Date de création : 09.04.2012
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08.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
La juge a reconnu coupables de « vol en réunion » les activistes, âgés de 23 à 36 ans. Le vidéaste qui avait filmé leur action a, lui, été relaxé.
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné, mercredi 16 octobre, huit militants écologistes à 500 euros d’amende chacun pour avoir décroché des portraits du président Emmanuel Macron dans des mairies de trois arrondissements de la capitale, en février. Ils ont annoncé qu’ils allaient faire appel.
La juge unique a reconnu coupables ces activistes, âgés de 23 à 36 ans, de « vol en réunion ». Le 11 septembre le parquet de Paris avait requis des peines de 1 000 euros d’amende pour chacun des prévenus, dont 500 avec sursis, afin « qu’on ne dévoie pas une lutte totalement légitime ».
La même sanction avait été demandée contre un vidéaste de 29 ans, du média associatif Partager c’est sympa, présent lors d’une action de décrochage dans la mairie du 5e arrondissement, « à 100 % pour [la] filmer, pas y participer », avait-il assuré à la barre. Le tribunal l’a relaxé.
« Devoir moral »
Les huit militants, au casier judiciaire vierge, avaient, eux, reconnu les faits, commis lors de trois actions, les 21 et 28 février, dans le cadre d’une campagne nationale « Décrochons Macron », menée par Action non violente-COP21 (ANV-COP21).
Article réservé à nos abonnés Lire aussi « Chez les militants pour le climat, un verbe tend à s’imposer, “désobéir” »
Comme pour les quelque 130 « réquisitions » symboliques revendiquées par le mouvement, les décrochages s’étaient effectués en quelques minutes, « à visage découvert » et « sans dégradation ».
Ils avaient expliqué avoir agi par « devoir moral » et parce qu’ils n’avaient « d’autre choix » que la « désobéissance civile non violente », face à « la menace » du réchauffement climatique et « l’inaction » du gouvernement en la matière.
Leurs avocats avaient plaidé la relaxe au nom de « l’état de nécessité », qui permet d’écarter la responsabilité pénale « face à un danger actuel et imminent ». La juge parisienne a considéré que ce principe, qui avait été invoqué il y a un mois à Lyon pour relaxer deux « décrocheurs », n’était ici « pas constitué ».
Leur mouvement est né en réaction à une réponse jugée insuffisante de l’exécutif à la pétition sur le climat baptisée « L’Affaire du siècle », signée par plus de deux millions de personnes.
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