Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
04.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Les Barbouzes est un film franco-italien réalisé par Georges Lautner, sorti en 1964.
Le film commence par la mort d'un marchand d'armes, Constantin Benard Shah, et son enterrement qui réunit, autour de sa veuve Amaranthe, un quatuor de barbouzes. Il y a son faux cousin français Francis Lagneau, son faux psychanalyste allemand Hans Müller, son faux frère de lait soviétique Boris Vassilieff et son faux confesseursuisse Eusebio Cafarelli. Tous sont là pour récupérer les secrets et l'héritage de l'industriel (des brevets sur des armes atomiques), mandatés par leurs gouvernements respectifs. Il faut aussi compter avec les dollars de l'Américain O'Brien et la présence de nombreux Chinois dans les passages secrets du château.
Fiche technique
Réalisation : Georges Lautner
Scénario : Albert Simonin et Michel Audiard
Dialogues : Michel Audiard
Assistants réalisateurs : Claude Vital, Paul Nuyttens, Tristan Fleurquin
Sociétés de production : Corona Cinematografica, S.N.E. Gaumont, Sicilia Cinematografica et Ultra Film
Directeur de production : Robert Sussfeld, Jean Mottet
Producteur délégué : Alain Poiré
Administrateur de production : Guy Azzi
Images : Maurice Fellous
Opérateur : Georges Pastier, assisté de Yves Rodallec et Roland Dantigny
Musique : Michel Magne - (éditions Hortensia)
Son : René Longuet, assisté de Pierre Davoust
Décors : Jacques d'Ovidio
Montage : Michelle David, assistée de Gina Pignier et Mireille Joly
Régisseur général : Robert Porte
Photographe de plateau : Jean-Louis Castelli
Script-girl : Annie Morel
Conseiller technique pour les bagarres : Henri Cogan
Spécialiste karaté : Yuzuru Shoji
Ensemblier : Louis Germain
Accessoiriste : Jacques Martin
Maquillage et coiffures : Micheline Chaperon
Les chapeaux de Mireille Darc sont de Jean Barthet et les bijoux de René Llonguet
Les coiffures sont créées par Carita
Tirage : Laboratoire G.T.C Joinville - Mixages : Poste Parisien Franstudio
Format : 35mm - Noir et blanc - Ratio 1,66:1
Langue : français
Genre : Comédie policière, Film d'espionnage
Durée : 109 minutes
Date de sortie : France : 10 décembre 1964
Visa de contrôle cinématographique N° 28.664
Distribution
Lino Ventura : Francis Lagneau, dit « Petit Marquis », dit « Chérubin », dit « Talon rouge », dit « Falbala », dit « Belles Manières » ; mais aussi « Requiem », dit « Bazooka », dit « La Praline », dit « Belle Châtaigne » dans certains milieuxDistribution
Francis Blanche : Boris Vassilieff, dit « Trinitrotoluène »
Bernard Blier : Eusebio Cafarelli, dit « Le Chanoine »
Charles Millot : Hans Müller, dit « Le bon Docteur »
Mireille Darc : Amaranthe Benard Shah, née Antoinette Dubois (comme le précise le colonel Lanoix)
Jess Hahn : Commodore O'Brien
André Weber : Rossini, le « fidèle Rudolph », secrétaire de Benard Shah
Noël Roquevert: Le colonel Lanoix
Françoise Giret : Mme Pauline, la tenancière de la maison close
Violette Marceau : Lucienne dite Rosalinde, l'amie d'Amaranthe
Anne-Marie Blot : Une des filles de Mme Pauline dans les bras desquels Benard Shah meurt d'une crise cardiaque
Yves Elliot
Jean-Pierre Moutier : Un employé du colonel
Michel Duplaix :
Gérard Darrieu : L'agent Fiduc
Lutz Gabor : Le colonel allemand
Raoul Saint-Yves : L'employé des wagons-lits
Philippe Castelli : Le réceptionniste de l'hôtel d'Istanbul
Robert Secq : Constantin Benard Shah
Louis Arbessier : Le colonel suisse (dont le visage n'apparaît que lors du générique)
Jacques Balutin : Un douanier (à peine reconnaissable tant son apparition à la 82e minute est plus que fugace)
Robert Dalban : L'agent conduisant le camion transportant la dépouille de Benard Shah
Hubert Deschamps : Le douanier (rôle coupé au montage)
Dominique Valensi : Une des filles de Mme Pauline
Monique Mélinand : Mme Lagneau
Michel Dacquin : Le barbouze du train
Marius Gaidon L'espion poignardé
Georges Géret : le 2e agent français dans le train
Huong Ham-Chan : Le Chinois dans le train
Pierre-Jean Vaillard : Le narrateur
Marcel Bernier : Le chauffeur du commodore O'Brien
Sorti en décembre 1964, Les Barbouzes a totalisé 2 430 611 entrées, dont 698 499 entrées à Paris, se classant à la seizième place du box-office français de l'année. Le film resta durant huit semaines dans le top 10 hebdomadaire au box-office parisien, sans toutefois occuper la première place
À propos du film
Lautner a délibérément choisi de faire une comédie parodique, volontairement outrancière et sans aucun souci de vraisemblance (ne serait-ce que pour l'utilisation de tous ces couloirs du château, débordants d'une pléthore de Chinois agressifs). La réussite de l'agent français et les références au Général (de Gaulle) lui donnent un faux-semblant cocardier.
Le film a été tourné un an après Les tontons flingueurs et il sera suivi par Ne nous fâchons pas en 1966, tous trois mettant en grande vedette Lino Ventura
.
Le film contient d'ailleurs quelques clins d'œil aux Tontons flingueurs : lorsque l'abbé Cafarelli est présenté, des photos de Raoul Volfoni dans des situations délicates (affalé dans son bureau après un coup de poing de Lino Ventura, la tête bandée à l'hôpital...) sont montrées pour illustrer les propos ; au petit déjeuner après la première nuit, Amaranthe demande : « Vous ne trouvez pas que depuis hier il se passe quand même des choses bizarres ? » Vassilieff répond : « Écoutez je me connais en bizarre et je peux dire que tout est normal... jusqu'à présent... » en référence à l'alcool bizarre du Mexicain dans la scène de la cuisine. Plus tard, dans la chambre d'Amaranthe, Francis lui dit « je connais la vie Amaranthe » en référence à « je connais la vie Monsieur Paul », toujours dans la cuisine.
Les comédiens Jacques Balutin et Hubert Deschamps ont respectivement interprété lors du tournage un douanier et un gendarme, mais la prestation du premier a été réduite comme peau de chagrin et celle du second coupée au montage.
Louis Arbessier apparaît dans le générique, mais plus dans le film. Son rôle semble avoir lui aussi été coupé.
Le film a été tourné, en partie, au château de Vigny, Val-d'Oise.
Le texte en cyrillique sur la couronne funéraire de Boris Vassilieff comporte une erreur typographique : au lieu de l'inscription tronquée « МОЕМУ ДОРОГОМУ БР(АТУ) » (à mon cher fr(ère)) on lit « МОЕМЧДОРОГОМЧ БР » (confusion de la 21e et 25e lettre de l'alphabet cyrillique).
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