Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
22.12.2024
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Le scénariste de la série, Claude Desailly, a volontairement souhaité que celle-ci ne se poursuive pas jusqu'à la Seconde Guerre mondiale et qu'elle ne couvre que les Années folles (1920-1929). Entre 1930 et 1939, l'atmosphère en France devenait de plus en plus tendue, à la fois à cause de la Grande Dépression et de la montée du totalitarisme en Europe (Mussolini, Hitler, Staline…). Le contexte international et le mode de vie des Français avaient ainsi énormément évolué par rapport aux trente premières années du XXe siècle, qui avaient une certaine forme d'insouciance et de romantisme.
De plus, à partir des années 1930, les moyens mis à disposition de la police française se sont considérablement améliorés : création d'Interpol à Paris, modernisation des unités, importantes affaires criminelles comme l'affaire Stavisky ou le meurtre de Gaston Truphème, courtier en diamants.
La police n'a alors plus rien à voir avec les brigades mobiles créées au début du siècle par Georges Clemenceau.
Claude Desailly, sur une proposition d'Alain Decaux, souhaitait montrer une France de début de siècle aux prises avec des bandits écumant le pays avec des moyens bien supérieurs à ceux de la police. La population connaissait alors une peur quotidienne, à l'échelle communale, tout au plus régionale, ce qui n'est plus le cas à partir de 1930, où le sentiment de défiance est lié au contexte international et à la crainte de l'avenir. La série devait ainsi cesser pour conserver une certaine réalité historique, bien que romancée, chez le spectateur, plutôt que de devenir une pure fiction n'ayant plus d'ancrage dans la réalité
Chaque saison de la série nécessitait trois mois de tournage. Les huit premiers jours étaient consacrés à l'ensemble des séquences de bureaux dans les locaux du commissariat, tournés dans les vieux studios de Telecip. Les acteurs enchainaient donc des scènes appartenant à différentes histoires. Toutes les scènes en extérieur étaient tournées postérieurement.
Un épisode nécessitait entre onze et quatorze jours de tournage. Les prises de son ont été faites en direct. La ville de Paris était devenue trop moderne, il a été donc choisi la ville d'Orléans où certaines rues offraient une bonne idée du Paris du début du siècle, comme la Place Saint-Aignan. D'autres tournages ont été réalisés en Belgique (exemple : épisode « La main noire ») avec des acteurs locaux.
A Orléans, le quartier placé entre la place Saint-Aignan et la collégiale Saint-Pierre-le Puellier est privilégié. Le spectateur averti peut reconnaître les rues Saint-Flou, de la Tour ou des Tanneurs lors des poursuites ou encore les rues des Récollets et de la Bretonnerie pour les investigations. Des bâtiments, comme l’imprimerie La Laborieuse ou des immeubles du quai Barentin et de la rue Croix-de-Bois, sont utilisés ponctuellement. En 1976, l’hôtel Groslot, apprécié du réalisateur, endossera pour une journée le rôle du ministère de la Justice.
À ces décors occasionnels, s’ajoutent certains lieux et bâtiments qui deviennent vite emblématiques de la série. Le cloître Saint-Aignan est souvent exploité, comme au début du premier épisode lors d’une filature d’un bandit par Valentin. Des bâtiments désaffectés en briques rouges reviennent aussi lors des scènes « de planques ». Il s’agit en fait de la friche industrielle de la vinaigrerie Dessaux. Par ailleurs, lorsque l’on évoque la série, on pense surtout aux entraînements un peu désuet de boxe française dans un gymnase parqueté et à l’entrée des automobiles dans la cour du commissariat. Ce gymnase est celui de la rue des Quatre-Fils-Aymon, alors que le commissariat est le quartier Général, 1, rue de la Bretonnerie. Il est d’ailleurs amusant de voir le commissaire Valentin censé sortir du gymnase pour arriver dans la cour du commissariat, dans la réalité distante de plusieurs rues.
L'épisode « Le cas Valentin » a été tourné en partie dans les allées du chai de Bercy, 12e arrondissement de Paris, dans lequel on reconnaît les bâtiments — dont un a survécu — et les rails typiques utilisés pour les wagons transportant les barriques de vins.
La mairie du 12e arrondissement de Paris du côté de l'aile Bignon a été choisie comme l'entrée principale du commissariat des brigades pour la période de la Belle Époque.
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