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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
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· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
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· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
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· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
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· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Alessandra Ambrosio a-t-elle le mal du pays ?
Le top brésilien de 32 ans est de retour à Sao Paulo pour quelques jours, et a profité d'un événement professionnel pour retrouver ses amis et partager de bons moments sous le soleil de l'Amérique du Sud.
Après avoir partagé un brunch dans un restaurant de la ville hier, 17 juillet, la star des podiums s'est changée pour adopter une parure splendide. Un peu trop splendide pour l'occasion !
La belle posait fièrement dans une incroyable robe fendue qui laissait voir son corps de déesse, lorsque le vent (bon, merci la clim') jouait des siennes. Alessandra a-t-elle sorti le grand jeu pour une prestigieuse marque de cosmétiques brésilienne ? Pour un grand joaillier ? Pour une collection de mode ? Noooooon !!! Alessandra, qui semble ne pas connaître la demi-mesure, a dégainé la tenue "red carpet" pour une marque de ... serviettes hygiéniques !
Le roi du bal musette André Verchuren, qui a fait danser des millions de Français aux rythmes de son accordéon pendant plus de cinquante ans, est mort mercredi à Chantilly, dans l'Oise, d'un arrêt cardiaque à l'âge de 92 ans. Fils et petit-fils d'accordéonistes, l'interprète de tubes tels que "Les fiancés d'Auvergne", "Le chouchou de mon coeur" ou "La Saint-Hubert" "avait arrêté de faire des galas à 91 ans", a déclaré son fils Harry Williams Verchuren. André Verchuren est mort mercredi vers 20 h 30 dans une pizzeria de Chantilly d'un arrêt cardiaque brutal. Un médecin du service mobile d'urgence et de réanimation (SMUR) a constaté le décès, selon les pompiers de l'Oise appelés sur place.
"J'ai commencé à jouer à l'âge de quatre ans, avant même de savoir écrire", affirmait cet ardent défenseur du piano à bretelles, cheveux noirs éternellement gominés. L'accordéon est une tradition familiale : André Verchuren, né le 28 décembre 1920 à Neuilly-sous-Clermont, dans l'Oise, donne son premier bal à l'âge de 6 ans au côté de son père. À 14, il interprète sa première composition, "Perles de rosée", et devient champion du monde d'accordéon.
Le jeune homme prodige se produit avec son père dans le Nord et la Picardie. Pendant la guerre, il recueille des parachutistes alliés, ce qui lui vaut d'être arrêté et déporté à Dachau. À son retour, il faudra quelques années pour que ses doigts retrouvent toute leur agilité. En 1950, André Verchuren se fait remarquer à l'émission de radio Swing contre musette, il est aussitôt engagé pour animer une émission sur RTL.
Succès populaire immédiat :
Le succès populaire est immédiat. Parallèlement à ses émissions à la radio (17 ans sur RTL, puis 13 sur Europe 1), André Verchuren va à la rencontre de ses auditeurs. Il sillonne la France entière, donnant 150 galas par an. "Les bals, la musique, la route : autant de drogues pour moi", dit-il. Il enregistre des milliers de titres qui se vendent massivement. Son plus grand succès, "Les fiancés d'Auvergne", sera vendu à des millions d'exemplaires.
"C'est vrai que ma vie peut se résumer à quelques chiffres impressionnants : sept millions de kilomètres parcourus en voiture, un million en avion, plus de cinquante millions de disques vendus. Et surtout, j'ai fait danser dix-sept millions de couples à travers le monde", déclarait-il au Parisien en 1992. Cette année-là, il enregistre un nouveau disque Mes cinquante ans d'amour avec la musique.
En 2007, il fêtait triomphalement ses 80 ans de scène à l'Olympia et sur les routes de France, malgré son âge avancé. "Dès que j'ai passé les bretelles, je suis un autre homme. La scène, ça vous transforme. C'est là que je me sens vivre et c'est pour ça que je vis", confiait-il à l'époque. Amateur de vélo et de cinéma, André Verchuren était veuf et père de deux fils, également accordéonistes. Son épouse est morte dans un accident de la route en 1974 qui valut à André Verchuren, au volant du véhicule, d'être condamné à trois mois de prison avec sursis. Chevalier de la Légion d'honneur, il était titulaire de la Médaille militaire.
Alors que la naissance du premier enfant de Kate et William est entourée de petits secrets qui font trépigner les Anglais, il en existe un qui promet de les surprendre. Le "royal baby" serait en effet cousin de François Mitterrand ... Il faut remonter plusieurs générations. D’après une information du Point, le bébé que toute l’Angleterre attend depuis des mois aurait un lien de parenté avec François Mitterrand. A quelques jours de la naissance du premier enfant de la duchesse de Cambridge et du prince William, la nouvelle a de quoi surprendre. C’est un journaliste et généalogiste, Jean-Louis Beaucarnot, qui a souligné l’existence de ces liens très éloignés. Selon lui, le futur héritier du trône d’Angleterre serait cousin de l’ancien président socialiste et ce, par un ancêtre commun nommé Jean II de Barbezières. Toujours selon les informations du Point, ce noble de France aurait en effet eu une "descendance de confession protestante qui s’établit en Allemagne et dont est issu le roi d’Angleterre George II". Ce dernier régna au XVIIIe siècle et est "l’ancêtre de la quasi-totalité du gotha européen", précise par ailleurs le généalogiste.
Les autres secrets qui entoure la naissance du "royal baby" :
Mais l’arbre généalogique du "royal baby" n’est pas le seul sujet entouré de mystère. Outre le jour exact de sa naissance - prévu le 13 juillet – les Anglais s’interrogent également sur son sexe, son prénom et sa couleur de cheveux. Si bien que les bookmakers sont débordés ! A en croire les paris qui sont actuellement faits, l’enfant du couple princier devrait ainsi être une fille, s’appeler Alexandra ou Charlotte et avoir les cheveux bruns comme ceux de sa maman. Quant au jour de sa naissance, certains observateurs soulignent qu’il pourrait avoir lieu bien avant la date annoncée. Comme Lady Diana avant elle pour l’arrivée de William, Kate aurait en effet pu annoncer une date tardive pour tenter de limiter l’affolement des médias le jour J. (La réponse d’ici quelques jours) ...
Alain Mimoun, né Ali Mimoun Ould Kacha le 1er janvier 1921 à Maïder (arrondissement du Telagh, département d'Oran) en Algérie française et mort le 27 juin 2013 à Saint-Mandé, dans le Val-de-Marne, est un athlète français et ancien combattant de la Seconde Guerre mondiale. Il est particulièrement connu pour sa victoire au marathon des Jeux olympiques d'été de 1956 à Melbourne. Aîné d'une fratrie de sept enfants, issu d’une famille de modestes agriculteurs, sa mère Halima le destine à une carrière d’instituteur. Il obtient le certificat d’études primaires (avec mention « Bien »), mais on lui refuse malgré tout une bourse. Il s'engage alors dans l'armée au début de la Seconde Guerre mondiale, alors qu'il n'a pas encore 19 ans, et est envoyé sur la frontière belge. Après la débâcle, en 1940, il se livre à la pratique du sport : football, cyclisme… et enfin à la course à pied. De passage à Bourg-en-Bresse, il vient s'entraîner dans le stade. Là, le président du club d'athlétisme local, M. Vilar, le remarque. Il participe au championnat départemental de l'Ain et remporte l'épreuve du 1 500 mètres. De retour en Algérie à Alger au 19e régiment du génie (caserne Lemercier à Hussein Dey), il intègre l'équipe de cross-country de l'unité, puis combat contre l'Afrika korps lors de la campagne de Tunisie (novembre 1942 - mai 1943) sous les ordres du général Giraud. Dès juillet 1943, il participe à la campagne d'Italie comme caporal dans le 83e bataillon du génie, au sein de la 3e division d'infanterie algérienne du Corps expéditionnaire français commandé par le maréchal Juin. Grièvement blessé au pied par un éclat d'obus lors de la bataille du mont Cassin le 28 janvier 1944, il évite de justesse l'amputation de sa jambe gauche préconisée par les médecins américains et est soigné à l'hôpital français de Naples qui lui évite cette épreuve, puis participe néanmoins au débarquement de Provence (15 août 1944). Son bataillon y gagnera la Croix de guerre avec quatre citations. Après le conflit, il devient garçon de café au Racing club de France à la Croix-Catelan et habite un modeste deux pièces au 127, avenue Simon-Bolivar à Paris. Le 1er décembre 1956, après un faux départ, seul cas de ce type sur un marathon olympique, les quarante-cinq concurrents, représentant vingt-trois nations, s'élancent sous une chaleur accablante (36 °C à l'ombre) pour les 42,195 km du parcours. Un groupe de treize hommes se dégage après quinze kilomètres. Il n'en reste plus que cinq au passage des vingt kilomètres. L'Américain John J. Kelley (en) donne une tape dans le dos de Mimoun pour l'inviter à le suivre. Mimoun et Kelley s'appréciaient, et les deux hommes s'échappent. Après quelques minutes d'efforts intensifs de Kelley, Mimoun prend le relais, et lâche Kelley. Il se trouve seul en tête alors que la marque de mi-parcours n'est pas encore franchie. Un instant, Mimoun pense à se laisser rejoindre par ses poursuivants, puis choisit finalement de faire la course à son rythme, en profitant du tracé du parcours pour jauger l'allure de ses adversaires, qu'il croisait après avoir passé le piquet marquant la moitié du parcours. Il constate que Kelley est à la peine et quand il croise les deux Soviétiques, il prend le temps de leur faire un petit signe pour les chambrer… Exténués, ils n'ont pas la force de répondre. Il croise ensuite Zatopek, qui n'a pas sa foulée habituelle. Il comprend alors que Zatopek ne gagnera pas ce marathon. Le dernier quart du parcours est difficile pour Mimoun qui s'insulte afin de s'obliger à poursuivre. Sa foulée devient de plus en plus courte. Il demanda à 12 kilomètres de l'arrivée où étaient situés ses poursuivants, mais personne ne lui communiqua l'information. Tout lui pesait, même le simple mouchoir protégeant sa tête du soleil. Il le jeta et fut revigoré quand il s'aperçut qu'une jeune fille blonde se précipitait pour ramasser cette relique. La foule australienne lui criait « Very good! Very good! » mais ne lui donnait aucune indication sur l'écart avec ses poursuivants. Quand il aperçoit le mât du stade olympique, à plus de trois kilomètres de la ligne d'arrivée, il accélère la cadence. Il entre dans le stade olympique à 17 h 37 sous les ovations de 120 000 spectateurs et devient ainsi champion olympique du marathon. À l'arrivée, Mimoun se précipite vers son ami Zatopek : « Tu ne me félicites pas Emil ? ». Sixième à l'arrivée et complètement exténué, Zatopek pensait que Mihalic était le vainqueur. Son visage s'éclaira quand Mimoun lui annonça la nouvelle. Il se mit alors au garde à vous, retira sa casquette, et félicita le vainqueur : « Alain, je suis heureux pour toi ». Et ils s'enlacèrent pendant de longues secondes. C'était la dernière fois que ces deux-là s'alignaient sur la même course. À l'aéroport d'Orly, Mimoun est accueilli en héros par une foule considérable et porté en triomphe. Déjà désigné champion des champions français par le journal L'Équipe en 1949. |
Des fans et du feu pour les 70 bougies de Johnny Monument de la chanson française, Johnny Hallyday a allumé la nuit parisienne, samedi soir, avec deux concerts chargés d'émotion face à des milliers de fans, en compagnie d'une brochette de stars, pour souffler ses 70 bougies.
Né le 15 juin 1943, "l'idole" inoxydable du rock à la française a choisi de célébrer son anniversaire par un double concert, à Paris-Bercy d'abord devant 20.000 inconditionnels de toutes générations puis dans une petite salle, le Théâtre de Paris, pour une prestation plus personnelle dédiée à ses amis du show-business et à 600 fans ayant réussi à se procurer un billet.
Au Palais omnisports de Paris-Bercy, beaucoup de sexagénaires dans le public et des familles complètes : grands-parents, parents et enfants.
Dans la salle également, des acteurs comme Jean-Paul Belmondo, Jean Reno, Jamel Debbouze, et l'épouse du chanteur Laeticia Hallyday. Selon le compte Twitter de TF1, partenaire de la soirée, Nicolas Sarkozy et Carla Bruni étaient également présents.
Pour ce spectacle retransmis sur la chaîne de télévision et sur RTL, le rocker septuagénaire s'est entouré de guest stars, à commencer par son vieux complice Eddy Mitchell mais aussi Florent Pagny.
Vêtu sobrement de noir, le chanteur a entamé son show avec "Que je t'aime" repris en choeur par le public, tout en fendant la foule dans une cohue indescriptible pour arriver jusqu'à la scène.
En grande forme et souriant, le rocker a passé en revue ses 53 ans de carrière, enchaînant les tubes "Allumer le feu", "Quoi ma gueule", "Gabrielle", profitant aussi de l'occasion pour saluer la mémoire de Michel Berger avec l'incontournable "Quelque chose de Tennessee".
Plusieurs duos de choix durant ce show de plus de deux heures, avec Charles Aznavour pour interpréter "Sur ma vie", chanson qu'il a écrite pour Johnny, avec son fils David Hallyday et avec "Monsieur Eddy" pour "Toute la musique que j'aime".
"Ce n'est que du bonheur ce soir", a lancé le chanteur. Le public lui a répondu en entonnant spontanément un "joyeux anniversaire, Johnny" qui a fait couler quelques larmes sur les joues au chanteur.
"Si vous n'étiez pas là, je n'existerais pas", a déclaré pour finir la star au public avant de finir par "Quand on n'a que l'amour" de Jacques Brel.
Johnny s'est ensuite rendu dans le IXe arrondissement de Paris, à quelques rues de son lieu de naissance, pour un deuxième concert privé au Théâtre de Paris.
Show privé à tonalité rock :
Moins de deux heures après la fin de son concert à Bercy, il est remonté sur scène pour 60 minutes de show.
"Ca me fait bizarre quand même après Bercy", a plaisanté la star face à son public, dans lequel se trouvaient sa fille Laura Smet, Jean Dujardin et Joey Starr.
"Je suis là pour profiter de vous et tout ce que je peux faire maintenant, c'est passer du bon temps avec vous et me faire plaisir. On est là pour s'amuser", a ajouté le rockeur.
Pour ce concert très particulier, Johnny Hallyday a choisi dans son large répertoire des chansons moins fréquemment interprétées sur scène, comme "Né dans le bayou" ou "Rock'n'roll man".
Accompagné du guitariste et chanteur américain Brian Setzer, ancien des Stray Cats, il s'est surtout fait plaisir en replongeant dans le rock'n'roll et le rockabilly de ses débuts avec des reprises d'Elvis, d'Eddie Cochrane, de Gene Vincent ou de Tommy Tucker.
(Ci-dessus : Makaziwe, fille de Mandela, entend bien tirer profit de l'image de son père) ...
Empreinte de sa main, aquarelles, vin à son nom ... Le « Mandela business » rapporte gros ! Deux de ses filles ont voulu faire main basse sur l'image de l'ancien président sud-africain. D'autres descendants s'en mêlent.
Chez les Mandela, il n'est pas question de ne pas profiter des retombées financières du « Mandela business ». Deux des filles de l'ancien président sud-africain, Makaziwe et Zenani, avaient lancé, en 2001, un commerce juteux, mais douteux, de vente d'aquarelles soi-disant peintes par Mandela lors de son séjour en prison et vendues entre 4 000 et 11 000 € pièce.
Jusqu'alors, Mandela avait toujours refusé l'exploitation commerciale de son nom. En 2005, il avait d'ailleurs mis fin à cette opération lancée par ses deux filles et son avocat, Ismaël Ayob. Non seulement, il avait révoqué Ayob (qui aurait détourné une partie des millions engrangés), mais, selon les déclarations de son nouvel avocat, Bally Chuene « il était furieux contre ses filles et leur avait interdit de se mêler de la gestion de ses affaires ».
Makaziwe et Zenani avaient ensuite tenté de vendre des copies de l'empreinte de la paume de l'illustre Sud-Africain. Puis, en 2011, elles exigeaient un million d'euros, une sorte d'avance sur héritage.
Refus des trois hommes de confiance chargés de gérer la fortune de Mandela. En avril, les filles ont demandé à la justice de les révoquer. Elles disaient être soutenues par quinze petits-enfants du patriarche.
La « marque » la plus connue après Coca-Cola :
Mais le porte-parole de la famille, le petit-fils Mandla Mandela, les a aussitôt désavouées : « Je ne me suis jamais entretenu avec elles à ce sujet,confiait-il à un journal local. Notre famille devrait protéger la dignité de mon grand-père, au lieu de lui porter atteinte. »
Makaziwe, une riche femme d'affaires, n'a pas baissé les bras. En mai, avec sa fille Tukwini, elle a lancé une marque de vin au nom de Nelson Mandela. D'autres membres de la famille ont aussi tiré profit de la marque "Mandela", la plus connue au monde après Coca-Cola. La chaîne américaine Fox a ainsi récemment produit Being Mandela, une émission de téléréalité mettant en scène trois petites-filles du héros de la lutte anti-apartheid.
Ses six enfants et dix-sept petits-enfants risquent maintenant de s'entre-déchirer sur son lit de mort. Comme les descendants de Martin Luther King qui n'ont pas fini de se disputer son héritage, quarante ans après son décès ... C'est vraiment CONSTERNANT !
"Happy birthday Johnny!" : le rocker fête ses 70 ans avec deux concerts "Un soir de juin 1943 ... Je suis né dans la rue ... Par une nuit d'orage", chante-t-il. 70 ans ans plus tard, c'est sur scène et au milieu de ses fans que Johnny Hallyday fêtera son anniversaire ce samedi, avec deux concerts consécutifs.
Le premier en début de soirée à Bercy est complet depuis des mois. Les fans du rocker se sont arrachés les 20.000 billets en deux heures à peine.
Le second se déroulera au coeur de la nuit dans une petite salle de 800 places, le Théâtre de Paris, à quelques rues du lieu de naissance de celui qui n'était alors que Jean-Philippe Smet dans le IXème arrondissement de Paris. 50.000 fans s'étaient inscrits pour obtenir un des précieux billets.
"C'est formidable parce que ce seront deux spectacles totalement différents, c'est un petit peu le cadeau que je voulais faire aux fans et en même temps me faire plaisir", a récemment expliqué le rocker sur RTL.
"Je voulais faire une grande salle, donc Bercy, et faire ensuite une plus petite salle au Théâtre de Paris pour un autre public en quelque sorte, parce que je ne vais y faire que du rock'n' roll. Il n'y aura pas les cuivres et tout ça", a-t-il détaillé.
Des invités, français (Florent Pagny, Amel Bent, Eddy Mitchell ...) mais aussi anglo-saxons, sont annoncés pour les deux concerts.
Celui de Bercy sera retransmis en direct sur RTL et TF1 et le site internet de la chaîne de télévision diffusera également la deuxième partie de la soirée.
Pour Johnny, qui a entamé début juin une mini-tournée célébrant le double anniversaire de ses 70 ans et de ses 50 ans de carrière, souffler ses bougies sur scène est une habitude bien établie.
Il s'était offert le Parc de Princes pour ses 50 ans, puis ses 60 ans. En 2006, il était au Palais des Sports et l'année dernière, c'est Alain Delon qui était venu lui souhaiter un "joyeux anniversaire" au Stade de France.
"Je suis toujours autant ému. Quand on arrive sur une scène, qu'il y ait 20.000 personnes ou 80.000, et qu'on entend les gens vous chanter "happy birthday" c'est vrai que ça fait quelque chose", a-t-il confié à RTL.
Samedi, la fête devrait être d'autant plus belle qu'elle vient après un retour gagnant de Johnny, après plusieurs années noires.
"Sur scène à 80 ans"
En 2009 pour ses 66 ans, le chanteur qui ne se voyait plus partir sur la route pour de longues périodes, avait entamé une tournée d'adieux. Celle-ci avait été interrompue par des problèmes médicaux qui avaient failli lui coûter la vie.
S'en sont suivis une longue dépression, un album en demi-teinte en 2011 et un changement complet d'entourage professionnel.
Aujourd'hui, plus question pour Johnny d'évoquer ses adieux.
"Il y a quelques années, je n'imaginais pas chanter à l'âge de 70 ans. Mais maintenant je pense être sur scène à 80 ans", a-t-il déclaré au Parisien.
Car les derniers mois ont été ponctués de succès. Après un démarrage plus lent que d'habitude, sa 181e tournée sera finalement rentable, selon son producteur, avec 80 dates et plus de 700.000 spectateurs.
Son dernier album, "L'attente", écrit sur-mesure dans une veine blues-rock, a été un succès critique et commercial avec plus de 600.000 exemplaires vendus depuis sa sortie en novembre.
Désormais, le "taulier" fourmille de projets. Après sa mini-tournée, qui s'achèvera le 27 juin aux Arènes de Nîmes, il terminera le tournage du film de Claude Lelouch "Salaud, on t'aime".
Puis il s'attaquera à l'enregistrement de son nouveau disque, un album de duos en anglais, qu'il compte bien défendre sur scène aux Etats-Unis et pour lesquels des collaborations avec Muse et Phoenix sont dans l'air.
L'ancien président sud-africain Nelson Mandela a été de nouveau hospitalisé pour une infection pulmonaire. Il se trouve dans un état « préoccupant mais stable », a annoncé la présidence.
L'annonce est d'abord venue du cabinet du président Jacob Zuma, vendredi soir. « Son état s'est détérioré et il a été transféré dans un hôpital de Pretoria », indiquait un communiqué.
Samedi matin, on a annoncé qu'il respirait par lui-même, ce qui est un bon signe.
Âgé de 94 ans, Nelson Mandela « reçoit des soins spécialisés et les médecins font tout leur possible pour qu'il se sente mieux », peut-on lire dans la déclaration.
Or, un porte-parole du gouvernement, Mac Maharaj, a indiqué un peu plus tard à une chaîne de télévision sud-africaine que la situation était « grave, cette fois-ci ».
Ce n'est pas la première fois que l'ancien président sud-africain doit être hospitalisé. Un porte-parole du gouvernement a toutefois laissé entendre à une chaîne de télévision sud-africaine que cette fois son état de santé était particulièrement préoccupant.
Des problèmes pulmonaires récurrents :C'est la quatrième fois que Nelson Mandela, connu pour avoir très largement contribué à mettre fin à l'apartheid en Afrique du Sud, doit être hospitalisé depuis décembre 2012. Au printemps, il avait passé une dizaine de jours à l'hôpital pour soigner une autre pneumonie.
Premier président noir de l'Afrique du Sud en 1994, il avait auparavant été hospitalisé en janvier 2011 puis en décembre 2012, à chaque fois pour des infections pulmonaires.
Idole de tout un peuple, le lauréat du prix Nobel de la paix de 1993 est particulièrement vulnérable aux problèmes respiratoires depuis qu'il a contracté la tuberculose pendant son séjour de 18 ans sur l'île-prison de Robben Island, au large du Cap, cassant des cailloux dans une poussière qui a durablement endommagé ses poumons.
Mandela, qui n'est plus apparu en public depuis 2010, s'est complètement retiré de la vie politique et n'a plus exprimé aucune opinion publiquement depuis des années, mais beaucoup le considèrent encore comme la conscience morale de l'Afrique du Sud.
« Madiba », comme l'appellent affectueusement ses compatriotes, doit fêter ses 95 ans en juillet.
L'ex-président sud-africain Nelson Mandela était toujours dimanche matin à l'hôpital où il a été admis pour une pneumonie dans la nuit de vendredi à samedi, et aucun bulletin de santé n'a été publié depuis 24 heures."La famille doit le laisser maintenant de façon à ce que Dieu puisse faire à sa façon". L'article du Sunday Times débute par cette citation d'Andrew Mlangeni, un ami de longue date de Mandela, qui résume une opinion assez largement exprimée depuis 24 heures sur les réseaux sociaux notamment.
"Ils doivent le laisser, spirituellement, et s'en remettre à leur foi en Dieu (...) Nous dirons merci, Dieu, de nous avoir donné cet homme, et nous le laisserons partir", poursuit M. Mlangeni.
City Press de son côté titre avec l'appel du président Jacob Zuma à prier pour Mandela, tandis que le populaire Sunday Sun lance en première page : "Mandela se bat pour sa vie !".
A Pretoria, de nombreux journalistes et photographes étaient toujours rassemblés devant l'hôpital où pourrait être traité le prix Nobel de la Paix 1993.