11e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	11/juil.	Le général Mangin ordonne l'acheminement du régiment sur Verdun. Cette manoeuvre se fait avec les 9e, 20e et 207e R.I.
11e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	16/juil.	Il part de Verdun pour les 1ère lignes et prend position dans le secteur de Souville.
11e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	21/juil.	Un bat. tente de progresser vers le sud du Dépôt de Souville. Il avance de quelques mètres mais la distance à parcourir est trop grande, il ne peut continuer.
11e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	22/juil.	3 attaques All. sont repoussées à la grenade. Le bombardement All. reprend ensuite avec une extrême violence.
11e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	24/juil.	Le bat. négrier du régiment attaque sur la batterie C et parvient à l'enlever à 11 h 30. Il fait à cette occasion une 40e de prisonniers.
11e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	28/juil.	A 12 h 45, le bat. négrier aidé du 3e bat. du 20e R.I. se lance à l'assaut du dépôt de Souville. A la fin de la journée, après un long combat sanglant, les 1ère et 2e comp. parviennent à atteindre l'objectif fixé.
11e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	Du 31 juillet au 4 août	Il est relevé par les 81e, 96e, 122e et 322e R.I.
11e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	Du 16 au 20 août	Il remonte en ligne avec les 9e, 20e et 207e R.I dans le secteur stabilisé de Belleville. Il relève les 40e, 58e, 61e et 240e R.I. qui sont en ligne depuis le 21 juin et sont arrivés à limite d'usure.
11e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	Mois de septembre	Il est en ligne à la cote du Poivre.
11e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	Jusqu'au 15 octobre	La bataille s'atténue dans tous les secteurs, sauf quelques engagements locaux dans le secteur de Thiaumont. Chaque unité prépare le terrain pour la grande offensive prévue par le général Mangin pour fin octobre. Les préparatifs comprennent, la liaison téléphonique avec les 1ère lignes par câbles enterrés, l'approfondissement des tranchées et leur transformation en parallèles de départ, la création d'abris et de P.C. Partout, la pioche s'enfonce dans les cadavres, les travailleurs se mettent des gousses d'ail dans les narines pour échapper à l'odeur épouvantable. Le 15 octobre, tout est prêt.
11e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	24/oct.	Après 4 jours d'un pilonnage intense sur les positions All., l'heure de l'attaque est fixée à 11 h 40. Sa mission est d'atteindre la contre-pente nord du ravin de la Couleuvre, de s'organiser dans le village de Douaumont et de reconquérir le fort. Vers 11 h 38, il se porte à l'assaut de la tranchée Balfourier et de la carrière d'Haudraumont. S'il trouve les tranchées de 1ère ligne All. inoccupées, la carrière est quant à elle fortement tenue. Après un dur combat à la grenade, il parvient à capturer tous les occupants de la carrière. Il repousse ensuite d'incessantes contre-attaques jusqu'à la fin de la journée.
11e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	Après le 24 octobre	A.N.D.
12e R.I. :	(123e D.I. ; 245e Brigade)	19/mai	Il monte en ligne dans le secteur de la cote 304 avec les 6e, 55e, 112e, 173e, 255e, 411e et 412eR.I.
12e R.I. :	(123e D.I. ; 245e Brigade)	Du 20 au 29 mai	Bombardements All. intensifs sur tout le secteur. Les hommes se terrent dans leur tranchée, attendant l'éclat d'obus qui les frappera. La fatigue morale et physique est à son comble. Un grand nombre d'hommes sont commotionnés, ils sont sourds, hébétés, suffoqués. Leur visage et leurs mains ruissellent de sang qui coule par 1000 blessures (projection de terre, de pierre et de sable).
12e R.I. :	(123e D.I. ; 245e Brigade)	Du 30 mai et 21 juillet	A.N.D., il est relevé.
12e R.I. :	(123e D.I. ; 245e Brigade)	22/juil.	Il est mis à la disposition du général Maud'hui et monte en ligne d'Avocourt à la Hayette.
12e R.I. :	(123e D.I. ; 245e Brigade)	30/juil.	Pendant la nuit, il repousse 2 attaques All.
12e R.I. :	(123e D.I. ; 245e Brigade)	Du 31 juillet au 28 octobre	A.N.D.
12e R.I. :	(123e D.I. ; 245e Brigade)	29/oct.	Il est définitivement relevé de la cote 304.
13e R.I. :	(16e D.I. ; 32e Brigade)	12/juil.	Il monte en ligne dans le secteur de Tavannes. Il relève le 358e R.I. Le bat. De Renty se place au bois Fumin et le bat. Lecocq au bois de Vaux-Régnier (face au fort de Vaux qui est aux mains de l'ennemi). Le bat. De La Grange reste en soutien à la batterie. A peine arrivé en ligne, le bat. Lecocq repousse une attaque All.
13e R.I. :	(16e D.I. ; 32e Brigade)	Du 13 au 26 juillet	Les bat. en 1ère ligne résistent à tous les assauts All.
13e R.I. :	(16e D.I. ; 32e Brigade)	27/juil.	Ils sont relevés.
14e R.I. :	(131e D.I. ; 262e Brigade)	23/juin	Sur les ordres du général Nivelle, il se dirige vers Verdun.
14e R.I. :	(131e D.I. ; 262e Brigade)	10/juil.	Il monte en ligne aux abords du fort de Souville où il subit un violent bombardement All. toute la journée.
14e R.I. :	(131e D.I. ; 262e Brigade)	11/juil.	Des éléments occupent le ravin des Fontaines (au sud de Fleury) et la croupe de Vaux-Chapitre. A 4 h 30, sévères attaques All. sur Vaux-Chapitre. L'ennemi est arrêté alors qu'il ne se trouve plus qu'à 20 mètres des 1ère lignes Fr. Les canons 75 achèvent la déroute des assaillants.
		12/juil.	La 5e comp., terrée dans les trous d'obus qui bordent la chapelle Sainte-Fine, lutte avec acharnement pour enrayer l'avance All. Cependant, elle ne peut pas résister longtemps devant le nombre. A 11 h, un peloton arrive en renfort dans le fort de Souville.
14e R.I. :	(131e D.I. ; 262e Brigade)	Après le 12 juillet	A.N.D.
15e R.I. :	(32e D.I. ; 64e Brigade)	14/août	Il est affecté au groupement Mangin avec les 80e, 143e et 342e R.I.
15e R.I. :	(32e D.I. ; 64e Brigade)	17/août	Il monte en ligne dans le bois de Vaux-Chapitre.
15e R.I. :	(32e D.I. ; 64e Brigade)	Du 18 au 25 août	Il tient toujours le village de Fleury malgré un bombardement intensif.
15e R.I. :	(32e D.I. ; 64e Brigade)	26/août	Une forte attaque allemande est repoussée par les mitrailleurs et les grenadiers.
15e R.I. :	(32e D.I. ; 64e Brigade)	Après le 26 août	A.N.D.
16e R.I. :	(25e D.I. ; 50e Brigade)	06/mars	Il monte en ligne au Mort-Homme.
16e R.I. :	(25e D.I. ; 50e Brigade)	Du 7 au 13 mars	A.N.D.
16e R.I. :	(25e D.I. ; 50e Brigade)	14/mars	Vers 15 h 15, il subit une violente attaque All. Les pertes sont énormes. Il doit abandonner le boyau du Mort-Homme.
16e R.I. :	(25e D.I. ; 50e Brigade)	15/mars	Le 3e bat. est lancé par le général Debeney à la contre-attaque sur la cote 265. Sur la gauche, l'attaque est un succès, les All. se replient et le terrain est repris. A droite, le bat. ne parvient pas à progresser et doit reculer en laissant de nombreux morts sur le terrain (une comp. s'est trouvée aux ordres d'un sous-lieutenant de 21 ans).
16e R.I. :	(25e D.I. ; 50e Brigade)	16/mars	Pendant la nuit, le régiment est relevé par les 150e, 154e, 155e, 161e R.I.
17e R.I. :	(13e D.I. ; 25e Brigade)	07/mars	Des éléments sont en ligne au sud-ouest et sud du fort de Douaumont. Ils repoussent 3 assauts All.
17e R.I. :	(13e D.I. ; 25e Brigade)	08/mars	Nouvelle attaque All le matin. A 11 h, elle est repoussée. Suite à la brèche ouverte sur le 100e R.I. au ravin de la Caillette, le 1er bat. (au sud du fort de Douaumont) risque l'encerclement. Le colonel Mareschal décide d'envoyer en urgence la 11e et la 12e comp. (alors en soutien) sur le ravin. A 13 h, après un combat acharné, la brèche ouverte une heure auparavant est refermée et mieux encore, l'ennemi a été chassé du ravin de la Caillette. Par cette furieuse contre-attaque et le courage dont elle a fait preuve, la 11e comp. a gagné le surnom de "Compagnie des Lions". Dans cette affaire, le 1er bat. a également reçu de l'aide d'éléments du 109e R.I.
17e R.I. :	(13e D.I. ; 25e Brigade)	09/mars	Le 1er bat. repousse 3 assauts All. au sud-ouest et sud du fort de Douaumont. En 2 jours, il a eu 125 tués et 360 blessés.
17e R.I. :	(13e D.I. ; 25e Brigade)	10/mars	A 15 h, au sud-ouest et sud du fort, l'attaque reprend. Les vagues successives de l'ennemi viennent se briser devant les mitrailleuses Fr.
17e R.I. :	(13e D.I. ; 25e Brigade)	11/mars	Il est relevé pendant la nuit.
18e R.I. :	(36e D.I. ; 72e Brigade)	23/mai	Pendant la nuit, des éléments sont envoyés en toute hâte sur le fort de Douaumont. Ils y retrouvent des éléments du 49e R.I. et les restes du 34e R.I. Sur ordre du général Mangin, 1 bat. s'élance sur l'entrée du fort. Cette assaut se solde par un échec et de lourdes pertes.
18e R.I. :	(36e D.I. ; 72e Brigade)	Du 24 au 27 mai	A.N.D.
18e R.I. :	(36e D.I. ; 72e Brigade)	28/mai	Sur ordre du général Lebrun, les éléments sont relevés.
19e R.I. :	(22e D.I. ; 44e Brigade)	30/mars	Il monte en ligne du bois d'Hardaumont à la ferme de Thiaumont avec les 62e, 116e et 118e R.I. Il relève le 16e B.C.P. et les 94e, 151e et 162e R.I.
19e R.I. :	(22e D.I. ; 44e Brigade)	04/avr.	Les éléments au bois Albain sont victimes d'une erreur de tir. Des obus Fr. tombent sur leur position et des hommes sont tués.
19e R.I. :	(22e D.I. ; 44e Brigade)	17/avr.	Devant Thiaumont, le bombardement All. est d'une violence inouïe. Un bat. est pratiquement décimé quand les obus cessent enfin de tomber.
19e R.I. :	(22e D.I. ; 44e Brigade)	19/avr.	Dans l'après-midi, il tente un assaut pour reconquérir les tranchées Rivalain et Derrien. Quand le départ est donné, il ne peut sortir de ses positions car le feu All. est trop intense.
19e R.I. :	(22e D.I. ; 44e Brigade)	21/avr.	Pendant la nuit, il est relevé par les 22e, 30e, 99e et 416e R.I. Il quitte le front avec les 62e, 116e et 118e R.I.
19e R.I. :	(22e D.I. ; 44e Brigade)	02/nov.	Il remonte en ligne dans le secteur de Vaux avec les 62e , 116e et 118e R.I. Il relève les 216e, 238e, 292e, 298e, 305e et 321e R.I.
19e R.I. :	(22e D.I. ; 44e Brigade)	04/nov.	Il s'organise sur les mamelons face à la Woëvre.
19e R.I. :	(22e D.I. ; 44e Brigade)	Après le 4 novembre	A.N.D.
20e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	11/juil.	Le général Mangin ordonne l'acheminement du régiment sur Verdun. Cette manoeuvre se fait avec les 9e, 11e et 207e R.I.
20e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	16/juil.	Il part de Verdun pour les 1ère lignes et prend position dans le secteur de Souville.
20e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	24/juil.	La 2e comp. s'élance à 11 h et va s'établir, ainsi que l'ordre lui a été donné, à 200 m à l'est de la batterie C (abord nord-est du P.C. 119).
20e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	26/juil.	Le 3e bat. tente de s'emparer du Dépôt de Souville. Les comp. ne parviennent qu'à progresser faiblement.
20e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	27/juil.	Plusieurs fortes attaques All. sont repoussées.
20e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	28/juil.	A 12 h 45, le 3e bat. vient en aide au bat. négrier du 11e R.I. pour lancer une attaque du dépôt de Souville. A la fin de la journée, après un long combat sanglant, l'objectif fixé est atteint. De son côté, la 1ère comp. se porte en avant et s'établit à l'est de Dépôt de Souville. Sur la gauche, la 2e comp. a progressé pareillement et est venue se souder à la 1ère. Ce même jour, le 2e bat. en ligne à l'est du ravin du bois en T, repousse brillamment une attaque dirigée sur son flanc droit.
20e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	05/août	Le 1er bat. lance une forte attaque et, après un bond en avant de 700 m, atteint la route de Thiaumont-Fleury. En ligne depuis le 22 juillet, le régiment a eu 7 officiers tués et 17 blessés, 350 hommes tués et 750 blessés.
20e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	Du 16 au 20 août	Réapprovisionné en troupes, il se positionne dans le secteur stabilisé de Belleville avec les 9e,11e et 207e R.I. Il relève les 40e, 58e, 61e et 240e R.I. qui sont en ligne depuis le 21 juin et sont arrivés à limite d'usure.
20e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	Mois de septembre	Il est en ligne à la cote du Poivre
20e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	Jusqu'au 15 octobre	La bataille s'atténue dans tous les secteurs, sauf quelques engagements locaux dans le secteur de Thiaumont. Chaque unité prépare le terrain pour la grande offensive prévue par le général Mangin pour fin octobre. Les préparatifs comprennent, la liaison téléphonique avec les 1ère lignes par câbles enterrés, l'approfondissement des tranchées et leur transformation en parallèles de départ, la création d'abris et de P.C. Partout, la pioche s'enfonce dans les cadavres, les travailleurs se mettent des gousses d'ail dans les narines pour échapper à l'odeur épouvantable. Le 15 octobre, tout est prêt.
20e R.I. :	(33e D.I. ; 66e Brigade)	Après le 15 octobre	A.N.D.
21e R.I. :	(13e D.I. : 25e Brigade)	07/mars	En ligne au ravin de la Caillette, il subit à 11 h un violent bombardement All. 4 officiers et 50 hommes sont tués et plus d'une 100e sont blessés. Les survivants font peine à voir, un grand nombre sont commotionnés, ils sont sourds, hébétés, suffoqués. Leur visage et leurs mains ruissellent de sang qui coule par 1000 blessures (projection de terre, de pierre et de sable) qui se mêle à la poussière et forme des caillots affreux. Cela, sans combattre.
21e R.I. :	(13e D.I. : 25e Brigade)	08/mars	D'autres unités sont en ligne au nord de l'étang de Vaux, vers les pentes d'Hardaumont. Le bombardement All. dure toute la matinée mais a 11 h, l'ennemi attaque enfin. Jusqu'à 12 h 45, les vagues sont repoussées à 3 reprises et ne parviennent pas à percer la défense Fr.
21e R.I. :	(13e D.I. : 25e Brigade)	10/mars	3 nouvelles attaques All. à 7 h, 8 h et 23 h sont également repoussées. Lors de ces combats, plusieurs hommes sont devenus fous.
21e R.I. :	(13e D.I. : 25e Brigade)	Après le 10 mars	A.N.D.
22e R.I. :	(28e D.I. ; 55e Brigade)	21/avr.	Pendant la nuit, il monte en ligne dans le secteur sud du fort de Douaumont (à la ferme de Thiaumont) avec les 30e, 99e et 416e R.I. Il relève les 19e, 62e, 116e et 118e R.I.
22e R.I. :	(28e D.I. ; 55e Brigade)	Du 22 avril au 2 mai	A.N.D.
22e R.I. :	(28e D.I. ; 55e Brigade)	03/mai	Des éléments se sont positionnés dans le ravin de la Mort.
22e R.I. :	(28e D.I. ; 55e Brigade)	07/mai	A 2 h, un prisonnier All. déclare qu'une attaque doit être lancée au petit jour. A 4 h, une section All. part à l'assaut mais elle est stoppée net par les mitrailleuses qui ont pu s'organiser. A 4 h 15, un bombardement. d'une violence inouïe par obus de 210 et 240 s'abat sur les positions Fr. A 5 h, un nouvel assaut All. est brisé. Le bombardement reprend avec la même intensité. Les pertes sont terribles dans toutes les comp. mais nul ne songe à abandonner son poste. A 9 h 15, le nouvel assaut All. est accueilli comme un soulagement par les soldats Fr. Des corps à corps acharnés s'engagent sur toute la ligne. Les débris des comp. se regroupent pour mieux résister. Le 2e bat. se distingue particulièrement par son ardeur. A midi, les combats sont terminés, les All. sont battus. 40 d'entre eux dont 2 officiers ont été faits prisonniers. Pour se venger, un violent bombardement All. s'abat sur la cote de Froideterre et de Thiaumont. L'observatoire de Thiaumont s'effondre, ensevelissant la moitié de la 1ère comp. du 2e bat. 60 hommes sont tués. Lors de cette journée, 5 officiers et 100 hommes sont morts, 4 officiers et 80 hommes sont blessés.
22e R.I. :	(28e D.I. ; 55e Brigade)	14/mai	Il est relevé par les 65e et 69e B.C.P. et les 294e, 350e, 354e, 355e et 361e R.I. Il quitte le front avec les 99e et 416e R.I.
22e R.I. :	(28e D.I. ; 55e Brigade)	05/juin	Il remonte en ligne dans le secteur de Moulainville-Eix.
22e R.I. :	(28e D.I. ; 55e Brigade)	Du 6 juin au 14 août	Il effectue des travaux d'organisation de terrain.
22e R.I. :	(28e D.I. ; 55e Brigade)	15/août	Le régiment se déplace plus au nord et occupe les secteurs de la Lauffée, de Dicourt et aux pieds des cotes de Meuse avec les 30e, 99e et 416e R.I.
22e R.I. :	(28e D.I. ; 55e Brigade)	Jusqu'au 15 octobre	La bataille s'atténue dans tous les secteurs, sauf quelques engagements locaux dans le secteur de Thiaumont. Chaque unité prépare le terrain pour la grande offensive prévue par le général Mangin pour fin octobre. Les préparatifs comprennent, la liaison téléphonique avec les 1ère lignes par câbles enterrés, l'approfondissement des tranchées et leur transformation en parallèles de départ, la création d'abris et de P.C. Partout, la pioche s'enfonce dans les cadavres, les travailleurs se mettent des gousses d'ail dans les narines pour échapper à l'odeur épouvantable. Le 1er bat. se trouve en autre devant la batterie de Damloup pour organiser les parallèles de départ. Elles serviront au 30e R.I. qui doit participer à la grande offensive du 24 octobre pour reprendre les forts. Le 15 octobre, tout est prêt.
22e R.I. :	(28e D.I. ; 55e Brigade)	Jusqu'à fin décembre	Il réoccupe les tranchées du secteur de Moulainville-Eix.
22e R.I. :	(28e D.I. ; 55e Brigade)	27/déc.	Il est relevé.

Les Régiments d' Infanterie : Verdun 1916 (Sommaire)

J'aime1

Articles Société . Blogs Société

DERNIERS ARTICLES :
Bienvenue sur
3 blogs en 1 Chez-Pilette-et-Filousse dessinsagogo55new Citation Avec la participation de Christne B La banque d'i
Simone Weber
Simone Weber, née le 28 octobre 1930 à Ancerville (Meuse) et morte le 11 avril 2024 à Cannes, est une femme française condamnée le 28 février 1991 à une peine de ving
Jacques-Yves Cousteau : Le bonheur pour un dauphin
Le bonheur pour un dauphin est d'exister , pour l'homme , de le savoir et de s'en émerveiller ..." Jacques-Yves Cousteau " Liens externes
Poule
Liens externes Notes et références RUBRIQUE
Cathédrale Saint-Louis de Versailles
La cathédrale Saint-Louis de Versailles est une église de style rocaille construite par l'architecte Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne. Elle fut bénie le 25 août 1754

DECOUVRIR D'AUTRES BLOGS : parcours-singuliers
fragillesoixantedeux
zavarof
alorsvoila
nuagedorizon
kiscongoviva
coisasdamiroca
vousamoi
lescockersdemaryse
pompesfunebresgirbas
awranna
finansol
devinckglobalinvestment
casecorse
tierache

Annuaire de blogs
Aide Centerblog
Signaler un abus