près de 400, ce qui démontre une volonté de travail hors du commun. La liste du lien ci-dessus concerne environ 380 titres différents commercialisés et un relevé exhaustif des essais et répétition. La discographie étrangère de Claude François comporte des titres en anglais, en italien, en espagnol et même en japonais. Il sortit 278 titres en France et en Français (car les chiffres donnés au-dessus comprennent les versions étrangères).

Il est le sixième plus gros vendeurs de disques en FRANCE derrière Johnny Hallyday, Michel Sardou, Jean Jacques Goldman, Celine Dion et Sheila.

On peut déduire de cette discographie certains éléments :

Ses paroliers :

Son attachement à sa première parolière Vline Buggy, et plus tard aux paroliers Gilles Thibaut, Eddy Marnay, Jean-Michel Rivat, Michèle Vendôme, Yves Dessca (qui deviendra producteur de Gloria Gaynor), Jacques Plante, Pierre Delanoë et Didier Barbelivien.

En 1977, il marque sa volonté de donner un sens plus pointu à ses chansons en faisant appel à Étienne Roda-Gil.

Ses compositeurs :

Il ne compose et écrit personnellement que très peu de chansons, mais elles sont un indice de ses préoccupations personnelles. Dans la première partie de sa carrière, comme tous les chanteurs français yéyés de l'époque, il va surtout faire des reprises qu'il adapte au public français, les titres anglais originaux n'étant pas distribués ou tout simplement directement cédés à l'exportation pour adaptation.

Si Claude François s'inspire souvent de la Motown, particulièrement du compositeur Lamont Dozier, associé aux frères paroliers-producteurs Brian & Eddie Holland, il fait également appel aux compositeurs français. Ainsi, il fait appel à Patrick Juvet, Alice Dona, Alain Le Govic (plus connu sous le nom d'Alain Chamfort) et Jacques Revaux qui composera Comme d'habitude. Mais c'est surtout Jean-Pierre Bourtayre qui, s'inspirant des sources de la Motown, lui composera ses plus grands succès.

Sa minutie lui fait modifier toutes les partitions et paroles qui lui sont présentées comme pour Comme d'habitude qui s'inspire de sa rupture avec France Gall. Il est l'auteur du titre "Belles belles belles", que Vline Buggy à l'origine avait intitulée "Rien rien rien".

en 2007, on estimait déjà que70 millions d'albums furent vendus...

Quelques titres "phares" :

  • 1962 : Le nabout twist (sa toute première chanson qui sera peu connue en France) mais dont il dut changer les paroles car certains passages étaient en arabe. On était alors en pleine guerre d'Algérie.
  • 1962 : Belles, Belles, Belles (c'est sa première chanson à succès : il devient une vedette)
  • 1962 : Marche tout droit
  • 1963 : Si j'avais un marteau
  • 1964 : Donna, donna
  • 1964 : J'y pense et puis j'oublie
  • 1965-1966 : Même si tu revenais, Sur le banc 21
  • 1967 : Comme d'habitude (c'est la troisième chanson la plus interprétée dans le monde)
  • 1968 : Eloïse
  • 1969 : Un monde de musique
  • 1969 : Tout éclate, tout explose 
  • 1971 : C'est la même chanson, Je te demande pardon
  • 1971 : Il fait beau, il fait bon, Stop au nom de l'amour
  • 1972 : Y'a le printemps qui chante , En attendant
  • 1972 : Le lundi au soleil, Belinda, Celui qui reste
  • 1973 : Je viens dîner ce soir
  • 1973 : Sha la la
  • 1973 : Chanson populaire
  • 1974 : Le mal aimé, La musique américaine
  • 1974 : Le téléphone pleure (c'est son plus grand succès)
  • 1975 : Toi et moi contre le monde entier, Le chanteur malheureux
  • 1975 : Pourquoi pleurer, Une chanson française
  • 1976 : Cette année-là,17 ans, Sale bonhomme,Le vagabond, Danse ma vie
  • 1977 : Je vais à Rio, Les anges, les roses et la pluie, Toi et le soleil
  • 1977 : Magnolias for ever, Alexandrie Alexandra, My way, So near and yet so far, The vagabond

    etc.....................


Claude François, sa biographie ... Souvenons-nous !

Publié à 13:49 par yvonne92110 Tags : people claude francois sa biographie souvenons nous
Claude François, sa biographie  ...  Souvenons-nous  !
CLAUDE FRANÇOIS : SA BIOGRAPHIE

L'Idole  !

Claude François naît le 1er février 1939 à Ismaïla en Egypte. Son premier grand succès "Belles Belles Belles", adaptation en français d'une chanson des Everly Brothers, a lieu en 1962. Lancé par l'émission "Salut les Copains", Claude François démarre alors une véritable carrière de chanteur. Poursuivant sa carrière avec frénésie, Claude François enchaîne les succès. Le 11 mars 1978, le chanteur entre dans la légende.

LA cie de Claude François commence sur les bords du lac Timsah en Egypte, tout près du Canal Suez. Claude François naît le 1er février 1939 à Ismaïlia, une petite ville perdue. Son père, Adolphe, a quitté, la France pour s’installer et travailler à Ismaïlia.

À 15 ans, Claude obtient son brevet. À la rentrée, il entre au lycée français du Caire. Il habite alors chez à deux pas des studios de Radio-Le-Caire. Grâce à une amie travaillant dans cette station, il découvre tous les nouveaux disques venus d’Europe et d’Amérique. Claude est sous le charme. Cette passion pour la musique, le conduit aussi à monter un petit orchestre avec des amis de lycée.

Claude quitte l'Egypte en 1956 pour Paris puis pour le sud. Pour faire vivre sa famille, Claude accepte un poste d’employé de banque qu’il abandonne assez vite pour devenir batteur dans un orchestre de Radio Monte-Carlo en 1959. Claude vit alors sa passion pour la musique. Il s’inscrit alors à l’Académie Nationale de Musique. Il est remarqué par le célèbre chef d’orchestre, Louis Frosio, qui l’engage comme chanteur au Casino de Monte-Carlo. Claude découvre alors la chaleur de la scène.

Après quelques essais, Claude François s'installe à Paris au début des années 60. Jean-Jacques Tilché permet à Claude d’enregistrer son premier disque : Nabout Twist, sous le pseudonyme de Kôkô. À la rentrée 1962, de retour à Paris, il signe un contrat avec les disques Fontana. Le triomphe ne tarde pas à arriver grâce à l’adaptation d’un tube américain : Girl, Girl, Girl. Cette chanson devient en français : Belles, belles, belles. En octobre 193, il sort un nouveau 45 tours sur lequel se trouve l’un de ses plus grands succès : Si j’avais un marteau qui restera plusieurs semaines n° 1.

Entouré d’une nouvelle équipe, Claude devient indépendant et commence une nouvelle carrière d’homme d’affaires. Il enregistre en septembre 1967 sous son propre label : Comme d’habitude. Après sa sortie en France, ce titre va devenir un tube. Avec l’adaptation américaine de Franck Sinatra, la chanson fera le tour du monde en devenant My way quelques mois plus tard. 1967, c’est aussi l’année d’une tournée en France et en Italie où Claude est très populaire. Il enchaîne alors plus de 6 ans de succès !

L'anneé 1974 va marquer un tournant dans la carrière du chanteur. Il décide en effet, d’arrêter les tournées épuisantes auxquelles il se livrait depuis ses débuts. En juillet, il sort un nouveau 45 tours : Le Mal aimé. Pendant tout l’été 74, Cloclo reprend finalement les chemins de France pour retrouver la scène. 

Toujours à l’affût de nouvelles tendances, il décide d’enregistrer un disque à la mode disco, qui commence à déferler sur l’Europe. Le premier extrait de cet album : Magnolias for ever, remporte, dès sa sortie en novembre 1977, un succès énorme et va rester en tête des hits pendant plusieurs semaines. Cloclo est alors invité dans toutes les grandes émissions de télé.

Le 11 mars 1978, Claude François, qui allait rejoindre un plateau d'enregistrement, meurt électrocuté dans sa salle de bains alors qui tente de remettre droite une applique murale. L’événement est national et reste aujourd’hui encore d’après de nombreux sondages, l’un des plus marquants des années 70.                                                                                                      De Claude François, on gardera à jamais l’image d’un artiste intransigeant, aux costumes de paillettes étincelants et aux chorégraphies millimétrées.

Chef de file du yé-yé, il fut l’interprète des plus grands succès des années 60 et 70: Magnolias For Ever, Belles belles belles, Alexandrie Alexandra, Le lundi au soleil, Comme d’habitude, Le téléphone pleure, ou encore le Mal aimé.

Celui qui fut l’égal d’une Dalida soulevait des foules immenses. Pour lui, des milliers de femmes en pleurs mimaient en France l’hystérie collective que soulevaient les Beatles outre-Manche. En pleine gloire, il disparaît tragiquement mais reste, près de vingt-cinq ans après sa mort, plus vivant que jamais.

Un enfant du soleil  ...

Parce que son père est contrôleur du trafic sur le canal de Suez, Claude naît en Égypte, à Ismaïlia, près du lac Timsah, le 1er février 1939. Lui et sa grande soeur Josette suivront leurs parents, Aimé et Lucie, d’origine franco-italienne, au gré des mutations paternelles.

Jeune homme, il vit une enfance rêvée, jusqu’à la nationalisation du canal en 1956, par le président Nasser. Expulsés, les François rejoignent la France et s’installent sur la côte d’Azur, tout d’abord à Marseille, puis à Monaco et à Nice.

Ce changement rapide de situation pèse sur Aimé et altère sa santé. Claude, âgé de dix-sept ans, prend les rênes de la famille et se voit dans l’obligation de trouver très vite un emploi. Mais cela ne l’empêche pas de développer une passion pour la musique et la danse: piano, violon et batterie lui permettent de s’évader d’une vie devenue difficile.

Premier cachet  ...

C’est ainsi que le jeune Claude débute à dix-huit ans aux percussions dans l’orchestre d’Aimé Borelli puis dans celui de Louis Frazio et plus tard, d’Olivier Despax. Malgré les remontrances de son père, Claude s’investit totalement dans cette voie artistique.

Son charisme et sa beauté de jeune éphèbe le font connaître dans les milieux branchés de la nuit. C’est d’ailleurs dans une boîte de nuit qu’il rencontre une danseuse anglaise, Janet Woolcoot, qui deviendra sa femme en 1960. Il y rencontre également Sacha Distel et Brigitte Bardot qui lui conseillent, de concert, de « monter » à Paris.

Sans un sou, Claude quitte le soleil méditerranéen pour la grisaille parisienne en 1961, et découvre une capitale chamboulée par le rock et les yé-yés.

La vague des yé-yés  ...

Profitant de la vague de succès de la génération Salut les copains, Claude enregistre un premier 45 tours Nabout Twist, sous le pseudo de Koko, aux éditions Fontana. Ce twist arabe n’a aucun succès, à une époque friande de reprises de grands standards américains.

Claude ne se laisse pas déstabiliser par cet échec, et, tout en abandonnant son nom de scène au profit de son vrai nom, sort un second 45 tours qui explose au hit-parade: Belles belles belles est le premier d’une longue série de tubes.

Cette reprise des Everly Brothers sort quelques semaines après la mort de son père. Très affecté par ce décès (les deux hommes étaient brouillés depuis peu), le chanteur se lance avec encore plus d’acharnement dans le travail. Il scelle ainsi une réputation sulfureuse de bourreau du travail, intransigeant et inébranlable.

Une prestation scénique incomparable  ...

Les premiers titres de Claude François sont ingénieusement des reprises américaines, très dansantes et à la base rythmique très simple. Dis-lui, Marche tout droit, ou Si j’avais un marteau (reprise du succès de Trini Lopez), fonctionnent parfaitement, mais c’est sur scène qu’il séduit le public.

Ce jeune homme blond à l’apparence asexuée est un danseur hors-pair, au look bon chic bon genre. La gente féminine succombe rapidement à son charme et participe à ses premiers succès. Cloclo s’approprie alors un public très jeune qui lui restera fidèle toute sa vie. En échange, il sacrifie sa vie à sa carrière.

Nombreux sont les jeunes chanteurs qui ont tenté leur chance au début des années 60. Rares sont ceux qui sont encore présents aujourd’hui ou qui ont marqué leur époque. Pour y parvenir, Claude travaille nuit et jour, précipitant la faillite de son couple. J’y pense et puis j’oublie rappelle cet épisode douloureux de sa vie privée.

Propriétaire désormais de sa somptueuse demeure de Dannemois, dans l’Essonne, Cloclo devient un véritable phénomène. 1964 est l’année de son premier Olympia, salle mythique dans laquelle il retourne dès 1965 pour enregistrer la célèbre émission Musicorama.

Désormais, il s’accompagne sur scène des fameuses Clodettes, jeunes femmes superbes qui mettent en valeur, par leur tenue légère et leur chorégraphie parfaite, le personnage central du chanteur. Le spectacle de Claude François est un véritable feu d’artifice scénique dont la gaieté n’a d’égal que la rythmique envoûtante des chansons.

Le sommet de la gloire ...

L’entêtement avec lequel Claude mène chacune de ses entreprises, fait de lui, en cette année 1968, un homme comblé. Isabelle, sa nouvelle compagne, donne naissance à Claude Junior au mois de juillet (Marc, son second fils, suivra l’année d’après).

Séparé de sa maison de disques, il crée la maison Flèche et devient ainsi son propre producteur. Enfin, chacun de ses disques se vend par centaines de milliers et Cloclo devient, avec l’aide des radios et des télévisions, la vedette la plus médiatique de ces années 60.

Un titre, particulièrement, sera à l’origine de cette gloire. Comme d’habitude, créé en 1968, devient avec les années l’une des chansons les plus mondialement interprétées (Elvis Presley, Paul Anka, Frank Sinatra ou encore les The Sex Pistols, la chanteront en anglais, et feront de My Way un air aussi célèbre que l’Imagine de John Lennon).

Chef d’entreprise, Claude ne se contente pas de mener les disques Flèche avec une main de maître, il produit aussi de jeunes artistes tels que Alain Chamfort ou Patrick Juvet et commercialise un parfum. Il rachète également le magazine Podium, qui, à l’instar du célèbre Salut les copains, diffuse dans la presse écrite, les succès de la chanson auprès de la jeunesse.

Rien ne l’arrête, ni le surmenage qui le guette, (il est victime d’une syncope sur scène à Marseille), ni un terrible accident de voiture dont il est victime en 1970.

L’homme à tout faire ...

Entre les tournées interminables dans le monde entier, son métier de producteur, sa vie privée et la promotion de ses nouveaux disques (Chanson populaire, Ca s’en va et ça revient, …), Claude François trouve le temps de racheter une agence de mannequins et un magazine érotique Absolu.

Son goût immodéré pour les femmes assoit sa réputation de coureur de jupons. Exigeant, voire odieux avec ses collaborateurs, frivole, orgueilleux, acharné dans le travail, de nombreux traits de caractère ternissent sensiblement l’image du chanteur, si bien qu’il est parfois victime de sa réputation, comme lorsqu’un fan l’agresse lors d’un concert en 1973.

Star immense, sa vie publique lui coûte très cher: d’un redressement fiscal à une tentative de meurtre, en passant par l’incendie de sa maison ou l’explosion d’un cocktail Molotov dans ses bureaux, Claude François vit sur le fil du rasoir.

C’est encore un accident qui lui coûte la vie le 11 mars 1978. Alors qu’il triomphe sur les ondes avec Alexandrie Alexandra, il s’électrocute dans la baignoire de son domicile parisien.

La mort précipite l’entrée de Cloclo dans la légende de la chanson, faisant de sa propriété de Dannemois un Graceland à la française, véritable lieu de pèlerinage. Des dizaines de milliers de personnes assistent à ses obsèques en l’Eglise d’Auteuil à Paris.

Véritable chef d’entreprise, marquant de son déterminisme et de sa rage de vaincre le monde de la chanson, Claude François a dirigé pendant presque vingt ans un empire culturel et musical. Avec Podium et les disques Flèche, l’interprète Cloclo savait également se muer en impitoyable homme d’affaires.

Belles belles belles, Le téléphone pleure, C’est de l’eau c’est du vent, Comme d’habitude, Je viens dîner ce soir, Je vais à Rio, ou encore Toi et moi contre le monde entier, font encore danser des millions de fans à travers le monde.

Celui que la mort, tout comme Dalida quelques années plus tard, en 1987, a porté au firmament de la chanson populaire, reste associé à jamais à un art très visuel, pour lequel danse, chant, strass et paillettes se mêlent merveilleusement.