Date de création : 09.04.2012
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
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Mei-Ling Lam (née le 26 janvier 1984) est la Playmate du mois de juin 2011. Elle est la première Playmate du Maine
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La CAGV (Communauté d'agglomération du Grand Verdun) est l'autorité compétente pour l'organisation et le financement des transports publics sur les 26 communes du Grand Verdun, avec des lignes classiques pour les communes de Belleville-sur-Meuse, Belleray, Bras-sur-Meuse, Charny-sur-Meuse, Haudainville, Thierville-sur-Meuse et Verdun. À travers un marché public, la gestion du réseau TiV (Transport intercommunal verdunois) est confiée à Bus Est, filiale du groupe Transdev. Depuis la rentrée 2016, il existe 5 lignes régulières, 9 lignes de bus scolaires et 1 service de transport à la demande sur réservation. Le réseau possède également une navette de centre ville et un service de location de vélos, et un circuit historique menant aux sites de mémoire de la bataille de Verdun de 1916 et aux champs de bataille.
Le réseau des transports de la Meuse, financé par le conseil départemental de la Meuse, exploite plusieurs lignes reliant Verdun aux autres grandes villes du département. Il est possible de rejoindre Montmédy en 1 h 20 (ligne 37), Bar-le-Duc et Commercy en 1 h (lignes 2 et 14) et Les Islettes en 40 min (ligne 43). Le réseau gère également le ramassage scolaire et possède un service de transport à la demande
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L'aérodrome le plus proche est celui de Verdun - Sommedieue ou Le Rozelier, situé sur la commune de Sommedieue, à 7 km au sud-est de Verdun. Il est utilisé par l'Aéroclub Robert Thiéry pour la pratique d'activités de loisirs et de tourisme (survol des champs de bataille, du lac de Madine...)
L'aéroport régional le plus proche est celui de Metz-Nancy-Lorraine situé à 80 km. Pour partir vers des destinations internationales, il faut soit se rendre à Paris dans les aéroports Roissy-Charles-de-Gaulle ou Paris-Orly, soit à l'aéroport de Luxembourg-Findel situé à 100 km au Luxembourg
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Les habitants de Verdun sont appelés les Verdunois.
En 2014, la commune comptait 18 393 habitants. La superficie de la commune étant de 31,03 km2, la densité s'élevait donc à 593 habitants par km2.
La ville forme avec les communes limitrophes de Belleville-sur-Meuse et Thierville-sur-Meuse, l'unité urbaine de Verdun, qui rassemblait 24 140 habitants en 2013. D'une surface de 53,3 km2, la densité s'élevait à 453 habitants par km.
Elle est également au cœur de l'aire urbaine de Verdun, regroupant 64 communes et 40 199 habitants en 2013. D'une surface de 762,5 km2, la densité s'élevait à 52,7 habitants par km.
La communauté d'agglomération du Grand Verdun, dont fait partie Verdun, rassemble 26 communes et 28 469 habitants en 2013. D'une surface de 300,9 km2, la densité s'élevait à 94,6 habitants par km2
En 1765, la ville comptait environ 15 000 habitants En 1793, la population de la commune n'est plus que de 9 060 habitants. En 50 ans, elle augmente de plusieurs milliers de personnes pour atteindre 15 533 habitants en 1841. Puis, la population diminue jusqu'à 10 738 verdunois en 1872, avant d'être plus que doublée en seulement une vingtaine d'années, atteignant 22 151 habitants en 1896. Le nombre d'habitants diminue ensuite jusque 12 788 en 1921, avec une perte de 9 000 personnes entre 1911 et 1921 due à la Première Guerre mondiale. La population repart à la hausse pour atteindre 19 460 habitants en 1936, mais dix ans plus tard, après la Seconde Guerre mondiale, il ne reste plus que 14 609 habitants, soit une perte de 4 851 personnes. La population se remet à progresser pour atteindre 23 621 habitants en 1975. Depuis, elle est en baisse constante
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans.
En 2016, la commune comptait 17 913 habitants en diminution de 2,07 % par rapport à 2011 (Meuse : -2,33 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
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VIVAT HOUZARD
Répertoire patronymique
des hussards français de la Révolution et l’Empire
Par
David Jacques, Grégory Marguin & Jérôme Croyet,
Commencé en 2004, édition de février 2009.
(merci à Lionel Fontaine et Norma Alosi)
S
SACRE Claude Louis, né le 30 septembre 1790 à Paris, Seine. Il sert comme hussard à la 6e compagnie du 7e régiment de hussards. Il disparaît Disparu au cours de la campagne de 1814.
SADOS Michel, né en 1770 à Montluel, Ain. Il s'engage comme grenadier au 3e bataillon de l'Ain, le 21 septembre 1791. Il passe caporal le 20 frimaire an II. Il passe au 13e régiment de hussards le 15 ventôse an II. Il est nommé brigadier et maréchal des logis le 1er floréal an II. Il est incorporé au 7e hussards bis le 1er prairial an IV. Il devient sous lieutenant à l'ancienneté le 1er brumaire an VIII. Il sert au 3e escadron du 7e hussards bis lors de la revue du 7 pluviôse an X à Nimes : "de bonnes mœurs et de la meilleure volonté, mais sans connaissances, ni espoir d'en acquérir"
Saint Laurent François, né en 1773. Il sert comme chef d’escadron au 3e régiment de hussards. Il sert durant 28 ans. Demeurant à Auzeville en Haute-Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.
Saint Martin Rodolphe. Il sert comme sous officier au 5e régiment de hussards. Demeurant à St Gaudens, Haute Garonne, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
Sainte Esteve. Sous officier au 4e gardes d'honneur, il est nommé le 30 avril 1814, sous lieutenant au 7e régiment de Hussards.
Salle François, né le 19 janvier 1792 à Savigné, Sarthe. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Pris par 1'ennemi le 15 février 1814 à l’affaire de Moret.
Saradin Thomas, né le 1er janvier 1789 à Savigny, Loir & Cher. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 10 mars 1814 à l’affaire de Clacy.
Sauterau Gabriel. Brigadier au 8e Régiment de Hussards. Il reçoit un Carabine d'Honneur.
Schaill Nicolas, né le 22 décembre 1793 à Schwelgheirn, Bas Rhin. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 20 février 1814.
Scheilinger Michel. Hussard au 5e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
Scherer Gaspard. Hussard au 1er Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
Schill Georges, né à Lixheim en février 1777. 1,88 m. Il entre au 5e hussards le 27 septembre 1798. Affecté à la 3ème compagnie (3ème escadron) du 5ème hussards et en tant que tel participe à toutes les campagnes jusqu'au 10 juillet 1807 date à laquelle il passe dans les rangs de la Garde Impériale.
Schoeny Benoît. Capitaine au 3e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.
Schmittheusler Hector, né en 1786 à Wintzenbach. 1,75 m. Il est affecté au 3ème Hussards le 28 janvier 1806. Sa formation terminée il rejoint les rangs de la 6e compagnie (2ème escadron) qu'il abandonne le 26 novembre 1810 pour passer à la 8ème (4èmeescadron) en tant que brigadier. Nommé aux chasseurs à cheval de la Garde Impériale, il quitte le régiment le 7 janvier 1812.
Schneider Louis, né le 7 mai 1792 à Niedelbronn, Bas Rhin. Fondeur. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 25 janvier 1814 à l’affaire de Si Dizier.
Schreiber Jean. Il sert au 4e escadron du 4e régiment de hussards, Saxe Hussards. Après désertion de la majorité du régiment, il passe lieutenant aux hussards de la Légion de la Moselle.
Schribaux Nicolas, né à Liffol-le-Petit, Haute-Marne. Il sert de 1795 à 1806 au 14e régiment d’infanterie puis au 2e régiment de hussards.
Schveitzer Jean-Baptiste, né en 1792 à Paris, Seine. Cocher. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 27 février 1814.
Schweneck Jean-Pierre. Brigadier au 3e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
Seguin Jean. Maréchal des Logis au 6e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.
Seguin Jean, né le 19 mars 1768 à Saint-Hilaire-les-Andresis. 1m 68. La République le réquisitionne en 1793 et l'envoie sur la frontière allemande que surveille des hussards du “ ci-devant Lauzun ”. Affecté à la 4ème compagnie (4ème escadron). Le 3 décembre 1800 à Hohenlinden, il s'empare d'un canon autrichien. Quinze jours plus tard en mission de reconnaissance avec trois de ses camarades il rétablit un pont sous le feu de l'ennemi permettant ainsi à la division RICHEPANSE de continuer sa marche sur Vienne. En récompense, le 15 septembre 1802, il reçoit un mousqueton d'honneur et est affecté à la compagnie d'élite (1er escadron). Le 24 février 1807, près du village de Freidenberg, il tombe dans une embuscade tendue par des cosaques et reçoit deux coups de lance dont un à la cuisse qui le rendra infirme. Proposé pour la réforme, il quitte son cher 5ème hussards le 8 février 1808.
SEILLARD Victor Laurent, né en 1789 à Bisset, Isère. Il sert comme hussard à la 4e compagnie du 4e escadron du 8e régiment de hussards. Il décède le 17 janvier 1814 à l'hôpital de Strasbourg.
SERRIERE Louis, né en 1788. Il entre le 8 mai 1813 au 5e régiment de voltigeurs de la Jeune Garde. Blessé, il est fait prisonnier durant la campagne de Saxe. Il sert au 1er régiment de hussards jusqu’au 25 juillet 1815. Demeurant à Saint Pôl, Moselle, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
SERTZ François Joseph, né le 23 août 1793 à Lobsann, Bas Rhin. Tisserand. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 17 février 1814 aux environs de Montereau.
SEVE Anthelme, né à Lyon. Il sert au 6e régiment de hussards.
SEVE Charles-François, né en 1796 aux Neyrolles, Ain. Il s'engage volontairement au 4e régiment de Hussards le 5 Mai 1815. Il rentre à Nantua en Août 1815.
Simon Henry, né en 1788. Il sert de 1807 à 1813 au 1er régiment de hussards. Il est blessé en Espagne. Pensionné par l’Etat et membre d’une société confraternelle. Demeurant à Saint Clément, Moselle, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
Simonet. Il sert comme capitaine au 7e régiment de hussards. Il démissionne le 17 floréal an II.
Simonez Laurent, né le 17 septembre 1783 à Cendrecourt, Haute Saône. Manouvrier. Il sert comme hussard à la 10e compagnie du 5e escadron du 6e régiment de hussards. Blessé le 9 mars 1814 à la bataille de Laon.
Sirop Jean, né le 4 septembre 1792 à Faunoy, Nièvre. Tisserand. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Pris par l'ennemi le 15 février 1814 à l’affaire de Moret.
Sival. Il sert comme cavalier au 8e régiment de hussards. Il est mis en liberté sur ordre du colonel Marulaz, le 11 ventôse an VII.
Smeets Jacques, né en 1792 à Tongres, Meuse Inférieure. Il sert comme hussard à la 6e compagnie du 7e régiment de hussards. Il disparaît lors de l'affaire de Berry au Bac le 14 mars 1814.
Sorel Balthazar François, né en 1777. Il entre au 2e corps des hussards de la Liberté le 15 octobre 1792. Brigadier au 9e régiment de hussards le 20 prairial an II. Il reçoit un violent coup de sabre au coude gauche, le 16 thermidor an IV à l’affaire de Neubourg. Maréchal des logis le 11 brumaire an V. Il reçoit un sabre d’honneur. Proposé pour la retraite le 28 ventôse an X. Chevalier de la légion d’honneur le 17 thermidor an XIII sous le n° 13 250. Retiré à Nantua en 1816. Il décède à Nantua le 3 Novembre 1820.
Souchen Joseph. Hussard au 7e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
Soudart. Il sert comme hussard au 8e régiment de hussards en l’an VII. Mis en détention à Aix, il est traduit devant la commission militaire de Marseille le 11 pluviôse an VII.
Sourey Jean-Baptiste. Hussard au 5e Régiment de Hussards. Il reçoit une Carabine d'Honneur.
Stengal. Colonel au 1er hussards. Il est blessé à la bataille de Mondovi le 21 avril 1796. il décèdede ses blessures le 28 avril.
Sterque Jean Joseph. Maréchal ferrant, il sert au 3e régiment d'artillerie. Il passe au 4e régiment hussard puis dans les gardes d'honneur. Il sert de 1810 à 1815. Demeurant à Montrond, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
Stivalet Prudent, né à Langres, Haute-Marne. Il sert de 1801 à 1806 au 6e régiment de hussards.
Stourm Henri. Hussard au 7e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
Sursach. Il sert comme officier au 7ème hussard en 1812. Blessé au début de la campagne, amputé de la jambe, il réussira à rentrer en France à l'aide d'un chariot.
Suss Jacob. Hussard au 3e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
T
Tanret Théodore, né en 1796 à Joinville, Haute-Marne. Il sert dd 25 septembre 1812 à juillet 1814 dans le 3e régiment de hussards.
Terolier, né en 1791 à Ricola, Isère. Il sert comme hussard au 8e régiment de hussards. Il décède le 8 janvier 1814 à l'hôpital de Strasbourg.
Testour Mathieu, né le 25 mars 1792 à Limoges, Haute Vienne. Il sert comme brigadier au 3e régiment de hussards. Il est tué par l’ennemi le 28 février 1814 près de Montereau.
Thain Louis. Hussard au 6e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
Therond Hector. Lieutenant au 10e régiment de hussards. Il reçoit un sabre d'honneur.
Thevenot, né à Thoissey, Ain. Hussard au 1er Régiment de Hussards, il décède le 5 Vendémiaire an 6 à l'hôpital d'Arqui.
Thibaud. Il sert comme hussard à la 7e compagnie du 8e régiment de hussards. Passé au 22e régiment de chasseurs à cheval, il réclame 9 deniers de solde d’hôpitaux le 17 pluviôse an VII.
Thiebaud Pierre, né le 15 mars 1791 à Roulans, Doubs. Cultivateur. Il sert comme hussard à la 9e compagnie du 5e escadron du 6e régiment de hussards. Mort des suites de ses blessures à l'hôpital de Troyes le 8 mars 1814.
Thomas. Il sert comme capitaine au 7ème hussard. Il est à l'état major du général Jacquinot en 1812.
Thome Joseph, demeurant à Lescheroux. Il sert au 1er régiment de Hussards. Il est absent lors de la délibération du Conseil d'Examen du département de l'Ain le 26 Avril 1815 pour les Cent jours.
Thorau Pierre Marie, né le 2 septembre 1792 à Paris, Seine. Jardinier. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 18 février 1814 à la bataille de Montereau.
Tibbaut Antoine, né le 20 mai 1791 à Maëstricht, Meuse Inférieure. Il sert comme hussard à la 2e compagnie du 2e régiment de hussards. Prisonnier de l’ennemi le 25 février 1814 à Arcis sur Aube.
Tignet Louis Victor, né en 1792 à St Perray, Ardèche. Il sert comme maréchal des logis chef au 10e régiment de hussards. Il décède au combat le 14 mars 1814 devant Reims.
Tion Jean, né en 1792 à Messimy, Ain. Il sert comme hussard dans la garde de Jérôme. Il décède à l'hôpital militaire de Givet le 19 Avril 1814 de marasmes. Sa famille n’apprend son décès qu’en août 1816.
Tivet, département de la Loire. Il a servit comme sous-officier dans les hussards. Maréchal des Logis au 4e gardes d'honneur, Il est proposé, par St Sulpice, pour être sous-officier dans les 3e, 4e ou 5e escadrons du régiment.
Tolet Joseph, né le 16 mars 1789 à Paris, Seine. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 12 mars 1814.
Tondu François Henri Benjamin, né le mardi 21 mars 1786 à Saint-Jean sur Veyle. Engagé volontaire au 9e régiment de hussards en 1804. Fait la campagne de 1807 en Pologne. Brigadier. Lors de la bataille d’Eylau, il se retrouve au milieu des lignes russes, il écope d’une balle au bras gauche qui le renverse de son cheval. Tombé de cheval, il est fait prisonnier et emmené en Russie puis en Laponie. De retour en France, il combat à Ebesberg, Essling, Wagram et Raab, où un éclat d’obus lui casse une cuisse. Blessé d’un coup de feu et d’un coup de sabre à la main, il est laissé pour mort sur le champ de bataille. C’est son ami, le lieutenant Descrivieux de son régiment, qui le reconnaît et le fait transporter à l’ambulance, où il est amputé. Rentré amputé d’une jambe en 1810, installé comme notaire à Pont-de-Veyle, adjoint en 1821, puis maire de cette localité de 1836 à 1849. Conseiller de l’arrondissement de Bourg nommé en 1832. Chevalier de la Légion d'Honneur en 1840. Il est mort à Pont-de-Veyle le 13 novembre 1872.
TORTEL. Il sert comme maréchal des logis de la 4e compagnie du 8e régiment de hussards en l’an VII. Interpellé par son colonel sur sa mauvaise conduite, il raisonne avec lui. Il est mis en état d’arrestation le 11 pluviôse an VII, pour 4 jours par le colonel Marulaz.
TOURNIER Claude François. Il entre au 5e hussard le 21 mars 1809. Il passe au 20e chasseur à cheval le 1er septembre 1811. Demeurant à Salins-les-Bains, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
TOURNIER François. Il sert au 2e régiment de hussards. Demeurant à Toulouse en Haute Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.
TOUSSAINT, Maréchal vétérinaire en 1er au 1er régiment de hussards, il est nommé vétérinaire en premier au 4e régiment de gardes d’honneur le 13 Novembre 1813 à la place de Leroy.
TOUSTAIN. Il sert comme cavalier au 8e hussards. Il est libéré, le 8 ventôse an VII.
TREMON Etienne. Il sert au 9e régiment de hussards. Demeurant à Toulouse en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
TREVES Abraham, né le 4 Juillet 1788. Demeurant à Nice. Un des ses frères est officier dans l'Armée d'Espagne. Son père était un des premiers propriétaires de Nice avant la Révolution. Il s'inscrit pour servir volontairement au 4e régiment de gardes d’honneur. Il est équipé et monté aux frais du département. Il quitte Nice pour Lyon le 22 Mai 1813. Sous-officier au 4e régiment des gardes d’honneur, nommé le 30 Octobre 1813 par Napoléon comme sous-lieutenant surnuméraire au 8e régiment de Hussards.
TROY Julien. Il sert comme hussard. Demeurant à Auterive, Haute Garonne, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
TURPINOT. Il sert comme hussard à la 3e compagnie du 8e régiment de hussards en 1799. Il décède le 1110 octobre 1799.
V
VACHERET Jean Baptiste. Il sert au 19e régiment de chasseurs à cheval puis au 9e hussards durant la période 1813-1815. Demeurant Falletans, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
VALIN Antoine, né en 1790 à Poncin, Ain. Demeurant à Passin. Fils de Joseph Valin et de Claudine Mollet. Conscrit de 1809, il est incorporé le 7 Juin 1812 au 6e Régiment de Hussards avec le matricule 1900. Il sert comme hussard à la 10e compagnie du 5e escadron du 6e régiment de Hussards. Le Régiment est à la bataille de la Moskowa le 7 Septembre 1812 puis aux combats de Krasnoïé du 16 au 19 Novembre 1812. En 1813, le Régiment est à la Grande Armée et combat à Mockern (5 Avril), Lutzën (2 Mai), Bautzen (21 Mai), Reichenbach (22 Mai). Antoine Valin est présumé présent aux escadrons de guerre à Vesoul le 20 Juillet 1813. Sans doute participe-t-il alors aux combats de Dresde (26 et 27 Août) et Leipzig (18 et 19 Octobre). Il décède à l'hôpital de Mayence le 29 Octobre 1813 de fièvres.
VANDEPOELE Louis Grégoire, né le 18 novembre 1783 à Gand. Il entre comme conscrit au 6e régiment de hussards, le 7 février 1803. Il combat à Austerlitz, Iéna, Friedland, Wagram et durant la campagne de Russie. Prisonnier le 15 août 1812 à Krasnoïé. Il reste 3 ans en captivité. Chef d’escadron au 6e hussards en 1815. Chevalier de la Légion d'honneur en 1840. Il termine sa carrière comme Général-Major honoraire de l'armée belge. Il décède le 15 août 1856 à Gand.
Vanheker. Il sert comme capitaine au 8ème hussards en 1813.
VARELIAUD Jean-Baptiste, né à Uzerches le 10 mai 1771. Il s’engage au régiment de Bourbon Infanterie le 15 février 1789. Il passe aux Hussards de la Liberté. IL est nommé maréchal des logis le 20 septembre 1794. Sous-lieutenant. Il reçoit un sabre d’honneur : « sa vie militaire n’est qu’une longue série d’actions d’éclats » dit de lui le 1er Consul.
VATARD. Il sert comme capitaine au 8e régiment de hussards. Le 30 pluviôse an XIII, le général Marulaz lui demande d’examiner les livres de compte de l’an XII pour savoir si le brigadier Dequoi a reçu sa solde.
VAXELAIRE Nicolas, né le 20 Vendémiaire An V à Chavelot. Il s’engage volontairement au 6e hussards. Il fait la campagne de Belgique où il est blessé. Médaillé de Sainte-Hélène.
VEBER Christophe, né le 1er janvier 1785 à Boulay, Moselle. Chapelier. Il sert comme hussard au 6e régiment de hussards. Il disparaît durant la campagne de 1814. Sa disparition est confirmé par la justice en juillet 1862.
VENIERE Philibert, né le 15 Mars 1788 à Nantua, Ain. Il entre en 1811 au 102e Régiment d'Infanterie de Ligne. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 27 Avril 1815 pour les Cent jours. Il incorpore le 3e régiment de Hussards en Mars 1815. Il revient à Nantua en Août 1815. Il réclame une pension comme soutien de famille.
Vidaud François. Conscrit de 1815 demeurant à Lyon. Il sert au 9e régiment de hussards lors du recrutement du Rhône, en janvier 1814.
Vigel. Il sert comme hussard au 8e régiment de hussards en l’an VII. Il est mis en détention au fort Nicolas, par ordre du commandant de place de Marseille, le 10 pluviôse an VII.
Vigneron. Il sert comme hussard à la 7e compagnie du 8e régiment de hussards. 1 livre 15 sols sont retenus sur sa solde, le 10 pluviôse an Vii, par ordre du colonel Marulaz, pour payer l’aubergiste Marie Anse.
Villeneuve François. Il sert au 2e régiment de hussards. Demeurant à Montberaud en Haute Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.
Villette Victor de, demeurant à Jasseron, Ain. Fils d'Etienne Joseph de Villette, seigneur de Chavagnat. Il est incorporé au 1errégiment de Hussards en l’an 13. Thomas Riboud intercède en sa faveur auprès du Conseiller d’Etat Directeur Général des Revues et de la Conscription Militaire, pour qu’il soit remplacé. Mis dans une compagnie d’instruction, il est remplacé en 1811.
Villiers. Il sert comme sous lieutenant au 8e hussards en l’an VII. Il est envoyé, le 13 pluviôse an VII, en poste à Toulon, à la place du lieutenant Bourceau.
Vinci, département du Pô. Il est désigné par le ministre de la Guerre pour être maréchal des logis à la 16e compagnie. Sous-officier au 4e régiment des gardes d’honneur, nommé le 30 Octobre 1813 par Napoléon comme sous-lieutenant surnuméraire au 7e Régiment de Hussards.
Vital. Il sert comme officier au 8e hussards en 1796. Commandant l’avant-poste de Lingenfeld. Il signe un procès-verbal délivré au citoyen Garnerin, le 13 prairial an IV.
Viviant Jean, né à Osne-le-Val, Haute-Marne. Il entre au service en mars 13 et sert jusqu'en 1814 au 6e régiment de hussards.
Voirin Jean, né à Rizaucourt, Haute-Marne. Il sert comme hussard de 1813 à 1815.
Voyant Denis, né le 1er janvier 1791 à la Guillotière. Il s’enrôle au 9e régiment de hussards le 6 juin 1811.
Vuillemin Nicolas. Il sert au 9e puis au 6e hussards. Demeurant à Crançot, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
W
Wagner Antoine. Maréchal des Logis au 5e Régiment de Hussards. Il reçoit une Carabine d'Honneur.
Walter Louis, né le 27 juillet 1790 à Rosheim, Bas Rhin. Journalier. Il sert comme hussard à la 9e compagnie du 7e régiment de hussards. Il disparaît le 18 mars 1814 près d’Autun.
Wery. Il sert comme capitaine au 7e régiment de hussards. Il passe chef d’escadron le 19 floréal an II.
Wentzinger Simon, né le 21 avril 1789. Il sert comme hussard au 6e régiment de hussards de 1811 à 1815.
Wirig Pierre. Il sert au 4e escadron du 4e régiment de hussards, Saxe Hussards. Après désertion de la majorité du régiment, il passe sous-lieutenant aux hussards de la Légion de la Moselle.
Wolf. Il sert comme brigadier au 7ème hussard en 1812. Il sauve la vie du chef d'escadron Dupuy à l'affaire de Winkowo.
Wolff Mathias, né en 1748. Il sert comme chef d'escadron au 4e régiment de hussards en l’an VII. « De bonnes moeurs. Actif et assez instruit des détail militaires mais…de ceux administratifs ».
YEGRE. Il sert comme hussard au 8e régiment de hussards en l’an VII. Mis en détention, il en libéré par le lieutenant Christophe sans l’aval du colonel Marulaz, le 23 pluviôse an VII.
Z
ZEPFTE. Il sert comme hussard à la 4e compagnie du 8e régiment de hussards. Passé au 22e régiment de chasseurs à cheval, il réclame une décade de solde le 17 pluviôse an VII.
ZIMMERMANN Joseph. Hussard au 7e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
VIVAT HOUZARD
Répertoire patronymique
des hussards français de la Révolution et l’Empire
Par
David Jacques, Grégory Marguin & Jérôme Croyet,
Commencé en 2004, édition de février 2009.
(merci à Lionel Fontaine et Norma Alosi)
M
Madoux François. Il sert au 3e hussards. Demeurant à Evans, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Saint Hélène.
Madras Gaspard, né à Savignieux. Il sert au 24e régiment de chasseurs à cheval puis au 2e régiment de hussards. Il est jugé le 26 octobre 1808 pour désertion à l'intérieur et condamné à 1500 francs d'amende et 5 ans de travaux publics. Il est excepté de servir comme marié par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 29 Avril 1815 pour les Cent jours.
Magenthies Jean Germain. Il sert comme fourrier au 4ème régiment de hussards. Demeurant à St Lys, Haute Garonne, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
Magnant Sylvain, né le 2 février 1781 à Argent-sur-Sauldre. 1m 72. Maçon à Argent sur Sauldre. Conscrit de 1811, il est affecté à la compagnie de réserve du département du Cher le 27 avri11812. Il entre, le 9 mars 1813, à la 4e compagnie du 16e dragons. Il combat en Saxe pendant que le reste du régiment continue la lutte en Espagne. Légèrement blessé, Magnant passe sa convalescence au dépôt de cavalerie de Leipzig lorsque le 12 août 1813 il souscrit un engagement aux hussards de la garde du roi de Westphalie. Il participe à la campagne de France et est versé dans les rangs du régiment de lanciers d'Angoulême le 12 août 1814.
Magnin Claude Marie. Maréchal des logis au 1er régiment d'artillerie à cheval puis au 5e hussards de 1813 à 1822. Demeurant à Orgelet, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Saint Hélène.
Maguy. Nommé sous lieutenant au choix, le 1er frimaire an II, au 7e hussards en remplacement de Laruelle. Son élection est contestée et il est remplacé par le chef du corps du Bois de Bay.
Maigrot Jacques, né à Neuilly-l’Evêque, Haute-Marne. Il sert de février 1811 à 1815 au 10e hussards puis 2e régiment de hussards.
Mahler Georges, né le 2 juillet 1775 à Griesbach, Bas Rhin. Il s’engage au 1er hussards, le 31 octobre 1799. Sa haute taille, sa belle prestance, font qu'il est affecté d'emblée à la 1ère compagnie qui deviendra la compagnie d'élite le 6 avril 1802. Son régiment, commandé par le chef de brigade Picard, fait partie de l'armée de réserve et participe à Marengo. La paix signée, Mahler rentre en France, mais bientôt la guerre recommence et notre hussard se retrouve au camp de Montreuil au milieu d'une formidable armée qui se prépare à envahir l'Angleterre. Mais, le 24 août 1805, la Grande Armée est constituée et se rend vers l'Autriche. Le 1erhussards fait partie de la brigade du général Dupres chargée d'éclairer la marche du 6ème corps d'armée sous les ordres du maréchal Ney. Se ce sera Elchingen, Ulm puis Innsbruck où Mahler apprendra la victoire d'Austerlitz et la signature de la paix. Septembre 1806, la guerre étant de nouveau imminente, Mahler rejoint Bamberg avec son régiment qui, le 8 octobre, a l'honneur d'escorter l'Empereur remplaçant ainsi les Chasseurs de la Garde qui n'ont pas eu le temps de rejoindre et ce sera l'immortelle campagne de Prusse sous les ordres des généraux Milhaud puis Savary. Le 1er hussards fait partie de la cavalerie légère de la réserve de cavalerie que commande le maréchal Murat. Mahler, après Iéna, poursuit les Prussiens vaincus au cris de" Rossbach, Rossbach! ". Mais là s'arrête sa carrière au 1er hussards car à la fin du mois de novembre, convoqué chez son colonel, celui-ci lui apprend sa nomination, le 19 novembre 1806, dans la cavalerie de la Garde.
MALHER Georges Gaspard, né le 21 octobre 1793 à Wissembourg, Bas Rhin. Serrurier. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 24 février 1814 dans l'Aube.
MALLET. Il sert comme maréchal des logis au 8e hussards en l’an VII. Il commande le piquet de 15 hussards formé pour la parade du 10 ventôse an VII.
MANACH Pierre, né à Plouigneau le 24 février 1788. Cultivateur. 1m 65. Conscrit de 1808, il se présente au dépôt du 4e régiment de hussards à Malines le 17 août 1807. Son instruction terminée, il est affecté à la 3ème compagnie. En 1811, toujours simple hussard, il passe à la 6ème compagnie qu'il quitte le 14 février 1814 du fait de son affectation dans la Garde Impériale.
MANTELET. Il sert comme maréchal des logis à la 4e compagnie du 8e hussards en l’an VII. Mis en prison, il en est sorti, le 18 pluviôse an VII, pour être conduit à l'hôpital.
MALBOIS Jean Pierre. Il sert comme lieutenant au 5e régiment de hussards. Demeurant à L'Isle en Dodon, Haute Garonne, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
Marchal Joseph, né le 28 novembre 1792 à Bainville, Meurthe. Domestique Il sert comme brigadier au 2e régiment de hussards. Il meurt au combat, le 15 janvier 1814 dans les environs de Nancy.
Marchal Pierre, né à Noyers, Haute-Marne. Il entre au service le 15 février 1813 au 10e régiment de hussards puis passe dans les hussards du roi de Westphalie.
Maréchal. Il sert comme chef d'escadron au 8ème hussard en 1809. Il est tué à Essling.
Maret Jean, né le 25 novembre 1791 à Valière, Creuse. Maçon. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Il est fait prisonnier de l'ennemi le 17 en février 1814 aux environs de Montereau.
Marie Jean Bernard. Il sert au 4e régiment de hussards. Demeurant à Toulouse en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
Marisy Frédéric-Christophe Vagnair. Il sert au 4e escadron du 4e régiment de hussards, Saxe Hussards. Après désertion de la majorité du régiment, il passe capitaine aux hussards de la Légion de la Moselle.
Marot Gabriel, né le 6 mai 1790 à St Léonard, Loir & Cher. Laboureur. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Pris par l'ennemi le 15 février 1814 à l’affaire de Moret.
Martin Joseph. Il sert au 1er régiment de hussards. Demeurant à Toulouse Haute Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.
Martin Joseph. Soldat au 5e régiment de la jeune garde, au 8e chasseur à cheval, aux hussards du Jura puis dans la gendarmerie de 1813 à 1821. Demeurant à Vincent, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Saint Hélène.
Martin Laurent, demeurant à Saint-Jérôme, Ain. Il sert au 14e régiment de Hussards. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 27 Avril 1815 pour les Cent jours.
Martin Pierre, né le 29 Juin 1793. Il sert durant 10 ans comme hussard. Il est journalier à Montanay, Ain, en 1860.
Martine Félix Thomas. Il sert au 15e régiment d'infanterie légère, au 3e hussards puis au 1er régiment de lanciers de la garde de 1806 à 1815. Demeurant à Jeurre, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Saint Hélène.
Martinet. Il sert comme soldat au 8e régiment de hussards en l’an VII. Il se bat avec un hussard du régiment, le 1er ventôse an VII, à la sortie de l'hôpital. Il est blessé. Dès le 2, le colonel du régiment le met en prison durant 15 jours.
MARTY Gabriel, né le 23 novembre 1793 à Euchan, Aude. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Il est fait prisonnier par l'ennemi le 23 mars 1814 à l’affaire de la Ferté sous Jouaffe.
MATHIEU. Il sert comme hussard à la 2e compagnie du 8e régiment de hussards. Mis en détention, il est libéré, le 14 pluviôse an VII.
MASSARD Jean Louis. Conscrit de 1815 demeurant à Lyon. Il sert au 9e régiment de hussards lors du recrutement du Rhône, en janvier 1814.
MASSIN Abraham, né en 1764 à Stockholm. Sous lieutenant au 7e hussards, le 24 novembre 1792. Nommé lieutenant par arrêté du représentant du peuple Garnier le 30 novembre 1793. Nommé remplaçant du capitaine Lanoé, le 1er pluviôse an II.
MASSIP Jean Baptiste. Il sert au 4e régiment de hussards. Demeurant à Toulouse en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
MATHIEU. Il sert comme cavalier au 8e régiment de hussards en l’an VII. Il est mis en liberté sur ordre du colonel Marulaz, le 11 ventôse an VII.
MATHIS. Il sert comme chef d'escadron au 7ème Hussards en 1806.
MAURY Nicolas, né en 1791. Il sert comme hussard au 5e régiment de hussards de 1810 à 1815. LAMBOUR Antoine, né en 1778. Il sert au 1er régiment de hussards. Demeurant sans secours ni pension à Pont à Mousson, Moselle, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
MAYER Philippe. Il sert comme trompette au 5e régiment de hussards. Il est réformé par le général Lacoste le 10 octobre 1810 par suite de douleurs à l'épaule droite consécutive à une clavicule brisée lors d'une charge à Austerlitz.
MEIGNEIN. Il sert comme hussard au 8e régiment de hussards. Il est démonté, par ordre du général Marulaz, le 30 pluviôse an XIII, car il n’a pas eu une conduite assez satisfaisante.
MELLINGER Jean. Trompette au 2e Régiment de Hussards. Récipiendaire d’une Trompette d'Honneur.
MENEVAUT Jacques, né le 28 juillet 1790 à Brasey, Côte d'Or. Il sert comme hussard à la 12e compagnie du 5e escadron du 10erégiment de hussards. Il est fait prisonnier de l'ennemi le 1er mars 1814 à l’affaire de Lisy.
MERCIER. Il sert comme hussard à la 7e compagnie du 8e régiment de hussards. 1 livre est retenue sur sa solde, le 10 pluviôse an Vii, par ordre du colonel Marulaz, pour payer l’aubergiste Marie Anse.
MERCIER Liévin, Jean-Baptiste, né le 21 septembre 1793 à Arras, Pas de Calais Pas de Calais. Il sert comme hussard à la 9ecompagnie du 5e escadron du 6e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 16 janvier 1814 à Gray.
MERLIN Antoine-François-Eugène, né en 1778. Il est fils du Procureur Général de la Cour de Cassation. Il commence sa carrière comme sous-lieutenant au 7ième Régiment de Chasseurs à Cheval en 1793. Il passe colonel du 1er Régiment d'Hussards en 1810. Il est nommé colonel en second du 4ième Régiment de garde d’honneur par le décret du 15 Décembre 1815 instituant ce grade.
MERLIN Christophe, né en 1772. Il sert comme chef de brigade au 4e hussards en l’an VII. « Bonnes mœurs, sert avec zèle et fermeté, une activité et une intelligence qui mûrira par l'expérience de l'age paraissent devoir le rendre un bon officier supérieur »[1].
MERLOT Charles Louis, né le 22 mats 1792 à Donzy, Nièvre. Menuisier. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 8 mars 1814 à l’affaire de Soissons.
MERMET. Il sert comme chef d’escadron au 7e régiment de hussards. Nommé général de brigade le 25 nivôse an II.
Metivier Jean, né le 28 mars 1792 à Rouloir, Sarthe. Tisserand. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Pris par l'ennemi le 15 février 1814 à l’affaire de Moret.
Metz Georges, né en 1768. Il sert comme sous-lieutenant au 4e hussards en l’an VII. « Très brave mais ivrogne à l'excès. Sans mœurs ni éducation »[2].
Meuziau Claude est né le 18 février 1771 à Buxy, Saône-et-Loire. Il entre comme soldat au 11e régiment de chasseurs à cheval, le 9 novembre 1790. Sous-lieutenant, le 18 février 1795. Aide de camp du général Trelliard, le 12 décembre 1799. Lieutenant au 4edragons, le 29 mars 1800. Nommé capitaine sur le champ de bataille de Neukirchen, le 26 novembre 1800. Passé au 11e chasseurs, le 13 mars 1802. Chef d'escadron, le 10 juin 1809. Colonel du 5e hussards, le 21 septembre 1809. Major des chasseurs à cheval de la Garde, 14 mai 1813. Général de brigade, le 4 décembre 1813, en conservant ses fonctions dans la Garde. Passé à la 1ère division des chasseurs à cheval de France, le 1er septembre 1814. Employé au 5e corps d'armée, le 6 avril 1815. En non-activité, le 1erseptembre 1815. Inspecteur de cavalerie, le 25 juillet 1816. Commande le dépôt de remonte de Strasbourg du 3 mars 1819 au 16 mai 1820. Retraité en 1825. Décédé le 16 septembre 1834. Grand officier de la Légion d'honneur. Baron de l'Empire. Il avait reçu deux blessures de guerre.
Meyer André, né le 1er avril 1789 à Kaltenhausen, Bas Rhin. Journalier. Il sert comme hussard à la compagnie d’élite du 7erégiment de hussards. Il disparaît au cours de la campagne de 1814.
Meyer Augustin. Adjutant-Sous-Officier au 9e Régiment de Hussards. Il reçoit un Carabine d'Honneur.
Michel Joseph. Hussard au 1er Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
Michelin Joseph, né à Villiers-sur-Suize, Haute-Marne. Il sert du 10 avril 1802 à 1816 au 3e régiment de hussards.
Miclos Jean Baptiste. Il sert au 2e régiment de hussards. Demeurant à Rieux en Haute Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.
Millet. Sous officier au 4e gardes d'honneur, il est nommé le 30 avril 1814, sous lieutenant au 9e régiment de Hussards.
Millet Jean, né le 21 juillet 1792 à St Andelin, Nièvre. Vigneron. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 27 février 1814 à l’affaire de Vermonvilliers.
Millot Etienne. Brigadier au 7e Régiment bis de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.
Mizeret Michel, né le 19 avril 1794 à Lyon. Il sert au 14e régiment de hussards de 1812 au 18 juin 1815. Il fait les campagnes de 1813 et 1814 en Italie puis sert en 1815 en Belgique. Cordonnier demeurant dans le 1er arrondissement à Lyon en 1857. Il reçoit la médaille de Ste Hélène.
Moignot Victor, né en 1790 à Paris. Il sert comme cavalier à la compagnie d’élite du 3ème hussards. Il décède le 10 février 1814.
Moiret Renaud, demeurant à Belley. Il sert au 9e régiment de hussards. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 1er mai 1815.
Moissel, né à Rouen, Seine Inférieure. Il sert comme maréchal des logis au 7e régiment de hussards. Il est nommé remplaçant du sous lieutenant Portel, le 2 pluviôse an II.
MOLLARD Michel, né vers 1789 à Arbent. Il sert au 12e régiment de Hussards. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 27 Avril 1815 pour les Cent jours. Il sert comme soldat au 93e Régiment d'Infanterie de Ligne. Il sert durant 7 ans. Il fait une demande de médaille de Sainte Hélène le 13 Septembre 1857.
Moncey. Il sert comme chef d'escadron au 6ème hussards en 1813.
MONIN Christophe, demeurant à Bourg-St-Christophe, Ain. Il sert au 14e régiment de hussards. Il est excepté comme marié par le conseil d’examen du département de l’Ain le 28 Avril 1815 pour les Cent jours.
MONNIER Louis-François Victor, né le 9 juillet 1776 à Bourg, Ain. Entre au service en 1793 aux Hussards des Ardennes. Sous-lieutenant le 1er janvier 1793. Il passe au 23e régiment de Chasseurs à Cheval. Son cheval est tué sous lui à l’affaire de Wisbaden le 22 avril 1797. Capitaine le 2 septembre 1800. Aide de camp du lieutenant général Lapoype avec qui il fait l’Italie en 1801-1802 puis St Domingue en 1803. Capturé par les Anglais lors de l’attaque de Verdière le 24 brumaire an XII. Libéré sur parole, il dut promettre de ne plus se battre pour rentrer en France le 9 juillet 1804. Considéré comme démissionnaire le 9 décembre 1805. Il ne réintègre l’armée qu’au retour des Bourbons en 1815. Admis dans la Gendarmerie de l’Isère puis de l’Ain le 24 janvier 1824. Chevalier de St Louis le 18 septembre 1816. Chevalier de la Légion d'Honneur le 25 avril 1821.
MONNAT. Il sert comme armurier au 8e régiment de hussards en l’an VII. Chargé de réparer les carabines cassées ou en mauvais état, le 11 ventôse an VII.
MONNOT. Il sert comme hussard à la 2e compagnie du 8e hussards. Mis en détention pour une grave faute, il est mis en liberté, le 29 pluviôse an XIII et envoyé pour deux mois faire le service démonté sur un navire, où il est mis à fond de cale. Il est démonté, par ordre du général Marulaz, le 30 pluviôse an XIII, car il n’a pas eu une conduite assez satisfaisante.
MONTE Pierre. Brigadier au 4e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
Moreau Joseph, né le 14 prairial an III. Fils de Claude Valentin et de Marie-Anne Rouget, demeurant à Chavannes, Ain. Il s'engage volontairement pour le 6e régiment de Hussards le 9 Août 1811 qui est à Vesoul.
Moreau Nicolas. Maréchal de Logis au 11e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.
Morellet Benoît, né le 5 avril 1784 à Treffort, Ain. Il sert au 3e régiment de hussards, lors du Conseil d’Examen de la classe an 13, puis comme lieutenant dans les Grenadiers à Cheval de la Garde Impériale. Chevalier de la Légion d'Honneur. Blessé deux fois gravement, il obtient un congé de retraite et une pension de 600 francs du gouvernement en 1815. Domicilié à Bourg. Il demande à être employé dans les douanes. Appuyé par le préfet de l'Ain, il obtient un emploi de sous lieutenant dans les douanes de Belley le 30 mars 1818. Nommé maire de Torcieu le 1er mars 1826, remplacé en avril 1830.
Morin Jean. Il sert comme hussards. Demeurant 7 rue Armand Bernard à Toulouse en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
Morisot François Alexandre, né le 25 mars 1792 à Paris, Seine . Il sert comme trompette au 10e régiment de hussards. Il est fait prisonnier par l'ennemi le 19 février 1814 près de Villers-Cotterêts.
Mossand Jean-Baptiste. Il sert au 1er régiment de hussards. Demeurant à Toulouse Haute Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.
Mouchou Lazare, né le 9 juillet 1790 à Gevray, Côte d'Or. Marchand de vin. Il sert comme hussard à la 6e compagnie du 10erégiment de hussards. Il décède au combat le 6 février 1814 à l’affaire de Troyes.
Mouillet Nicolas, né en 1790 à Coublanc, Haute-Marne. Il sert du 11 février 1812 au 11 avril 1815 au 10e régiment de hussards.
Muck. Il sert comme hussard au 8e hussards. Chassé de l'hôpital pour mauvaise conduite, il est mis en détention. Il est mis en liberté, le 29 pluviôse an XIII et envoyé pour deux mois faire le service démonté sur un navire et mis à fond de cale, sans être habillé aux couleurs du régiment.
Mugnerot Jean, né en 1789 à Châteauvillain, Haute-Marne. Affecté au 6e régiment de hussards en 1812. Il est fait prisonnier au passage de la Bérézina et reste en détention durant deux ans. Rentré en France fin 1814, il sert au 6e hussards en Belgique en1815. Médaillé de Sainte-Hélène.
Müller. Il sert comme brigadier au 7ème hussards en 1799. Il est tué à la bataille de Zurich le 26 septembre 1799.
Muller Jean-Echard. Il sert au 4e escadron du 4e régiment de hussards, Saxe Hussards. Après désertion de la majorité du régiment, il passe capitaine aux hussards de la Légion de la Moselle.
Muller Nicolas. Maréchal des Logis au 2e Régiment de Hussards. Il reçoit un sabre d'honneur.
Muriau Jean François. Conscrit de 1815 demeurant à Lyon. Il sert au 6e régiment de hussards lors du recrutement du Rhône, en janvier 1814.
Muse. Il sert comme brigadier au 8e hussards. Membre du Conseil d’Administration du 8e hussards, il demande à Marulaz, le 8 pluviôse an VII, que le régiment garde les nouvelles ganses et galons, choisis par Fournier.
N
NEUROTH François joseph, né en 1751. Il sert comme sous lieutenant au 4e hussards en l’an VII. « Homme vicieux et nul sous tout les rapports ».
NICOD Jean-Claude, né le 11 Mai 1790 à Montfleur. Il sert de 1811 à 1815 au 6e Régiment de Hussards puis au 1er Régiment de Hussards. Il fait les campagnes de 1812 en Autriche puis de 1813 et 1814 en Italie. Il est journalier à Bourg en 1857, infirme et sans fortune. Il reçoit la médaille de Ste Hélène.
NICOLLET Antoine, né à Nantua, Ain. Il sert comme sergent au 42e Régiment d'Infanterie de Ligne. Il s'engage volontairement en 1815 au 4e régiment de Hussards. Son shako (unique effet régimentaire qu'il possède) lui est pris par les Autrichiens. Il rentre à Nantua en Juillet 1815.
NISSEN Michel. Il sert comme lieutenant au 7e régiment de hussards. Il est nommé en remplacement du lieutenant Dufresne, le 28 brumaire an II. Nommé à la compagnie le Blanc, le 12 pluviôse an II Nommé capitaine à l’ancienneté le 17 floréal an II.
NISSIAT Benoît, demeurant à Pont d'Ain, Ain. Il sert comme hussard au 1er Régiment de Hussards. Il bénéficie d'une permission d'un mois qui expire le 21 Thermidor an VIII.
NOE Pierre, né à Mogneneins, Ain. Il sert comme cavalier à la 7e compagnie du 3e escadron du 6e régiment de Hussards. Il décède de fièvres, le 14 août 1813 à l’hôpital de Munster.
NUSS Georges, né le 30 septembre 1793 à Wissembourg, Bas Rhin. Journalier. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Pris par l'ennemi le 15 février 1814 à l’affaire de Moret.
O
Ollivier. Il sert comme maréchal des logis au 8e régiment de hussards en 1799. Chargé par le colonel Marulaz de faire le compte rendu des hommes et des chevaux présents au dépôt de Gantzingen, le 24 septembre 1799.
Onachten Patrice-Richard. Capitaine au 6e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.
Oriot Claude, né en 1773 à Colombey-les-deux-Eglises, Haute-Marne. Il s’engage au 10e régiment de hussards en 1796. Maréchal des logis en 1801. Sous-lieutenant en 1803. Il passe au 9e régiment de cuirassiers, comme lieutenant, en 1809.
Ozanam Jean Antoine, né le 19 juillet 1773 à Chalamont (Ain). Préposé à prendre le poste de receveur de l'enregistrement à Pont-d'Ain. Il s'engage au 8e bataillon de l'Ain, à Châtillon sur Chalaronne, en octobre 1793. En novembre, il rejoint le 1er régiment de hussards, cantonné à Brou, à Bourg. D'abord simple cavalier, il obtient le grade de maréchal-des-logis. Au printemps 1794, le 1er hussards quitte Lyon pour renforcer l'armée d'Italie basée dans la région de Nice. Dès l'été 1794, son régiment franchit les Alpes. Le 9 août 1794, les hussards affrontent les Piémontais alliés aux troupes autrichiennes. Mais les Français se replient devant l'ennemi. Ozanam franchit à nouveau les Alpes. Le 1er hussards reste dans le sud de la France jusqu'au 29 février 1796. Promu sous-lieutenant, Ozanam s'apprête à prendre part avec son régiment à la campagne d'Italie. Le 3 avril 1796, le 1er hussards est cantonné à Albenga, quartier général de l'armée d'Italie. Ozanam participe aux combats dès le 11 avril. Le 29 mai 1796 il est fait prisonnier à Della Cattolica. Le 4 septembre, il est légèrement blessé à Roveredo. Du 14 au17 novembre, à Arcole, Ozanam est témoin de la tentative de passage du pont par le général Bonaparte. Le 15 mars 1797, lors du passage du Tagliamento, Ozanam s'empare d'un étendard ennemi qu'il présente à Bonaparte. En novembre 1798, Ozanam est détaché pour prendre part à la campagne de Rome. Il combat contre les troupes autrichiennes placées sous le commandement du général Mack. Le 19 juin 1799, le sous-lieutenant Ozanam est engagé dans un combat mené par le général Macdonald contre les Russes. Ozanam se retrouve face à la cavalerie cosaque sur la rivière de la Tebbia. Les Français se replient sur Plaisance, laissant derrière eux 3 000 blessés. Du 13 au 15 août 1799, lors de la bataille de Novi, Ozanam prend part à plusieurs charges. Cette bataille, qui est une défaite française, voit aussi la mort du général en chef Joubert. En octobre 1799, Ozanam est envoyé à Paris afin d'obtenir du Ministre de la guerre, des chevaux et des habillements. C'est au cours de cette mission qu'il se décide de quitter l'armée. Il récupère les chevaux demandés qu'il fait expédier en Italie, en mars 1800, puis quitte définitivement l'armée. Le 22 avril 1800, il épouse Marie Nantas, née le 15 juillet 1781, fille de Mathieu Nantas et de Marthe-Etiennette Richard. Ozanam exerce de multiples professions après son départ de l'armée. D'abord à Lyon, au sein de la maison de commerce Dantoine, puis, après son mariage, avec son beau-père, Mathieu Nantas, marchand de soie de Lyon. En 1801, il se fixe à Paris et travaille chez Haradener Frères, mais la guerre avec l'Angleterre provoque la faillite de l'entreprise des frères Haradener. En 1803, Ozanam se retrouve sans travail. En 1807, il tente sa chance en Italie. Il laisse femme et ses enfants à Lyon. Mais en Italie, Ozanam n'arrive pas à se fixer. Il mène une vie de voyageur de commerce dans un pays en guerre, où la présence militaire anglaise et autrichienne, où le rejet des Français, ne pouvaient guère l'aider à réaliser ses objectifs professionnels. Marie, l'épouse d'Ozanam quitte Lyon et s'installe à Milan, à la fin mai 1809. Elle est accompagnée de ses deux enfants Élisabeth, 8 ans et Alphonse, 5 ans. Ozanam les rejoint le 12 juillet 1809. Grâce à une maîtrise excellente de l'italien, Ozanam fait des travaux de traduction, enseigne les mathématiques. Petit à petit il monte un petit pensionnat et une école d'externes, nouvelle entreprise qui fut couronnée de succès. A la fin de l'année 1809, Marc-Antoine Petit, chirurgien renommé de Lyon et demi-frère de Marie Ozanam, se trouve à Milan. Il rencontre Jean-Antoine et lui suggère d'étudier la médecine. Jean-Antoine reprent une vie d'étudiant et décroche en une année le titre de Docteur en médecine, le 27 décembre 1810. Il exerça à Milan à l'hospice Sainte-Catherine, à l'Hôtel-Dieu et à l'hôpital militaire. A Milan en 1813, le travail ne manque pas pour le Docteur Ozanam : blessés de guerre, typhus etc. En 1815 les Autrichiens reprennent possession de la Lombardie. La famille Ozanam préfère regagner la France. Ils quittent donc Milan le 31 octobre 1816 et s'installent à Lyon où Marie Ozanam avait sa famille. Le docteur Ozanam devra attendre Janvier 1818 pour pouvoir exercer en hôpital, à l'Hôtel-Dieu, qu'il quittera le 31 décembre 1834.
P
PAGEOT Joseph, né le 19 Mars 1793. Il sert de 1813 à 1823 comme voltigeur dans la Garde Impériale puis au 6e régiment de Hussards. Il vit avec 360 francs de pension à Châtillon sur Chalaronne, Ain, en 1860.
PAGNIER Charles Clément. Il sert comme brigadier au 9e puis au 6e hussards jusqu’au 2 mai 1815. Demeurant
Montmorot, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
PAIN Félix, né en 1791 à Solaize, Isère. Il sert comme hussards à la 8e compagnie du 8e régiment de hussards. Il décède le 28 novembre 1813 à l'hôpital de Strasbourg.
PALLET Martin Richard. Demeurant à Vaise. Conscrit de 1815. Il sert au 1er hussards, lors du recrutement du Rhône, en janvier 1814.
PARIOT Benoît. Il sert comme hussard au 14e régiment de hussards. Disparu, il est déclaré comme mort par le tribunal un tribunal de l'Ain en 1818.
Paris Jean-Baptiste, né le 9 septembre 1789 à St Trivier, Ain. Cultivateur. Il sert comme brigadier à la 10e compagnie du 5eescadron du 6e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 25 mars 1814 à la bataille de Fère Champenoîse.
Parot Claude Joseph. Il sert comme hussard au 3e régiment de hussards. Demeurant St Germain les Arlay, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
Passy. Lieutenant au 8e régiment de Hussards. Proposé par Nansouty pour être lieutenant au 4e régiment de gardes d’honneur le 12 Décembre 1813.
Pastour Jean Baptiste Victor, né à Entraigues le 15 août 1770. Il est lieutenant aux hussards de la Liberté le 2 septembre 1792. Il est fait capitaine provisoire le 18 mars 1794. Il fait les campagnes de du Rhin, de l’Ouest et des Pyrénées Orientales aux 11e et 7ebis de hussards. Il est nommé aide de camp du général Chabran le 15 septembre 1800. Il se distingue lors de la prise du fort de Bard le 12 prairial an 8. Il est nommé juge militaire à la cour spéciale du Vaucluse du 12 juin 1811 au 1er août 1814. Mis en demi-solde sous la 1er Restauration, il obtient une pension en 1818.
Pavie Michel-Antoine. Hussard au 3e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
Pechinet Nicolas, né à Coublanc, Haute-Marne. Il sert de mars 1813 à mai 1815 au 10e régiment de hussards.
Pelissier François, né à Nantua le 8 Floréal an III. Il entre le 2 Mai 1815 au 3e régiment de Chasseurs à Cheval puis passe au 4erégiment de hussards. Il ne touche pas d'effets militaires. Il rentre à Nantua le 2 juillet 1815. Il est marié. Il est retiré à Nantua en 1816.
Pelisson François, né en 1789 à Crest, Isère. Il sert à la 10e compagnie du 5e escadron du 8e régiment de hussards. Il décède à l'hôpital de Strasbourg le 9 novembre 1813.
PELLIGRI. Il sert comme hussard à la 8e compagnie du 8e hussards en l’an VII. Absent lors de l’appel du soir du 5e ventôse an VII, il est mis aux arrêts par son colonel, le lendemain, et conduit au fort Nicolas.
PENAY Anthelme, demeurant à Ceyzérieux, Ain. Il sert au 4e régiment de hussards. Il est réformé par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 1er mai 1815 pour défaut de taille.
PENAY Jean, demeurant à Ceyzérieux, Ain. Il sert au 4e régiment de hussards. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 1er mai 1815.
PENABAYRE Antoine. Maréchal des Logis au 12e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.
PERCHERON Nicolas. Hussard au 10e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
PERNET Benoît, demeurant à St André de Corcy. Il sert au 3e régiment de Hussards. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 29 Avril 1815, pour les Cent jours.
Perrault Jacques. Hussard au 5e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
Perrin Antoine, né en 1789 à Villard de Lans en Isère. Il sert dans la 10e compagnie du 5e escadron du 8e régiment de hussards. Il décède à l'hôpital de Strasbourg le 9 novembre 1813.
Perrin Gabriel, né à Liffol-le-Petit, Haute-Marne. Il sert de 1805 à 1811 au 1er régiment de hussards puis au 122e régiment d'infanterie de ligne.
Perrin Jean-Baptiste, né le 9 avril 1792 à Melisey, Haute Saône. Cultivateur. Il sert comme hussard à la 9e compagnie du 5eescadron du 6e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 25 mars 1814 à la bataille de Fère Champenoise.
Perrin Pierre-Henry, né à Melay, Haute-Marne. Il entre au service le 29 juin 1809 au 6e régiment de hussards.
Perrochet Michel, né le 14 Mai 1793. Il sert durant 3 ans au 1er régiment de Hussards. Il vit peu aisément à Trévoux en 1860.
Petit. Il sert comme hussard au 8e régiment de hussards en 1799. Il est remplacé dans sa compagnie par le hussard Léger, par ordre du colonel, le 12 octobre 1799.
Petit Philippe. Maréchal des Logis au 7e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.
Peyrieu François, demeurant à Ceyzérieux, Ain. Il sert au 4e régiment de hussards. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 1er mai 1815.
Philippe Jean Georges, né en juin 1793 à Saur Union, Bas Rhin. Tisserand. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Il est pris par l'ennemi le 15 février 1814 à l’affaire de Motet.
Picard François, né le 21 mars 1790 à Sermoyer, Ain. Domestique. Il sert comme hussard à la 10e compagnie du 5e escadron du 6e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 14 mars 1814 près de Provins. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 26 Avril 1815 pour les Cent jours.
Picolien Antoine, né en 1791 à Arandas, Ain. Il sert comme hussard dans les Hussards de la garde du Roi Jérôme. Il décède de marasme le 18 Décembre 1813 à l'hôpital militaire de Gand.
Picquet Aimé-Frédéric, né le 4 Pluviôse an 5. Il s'engage comme volontaire lors des Cents jours où il rejoint le 4e Régiment de Hussards le 1er Mai 1815. Le régiment combat le 16 Juin à Ligny et le 18 à Waterloo. Il rentre à Nantua, Ain, en Juillet 1815. Il fait une demande pour recevoir la médaille de Ste Hélène le 23 Juin 1858. Demeurant à Nantua en 1858.
Pierrard Rémy Joseph, né le 17 janvier 1794 à Montigny sur Sambre, Jemmapes. Il sert comme hussard à la 6e compagnie du 7erégiment de hussards. Il est fait prisonnier par l'ennemi le 25 mars 1814 à la bataille de la Fère-Champenoise.
Pierret Jean-Claude, né en 1781 à Eurville, en Haute-Marne. Il sert jusqu’en 1815 comme maréchal-des-logis au 3e régiment de hussards.
Pierron Jean-Marguerite-Joseph. Sous-Lieutenant au 11e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.
Pingeon Claude Simon, demeurant à Bourg, Ain. Fils de Marie-Denise Collombet. Il sert aux Hussards des Ardennes en l'an 4.
PINOT. Lieutenant au 8e régiment de Hussards. Proposé par Nansouty pour être lieutenant en premier au 4e régiment de gardes d’honneur le 12 Décembre 1813.
PIQUAND Jean-François, né le 11 Août 1788. Il sert du 16 Mai 1809 au 10 Septembre 1815 au 6ème Régiment de Hussards. Indigent, il vit à Saint-Didier-sur-Chalaronne, Ain, en 1860.
PIQUEPÉ Jean. Il sert au 2e régiment de hussards. Demeurant à Toulouse en Haute Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.
PITAT. Il sert comme lieutenant au 8e hussards en l’an VII. Le 7 pluviôse an VII, il reçoit l’ordre de se rendre à Toulon faire un recensement des effets et postes du régiment. Membre du Conseil d’Administration du 8e hussards, il demande à Marulaz, le 8 pluviôse an VII, que le régiment garde les nouvelles ganses et galons, choisis par Fournier. Nommé officier de service à l'hôpital et à la prison de Marseille, le 14 pluviôse an VII. Nommé, le 20 pluviôse an VII, pour faire parti du piquet du régiment qui doit se rendre place de la Révolution à Marseille.
PITOIS. Il sert comme hussard au 8e hussards en l’an VII. Emprisonné, il est libéré par ordre du colonel, le 4 ventôse an VII et sommé de se présenté devant son colonel le lendemain.
PLUMELIN. Trompette au 4e Régiment de Hussards. Il reçoit une Trompette d'Honneur.
POCHET Etienne, demeurant à Ceyzérieux, Ain. Il sert au 9e Régiment de Hussards et obtient un congé de réforme le 9 Ventôse an 8.
POINLENET Jean Baptiste, né en 1775 à Suippes, Marne. Il sert comme hussard au 5e régiment de hussards. Il obtient un congé de retraite le 27 prairial an VIII à Pontamousson.
POLLOCE Antoine. Demeurant à Villefranche sur Saône. Il s’engage au 1er hussards durant les Cents Jours à l’armée des Alpes. Il est licencié à Montluçon en octobre 1815.
PONCET Jean-Michel, demeurant à Dompierre, Ain. Il sert au 4e régiment de Hussards. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 29 Avril 1815, pour les Cent jours.
PONCET Philippe. Hussard au 1er Régiment de Hussards reçoit un Mousqueton d'Honneur.
Poncet René. Il sert comme vétérinaire dans un régiment de hussards. Bonapartiste. Retiré à Ambérieu, il est accusé de tenir des propos séditieux. Il est mis en état d’arrestation par le préfet de l’Ain, le 2 janvier 1816.
PONSONNET Jean. Maréchal des Logis au 12e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
POPULUS Nicolas Marie, demeurant à Bourg (Ain). Fils de Claudine Gautheron. Il sert au 11e Régiment de Hussards en l'an 4.
PORTEL Marc Barthélemy, né à Paris. Il est nommé sous lieutenant au 7e régiment de hussards, le 14 mars 1792. Il est remplacé le 2 pluviôse an II.
PORTES Jean Raymond. Il sert au 9e régiment de hussards. Demeurant à Toulouse en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
POZAC Joseph-Simon. Maréchal des Logis au 12e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.
PREVOST. Hussard au 6e régiment de hussards en 1799. Le 5 avril, dans les environs de Vérone, 20 hussards, il reprend de nombreux prisonniers français à l’ennemi.
PREVOST Jean Baptiste. Il sert comme hussard à la 2e compagnie du 10e régiment de hussards. Il fait la campagne de 1805 et 1806. Alors qu’il est chargé de remettre une dépêche, le 22 mars 1806, il chute de cheval et se fracasse la main gauche. Gangrené, on doit lui couper le poignet gauche. Il reçoit un certificat de bons services le 30 avril 1806 à Gekelhausen.
PROBER. Il sert comme capitaine au 8e régiment de hussard en l’an VII. Il est chargé de passer la revue de propreté le 9 ventôse an VII.
PROMAIN Vincent Gervais, né le 14 juin 1791 à Pierrefitte, Seine. Vigneron. Il sert comme hussard au 6e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 8 mars 1814 devant Laon.
PROST Pierre, demeurant à Villars, Ain. Il sert au 5e régiment de Hussards. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 29 Avril 1815 pour les Cent jours.
PUTHOD Nicolas, demeurant à Bourg, Ain. Il sert au 1er régiment de Hussards. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 24 Avril 1815 pour les Cent jours.
Q
Quantin Jean-Baptiste, né le 3 mars 1792. Il sert au 2e régiment de hussards. Il fait la retraite d’Espagne à la bataille de Toulouse. Il combat sur le Rhin jusqu’au blocus de Belfort. Il obtient son congé de réforme à Lyon. Cultivateur demeurant à Létra, Rhône. Titulaire de la médaille de Sainte-Hélène.
Quemper Efflam, né le 5 octobre 1792. Il entre au 1er hussards en 1813 et y sert jusqu’en 1815. Il sert dans la Gendarmerie jusqu’à sa retraite. Demeurant à Pontrieux, Cotes d'Armor. Titulaire de la médaille de Sainte-Hélène.
Querruel François Victor, é le 7 septembre 1787 à Mexilciboulle, Calvados. Il sert comme maréchal des logis au 7e régiment de hussards. Disparu au cours de la campagne de 1814.
Queval Pierre Nicolas, né en 1778. Il sert comme brigadier au 8e hussards de l’an VII à 1815. Indigent demeurant à Angerville, Seine Maritime. Titulaire de la médaille de Sainte-Hélène n° 146 883.
Quevillon Antoine, né en 1790. Il sert comme brigadier dans les hussards du 12 juin 1809 au 31 juillet 1814. Il a deux doigts de blessés à la main droite par un coup de sabre en Espagne en 1812. Il est blessé d'un coup de lance dans l'épaule gauche et d’une balle en Italie. Demeurant à Heugleville sur Scie, Seine Maritime. Titulaire de la médaille de Sainte-Hélène n°147 395.
Quevreux. Il sert comme hussard à la 1ère compagnie du 8e régiment de hussards en l’an VII. Il est maintenu en détention par ordre du colonel, le 23 pluviôse an VII.
Quignard Edme, né le 28 juin 1791. Il sert comme cavalier au 10ème hussards du 14 mars 1813 au 22 septembre 1815. Demeurant à Saint Nabord, Aube. Titulaire de la médaille de Sainte-Hélène.
Quillon Jean-François, né le 22 septembre 1793 à Bisol. Il entre dans le 3e régiment des voltigeurs de la Garde le 25 décembre 1813. Il passe au 4e hussards jusqu’en 1815. Il fait la campagne de France de 1814. Rentier demeurant à Lyon. Titulaire de la médaille de Sainte-Hélène.
Quinson François, né en 1793. Il sert comme capitaine au 1er hussards de 1813 à 1846. Il fait la campagne d’Italie puis de France. Chevalier de la Légion d’Honneur. Demeurant à Toul, Meurthe et Moselle. Titulaire de la médaille de Sainte-Hélène.
Quisard Joseph François, né en 1786. Il sert comme chef d'escadron au 5e hussards, au 8e hussards puis aux chasseurs à cheval de la garde de 1806 à 1814. Demeurant à Pont a Mousson, Meurthe et Moselle. Titulaire de la médaille de Sainte-Hélène.
R
RAFFI Jean Pierre. Il sert comme hussard au 4e régiment de hussards. Demeurant dans l’arrondissement de Toulouse en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
RAUDET Claude-Pierre, né en 1791 à Bourg, Ain. Il sert comme hussard à la 9e compagnie du 7e régiment de Hussards. Il décède le 11 Août 1813 à l'hôpital sédentaire de Liège de la gale.
RATIER Jean-François. Brigadier au 9e Régiment de Hussards. Il reçoit une Carabine d'Honneur.
RAVIN Jean. Hussard au 7e Régiment de Hussards. Il reçoit un Mousqueton d'Honneur.
RAZATE Pierre. Il sert au 2e régiment de hussards. Demeurant à Cintegabelle en Haute Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.
REFUIER. Nommé sous lieutenant au choix au 7e régiment de hussards le 2 nivôse an II.
REICH François, né le 8 mars 1792 dans la Meuse. Manouvrier. Il sert comme hussard à la 8e compagnie du 10e régiment de hussards. Il est fait prisonnier par l’ennemi le 6 janvier 1814 à l’affaire de Bliescastel.
REINHARTZ Jean-Frédéric-Augustin, né à Marsal-près-Vic, Meurthe, le 13 avril 1773. Il est sans profession lorsqu’il entre aux Hussards de Conflans, le 5 septembre 1787. Passe sous-lieutenant au 4e escadron du 4e hussards, le 1er mai 1792. Après désertion de la majorité du régiment, il passe sous-lieutenant aux hussards de la Légion de la Moselle au moment de sa formation.
REISMANN Joseph. Maréchal des Logis au 2e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d' Honneur.
Reizet. Il sert comme chef d'escadrons au 8ème hussards en 1813.
RENARD Claude. Il s’engage au 1er hussards durant les Cents Jours à l’armée des Alpes. Il est licencié à Montluçon en octobre 1815.
RENAUD Claude Nicolas, né le 2 août 1784 à St Trivier de Courtes, Ain. Il sert au 1er régiment de hussards lors du Conseil d’Examen de la classe an XIII.
REY François, demeurant à Bourg, Ain. Il sert au 6e régiment de hussards. Il est exempté de service par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 24 Avril 1815 comme marié.
REY Pierre, né à Sarnet. Il sert comme hussard à la 1ère compagnie du 2 escadron du 14e régiment de Hussards. Il décède le 9 janvier 1814 à l'hôpital d'Altinburg de fièvre.
REYDELLET Claude Antoine, né en 1780, demeurant à Bourg, Ain. Conscrit de l'an 8, il sert au 9e Régiment de Hussards en Pluviôse an 8 où il s'est engagé comme hussard.
RIBARD François-Joseph. Il sert au 4e escadron du 4e régiment de hussards, Saxe Hussards. Après désertion de la majorité du régiment, il passe capitaine aux hussards de la Légion de la Moselle. Il est détaché comme adjoint aux adjudants Généraux.
RIBAUTTE Pierre. Il sert au 2e régiment de hussards. Demeurant à Cazères en Haute Garonne en 1857. Médaillé de Ste Hélène.
RICHARD François-Michel, né à Nantua, Ain, le 25 janvier 1780. Il entre comme volontaire au 6e régiment de Hussards en l'an II. Il rentre à Nantua avec le grade de brigadier. Il excepté par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 27 Avril 1815 pour les Cents jours. Marié il réclame une pension pour ancienneté de service.
RICHARD Jean François, né à Lyon. Il sert au 9e régiment de hussards.
RICHERT Antoine, né le 9 janvier 1793 à Saverne, Bas Rhin. Maréchal ferrant. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Prisonnier de l'ennemi le 17 février 1814 aux environs de Montereau.
RICHERT Jean Georges, né le 29 janvier 1793 à Oberdorff, Bas Rhin. Laboureur. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Pris par l'ennemi le 15 février 1814 à l’affaire de Moret.
RICHET Gabriel, né à Hauteville, Ain. Hussard à la Compagnie Le Conte du 10e Régiment de Hussards. Le 10e Hussard est formé à partir du corps des Hussards de la Mort, créé en Février 1793. Le 10e Hussard est créé par décret du 4 Juin 1793. Le régiment combat les vendéens de 1793 à 1796. Gabriel Richet entre à l'hôpital de l'Humanité de Rennes le 3 Nivôse an 4. Il y décède le 23 Pluviôse an 4 de fièvres.
RICHET Jean, né le 11 mai 1791 à Bruges, Gironde. Il sert comme hussard au 2e régiment de hussards. Pris par l'ennemi le 15 février 1814 à l’affaire de Moret.
RIDOUX René Jacques, né le 4 février 1792 à Cherreau, Sarthe. Domestique . Il sert comme hussard. Prisonnier de l’ennemi le 10 février 1814 à l’affaire du bois de Baye.
RIGOTARD Pierre, né le 9 février 1792 à Lyon. Il sert au 7e régiment de hussards du 28 octobre 1809 au 7 juin 1815. Brigadier le 1er janvier 1814. Durant ses campagnes, de 1812 à 1814, il reçoit plusieurs blessures par coups de feu dans la partie inférieure des jambes. Demeurant place des Repentirs dans le 3e arrondissement à Lyon en 1857. Médaillé de Ste Hélène.
RILL. Il sert comme hussard à la 5e compagnie du 8e hussards. Il est nommé à la compagnie d’élite, le 25 pluviôse an XIII.
RISER Joseph, né en 1789. Il sert comme hussard au 7e régiment de hussards. Il fait la campagne de Russie et de France. Retiré à Gondrexon, Moselle, sous la Restauration.
Robard Pierre. Maréchal des Logis au 9e Régiment de Hussards. Il reçoit un Sabre d'Honneur.
Robert. Il sert comme capitaine au 8e hussards en l’an VII. Le colonel lui demande de faire défiler le piquet du régiment, sur le place de la Révolution de Marseille, le 20 pluviôse an VII. Le 26 pluviôse an VII, il reçoit l’ordre d’inspecter les effets de casernement des hussards pour le lendemain à 8 heures.
Robert Prosper. Nommé sous lieutenant au 7e régiment de hussards le 12 floréal an II.
Robin Claude Joseph, né à Martignat, Ain. Il sert comme cavalier au 8e régiment de hussards. Déserteur. Il est condamné à 1500 francs d’amende le 26 floréal an XII.
Roch. Il sert comme chef d'escadrons au 7ème hussard en 1812 et 1815.
ROCH Jacques. Il sert au 4e escadron du 4e régiment de hussards, Saxe Hussards. Après désertion de la majorité du régiment, il passe sous-lieutenant aux hussards de la Légion de la Moselle.
Rocher Jean, né le 9 juillet 1788. Il entre dans les Mameloucks de la Garde, en 1807 puis passe au 2e hussards où il reste jusqu’au 25 octobre 1815. Demeurant à Genté, Charente, il reçoit la médaille de Sainte-Hélène.
ROCHETEAU Jean, né en 1787 à St Georges, Vendée. Il sert comme hussard à la 7e compagnie du 7e régiment de hussards. Il est fait prisonnier de l'ennemi au cours de la campagne de 1814.
ROGNON Etienne, fils de Marie-Joseph Delmar de Bourg, Ain. Il sert comme hussard au 5e régiment de Hussards en l'an IV.
ROHR Jean. Hussard au 7e Régiment de Hussards. Il reçoit un Fusil d'Honneur.
ROMAIN Claude, demeurant à Ambérieu, Ain. Il sert au 9e Régiment d'Infanterie de Ligne. Absent lors du Conseil d'Examen du département de l'Ain le 30 Avril 1815 pour les Cent jours, le maire prévient le préfet qu’il s’est engagé au 4e régiment de hussards. Il est désigné capable de servir par le Conseil d'Examen du département de l'Ain le 3 mai 1815.
Romboz Simon. Il sert comme hussard dans la 2e compagnie d’un régiment durant 5 ans. Demeurant Saugeot, Jura, en 1857, il reçoit la médaille de Ste Hélène.
Rondeur Louis Charles, né dans le canton de Poissons, Haute Marne. Il sert comme hussard dans la 2e compagnie du 1er régiment de hussards. Il décède à Lyon, le 4 novembre 1813.
Rongier Claude Philippe, né le 21 Juin 1791 à St Etienne du Bois, Ain. Fils d'un marchand et de la fille Gromier de Coligny. Il est baptisé le jour même à St Etienne du Bois. Son parrain est le frère de sa mère, le prêtre Gromier, curé de Villemotier. Il sert de 1813 à 1814 comme brigadier au 7e régiment de Chasseurs à Cheval puis dans la Garde de Jérôme, roi de Westphalie qui devient 13e régiment de hussards pour finir au 1er Régiment de Hussards. Il fait les campagnes de 1813 en Westphalie et de 1814 en France. Il vit sans fortune comme armurier à Bourg en 1857. Il reçoit la médaille de Ste Hélène. Il décède à Bourg le 13 Juin 1863.
Roos Jean-Joseph. Il sert au 4e escadron du 4e régiment de hussards, Saxe Hussards. Après désertion de la majorité du régiment, il passe lieutenant aux hussards de la Légion de la Moselle.
Rose. Il sert comme adjudant au 8e régiment de hussards. Il est chargé de faire reconnaître deux insubordonnés, le 5 pluviôse an VII, devant le front du régiment. Le 13 pluviôse an VII, il est chargé de nommer un sous officier de planton pour l’atelier de confection régimentaire. Il est chargé, le 29 pluviôse an VII, de préparer le logement en ville de Marseille du détachement du 8ehussards revenant d’Arles.
Rosier Charles Gabriel, né en 1780 à Bourmont, Haute-Marne. Il sert de germinal an IX à juillet 1815 au 7e hussards bis puis dans la Garde du Roi Joseph et enfin au 2e régiment de chevau-légers de la Garde.
Roussel Didier, né à Langres, Haute-Marne. Il entré au service le 22 mai 1815 au 1er régiment de hussards.
Rousset Jean-Pierre, né le 3 avril 1789 à Lyon, Rhône. Il sert comme hussard au 7e régiment de hussards. Il est tué au combat le 25 février 1814 en Italie.
Rousset Pierre. Demeurant à Replonges, Ain. Il sert au 3e régiment de Hussards. Il est désigné capable de servir par le conseil d’Examen du département de l’Ain le 27 Avril 1815 pour les Cent jours.
Rouvillois. Colonel du 1er régiment de hussards. Il est blessé le 19 décembre 1806.
Roux, natif de Belmont, Ain. Second fils de Claude Roux. Engagé volontaire au Régiment des Hussards de Berchény (devenu 1er Régiment de Hussards). Le 1er Hussard à des escadrons en caserne à Bourg