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Des hussards français : C D E F

VIVAT HOUZARD

 

Répertoire patronymique

des hussards français de la Révolution et l’Empire

Par

David Jacques, Grégory Marguin & Jérôme Croyet,

Commencé en 2004, édition de février 2009.

(merci à Lionel Fontaine et Norma Alosi)

 

 

 

C

 

CAILLATON Claude. Conscrit de 1791. Il sert comme maréchal des logis au 9e régiment de Hussards.

CALADE. Il sert comme hussard à la 1ère compagnie du 8e régiment de hussards en l’an VII. Il insulte et frappe un habitant de Marseille. Il est mis en prison par ordre du colonel Marulaz, le 12 pluviôse an VII.

CALAIS. Il sert comme hussard à la 1ère compagnie du 8e régiment de hussards. Passé au 22e régiment de chasseurs à cheval, il réclame une décade de solde le 17 pluviôse an VII.

Calley François Xavier, né le 27 novembre 1795 à Grattery, Haute Saône. Elève en pharmacie. Il sert comme hussard au 6erégiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 8 mars 1814 devant Laon.

Cauton. Il est nommé sous lieutenant au 7e régiment de hussards, le 5 brumaire an II. Nommé capitaine, au choix, le 19 floréal an II.

Carangeat Martin, né à Courmelin. Il sert comme hussard à la 9e compagnie du 5e régiment de hussards. Il est réformé le 13 octobre 1809.

Carle Alexandre Théophile, né le 9 avril 1793 à Clermont, Oise. Il sert comme hussard au 6e régiment de hussards. Il est fait prisonnier de l’ennemi le 14 mars 1814 près de Provins.

Carral François. Soldat au 14e hussards de 1812 à 1815. Demeurant à Nanc lès St Amour, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

Carrel Pierre, demeurant à Port, Ain. Il sert au 7e régiment de Hussards. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 27 Avril 1815 pour les Cent jours.

Carriere Guilhaume. Il sert au 4e régiment de hussards. Demeurant à Toulouse en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

Carrod Louis, né en 1792 à Cerdon, Ain. Il sert durant 9 ans au 3e Régiment de Hussards (ancien Hussards d'Esterhazy). En 1812 le 3e Régiment de Hussards sert en Espagne. Il participe aux batailles des Arapiles le 22 Juillet et de Vitoria le 21 Juin 1813. Durant l'été 1813 le Régiment gagne la Grande Armée en Saxe et participe les 18 et 19 Octobre 1813 à la bataille de Leipzig. En Janvier 1814 le 3e Hussards franchit le Rhin et le 29 participe à la bataille de Brienne. Le 18 Février 1814 il est à Montereau. A la première Restauration, le Régiment devient le Régiment de Hussards du Dauphin. Durant les Cent jours, le régiment qui retrouve son numéro, est engagé à Belfort. La même année il est dissout par Louis 18. Louis Carrod fait la demande pour recevoir la médaille de Ste Hélène en 1857.

Carrowe. Chef de Brigade du 1er hussards. Il est tué à la bataille de Rovero le 6 septembre 1796.

Cartavin Pierre Alexis. Il sert au 3e régiment de hussard de 1813 à 1815. Demeurant à  Montmirey le Château, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

CARTAUX Michel. Brigadier au 4e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.

CAVIEUX Pierre, né en 1789 à Condat, Jura. Il sert comme hussard au 7e régiment de hussards. Il décède de fièvres le 6 décembre 1813 à l’hôpital de Hambourg.

CAZENEUVE Joseph. Il sert comme hussard au 4e régiment de hussards. Demeurant à Sauveterre, Haute Garonne, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

CERIZY Nicolas Arsène, né le 24 janvier 1790 à Fouilloy, Somme. Maréchal ferrant. Il sert comme hussard à la 9e compagnie du 2e régiment de hussards. Il est fait prisonnier de l'ennemi le 22 mars 1814 à l’affaire de Dormans.

CEZ Jean. Il sert au 4e régiment de hussards. Demeurant à Toulouse en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

CHAGNEUX Benoît, né en 1793 à Chanoz, Ain. Il sert comme hussard détaché au 6e régiment de hussards. Il décède de ses blessures le 9 avril 1813 à l’hôpital militaire d’Hanovre.

CHAGNON Marie Jean, né le 22 avril 1792 à Paris, Seine. Garçon marchand de vin. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 20 mars 1814 à l’affaire de Fismes.

CHAMBON. Il sert comme capitaine au 7e régiment de hussards. Il est tué à l’affaire de Bressuire, le 10 octobre 1793.

CHANEL Pierre. Demeurant à Viriat, Ain. Il sert au 6e Régiment de Hussards. Durant les Cent jours il est au 11e régiment de Cuirassiers.

CHANJAT Jean Marie, né le 1er ventôse an IV à Lyon. Il s’engage volontairement au 6e régiment de hussards du 2 août 1812 au 30 avril 1815. Il fait la campagne de Russie. Il combat à la Moscowa, à Dresde et à Champaubert. Il touche une pension de 250 francs. Ouvrier horloger demeurant à Neuilly sur Seine, dans les Hauts de Seine, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

CHAPON François. Il sert au 3e hussards durant la période 1814-1815. Demeurant Falletans, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène

CHAPUIS Jacques, né en 1795. Il sert de 1813 à 1820 au 9e régiment de Hussards. Il vit sans aucun secours à Gex, Ain, en 1860.

CHASSERAYE Jean-Charles. Hussard au 7e Régiment de Hussards. Il reçoit une Carabine d'Honneur.

CHATELAIN Jean François Mathieu. Il sert comme hussard au 3e hussards de 1813 à 1815. Demeurant Pougny en 1857, Jura, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

CHEMINAL. Il sert comme cavalier au 8e régiment de hussards en l’an VII. Il est mis en prison, le 12 ventôse an VII, pour avoir manqué l’appel.

CHEVALET Joseph Augustin. Il sert au 9e hussards durant 1 an et 7 mois. Demeurant Mignovillard, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

CHICANNE. Il sert comme hussard au 8e régiment de hussards en l’an VII. Mis en détention à Aix, il est traduit devant la commission militaire de Marseille le 11 pluviôse an VII.

CHRETIEN François, né le 15 février 1782 à Rohé, Sarthe. Laboureur. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 12 janvier 1814 à l’affaire d'Essertenne.

CHRISOSTOME. Il sert comme maréchal des logis au 8e hussards en l’an VII. Il est condamné à 4 jours de prison, le 6 ventôse an VII, pour avoir manqué l’instruction théorique. Il est libéré, le 8 ventôse an VII.

CHRISTOPHE. Il sert comme chef d’escadron au 8e régiment de hussards en l’an VII. Il est nommé capitaine de demi décade, le 24 pluviôse an VII.

CHRISTOPHE. Il sert comme lieutenant au 8e hussards en l’an VII. Membre du Conseil d’Administration du 8e hussards, il demande à Marulaz, le 8 pluviôse an VII, que le régiment garde les nouvelles ganses et galons, choisis par Fournier. Nommé, le 20 pluviôse an VII, pour faire parti du piquet du régiment qui doit se rendre place de la Révolution à Marseille. Il est rappelé à l’ordre par le colonel Marulaz, le 23 pluviôse an VII, pour avoir fait sortir un hussard de la salle de police. Il est nommé capitaine de police le 9 ventôse an VII par le colonel Marulaz.

CHODE Michel, né en 1774 à Condé-en-Barrois, Meuse. Il entre au service comme hussard au 5e régiment de hussards le 18 octobre 1793. Brigadier le 21 septembre 1800. Il sert à la compagnie d’élite du 5e hussards lorsqu’il est blessé à Austerlitz, le 2 décembre 1805. Il décède de sa blessure le 3 décembre 1805.

Claverie Jean Noël. Il sert au 2e hussards. Demeurant à Toulouse en Haute Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.

Clerc Joseph. Il entre au 3e hussards, lors de la levée des trois cent mille hommes. Demeurant  la Tour du Meix, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

Closset Joseph. Maréchal des Logis au 5e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.

Cochon. Il sert comme hussard à la 1ère compagnie du 8e régiment de hussards. Passé au 22e régiment de chasseurs à cheval, il réclame une décade de solde le 17 pluviôse an VII.

Colin Juste, né à Montreuil, Haute-Marne. Il sert dans la 5e compagnie du 9e régiment de hussards. Il décède le 1er février 1814 à Thionville.

Collet Michel, né à Nantua le 6 Thermidor an III, Ain. Il s'engage volontairement au 4e Régiment de Hussards en Mars 1815. Il combat durant les Cent jours. Le régiment est engagé le 16 Juin à Ligny et le 18 Juin à Watreloo. Il rentre à Nantua le 16 Juillet 1815. Marié. Demeurant à Nantua en 1859. Il fait une demande de médaille de Sainte Hélène le 9 Mars 1859.

Colletaz Joseph-Marie, demeurant à Oyonnax, Ain. Il sert au 1er régiment de Hussards. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 27 Avril 1815 pour les Cent jours.

Colliot Antoine, né le 16 juillet 1789 à Riancourt, Haute Marne. Cultivateur. Il sert comme hussard à la 5e compagnie du 10erégiment de hussards. Il est fait prisonnier de l'ennemi le 25 mars 1814 à la bataille de Fère Champenoise.

Collot Jean Symphorien, né à Dompcevrin le 4 mai 1770. Réquisitionnaire de l'An II, il arrive au 5ème  hussards le 13 janvier 1794 où le scribe note sur son registre qu'il a les cheveux noirs et une taille d'1,71 m. Sa formation terminée Collot est affecté à la 1èrecompagnie qui en 1802 deviendra la compagnie d'élite. Bien que brave il lui faudra attendre treize ans pour être décoré car ce n'est que le 1er octobre 1807 qu'il sera nommé membre de la Légion d'honneur après avoir reçu onze coups de lance à l'affaire de Freidenberg. Plus chanceux que son camarade Seguin, il se rétablit parfaitement et sa conduite à Wagram lui vaut le grade de brigadier. Le 25 février 1811, toujours dans les rangs de la compagnie d'élite, il passe maréchal des logis. En 1812 il part pour la Russie. Comme il n'est pas encore rentré en janvier 1813, un scribe sentimental note sur le registre que Collot s'est “ égaré ” et il faudra attendre le 31 octobre 1817 pour savoir qu'il est “ rentré en France ”.

Colmont Arnold, né en 1787 à Houpertingen, Meuse-Inférieure. Il sert comme hussard à la 9e compagnie du 10e régiment de hussards. Il est fait prisonnier par l'ennemi le 3 janvier 1814 à l’affaire de Neustatd.

Colommier. Il sert comme maréchal des logis au 7ème hussards en 1799.

Colson. Il sert comme hussard à la 5e compagnie du 8e régiment de hussards. Il est nommé maréchal ferrant de sa compagnie, le 30 pluviôse an XIII, et autorisé à reprendre son cheval.

Comet Jean Baptiste Louis. Il sert au 9e régiment de hussards. Demeurant à Toulouse en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

Commercy. Il sert comme hussard au 8e régiment de hussards en l’an VII. Manquant à l’appel du 6 ventôse an VII, au soir, il est mis en détention par ordre du colonel, le 7 ventôse an VII.

Constantin Claude Simon. Brigadier au 6e hussards du 15 mai 1813 au 8 novembre 1815. Demeurant Lons-le-Saunier, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

CONSTANTIN Denis, né le 13 septembre 1794 à Orchamps. Il entre au 35e régiment d'infanterie de ligne en mars 1813. Il sert comme tambour. Il fait les campagnes de 1813 et 1814 en Italie. Il passe au 3e régiment de hussards jusqu’en 1815. Il combat à Mont St Jean, le 18 juin 1815, où il est blessé deux fois. Manouvrier à Orchamps en 1857. Médaillé de Ste Hélène.

CORDE. Il sert comme hussard au 8e régiment de hussards en l’an VII. Il est mis en détention au fort Nicolas, par ordre du commandant de place de Marseille, le 10 pluviôse an VII.

CORDIER. Il sert comme hussard à la 7e compagnie du 8e régiment de hussards. 3 livres 5 sols sont retenus sur sa solde, le 10 pluviôse an VII, par ordre du colonel Marulaz, pour payer l’aubergiste Marie Anse.

COUDRET Jean. Il sert comme hussard au 4e régiment de hussards. Demeurant à Revel, Haute Garonne, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

COUR Pierre. Il sert au 10e régiment d'infanterie légère de 1813 à 1814, puis passe au 3e hussards durant les Cents jours. Demeurant Souvans, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

COURRA. Maréchal-des-logis au 6e régiment de hussards en 1799. Le 5 avril 1799, dans les environs de Vérone, il reprend de nombreux prisonniers français à l’ennemi. Il est officier au 6e hussards en 1801.

COURRA Joseph, né en 1779 à Reichsoffen. 1,74 m. Il s’engage au 6e hussards, où son frère est officier, le 1er septembre 1801. Cette aide lui vaut sans doute d'être affecté à la première compagnie devenue compagnie d'élite en 1802, hélas sa santé ne s'accommode guère des nuits passées à la belle étoile pendant la campagne d'Autriche et il est réformé le 16 juin 1806.

COURVOISIER Jean Pierre. Il sert au 8e hussards. Demeurant Salins-les-Bains, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

COUSTEL Pierre. Il sert au 4e régiment de hussards. Demeurant à Toulouse en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

CROISSAN Jean Bap­tiste, né le 28 septembre 1781 à Versailles. 1m 75. Il entre à la 5e compagnie du 1er régiment de hussards le 10 mai 1800. Il est affecté à la 1ère compagnie le 29 juillet 1805. Il est passé en revue par Napoléon, le 8 mai 1807. Au début du mois de juin 1807, il combat à Guttstadt et à Friedland. Avec la paix du 21 juin 1807, Croissan cantonne à Dirschau à 35 km de Dantzig. C’est avec la nouvelle hongroise écarlate qu’il défile devant Napoléon le 3 octobre 1808 dans la plaine d'Erfurt. Le régiment se dirige ensuite vers l'Espagne. Il est chargé d'éclairer la marche du 2ème Corps de l'armée commandé par son excellence le duc de Dalmatie. Le 8 août 1809, le 1er  hussards charge au pont de l'Arzobispo. Il entre aux chasseurs à cheval de la Garde, le 18 janvier 1812.

CROUSTAL Pierre. Il sert comme hussard au 4e régiment de hussards. Demeurant à Revel, Haute Garonne, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

CUIQUET. Il sert comme hussard à la 2e compagnie du 8e régiment de hussards. Passé au 22e régiment de chasseurs à cheval, il réclame une décade de solde le 17 pluviôse an VII.

 

D

 

DAGUERRE Etienne, né le 15 février 1789 à Bar sur Aube. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Il est fait prisonnier par l'ennemi le 23 mars 1814.

DALOZ Jean Claude. Il sert comme grenadier au 24e de ligne puis passe au 3e hussards, de 1813 à 1815 Demeurant Essia, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

Vivant Dalaut Vivant, né le 10 août 1777 à Chalon sur Saône. Fils de Joseph Dalaut, et de Marie Rollet. Le Samedi 31 août 1782, sa mère Marie Rollet meurt, âgée de 44 ans. Vivant a 5 ans. En 1792, à l’âge de 15 ans, il devient perruquier, d’abord à Chalon sur Saône. En Germinal an 4, il demande un passeport et part pour Paris où il exerce son métier. En l’an V, à l’occasion de la demande d’une carte de sûreté, on apprend qu’il exerce son métier chez le maître perruquier Bajua, passage Radziwill, près du Palais Royal, alors 2è arrondissement de Paris. Le 3 pluviôse an V, son père Joseph Dalaut meurt, âgé de 57 ans. Vivant a 19 ans. Vivant est entré au service militaire à l’âge de 23 ans dans le 7è (bis) régiment de hussards, le 13 Pluviôse an VIII. Il a fait les campagnes des ans VIII et IX. Admis dans les chasseurs à cheval de la garde impériale le 26 messidor an IX (15/07/1801). Il a fait les campagnes de l’an XII et XIII sur les côtes de l’Océan (camp de Boulogne), et celles de l’an XIV, 1806 et 1807 à la grande armée. Il est donc, comme son frère (volontaire de 1793 dans l’armée de Sambre et Meuse, puis grenadier de la convention et ensuite grenadier du 1er régiment de la garde impériale, plus tard lieutenant dans le 1er régiment de tirailleurs grenadiers, ensuite capitaine de pupille de la garde), membre de la Garde Impériale, mais dans le corps des Chasseurs à Cheval (8ème compagnie). Sa carrière s’achève à Eylau : dans le combat, il reçoit plusieurs coup de sabre, l’un sur la tête, l’autre sur le poignet. Ce dernier entraîne une amputation, ce qui provoque la fin de sa carrière militaire. L’empereur, selon la tradition familiale, le décore lui-même de la légion d’honneur sur le champ de bataille. Officiellement, il est fait chevalier de la légion d’honneur par un décret du 14 avril 1807. Il prend sa retraite de l’armée en cette année 1807. En 1808, il est « militaire pensionné », chevalier de la légion d’honneur. Il est plus tard cité comme receveur de l’octroi.

d'Andlau. Il sert comme capitaine au 7ème hussards en 1812.  Malade avant le passage du Niémen, il ne participe pas à la campagne de Russie et reste à Dantzig.

DANECKER. Il sert comme lieutenant au 8e régiment de hussards en 1799. Chargé par le colonel Marulaz, le 2 octobre 1799, de se rendre avec 12 hussards, un brigadier et un maréchal des logis chez le général de division Ménard.

d'Argout. Il sert comme chef d'escadrons au 8ème hussards en 1813.

DARME Jean-Marie, demeurant à Chavannes. Il sert au 1er régiment de hussard. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 28 Avril 1815 pour les Cent jours.

DARSEE Jean-Baptiste, né le 20 avril 1794 à Mauze, Cantal. Il sert comme hussard au 6e régiment de hussards. Il est fait prisonnier de guerre, le 27 janvier 1814 à l’affaire de St Dizier.

DARTOIS Saulge, né le 10 juin 1792 à St Saulge, Nièvre. Maréchal ferrant. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 1er février 1814 à la bataille de la Rothière.

DAUTY. Il sert comme hussard à la 7e compagnie du 8e régiment de hussards en 1799. Le 10 octobre 1799, il est envoyé en prison à Andelfingen pour s’être "mal conduit".

Decalonne. Il sert comme capitaine au 8ème hussard en 1812.

DECROSO Louis Marie, né le mardi 20 mai 1777 à Nantua. Engagé volontaire en 1795, il est élu lieutenant de gendarmerie. Las, il quitte la gendarmerie un an plus tard et s'engage comme cavalier au 10e régiment de Hussard. Il fait la campagne d'Italie, assiste aux batailles de Montenotte, Lodi, Arcole et Rivoli. Fait prisonnier, il est de retour en France et participe à la bataille de Marengo. De retour en France il suit des études de médecine de 1801 à 1804. Il s’embarque sur une corvette en direction de l’Islande. De retour en France son navire fait naufrage vers Boulogne. Rejoint la Grande Armée. Il est à Austerlitz comme aide major, puis se trouve à Iéna, Friedland, Eylau, Essling et Wagram. Il devient alors chirurgien major au 26e Régiment d'Infanterie Légère avec qui il fait la campagne de Russie et dont il sauve le colonel de l’amputation après la bataille de la Moscowa. Chirurgien Major au 4e régiment de Gardes d'honneur, il se distingue à Dresde, Leipzig et Hanau. Blessé durant la campagne de France de 1814, il est fait chevalier de la Légion d'Honneur. Reprend du service en 1818 et obtient sa retraite en 1830. Il vient en aide aux victimes du choléra à Paris en 1849. Il décède à Paris le 5 juillet 1868.

DEGRANGE Pierre-Anthelme, né en 1782, demeurant à Belley. Il est incorporé en 1807 au 2e Régiment de Hussards. Il fait les campagnes de Prusse en 1807 et ait fait prisonnier à Eylau. Libéré il fait la campagne d'Espagne et quitte son corps en 1814. Marié. Il ne bénéficie pas de pension et se trouve dans le besoin en 1857. Sans doute fait-il une demande de médaille de Ste Hélène.

DEGRENAUD Louis Antoine, né à Seyssel. Il sert à la 3e compagnie du 3e escadron du 9e régiment de hussards. Il décède de ses blessures le 26 février 1811 à Pampelune.

DE LA HARPE Frédéric Joseph Marie Victor, né en 1778 en Suisse. Fils du général. En 1795, il s'engage dans la 46ème demi brigade. Passe en prairial an IV comme  lieutenant au 1er Hussards (Juin 1796). Armée d'Italie de l'an IV à l'an IX. Se distingue à la prise de Dego, 24-25 germinal an IV (13-14 avril 1796). Blessé au bras droit le 6 germinal an VII. (26 mars 1799). Prisonnier à la Brescia le 2 Floréal an VII (21 avril 1799), libéré sur parole le 12 vendémiaire an VIII (4 octobre 1800). Retiré dans ses foyers pour cause de maladie à sa libération, il est proposé au grade de capitaine. Nommé capitaine le 16 nivôse an X au 12eme hussard (6 janvier 1801), qui devient 30ème dragon en 1803. Chevalier de la légion d'honneur, il meurt le 23 juillet 1804 des suites de ses blessures mal soignées.

De La Harpe Louis-Sigismond, né en 1780 en Suisse. Fils du général. Engagé dans la milice Vaudoise le 1er mars 1795.  Sous-Lieutenant en 1796.  Passe au service de France en 1796.  An VI, état major du général Brune. Passe comme sous lieutenant au 1er Hussards le 15 brumaire an VII (5 novembre 1798). Promu lieutenant le 27 floréal an VII (16 mai 1799) par Moreau sur le champ de bataille de la Bormida. Le 1er frimaire an IX (22novembre 1800), nommé capitaine aux gardes à cheval du général en chef de l'armée d'Italie. Retraite pour cause de santé en 1804. Il décède en 1858.

De La Harpe Philippe-Louis Emmanuel, né en 1782 en Suisse. Fils du général. Soldat au 1er Hussards en l'an VII.  Quitte le service actif en 1800 pour passer secrétaire du commissaire de guerres Boinod. Retraite en 1802. Il décède en 1842.

Delalande Claude-Anthelme, né en 1795 à Belley. Il sert comme cavalier au 4e Régiment de Hussards. Il rentre à Belley le 29 Décembre 1815.

Delacroix Pierre. Il sert comme hussard au 9e Régiment de Hussards. Il reçoit un  Fusil d'Honneur.

Delahaye Jean Alexandre, né le 8 décembre 1791 à Paris, Seine. Gazier. Il sert comme hussard à la 6e compagnie du 7e régiment de hussards. Il est fait prisonnier de l'ennemi le 17 mars 1814 près d'Auxerre.

Delavenna Aimé. Il sert comme au 3e hussards puis comme caporal au 106e de ligne, du 17 mars 1813 au 14 juillet 1815. Demeurant Saint-Claude, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène. 

Delhaye. Il sert comme adjudant major au 7ème hussard en 1812. Il est tué à Ostrowno.

Déliot Jean François. Soldat au 3e hussards de 1813 à 1815. Demeurant Our, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène. 

Della Chiesa-Ysasca. Sous-officier au 4e régiment des gardes d’honneur, nommé le 30 Octobre 1813 par Napoléon comme sous-lieutenant surnuméraire au 1er régiment de Hussards.

Demerson Pierre, né à Chaumont, Haute-Marne. Il sert dans la 5e compagnie du 6e régiment de hussards. Blessé, il décède le 30 septembre 1806 à l'hôpital d'Udine.

Dentzel. Il sert comme chef d'escadrons au 6ème hussards en 1813.

Deon. Il sert comme lieutenant au 6e hussards en 1799. Le 5 avril, dans les environs de Vérone, commandant 20 hussards, il capture 600 hongrois.

Dequoi. Il sert comme brigadier à la 6e compagnie du 8e régiment de hussards. Il se plaint, le 30 pluviôse an XIII, auprès de Marulaz pour réclamer un décompte qui lui est du depuis 6 mois. Marulaz demande une enquête et reproche à Dequoi de ne pas être venu réclamer avant.

Dermain. Il sert comme brigadier au 8e régiment de hussards en l’an VII. Il se conduit mal, alors qu’il est en détachement à l’Orgon. Mis en prison, il est maintenu en détention par ordre du colonel, le 27 pluviôse an VII, pour 4 jours de plus.

DEROGNAT Jean-Baptiste, demeurant à Villereversure, Ain. Il sert comme brigadier à la 5e compagnie du 1er escadron du 4e régiment de Hussards jusqu'en 1814. Il intègre l’armée royale dans le régiment de Monsieur. Il obtient une permission du 14 août 1814 au 22 décembre 1814. Absent de son domicile le 13 Avril 1815, il rejoint le 4e hussards à Vienne. A Orléans, où son corps est dissout, on lui prend son sabre, sa hongroise, son shako et sa ceinture écharpe.

DESCARRAUX Jérôme. Maréchal des Logis au 3e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.

DESCRIVIEUX Marie-Joseph Alphonse, né le 24 Avril 1787 à Bourg. Alors qu’il est étudiant à Paris, Marie-Joseph Alphonse s'engage volontairement le 20 Juin 1803 comme simple hussard au 9e régiment. Il passe les ans 12 et 13 à l'armée des Côtes de l'Océan à Boulogne. Il passe brigadier le 1er avril 1808 puis, dès le lendemain, maréchal des logis. Toujours à Boulogne, il est nommé adjudant le 30 avril 1809, puis suit, avec son régiment la Grande Armée pour participer à la glorieuse campagne d’Allemagne. A Rabb, il sort des cadavres du champ de bataille son ami, le brigadier François-Henri Benjamin Tondu du 9ehussard, gravement blessé. Il se bat à Austerlitz, Iéna, Friedland et Tilsit. Mais c’est le 13 mai 1809, qu’il se couvre de gloire, en chargeant, en quatrième, un bataillon autrichien dans les faubourgs de Vienne. Il fait 200 prisonniers qu’il amène victorieusement au maréchal Lannes et au général Colbert. Cette action lui vaut, le 17 juillet 1809, la Légion d'Honneur. Il n’est que sous-officier et n’a pas 25 ans. Le fait d’arme parvient aux oreilles de Napoléon, qui pense qu’il est sous-lieutenant étant donné sa bravoure et la difficulté de la manœuvre. Le 21 septembre il est nommé lieutenant. Mais, quand Napoléon apprend qu’il n’est que simple sous-officier, il annule son premier décret et le nomme sous-lieutenant, le 11 octobre 1809. Il part en Espagne en 1810 avec 3 escadrons du 9e hussards. Il se bat contre les anglais à Sobral et Albuera. Il reçoit une première blessure par balle à la tête le 24 décembre 1810 en Navarre. Le 22 mai 1811, c’est au bras gauche qu’il est blessé une deuxième fois, et le 14 juin, il reçoit un coup de baïonnette au bas ventre. Le 10 janvier 1812, les 3 escadrons deviennent 9e régiment de hussards bis. Le régiment combat à Sagunte et à Errara le 8 novembre 1812. Le 17 février 1813, le 9e bis devient 12e régiment de hussards et quitte l’Espagne pour la Saxe. Le général Puthod, de Bâgé le Châtel, demande plusieurs fois la nomination de d’Alphonse comme son aide de camp. Le 23 mars 1813, le général Puthod commandant le 2e corps d’observation de l’Elbe, demande de nouveau la nomination de Marie-Joseph Alphonse comme 1er aide de camp, mais aussi celle de son frère Gustave. Le 18 septembre, Descrivieux reçoit le grade de lieutenant. De retour en France, le 12e hussards combat à Sens, puis les 9 et 11 mars à Mâcon et Villefranche. A Lyon, Descrivieux reçoit le grade de lieutenant aide major le 27. Licencié le 12 mai 1814, le lieutenant Descrivieux est mis en demi solde à Dole le 21 août. Il n’est remis en activité avec son grade que le 31 décembre 1814, par ordre du Roi, au 6e régiment de Lanciers. Il est à Waterloo, puis, avec un escadron sous les ordres du duc d’Angoulême, descend de Toulouse à Perpignan en août 1815 pour arrêter l’invasion espagnole. En Décembre 1815, d’Escrivieux est maintenu en dehors des cadres de la nouvelle armée de Louis 18. Si ce n’est que le 14 avril 1817 qu’il obtient le grade de capitaine, l’effet est rétroactif au 27 septembre 1815. C’est sans doute grâce à l’intervention de certains de ses parents émigrés et de relations nouées dans les bivouacs impériaux, qu’il obtient l’honneur, le 20 novembre 1816, d’être nommé lieutenant aux cuirassiers de la Reine. Cette nomination et surtout, l’image que colporte alors le jeune homme, offusque le colonel de Béthune, qui, le 5 décembre 1816, écrit à la duchesse d’Angoulême en demandant le remplacement de d’Escrivieux dans son régiment, en alléguant qu’il était à Waterloo, ce qui le rend “ indigne d’avoir l’honneur d’appartenir au régiment de votre altesse royale ” et demande sa nomination aux Dragons de la Reine. Si l’éviction de d’Escrivieux  ne se fait pas et qu’il obtienne la Croix de St Louis le 25 avril 1825, il lui faut néanmoins 12 ans pour passer au grade de chef d’escadron et intégré le 2e régiment de cuirassiers de la Garde en 1828. Il est fait officier de la Légion d'Honneur le 19 juin 1830. Congédié le 11 août 1830 pour avoir été officier de la Garde Royale, d’Escrivieux obtient le support du lieutenant général Colbert et du baron de Mornay, qui intervient deux en sa faveur auprès du ministre, pour qu’il soit réintégré au 1errégiment de cuirassiers. Jeune, expérimenté, d’Escrivieux est un officier hors pair, qui outre “ beaucoup de moyen et d’instruction ” fait preuve d’une bonne moralité et “ d’une modestie rare ”. Il est finalement réintégré au 2e régiment de cuirassiers le 28 février 1831. Il passe lieutenant-colonel  au 9e cuirassiers le 25 avril 1835, puis au 5e. Méritant, c’est donc en toute logique que la monarchie constitutionnelle le nomme colonel du 13e régiment de chasseurs le 15 octobre 1840. D’Escrivieux s’applique à faire de son régiment un beau régiment. Il recrute, à la place des démissionnaires que des musiciens et des tailleurs, faisant de son régiment, “ un magnifique régiment, très bien commandé, où les “ hommes de troupes, tous parfaitement et surtout très régulièrement habillés, équipés et armés ; ayant une tenue non seulement irréprochable, mais très belle ”. Malgré tout, d’Escrivieux est une dernière fois victime de la jalousie. Ayant demandé la mise à la retraite du capitaine trésorier de son régiment, suite à un gave accident dû à l’ivresse, ce dernier, sorti “ du régiment par une mauvaise porte ” accuse d’Escrivieux d’abus d’autorité, d’infractions aux règlements et concussions. Profondément hargneux, l’ex-trésorier fait discrètement passer sa dénonciation au lieutenant général commandant le 15e division militaire et se propose d’en faire autant avec la presse, afin de faire casser d’Escrivieux de son commandement. Cette sombre affaire de jalousie semble néanmoins ébranler l’administration militaire. Malgré les rapports favorables d’un sous-intendant militaire, du maréchal de camp Diettmann et du bureau de la cavalerie de la direction du personnel du ministère de la guerre, il faut attendre le 9 mai 1845 pour que, suite à la lecture des divers documents dénonçant d’Escrivieux, le ministre le lave des accusations portées contre lui et déboute l’ancien trésorier. Toutefois, d'Escrivieux est rappelé à l’ordre et invité à faire plus attention aux règlements. Malgré cela, il est fait commandeur de la Légion d'Honneur le 9 septembre 1845. Deux ans plus tard, le 7 juin 1847, il prend sa retraite et vient habiter à Bourg,  dans sa maison 10 rue Teynière. De retour à la vie civile, d’Escrivieux continue à s’occuper de chevaux. Il décède le 3 février 1855, d’une crise d’apoplexie de retour de son manège, où il dressait un jeune cheval.

DESHAYES François, né le 3 décembre 1792 à Cherzé, Sarthe. Domestique. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Pris par l'ennemi le 15 février 1814 à l’affaire de Moret.

DESHAYES François-Joseph. Il sert comme maréchal des Logis au 9e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.

DESLANDES. Il est nommé sous lieutenant au choix au 7e régiment de hussards, le 17 nivôse an II.

DESPLACES Claude Christophe, né à Lyon. Conscrit de 1815 demeurant à Lyon. Il sert au 6e régiment de hussards lors du recrutement du Rhône, en janvier 1814.

DESSIGNET Jean-Claude, né en Novembre 1793. Demeurant à Trévoux en 1815. Il sert de 1813 à 1815 au 1er régiment de Hussards. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 29 Avril 1815, pour les Cent jours. Il est ouvrier à Trévoux en 1860.

DESTRIGNEVILLE Jean, né le 2 février 1779 à Nancy, Meurthe. Il entre au service comme hussard au 4e régiment de hussards le 14 décembre 1802. Il sert à la 3e compagnie du 3e escadron du 4e régiment de hussards lorsqu’il est blessé à la bataille d’Austerlitz, le 2 décembre 1805. Il décède de sa blessure, le 29 décembre 1805, à l'hôpital de Brünn.

DEVAUX. Il sert comme hussard au 8e régiment de hussards en l’an VII. Manquant à l’appel du 6 ventôse an VII, au soir, il est mis en détention par ordre du colonel, le 7 ventôse an VII.

DEVAUX Emmanuel. Grenadier au 6e bataillon du 106e de ligne puis hussard au 3e régiment de hussards à Belfort de 1813 à 1815. Demeurant Cousance, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène. 

DEY. Il sert comme maréchal des logis au 7e hussards en 1799. Capitaine au 7ème hussard en 1812 et en 1813 à la reprise de la campagne de Saxe. Il finit chef d'escadron.

DIDIOT Pierre. Maréchal des Logis au 1er Régiment de Hussards, reçoit un Sabre d'Honneur

DIETTE. Il sert comme hussard à la 1ère compagnie du 8e régiment de hussards en l’an VII. Il est mis 4 jours en détention par ordre du colonel, le 23 pluviôse an VII, pour s’être enivré. Il est libéré, le 8 ventôse an VII.

DOLDER J., né en Suisse. Chef d'escadron aux hussards helvétiques en 1803.  Se rend à Paris avec le chef de bataillon Jomini pour demander la réunion de la Suisse à la France.

DOMMANGET Pierre-Clément. Maréchal des Logis au 10e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.

DORBAN Jean-Joseph, né le 16 septembre 1792 à Bouillon. Fils de Marguerite Dorban. 1m 72. Visage ovale, front court, yeux bruns, nez gros, bouche moyenne, menton rond, cheveux châtains. Conscrit de 1812. Il s’enrôle volontairement le 22 mars 1812 au 5e hussards, à Stenay, matricule 2622. Il sert comme hussard à la 9e compagnie du 5e escadron du 5e hussards. Il passe au 2e Chevau-Legers-Lanciers de la Garde impériale le 19 avril1813.

DOUVRES Jean-Pierre, demeurant St Didier, Ain. Il sert au 35e régiment de Chasseurs à Cheval puis au 7e régiment de Hussards jusqu'en 1814. Absent de son domicile le 13 Avril 1815.

DRAZDIANSKY Joseph, né le 8 janvier 1778 à Sarrguemines, Moselle. Il entre au service comme hussard au 2e régiment de hussards, le 21 mars 1793. Il passe trompette au régiment. Redevenu hussards, le 21 août 1798, il passe brigadier le 21 avril 1799. Maréchal des logis le 22 mars 1805. Il sert à la 6e compagnie du 2e escadron du 2e régiment de hussards lorsqu’il est tué à la bataille d’Austerlitz, le 2 décembre 1805.

DROUILLAT Claude, né le 21 décembre 1790 à St Silvain, Creuse. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Il est pris par l'ennemi le 15 février 1814 à l’affaire de Moret.

DROUIN Joseph-Nicolas. Maréchal des Logis au 6e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.

DUBOZ Jean Charles, né en Haute Vienne. Conscrit de 1810. Il entre au 9e hussard le 28 février 1813. Il passe au 6e hussard le 6 juillet 1814. Il rentre dans ses foyers le 30 septembre 1815. Il fait les campagnes de 1813, 1814 et 1815. Il est blessé d'un coup de sabre à la main gauche, "atteint de perte du mouvement du petit doigt de la main gauche", le 26 août 1813.

DUBUISSON François, né le 31 décembre 1794 à Paris, Seine. Il sert comme hussard à la 9e compagnie du 7e régiment de hussards. Il disparaît au cours de la campagne de 1814.

DUBUISSON Pierre, né le 1er novembre 1779 à Saint-Jean, Ille et Vilaine. Il s’engage volontairement au 5e régiment de hussards, le 26 septembre 1798. Brigadier le 23 septembre 1802.Il sert à la 4e compagnie du 4e escadron du 5e hussards lorsqu’il est tué d’un coup de feu à la bataille d’Austerlitz le 2 décembre 1805.

DUC Pierre, demeurant à Bourg. Il sert au 3e régiment de Hussards lors de la réunion du Conseil d'Examen du département de l'Ain le 24 Avril 1815.

DUCARTE Claude, né le 29 mars 1795 à Lyon. Il sert au 4e régiment de hussards du 5 mai 1810 au 15 août 1814. Demeurant à Avignon en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

DUCHAMP François. Conscrit de 1815 demeurant à Eveux. Il sert au 1er régiment de hussards lors du recrutement du Rhône, le 27 janvier 1814.

DUCRET Charles, demeurant à Thoissey. Il sert au 6e régiment de Hussards. Il est absent lors du Conseil d'Examen du département de l'Ain le 29 Avril 1815, pour les Cent jours.

DUFAY François, né le 4 mai 1770 à Nancy, Meurthe. Il s’engage au régiment des hussards de Lauzun, le 18 décembre 1789. Brigadier fourrier au 5e hussards, le 28 avril 1793. Maréchal des logis le 5 janvier 1794. Adjudant sous officier le 19 février 1797. Sous lieutenant le 13 janvier 1803. Lieutenant le 21 janvier 1805. Il sert à la 3e compagnie du 3e escadron du 5e régiment de hussards lorsqu’il est blessé à Austerlitz, le 2 décembre 1805. Il décède de sa blessure le 3 décembre 1805.

DURNEY Dominique. Brigadier au 9e hussards du 28 février 1813 à 1815. Demeurant Orchamps, Jrua, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène. 

DUFRESNE Charles Albert. Il sert comme lieutenant au 7e régiment de hussards. Nommé à la compagnie de Benoît, le 28 brumaire an II.

DULAURENT Morillon, né le 5 juillet 1791 à Besin, Gironde. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi en février 1814 à la bataille de la Rothière.

DUMONT Claude, né en Novembre 1793. Il sert du 5 Novembre 1814 à 1817 au 4e régiment de hussards. Il est charpentier à Dagneu en 1860.

DUMONT Joseph, né le 8 Août 1792. Il sert du 27 Octobre 1812 au 10 Juillet 1814 au 14e régiment de hussards. Il vit dans l'indigence à Thil en 1860.

DUMONT Louis, né le 3 juillet 1794 à Moreuil, Pas de Calais. Maçon. Il sert comme hussard à la 2e compagnie du 7e régiment de hussards. Il disparaît au cours de la campagne de 1814 en Italie.

DUMOULIN Pierre. Il sert au régiment de Dragons de Belsunce du 1er mars 1762 jusqu’en 1790. Vétéran, il est admis à l’Hôtel des Invalides le 12 juillet 1790. Proposé pour une place vacante au futur 7e hussards, le 24 novembre 1792, par le colonel du 8erégiment de hussards.

DUPARC DE SALAIGNAC. Capitaine adjudant major au 8e régiment de Hussards. Proposé par Nansouty pour être capitaine au 4e régiment de gardes d’honneur le 12 Décembre 1813.

DUPLEIX Pierre Ambroise, né le 17 janvier 1791 à Brémule, Eure. Il s’engage, le 20 mai 1808, dans la compagnie des gardes du corps du roi de Westphalie Jérôme. Le 2 juin 1810, il passe au 1er  régiment de hussards de l'armée de Westphalie avec le grade de sous-lieutenant. Lieutenant le 15 novembre suivant. Blessé à la tête à la bataille de La Moskowa, son action lui vaut d'être nommé capitaine et décoré de la Légion d'honneur et de l'ordre de la couronne de Westphalie le 5 novembre 1812. En février 1813, il est affecté aux chevau-légers de la garde royale westphalienne. Le 5 octobre 1813, il est nommé capitaine au régiment de hussards Jérôme Napoléon, qu'il ne quitte que le 1er juin 1814 afin de rejoindre le régiment de hussards du roi de France : "Jeune capi­taine plein de bravoure et d'intelligence, il sera un jour un officier distingué".

DUPLESSIS Christophe Joseph, né le 19 mars 1770 à Saint Mihiel, Meuse. Il entre au service comme hussard au 5e régiment de hussards, le 15 janvier 1794. Brigadier fourrier le 15 mai 1794. Maréchal des logis chef le 21 mars 1799. Sous lieutenant le 6 mai 1800. Lieutenant le 4 juillet 1804. Il sert à la 4e compagnie du 4e escadron du 5e régiment de hussards lorsqu’il est tué d’une balle dans la tête à la bataille d’Austerlitz, le 2 décembre 1805.

DUPONT Jean Antoine, né le 24 octobre 1792 à Paris, Seine. Cocher. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 25 février 1814

DU PREL Pierre Louis Adolphe Georges, né en 1782. Il sert comme lieutenant colonel au 4e régiment de hussards de 1803 à 1815. Chevalier de la Légion d'honneur. Demeurant à Nancy, Moselle, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

Dupuy Victor. Il est nommé chef d'escadrons au 7ème hussard en septembre 1812. Chef d'état major provisoire de la division Bruyères à la fin août 1813. Il est fait prisonnier à Altenbourg le 28 septembre 1813. Captivité à Wercsez en Hongrie. Rentre en France en 1814.  Réintégré au 7ème hussards sous la 1ère restauration.  Licencier en janvier 1816. Auteur de "Souvenirs militaires 1794-1816".

DURAND Antoine, né le 24 juin 1783 à Chavannes, Ain. Cultivateur. Conscrit de l’an 12, il sert au 7e régiment de hussards lors du Conseil d’Examen.

DURAND Etienne. Il sert au 6e régiment de hussards. Demeurant à Toulouse en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

DURAND Gabriel. Il sert comme hussard au 4e régiment de hussards. Demeurant à Revel, Haute Garonne, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

DUVAUX Pierre. Soldat au 7e régiment d'infanterie de ligne puis 3e hussards de 1812 à 1814. Demeurant Villette-les-Dole, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène. 

DUVIVIER, né à Mons. Il sert au 5e régiment de hussards puis passe au 3e régiment de dragons. Il participe à la campagne d’Egypte. Sous lieutenant aux grenadiers à cheval de la Garde en 1802. Il passe lieutenant en 1804. Capitaine adjudant major aux chevau-légers polonais en 1807. Blessé à Wagram. Major en 1811. Il fait la campagne de Russie durant laquelle il est blessé. Colonel du 16e chasseurs en 1813. colonel du 3e hussards en 1814. Il passe au service hollandais et sert au 8e hussards avec Wellington à Waterloo. Lieutenant général en Belgique en 1830. Retraité en 1842.

DUYNHOREN Jacques, né le 15 septembre 1790 à Oss, Bouches du Rhin. Il sert comme hussard à la 7e compagnie du 7erégiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 14 mars 1814 à l’affaire de Berry au Bac.

 

 

E

 

ECHÈNE Bernard. Il sert au 2e régiment de hussards. Demeurant à Mailholas en Haute Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.

ERHARD Philippe. Maréchal des Logis au 8e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.

ERIGNON Anthelme, né à Lyon. Il sert au 1er régiment de hussards.

EXPERT Alexis. Il sert au 4e régiment de hussards. Demeurant à Toulouse en Haute-Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.

 

F

 

FABRE François Sébastien. Il sert au 4e régiment de hussards. Demeurant à Toulouse en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

FABRE Jean-Baptiste, né le 1er janvier 1790 à Brue, Var. Cultivateur. Il sert comme hussard au 6e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 15 janvier 1814 aux environs de Langres.

FAILLY Pierre, né à Epernay. Il sert comme hussard au 7e régiment de hussards. Il perd son poignet gauche et reçoit plusieurs autres blessures. Il reçoit un congé le 26 mars 1810.

FARGE Louis, né à Lyon. Il sert au 4e régiment de hussards.

FARONE. Maître tailleur du 8e régiment de hussards. Il reçoit l’ordre, le 29 pluviôse an XIII, de prendre les mesures de tous les hommes du régiment en une semaine, avant de retourner au dépôt.

FAURE François, né le 6 juin 1777 à Lyon. Il entre au 13e hussards le 8 thermidor an II. Il est blessé d’un coup de feu à la cuisse droite le 24 juin 1795. Il passe au 1er hussards le 1er prairial an IV. Il sert en Italie. Il fait la campagne des ans VIII et IX aux Grisons. Il est à l’armée des Côtes de Bretagne les ans XI et XII. Brigadier le 1er vendémiaire an XIII. Il sert en Allemagne de l’an XIV à 1808. Il reçoit un coup de sabre sur le poignet gauche le 19 vendémiaire an XIV. Brigadier fourrier le 1er janvier 1806. Maréchal des logis le 1er novembre 1807. Il sert en Espagne et au Portugal de 1809 à 1813. Il quitte le service le 4 janvier 1815. Chevalier de la Légion d'Honneur. Rentier demeurant 5 rue St Jean à Lyon en 1857. Médaillé de Ste Hélène.

FERDINAND Jean François, né à Joigny. Nommé sous lieutenant au 7e régiment de hussards, le 24 novembre 1792. Il est nommé remplaçant du lieutenant Laroche, le 2 nivôse an II.

FERIOL Jean Antoine, né à Lyon. Il sert comme hussard à la 4e compagnie du 7e régiment. Il reçoit une blessure dans les environs d'Ebersdorff, lors de la bataille de Wagram. Il entre à l'hôpital militaire de la ville, le 6 juillet 1809. Malgré les soins des médecins, il décède des suites de sa blessure, le 24 juillet 1809. Son avis de décès est enregistré le jour même.

FERRANT Baptiste. Il sert comme hussard au 4e régiment de hussards. Demeurant à Saint Gaudens, Haute Garonne, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.

FERRIN. Il sert comme maréchal des logis au 8e régiment de hussards en 1799. Chargé par le colonel Marulaz de prendre le commandement d’un détachement de 10 hussards, un brigadier et lui, pour se rendre sur les devant de la 4e demi-brigade dans un bois de Bulach, le 30 septembre 1799.

FIESSE Antoine. Soldat au 37e régiment d'infanterie de ligne puis 3e hussards. Demeurant Evans, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène. 

Fieytin François Ignace, né le 12 avril 1793 à Saverne, Bas Rhin. Cordonnier. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 12 mars 1814 à l’affaire de Reims.

Fischbach Jean Henry, né le 12 mai 1793 à Schellegheim, Bas Rhin. Bacquetier. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Il décède à l’affaire de Châtillon sur Seinele 20 janvier 1814.

Filliard Jacques, né à Lyon. Il sert au 9e régiment de hussards.

Filleul Célestin. Maréchal des Logis au 1er Régiment de Hussards reçoit un Mousqueton d'Honneur.

Filtz Georges, né en 1759. Il sert comme lieutenant au 4e hussards en l’an VII. « Officier des plus médiocre se livrant à l'ivresse. Du genre crapuleux auquel entraîne ce défaut ».

Finet. Il sert comme capitaine au 7ème hussard en 1812.

Fleuret. Secrétaire de bureau au 8e régiment de hussards en l’an VII. Le colonel, lui demande, le 20 pluviôse an VII, un état de situation du régiment.

Follard Jean. Il sert au 2e régiment de hussards. Demeurant 19 rue des blanchers à Toulouse en Haute-Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.

Fontaine François, né le 27 juin 1792 à Evaillé, Sarthe. Cultivateur. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 18 février 1814 à la bataille de Montereau.

Fontaine François. Il sert comme fusilier au 12e régiment des voltigeurs de la jeune garde puis au 3e hussard pendant les Cents Jours. Demeurant St Aubin, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène. 

Fontanier Albinien. Brigadier au 8e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.

Fort François, né le 24 décembre 1775 à Saint Fortunat, Ardèche. Il entre au service comme hussard au 8e régiment de hussards, le 4 janvier 1794. Brigadier le 6 novembre 1800. Maréchal des logis le 27 janvier 1802. Admis aux chasseurs à cheval de la Garde des Consuls, le 3 mai 1803. Brigadier le 22 août 1805. Il sert à la 2e compagnie du 2e escadron du régiment des chasseurs à cheval de la Garde lorsqu’il est tué à la bataille d’Austerlitz, le 2 décembre 1805.

Fortier Nicolas, né en 1776 à Noncourt, Haute-Marne. Affecté au 8e régiment de hussards en 1794. Il passe au 11e dragons en 1798. Lieutenant en second, en 1813, aux dragons de la

garde. Membre de la légion d'honneur.

Fournier Jean François Paul. Soldat au 6e hussards de 1813 à 1815. Demeurant Poligny, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène. 

Fournier Philibert, né le 9 août 1792 à Attigny, Nièvre. Manouvrier. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 26 février 1814 à l’affaire de Dolencourt.

Fournigot. Il sert comme cavalier au 8e régiment de hussards en l’an VII. Il est mis en prison, le 12 ventôse an VII, pour avoir manqué l’appel.

Foussenecker André, né le 14 août 1793 à Roth, Moselle. Tisserand. Il sert comme hussard à la compagnie d’élite du 7e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 16 février 1814 dans les environs de Nangis.

Frachet François, né le 24 janvier 1798 à Bourg, Ain. Perruquier. Il sert comme trompette au 6e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 7 mars 1814 à la bataille de Craonne.

FRAILLON Aimé, né le 5 juillet 1792 à Nevers, Nièvre. Maçon. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Pris par l'ennemi le 15 février 1814 à l’affaire de Moret.

FRANCOIS Jean, né le 3 septembre 1767 à Ranguevaux, Moselle. Il entre au service le 23 juillet 1793 au 8e régiment de hussards. Il sert à la 3e compagnie du 3e escadron du 8e régiment de hussards lorsqu’il est blessé à la bataille d’Austerlitz, le 2 décembre 1805. Il décède de ses blessures, le 11 février 1806 à l'hôpital de Brünn.

Frasseird (?) Pierre, né à Vaudrémont, Haute-Marne. Il sert comme hussard dans la 7e compagnie du 5e régiment de hussards. Il décède à Bromberg le 16 août 1807.

Fray. Il sert comme hussard à la 2e compagnie du 8e hussards. Mis en détention pour une grave faute, il est mis en liberté, le 29 pluviôse an XIII et envoyé pour deux mois faire le service démonté sur un navire.

Friez Daniel. Adjutant-Sous-Officer au 3e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.

Fritz François. Brigadier au 1er Régiment de Hussards reçoit un Mousqueton d'Honneur.

Fuchs Jean-Baptiste. Maréchal des Logis au 2e Régiment de Hussards, il reçoit un Fusil d'Honneur.

Fuvel Marie Joseph, né le 23 mars 1792 à la Guillotière. Il s’enrôle volontairement au 6e régiment de hussards en 1812.