Date de création : 09.04.2012
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02.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Philippe Pétain, né le 24 avril 1856 à Cauchy-à-la-Tour (Pas-de-Calais) et mort en captivité le 23 juillet 1951 sur l'île d'Yeu (Vendée), est un militaire, diplomate et homme d'État français. Élevé à la dignité de maréchal de France en 1918, il est frappé d'indignité nationale et déchu de sa distinction militaire en 1945.
Militaire de carrière s'étant démarqué à l'École de guerre de la doctrine dominante de l'offensive à outrance, il est sur le point de terminer son parcours comme colonel lorsque la Grande Guerre éclate, en 1914. Chef militaire à l'action importante, il est généralement présenté comme le vainqueur de la bataille de Verdun et, avec Georges Clemenceau, comme l'artisan du redressement du moral des troupes après les mutineries de 1917. Remplaçant Nivelle en mai 1917, il reste commandant en chef des forces françaises jusqu'à la fin de la guerre, bien que placé sous les ordres de son rival Ferdinand Foch nommé généralissisme des troupes alliées après la rupture du front le 28 mars 1918.
Auréolé d'un immense prestige au lendemain de la guerre, il est le chef de l'armée d'après guerre. En 1925, il commande personnellement les forces françaises combattant aux côtés de l'Espagne dans la guerre du Rif, remplaçant le maréchal Lyautey. Devenu académicien en 1929, il occupe les fonctions de ministre de la Guerre de février à novembre 1934, puis est nommé ambassadeur en Espagne en 1939, alors que le pays est dirigé par le général Franco.
Rappelé au gouvernement le 17 mai 1940, après le début de l'invasion allemande, il s'oppose à la poursuite d'une guerre qu'il considère comme perdue et dont il impute bientôt la responsabilité au régime républicain. Il devient président du Conseil en remplacement de Paul Reynaud le 16 juin ; le lendemain, il appelle à cesser le combat. Selon la volonté d'Adolf Hitler, il fait signer l’armistice du 22 juin 1940 avec le Troisième Reich, à Rethondes. Investi des pleins pouvoirs constituants par l'Assemblée nationale, le 10 juillet 1940, il s'octroie le lendemain le titre de « chef de l'État français », qu'il conserve durant les quatre années de l'occupation de la France par l’Allemagne nazie.
Installé en zone libre à Vichy à la tête d'un régime autoritaire, il abolit les institutions républicaines et les libertés fondamentales, dissout les syndicats et les partis politiques, et instaure une législation antimaçonnique et antisémite en août-octobre 1940. Il engage le pays dans la Révolution nationale et dans la collaboration avec l'Allemagne nazie. Le « régime de Vichy », qu'il dirige jusqu'en juillet 1944, est déclaré « illégitime, nul et non avenu » par le général de Gaulle à la Libération.
Emmené contre son gré par les Allemands à Sigmaringen puis en Suisse, où il se rend aux autorités françaises, Philippe Pétain est jugé pour intelligence avec l'ennemi et haute trahison par la Haute Cour de justice en juillet 1945. Il est frappé d'indignité nationale, condamné à la confiscation de ses biens et à la peine de mort. Alors que la cour recommande la non-application de cette dernière en raison de son grand âge, sa peine est commuée en emprisonnement à perpétuité par le général de Gaulle. Il meurt sur l’île d'Yeu, où il est inhumé.
Biographie
Henri Philippe Bénoni Omer Pétain naît le 24 avril 1856 à Cauchy-à-la-Tour, dans une famille de cultivateurs installée dans la commune depuis le xviiie siècle. Il est le fils d'Omer-Venant Pétain (1816-1888) et de Clotilde Legrand (1824-1857). Il a quatre sœurs, Marie-Françoise Clotilde (1852-1950), Adélaïde (1853-1919), Sara (1854-1940) et Joséphine (1857-1862). Sa mère meurt et son père se remarie avec Marie-Reine Vincent. Trois autres enfants, demi frères et sœurs, voient le jour : Élisabeth (1860-1952), Antoine (1861-1948) et Laure (1862-1945).
Bien que son acte de naissance porte les prénoms Henri, Philippe, Bénoni, Omer, c'est Philippe qu'il choisit et, tout au long de sa vie, il prend soin de rectifier.
Sa belle-mère néglige les enfants du premier lit de son mari et Philippe Pétain s'enferme dans le silence, ne parlant pas avant l'âge de trois ans. Il est élevé par ses grands-parents ; sa grand-mère lui apprend à lire. En 1867, à l'âge de 11 ans, il entre au collège Saint-Bertin situé à Saint-Omer, à trente kilomètres de Cauchy, et y montre des qualités en géométrie, grec, et anglais. La famille est marquée par le catholicisme. Philippe sert la messe quotidienne comme enfant de chœur. Un membre de la famille a été béatifié en 1860 par Pie IX, puis canonisé en 1881 par Léon XIII (le « pauvre de Dieu » saint Benoît Labre, né à Amettes en 1748 et mort à Rome en 1783), un de ses oncles et deux de ses grands-oncles sont abbés (dont l'abbé Lefebvre, qui meurt presque centenaire et qui jeune a servi dans la Grande Armée de Napoléon).
Cet environnement influence Philippe Pétain ; marqué à 14 ans par la défaite de 1870, il décide d’être soldat. Son oncle, l'abbé Legrand, le présente au châtelain du village de Bomy, Édouard Moullart de Vilmarest, qui souhaitait financer les études d'un jeune villageois se destinant à une carrière militaire. Philippe Pétain prépare, au collège des Dominicains d'Arcueil (1875), l'école de Saint-Cyr, qu'il intègre en 1876.
À l’École spéciale militaire de Saint-Cyr, il est de la promotion Plewna, avec le vicomte Charles de Foucauld, futur bienheureux, et Antoine Manca de Vallombrosa, futur aventurier. Entré parmi les derniers (403e sur 412), il sort en milieu de classement (229e sur 336).
Cinq ans sous-lieutenant, sept ans lieutenant, dix ans capitaine (promu en 1890), il gravit lentement les échelons militaires. Il est admis en 1888 à l'École supérieure de guerre et en sort breveté d'état-major deux ans plus tard au 56e rang.
Plusieurs jeunes femmes de bonne famille (Antoinette Berthelin, Angéline Guillaume, Lucie Delarue, Marie-Louise Regard) refusent ses demandes en mariage, car il est encore un militaire de rang moyen.
Il a de nombreuses maîtresses et fréquente souvent les maisons closes
Élevé dans le catholicisme, mais ayant une vie personnelle « de garnison », confronté à une certaine morgue de ses supérieurs et des « bonnes familles », Pétain reste discret sur ses opinions, dans l'esprit de la « grande muette ». Sa carrière est lente dans l'armée assez aristocratique des années 1890. Lors de l’affaire Dreyfus, le capitaine Pétain n'est pas antidreyfusard ; ultérieurement, il affirme à son chef de cabinet civil Henry du Moulin de Labarthète : « J'ai toujours cru, pour ma part, à l'innocence de Dreyfus ». Il juge cependant que Dreyfus s’était mal défendu et que sa condamnation était logique : l'idée que Félix Gustave Saussier et Jean Casimir-Perier aient condamné Dreyfus en le sachant innocent l'aurait tourmenté, voire scandalisé d'après les deux ministres pétainistes, Henri Moysset et Lucien Romier. En tout cas, il ne participe pas à la souscription en vue du « monument Henry », ouverte par le journal antisémite La Libre Parole, d'Édouard Drumont, pour la veuve du colonel Henry, responsable par ses faux de la condamnation du capitaine Dreyfus.
Philippe Pétain est promu dans la période de « républicanisation de l'armée » qui suit l'affaire Dreyfus : aide de camp de Joseph Brugère, général républicain nommé gouverneur militaire de Paris par le gouvernement de défense républicaine de Pierre Waldeck-Rousseau pour réduire l'influence antidreyfusarde dans l'armée, Pétain est également un proche du général Percin, officier républicain impliqué dans l'affaire des fiches
Toutefois, le militaire Pétain s'occupe fort peu de la vie politique de l'époque, et reste très discret sur ses opinions personnelles. Au contraire de beaucoup de militaires, il ne s’engage à aucun moment, pas plus lors de l'affaire des fiches en 1904 que lors des débats sur la séparation des Églises et de l'État en 1905.
Cette image d'un militaire républicain d'aucun parti perdurera dans l'entre-deux-guerres. Il ne semble pas avoir eu d'expression antisémite avant 1938 (en 1919, il signe une pétition demandant de « venir au secours des masses juives opprimées en Europe orientale » et en 1938, une autre contre les persécutions en Allemagne).
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