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Alicia Silverstone

Publié à 00:52 par dessinsagogo55 Tags : amour monde you sourire france love center coup art

 

Filmographie
Alicia Silverstone
Cinéma

1993 : The Crush : Nick
1995 : The Babysitter de Guy Ferland : Jennifer
1995 : Souvenirs de l'au-delà (Hideaway), de Brett Leonard : Regina
1995 : True Crime : Mary Giordano
1995 : Le Nouveau Monde (A New World), d'Alain Corneau : Vanessa Lutz
1995 : Clueless, d'Amy Heckerling : Cher Horowitz
1997 : Excess Baggage, de Marco Brambilla : Emily T.Hope
1997 : Batman & Robin, de Joel Schumacher : Barbara Wilson/Batgirl
1999 : Première sortie (Blast from the Past) : Eve
2000 : Peines d'amour perdues (Love's Labour's Lost), de Kenneth Branagh : La Princesse de France
2002 : Global Heresy : Natalie Bevin
2002 : Le casse (Scorched) : Sheila Rilo
2004 : Scooby-Doo 2, de Raja Gosnell : Heather Jasper-How
2005 : Beauty Shop, de Bille Woodruff : Lynn
2005 : Silence Becomes You : Violet
2006 : Stormbreaker, de Geoffrey Sax : Jack Starbright
2008 : Tonnerre sous les tropiques (Tropic Thunder), de Ben Stiller : elle-même
2011 : Fight for Your Right Revisited, court-métrage de Adam Yauch : Café Patron
2011 : The Art of Getting By, de Gavin Wiesen : Mme Herman
2011 : Butter : Julie Emmet
2011 : Ass Backwards : Laurel
2012 : Gods Behaving Badly : Kate
2012 : Vamp : Goody
2012 : Jesus in Cowboy Boots : Tammy

Alicia Silverstone

Télévision

1992 : Les Années coup de cœur (The Wonder Years) (Série TV) : Jessica
1993 : Passion Enflammée (Torch Song) (Série TV) : Delphine
1993 : Scattered Dreams (Téléfilm) : Phyllis Messenger
1994 : Cool and the Crazy (Téléfilm) : Roslyn
2001 : Sourire d'enfer (Braceface) (Série TV) : Sharon Spitz
2003 : Miss Match (Série TV) : Kate Fox
2005 : Queen B (Téléfilm) : Beatrice
2006 : Candles on Bay Street (Téléfilm) : Dee Dee
2007 : The Singles Table (Série TV) : Georgia
2008 : Bad Mother's Hanbook (Téléfilm) : Karen
2011 : Childrens Hospital (Série TV) : Kelly
2012 : Suburgatory (Série TV) : Eden

Alicia Silverstone

Théâtre

1993 : Carol's Eve : Debbie
2002 : The Graduate (Le Lauréat) : Elaine
Video Clips[modifier]
1994 : Cryin' (Aerosmith)
1994 : Amazing (Aerosmith)
1995 : Crazy (Aerosmith)
Comme productrice[modifier]
1997 : Excess Baggage
2001 : Sourire d'enfer (TV)


Alicia Silverstone

Alicia Silverstone

Alicia Silverstone

Alicia Silverstone

Alicia Silverstone

Alicia Silverstone

Publié à 00:50 par dessinsagogo55 Tags : center

Afric Simone

Publié à 00:37 par dessinsagogo55 Tags : coeur musique blog paris center sommaire mort centerblog sur afrique merci france femme
Afric Simone
 

 

Afric Simone (né Henrique Simone , 17 juillet 1956) est un chanteur, musicien, artiste de performance, multi-instrumentiste, danseur et artiste mozambicain . Il est entré dans les charts européens avec son premier hit " Ramaya " en 1975, qui a été suivi par une autre chanson bien connue, "Hafanana", qui a été libérée plus tard la même année.

 

Simone a atteint le sommet de sa popularité entre 1975 et 1980 des deux côtés du rideau de fer , c'est pourquoi il a visité l' URSS , la Pologne , la RDA et la Tchécoslovaquie dans le bloc de l' Est , et conserve cette popularité encore aujourd'hui dans toute l'Europe.

 

Simone est l'un des musiciens africains les plus en vue, étant l'un des rares musiciens d'origine mozambicaine à avoir vendu des spectacles à guichets fermés dans les grandes salles internationales telles que l'Olympia , le Royal Albert Hall et le Carnegie Hall .

 

Simone est née à Inhambane , à un père brésilien et le Mozambique la mère, mais à l'âge de 9 ans (après la mort de son père) lui -même et sa mère a dû déménager à sa mère - patrie du Mozambique sur la côte est de l' Afrique , à Xipamanine dans le capitale Lourenço Marques, maintenant Maputo .

 

Une fois, lorsqu'il est apparu sur scène à Maputo, son manager lui a demandé de venir à Londres . Avec ses premiers pas dans le show business à Londres, il a acquis une expérience inestimable pour des apparitions dans d'autres capitales européennes. Il a acquis de l'expérience en faisant des concerts dans toute l'Europe. Il a eu la chance qu'Eddie Barclay , le magnat du disque français, soit allé voir un spectacle à Paris. Ils ont immédiatement signé le contrat.

 

Afric Simone parle l'allemand, l'anglais, le portugais, le français, l'espagnol et diverses langues africaines, mais ses chansons sont écrites dans un mélange de swahili et de quelques mots d'autres langues. Cette idée a abouti à un mélange de sa propre langue maternelle et du Happy Sound européen. On dit aussi que Simone a été le pionnier des arts du Break Dancing et de la Beat Boxing comme on peut le voir dans ses performances live, par exemple dans la performance télévisée de sa chanson "Playa Blanca", vers 1975. 

 

En 1978, il s'installe à Berlin , en Allemagne. Afric Simone a été mariée 3 fois; sa femme actuelle est d'origine russe. Ils se sont rencontrés à Berlin en 2003. Afric Simone est apparu dans des émissions de télévision en France , en Italie , en Allemagne et en Biélorussie .

 

Discographie

1975 : Hafanana
1975 : Ramaya
1976 : Aloha
1977 : Maria Madelena
1980 : China Girl
1982 : Marria, sexy bomba de Paris
 
 
 
 
 
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Notes et références                                                    
   
   
Biographie    Afric Simone
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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16 blocs

Publié à 22:27 par dessinsagogo55 Tags : citation anniversaire voiture sur monde center france homme amis musique photos nuit message film

 

16 Blocs ou 16 Rues au Québec (16 Blocks) est un film américain réalisé par Richard Donner, sorti en 2006.
Le film s'ouvre sur Jack Mosley (Bruce Willis) assis dans un autobus laissant un message à « Diane ». Il veut qu'elle sache ce qui s'est réellement passé malgré ce que la police pourrait lui dire.
Jack est un inspecteur alcoolique du NYPD. De retour au poste un matin, après avoir gardé une scène de crime toute la nuit, son lieutenant lui confie une tâche relativement simple : escorter un témoin au tribunal, situé 16 blocs plus loin. Celui-ci doit y témoigner devant un grand jury avant 10h du matin, ce qui leur donne un peu moins de deux heures (118 minutes)pour se présenter à la cour.
Le témoin est Eddie Bunker (Mos Def), un moulin à paroles qui énerve rapidement Jack. Sur la route du tribunal, ils sont bloqués dans les embouteillages. Jack descend de la voiture et entre dans un magasin de vins et de spiritueux pour boire un verre et acheter une bouteille. Assis à l'arrière de la voiture, Eddie ne peut pas croire ce que Jack fait. Un homme, pistolet à la main, apparaît à la vitre de la voiture. Alors qu'il veut tuer Eddie, Jack survient et le tue, avant de se faire tirer dessus par un complice, que Jack poursuit ensuite. Jack et Eddie se réfugient ensuite dans un bar que Jack connaît. Ce dernier expulse les clients du bar, y compris le patron, puis réclame du renfort. L'inspecteur Frank Nugent (David Morse), ex-partenaire de Jack, arrive avec plusieurs autres policiers, tente d'obliger Jack à leur laisser Eddie. Cette requête paraissant étrange à Jack, il refuse. Frank lui explique alors qu'Eddie est sur le point de témoigner contre un policier corrompu, qui pour sauver sa tête mouillera fatalement d'autres policiers. Frank prend le pistolet de Jack et le tend à l'un de ses hommes, qui le nettoie avant de le placer dans la main d'Eddie puis le force à tirer. Eddie est à deux doigts d'être exécuté quand Jack prend le fusil du propriétaire de bar, blesse à la jambe le policier menaçant Eddie et sort par la porte de derrière avec le témoin. Frank, en colère mais gardant son sang-froid, demande des renforts pour retrouver Jack et Eddie, en affirmant que celui-ci est devenu fou et a tiré sur des policiers. Jack et Eddie entrent dans l'appartement de sa sœur prend un pistolet dans la chambre à coucher. Frank sait que la sœur de Jack vit dans le quartier, et il demande à l'un de ses hommes de fouiller l'appartement. Jack attend le flic et le menotte avant de prendre sa radio. Quand Frank se rend compte que Jack a une radio, il demande à le localiser par le GPS. Pendant ce temps, Eddie réussit à fausser compagnie à Jack et se dirige vers le métro. Jack le rattrape et le sauve juste avant que les coéquipiers de Frank puissent l'attraper.
Jack et Eddie sont maintenant dans Chinatown. Jack voit Frank et comprend que ce dernier l'a repéré grâce à la radio, dont il se débarrasse alors. Il entre alors dans un vieil immeuble où Eddie frappe aux portes espérant que quelqu'un leur ouvrira. Un vieil Asiatique les laisse entrer dans son appartement. Pendant que Frank les cherche, Eddie change de vêtements et confie à Jack son rêve d'ouvrir une boulangerie, en lui montrant un cahier collectant toutes des recettes de gâteaux du monde entier. Jack appelle la substitue du procureur et lui explique la situation. Elle envoie immédiatement des policiers pour les évacuer. Frank localise à nouveau Jack grâce à ses espions, qui fait investir par ses hommes l'appartement... mais pas le bon. Si Jack peut descendre les escaliers sans risque, il est arrêté par Frank posté en bas. Eddie, qui a pris un itinéraire différent sur l'ordre de Jack, arrive derrière Frank et lui pointe un pistolet sur la tête. Les deux fuyards se retrouvent esuite dans une buanderie habitée par des travailleurs chinois.
Les hommes de Frank rejoignent Jack et Eddie dans la buanderie et un échange de coups de feu commence. abrité par une porte en acier, les deux hommes sont piégés; Frank les attend à l'arrière. la seule issue est un ascenseur en panne. Frank rappelle à Jack leurs souvenirs communs et essaie de le convaincre qu' Eddie n'est qu'un voleur en lui énonçant son casier judiciaire. Ce qu'Eddie nie ou déclare avoir changé. Au moment où ils décident d'ouvrir la porte en acier pour sortir, l'ascenseur démarre. Ils sautent dedans et se dirigent vers le haut de l'immeuble.
À nouveau dans la rue, ils sautent dans un autobus pris en chasse par deux des équipiers de Frank, qui tirent les sur les pneus et provoquant l'accident de l'autobus. 31 passagers sont à bord, laissant croire à une prise d'otages. Le SWAT est appelé, et avec eux le commissaire et les journalistes. Jack demande aux passagers de couvrir les fenêtres d'autobus avec des journaux, et dit à la police qu'il y a environ 40 passagers. Jack essaie ensuite de gagner du temps, demandant un procureur, un sténographe, et un journaliste contre la libération des passagers. Eddie rassure une fillette apeurée en lui promettant un beau gâteau pour son anniversaire.
Alors que le SWAT s'apprête à investir le bus, Jack libère tous les passagers. Eddie s'enfuie avec le costume d'un des passagers. Jack reste à bord et pense avoir accompli sa mission en relâchant Eddie, et il pourrait aller au tribunal à temps. Les flics croient toujours qu'il y a neuf otages supplémentaires, mais le chauffeur de bus leur indique qu'il était le dernier passager et Jack est seul ; c'est quand l'équipe de SWAT prépare pour sortir Jack, puisqu'ils sont dits qu'il a tiré quelques flics.
Eddie revient à l'autobus et hurle pour aux flics de ne pas tirer, et il monte en arrière dans l'autobus. Il dit à Jack que Barry White et Chuck Berry ont changé, et lui dit que les gens changent, et il veut que Jack croie que les gens changent. Jack met le feu vers le haut à l'autobus et retire du cul-de-sac. Ils sont chassés par l'équipe de SWAT, qui continuent à casser les fenêtres et de jeter grenades fumigènes dans l'autobus. L'autobus est coincé dans une ruelle. Quand l'équipe de SWAT entre dans l'autobus, Jack et Eddie sont déjà sortis de l'autobus et vont à un bâtiment adjacent.
Eddie a été tiré dans l'estomac, et Jack demande l'aide de sa sœur, Diane (Jenna Stern), qui conduit une ambulance et est un infirmier. Elle administre les premiers soins à Eddie. Pendant que l'ambulance va au tribunal, Frank arrête Diane pour ouvrir les portes arrière, mais il trouve rien dedans. Jack a demandé à Diane d'appeler une autre ambulance et Eddie.
Dans l'ambulance, Jack dit à Eddie qu'il est une mauvaise personne, que Jack est l'un des flics contre lesquelles Eddie allait témoigner. Il va prendre la pleine responsabilité maintenant. Jack demande à Eddie de partir, et laisse l'épreuve pour lui. Jack entre dans l'entrée souterraine du tribunal et rencontre par hasard Frank.
Fins
Il y a deux fins à 16 blocs, et elles sont comme suit.
La fin officielle
Jack confronte à Frank au sujet de leurs crimes entiers, y compris que quelques personnes sont tuées pour qu'ils obtiennent ce qu'ils veulent. Frank perd finalement son sang froid, et hurle et dit tout. Pour ne pas tuer son associé avec ses propres mains il laisse Jack entrer dans l'ascenseur. Cependant, il ordre l'un de ses hommes d'attendre Jack en haut pour le tuer.
À l'intérieur du bâtiment, Jack est repéré par la sécurité, et est entouré par beaucoup de flics. Jack explique qu'il veut seulement parler avec l'avocat et qu'il a des preuves contre beaucoup de flics, y compris un chef, et lui-même. L'homme de Frank sort toujours pour le tuer, mais pour être tiré par un tireur de SWAT. Jack retire un magnétophone, qui a enregistré la conversation entière avec Frank en bas, et le donne à l'avocat.
Deux ans après, nous voyons Jack dans un restaurant célébrant son anniversaire avec sa sœur et deux ou trois amis. Le gâteau d'anniversaire a été envoyé par Eddie, qui a écrit « les personnes peuvent changer ». Avec le gâteau, il a écrit une lettre à Jack et a attaché quelques photos de lui et de sa nouvelle boulangerie.
Fin alternative
Dans la fin alternative Frank demande à l'un de ses amis de ne pas tuer Jack et lui disant «tout est fini », mais son ami essaye de faire le contraire (prendre en note que le tireur isolé vu dans la fin originale n'est plus là). Jack est sur le point de retirer un magnétophone mais l'homme de Frank tire. En même temps Frank saute sur Jack pour le protéger mais il échoue. Jack est encore tiré et il meurt en jouant le magnétophone.
Deux ans après, la sœur de Jack, prend le gâteau de la boîte. Le gâteau est différent cette fois avec la citation « il y avait beaucoup de signes » et le gâteau est décoré d'un groupe de signes. La lettre cette fois a les mêmes photos et Eddie parle dans une tonalité beaucoup plus triste.

 

Fiche technique
Titre français et belge : 16 blocs
Titre québécois : 16 rues
Titre original : 16 Blocks
Réalisation : Richard Donner
Scénario : Richard Wenk
Production : Randall Emmett, Avi Lerner, Arnold Rifkin, John Thompson, Jim Van Wyck, Bruce Willis, Derek Hoffman et Brian Read
Musique : Klaus Badelt
Photographie : Glen MacPherson
Montage : Steve Mirkovich
Décors : Arvinder Grewal
Costumes : Vicki Graef
Pays d'origine : États-Unis
Format : Couleurs - 2,35:1 - DTS / Dolby Digital / SDDS - 35 mm
Genre : Policier
Durée : 105 minutes
Dates de sortie : 1er mars 2006 (Philippines), 3 mars 2006 (États-Unis), 5 avril 2006 (Belgique, France)
Distribution
Bruce Willis (VF : Patrick Poivey et VQ : Jean-Luc Montminy) : Det. Jack Mosley
Mos Def (VF : Lucien Jean-Baptiste et VQ : François Godin) : Eddie Bunker
David Morse (VF : Philippe Peythieu et VQ : Benoit Rousseau) : Det. Frank Nugent
Jenna Stern (VQ : Valérie Gagné) : Diane Mosley
Casey Sander (VQ : Alain Fournier) : Capt. Gruber
Cylk Cozart (VQ : Pierre Therrien) : Det. Jimmy Mulvey
David Zayas (VQ : Manuel Tadros) : Det. Robert Torres
Robert Racki : Det. Jerry Shue
Patrick Garrow : Touhey
Sasha Roiz : Kaller
Conrad Pla : Ortiz
Hechter Ubarry : Maldonado
Richard Fitzpatrick (VQ : Vincent Davy) : Deputy Commissioner Wagner
Peter McRobbie (VQ : Luis De Cespedes) : Mike Sheehan
Mike Keenan : Fitzpatrick
Robert Clohessy : Cannova
Jess Mal Gibbons : Pederson
Tig Fong : Briggs
Brenda Pressley : ADA MacDonald
Kim Chan : Sam
Carmen López : Gracie
Scott McCord : Lieutenant Kincaid
David Sparrow : Holding Cell Officer
Eduardo Gomez : Holding Cell Prisoner
Sam Kung : Chinese Man
Angela Seto : Chinese Wife
Bernie Henry : Man with Caddy
Nick Alachiotis : Russian
Danny Lima : Russian
Claudio Masciulli : Dominic Forlini
Efosa Otuomagie : Bus Driver
Christina Orjalo : Little Girl on the Bus
Richard Wenk : ADA's Detective
Derek Hoffman : Carl - EMT
Brian Read : UPS Delivery Man
Ryan Wulff : DA's Clerk
Steve Kahan : Restaurant Owner
Paul Tuerpe : Diane's Boyfriend
Cece Neber : Restaurant Waitress
Jim Chong : Bus Passenger
Betty Chong : Bus Passenger
Sam Moses : Bus Passenger
Kathy Imrie : Bus Passenger
Jason Burke : Bus Passenger
Thomas Wlaschiha : Bus Passenger
Scott Douglas : Bus Passenger
J.D. Nicholsen : Man in Gray Suit
Kameron Louangxay : Communications Tech
Victoria Mitchell : Woman in Apartment
Cecil Philips : MTA Cop
Rob Wiethoff : Court Officer
Jimmy Campbell : Court Officer
Richard Collier : Court Officer
Aaron Ferguson : Court Officer
Bradley Paterson : Brad - EMT
Paul Lee : Asian Store Owner
Heather Dawn : The Juror
Darryl Dismond : Man in Suit
James Lavin : Car Key Detective
Beatriz Yuste : Subway Commuter
David Talbolt : Subway Commuter
Toni Ellwand : Subway Commuter
Rolando Alvarez Giacoman : Subway Commuter
Autour du film
ce film est une adaptation du film de Clint Eastwood, "l'épreuve de force", sorti en 1977.
Le tournage s'est déroulé du 21 avril au 10 juin 2005 à New York et Toronto.
Bruce Willis désirait à l'origine que le rôle d'Eddie soit interprété par Ludacris

58 minutes pour vivre

Publié à 22:26 par dessinsagogo55 Tags : sur center femme

 

L'inspecteur de police McClane attend que l'avion de son épouse atterrisse dans un aéroport international proche de Washington. D'étranges allers et venues attirent son attention. Il suit des hommes qui communiquent discrètement entre eux jusqu'au sous-sol de l'aéroport. Là, des inconnus tirent sur lui et des mercenaires prennent le contrôle de l'aeroport, coupant toute communication avec l'extérieur. Les passagers des avions prêts a l'atterrissage, dont la femme de McClane, n'ont plus que cinquante-huit minutes pour vivre !

Aaron Burgett et Clyde Johnson

Publié à 22:22 par dessinsagogo55 Tags : center mer centerblog sur merci travail

29 septembre 1958 - Durant leur session de travail, Aaron Burgett et Clyde Johnson s'évadent en neutralisant un gardien et s'échappent de l'île à la nage. Clyde Johnson est capturé ; mais après de longues recherches son compagnon d'échappée n'est pas retrouvé. Ce n'est que deux semaines plus tard que le corps d'Aaron Burgett est repéré en mer.

 

 

 

Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Agapit Stevens

Publié à 22:20 par dessinsagogo55 Tags : voyages center


Agapit Stevens (1849-1917)1 est un peintre orientaliste belge.
Auteur de plusieurs portraits d'odalisques, danseuses, musiciennes de harem, compositions d'atelier qui laisseraient planer un doute quant à la réalité de ses voyages en Orient

Idiophone

Publié à 21:10 par dessinsagogo55 Tags : éléments monde center mode soi centerblog musique sommaire

Un idiophone est un instrument dont le matériau lui-mêmeproduit le son lors d'un impact, soit par uninstrument extérieur (comme une baguette), soit par une autre partie de l'instrument lui-même.
Les idiophones (ou autophones) sont probablement plus anciens que les membranophones en raison de la simplicité de leur conception. Cette famille rassemble les instruments qui ne sont ni à corde/s (cordophones), ni à membrane/s (membranophones), ni à vent (aérophones). Les matières végétales, animales ou minérales comme le bois, le bambou, la corne, ou encore le plastique, le verre, le métal, et la pierre... sont utilisées comme telles. Le terme idiophone vient du grec idios qui renvoie à la notion de « soi-même ». Nombre de ces instruments présentent une structure simple et c'est la totalité de l'instrument même (idio-) qui vibre, qui produit le son (phone).
Les idiophones se subdivisent selon leur mode d'« ébranlement ». On distingue principalement sept modes : par frappement (implique un élément frappant et un élément frappé, en général immobile), par raclement, par entrechoc (les deux éléments frappé-frappant sont jumeaux et mobiles, l'un va à la rencontre de l'autre), par pilonnement (en général, élément frappé par plusieurs percuteurs), par secousse, par pincement, par frottement (certains idiophones à entrechoc peuvent momentanément se servir de cette catégorie, de par leurs mode de jeu : c'est le cas des cymbales qui peuvent tout autant être entrechoquées que frottées).
Les idiophones forment certainement la famille instrumentale la plus représentée et la plus jouée dans le monde.

 

Musique : Sommaire

 

Iggy Pop

Iggy Pop

 

Iggy Pop, de son vrai nom James Newel Österberg Jr., né le 21 avril 1947 à Muskegon, dans le Michigan (États-Unis) est un chanteur, compositeur et acteur américain. Même s'il n'a connu que relativement peu de succès populaires, il est considéré comme un des artistes rock les plus influents. The Stooges (son groupe de 1967 à 1974, et de 2003 à nos jours) est historiquement un des premiers groupes précurseurs du mouvement punk.


Iggy Pop est aussi connu pour son jeu de scène impressionnant et excessif, une rumeur persistante (mais fausse ou presque...) voulant qu'il termine la plupart de ses concerts nu. Surnommé, « L'Iguane », il est l'un des rares artistes des années 1960 qui ont été épargnés par les punks des années 1970, étant reconnu comme The Godfather of Punk (« Le Parrain du Punk »). Dans une moindre mesure, la scène grunge se l'appropriera également dans les années 1990.


Ses morceaux les plus connus avec les Stooges sont I Wanna Be Your Dog et Search and Destroy. Il a aussi décroché quelques tubes en solo, la plupart ayant été faits grâce à la collaboration de David Bowie, parmi lesquels Nightclubbing, Lust for Life, The Passenger, I'm Bored, Real Wild Child, ou encore Candy, un duo avec Kate Pierson.
Iggy Pop est né à Muskegon, de James Newell Österberg, Sr., un ancien professeur d'anglais et entraîneur de base-ball à Fordson High School à Dearborn, et de Louella Christensen. Il est d'ascendance anglaise et irlandaise du côté de son père, et a des ancêtres danois et norvégiens du côté de sa mère. Son père a été adopté par une famille américaine d'ascendance suédoise, d'où le nom de famille Österberg.
Avant de devenir le leader et le chanteur de son propre groupe, The Stooges, James Österberg a été batteur de 1963 à 1965 pour The Iguanas (où il héritera de son surnom d'"Iguane", rapidement raccourci en "Iggy"), puis pour le groupe de blues, "The Prime Movers".


C'est avec les frères Ron et Scott Asheton que le jeune Iggy réalise un Big Bang musical, dès 1967. Fan des Rolling Stones (Keith Richards, son "héros de toujours" à qui il dédicacera son autobiographie "I need more"), de Frank Sinatra et des Doors, il ressort pourtant déçu d'un concert des hommes de Jim Morrison : « Si les Doors sont capables de remplir des salles, on peut aussi le faire. » Il vient alors de fonder "The Psychedelic Stooges", et prend temporairement le pseudonyme Iggy Stooge.

Les concerts, effectués dans un premier temps dans des salles minuscules, produisent une forte impression sur le public qui n'a jamais entendu une musique aussi brutale. Le son est dur et rappelle celui des garages de Détroit (la Motor City). Quand le groupe signe chez Elektra (le label des Doors et de Love), en 1968, il s'appelle désormais simplement "The Stooges". Quant à l'Iguane, il adopte définitivement son nouveau nom de scène : "Iggy Pop".


Sur scène Iggy, directement inspiré de Morrison, s'exhibe nu, se lacère, s'enduit de beurre de cacahuète, vomit sur son public. Il popularise un style à lui tout seul : le "stage-diving", ou "slam", qui consiste à se jeter dans le public et à le laisser porter par lui. Les plus belles prestations se terminent à l'hôpital.


Drogues et conflits d'intérêt auront une première fois raison du groupe. Ils ne le savent pas encore, mais « les compères » (puisqu'ils se nomment ainsi), viennent de réaliser 2 albums parmi les plus influents de l'histoire du rock (The Stooges, 1969, produit par John Cale, et Fun House, 1970, produit par Don Galluci).


David Bowie, lui, l'a compris, et remet en 1972 Iggy (qui souffre alors d'une solide dépendance à l'héroïne) et le groupe sur pied. Iggy refuse que Bowie produise leur nouvel album, mais celui-ci en mixera pourtant les bandes. Le disque s'intitule Raw Power (1973). James Williamson rejoint la formation, à la guitare, reléguant Ron Asheton à la basse. Celui-ci fulmine, et restera toujours persuadé que James Williamson a eu une influence néfaste sur Iggy et sur le groupe. C'est à cette époque que David lui compose China Girl, afin qu'il touche des droits, tant Iggy était près de la banqueroute.


L'album reçoit un accueil contrasté, certains le considérant comme le meilleur album des Stooges, tandis que d'autres se font un devoir de le détester, jugeant l'influence de Bowie sur le mixage trop envahissante. L'album sera d'ailleurs réédité en 1997, totalement remixé par Iggy.


Le groupe se déchire à nouveau de l'intérieur, les frères Asheton en particulier supportant mal qu'Iggy, consciemment ou pas, les délaisse pour James Williamson et tire la couverture à lui, au point de changer le nom du groupe ("Iggy And The Stooges") et de figurer seul sur la pochette de l'album. Avant d'avoir eu le temps de terminer un quatrième album (dont les démos sortiront plus tard sous le nom de Open Up and Bleed), le groupe se sépare à nouveau. Le dernier concert des Stooges sera fixé sur le disque, Metallic K.O., complètement inaudible et pourtant parfois considéré comme un mètre-étalon en la matière. Iggy Pop y apparaît lessivé, voire dépassé, tandis que des canettes de bières lancées par des bikers en colère s'explosent sur la scène et les instruments.

 

The Passenger



Les concerts, effectués dans un premier temps dans des salles minuscules, produisent une forte impression sur le public qui n'a jamais entendu une musique aussi brutale. Le son est dur et rappelle celui des garages de Détroit (la Motor City). Quand le groupe signe chez Elektra (le label des Doors et de Love), en 1968, il s'appelle désormais simplement "The Stooges". Quant à l'Iguane, il adopte définitivement son nouveau nom de scène : "Iggy Pop".


Sur scène Iggy, directement inspiré de Morrison, s'exhibe nu, se lacère, s'enduit de beurre de cacahuète, vomit sur son public. Il popularise un style à lui tout seul : le "stage-diving", ou "slam", qui consiste à se jeter dans le public et à le laisser porter par lui. Les plus belles prestations se terminent à l'hôpital.


Drogues et conflits d'intérêt auront une première fois raison du groupe. Ils ne le savent pas encore, mais « les compères » (puisqu'ils se nomment ainsi), viennent de réaliser 2 albums parmi les plus influents de l'histoire du rock (The Stooges, 1969, produit par John Cale, et Fun House, 1970, produit par Don Galluci).


David Bowie, lui, l'a compris, et remet en 1972 Iggy (qui souffre alors d'une solide dépendance à l'héroïne) et le groupe sur pied. Iggy refuse que Bowie produise leur nouvel album, mais celui-ci en mixera pourtant les bandes. Le disque s'intitule Raw Power (1973). James Williamson rejoint la formation, à la guitare, reléguant Ron Asheton à la basse. Celui-ci fulmine, et restera toujours persuadé que James Williamson a eu une influence néfaste sur Iggy et sur le groupe. C'est à cette époque que David lui compose China Girl, afin qu'il touche des droits, tant Iggy était près de la banqueroute.


L'album reçoit un accueil contrasté, certains le considérant comme le meilleur album des Stooges, tandis que d'autres se font un devoir de le détester, jugeant l'influence de Bowie sur le mixage trop envahissante. L'album sera d'ailleurs réédité en 1997, totalement remixé par Iggy.


Le groupe se déchire à nouveau de l'intérieur, les frères Asheton en particulier supportant mal qu'Iggy, consciemment ou pas, les délaisse pour James Williamson et tire la couverture à lui, au point de changer le nom du groupe ("Iggy And The Stooges") et de figurer seul sur la pochette de l'album. Avant d'avoir eu le temps de terminer un quatrième album (dont les démos sortiront plus tard sous le nom de Open Up and Bleed), le groupe se sépare à nouveau. Le dernier concert des Stooges sera fixé sur le disque, Metallic K.O., complètement inaudible et pourtant parfois considéré comme un mètre-étalon en la matière. Iggy Pop y apparaît lessivé, voire dépassé, tandis que des canettes de bières lancées par des bikers en colère s'explosent sur la scène et les instruments.

La suite est moins glorieuse. Iggy continue seul sa route, s'enfonce davantage dans la drogue, tente de s'improviser chanteur pour l'ex-Doors Ray Manzarek, vit dans la rue, se réveille dans son vomi, se mutile sur scène lors de performances artistiques extrêmes, perd ses dents dans une lutte avec des surfeurs, et enregistre, avec l'ex-Stooges James Williamson, un album (Kill City, 1976) qui sera refusé par toutes les maisons de disques. La déchéance est proche,Iggy tente alors de se libérer de son addiction à l'héroïne et passe 1 an dans un hopital psychiatrique. Après 1 an d'isolement forcé,Bowie l'emmène avec lui à Berlin pour la tournée de "Station to Station".


La complicité artistique entre ces deux garçons aux styles radicalement différents s'y développe. Entre Paris et Berlin, l'iguane et le caméléon composent, dans une transe accentuée par une nutrition à l'héroïne et aux saucisses. De leur travail naissent les deux premiers véritables albums solo d'Iggy Pop, The Idiot, puis Lust for Life, tous deux sortis en 1977 grâce au crédit de David Bowie qui lui demande de faire la voix sur son album Low. Avec ces deux albums et Kill City qui sort enfin (à mettre en parallèle avec la "trilogie berlinoise" de Bowie), Iggy Pop renoue enfin avec le succès.


En 1979 Abandonné un moment par David Bowie, Iggy voit ensuite son nouveau succès décroître rapidement. Il se rapproche à nouveau de James Williamson, rangé des guitares et de la défonce, et devenu producteur. Avec un son new wave, il compose trois albums où il revient à un style de musique beaucoup plus violent : New Values (1979), Soldier (1980) et Party (1981). Devant l'échec commercial de ces albums qui, malgré le contrôle artistique de la société de production, sont bien éloignés des goûts musicaux des consommateurs de l'époque, Iggy décide que son album suivant se fichera complètement des desiderata des maisons de disques : s'ensuit Zombie Birdhouse (1982), relative réussite artistique mais, une fois de plus, cuisant échec commercial.


La renaissance sera pour la troisième fois rendue possible par son vieil ami David Bowie. Au sommet de sa gloire au début des années 1980, celui-ci reprend sur ses albums quelques morceaux coécrits avec Iggy en 1977. Iggy touche du coup des tonnes de royalties, et, pour la première fois de sa vie, peut rembourser ses dettes. Enfin serein, Iggy décide de se poser, d'arrêter définitivement les excès, et de tenter de réaliser des albums plus ambitieux. Bowie le soutient et lui donne quelques coups de main pour la conception de son nouvel album, Blah Blah Blah (1986), qui se frotte avec succès au rock FM avec notamment la reprise de Real Wild Child. Le morceau deviendra d'ailleurs le premier tube de sa carrière.


Le succès se confirme à la fin des années 1980 avec Instinct (1988), album de hard rock mélancolique sans concessions, et dans les années 1990 avec le très commercial Brick by Brick (1990). Alors que celui-ci est enfin unanimement reconnu par les rock-critics, les musiciens grunge ne tardent pas à se revendiquer de l'héritage d'Iggy. Cette nouvelle vague musicale, Sonic Youth, Mudhoney et Nirvana en tête, lui donnent d'ailleurs l'envie de s'offrir une petite cure de jouvence, dont il ne semble pas encore revenu aujourd'hui. L'Iguane réunit autour de lui un nouveau groupe de jeunots, The Trolls, musiciens moyens mais fans enthousiastes du Maître, qui connaissent le répertoire des Stooges sur le bout des doigts.


On notera ensuite dans cette décennie le très ambitieux (et long) American Caesar (1993), le punk californien Naughty Little Doggie (1995), l'intimiste Avenue B. (1999) sur lequel Iggy exerce ses talents de crooner, et Beat Em Up (2001), un album résolument nu metal, probablement le plus radical (le plus opportuniste diront certains) de l'artiste.
En 2002, il renoue les liens avec les frères Asheton et le saxophoniste Steven Mackay, à l'occasion de quelques concerts et de l'enregistrement de quatre chansons sur son dernier album en date avec les Trolls, Skull Ring (2003). Près de 30 ans après, les Stooges sont donc à nouveau réuni avec leur line-up originel (le bassiste Dave Alexander, décédé en 1975, est néanmoins remplacé par Mike Watt), et se lancent à l'assaut des scènes du monde entier, sous le nom de "Iggy And The Stooges".
En 2005 sortent d'ailleurs simultanément Telluric Chaos, un concert capté le 22 mars 2004 au Shibuya Axe, à Tokyo, et A Million In Prizes, un double best-of compilant tous les plus grands succès de l'Iguane en solo et avec les Stooges. Un DVD d'une performance live des Stooges, Live in Detroit, voit également le jour. Iggy Pop apparait même dans un spot de pub pour l'opérateur téléphonique SFR, chantant la chanson des Stooges "I Wanna Be Your Dog".


Début octobre 2006, les Stooges réunis sous le nom d'Iggy And The Stooges entrent en studio en Floride avec le producteur Steve Albini pour une suite à leur précédente collaboration, Raw Power. L'album, The Weirdness, sort en mars 2007, et permet au groupe d'entamer une véritable tournée mondiale.


Le 15 septembre 2007, Iggy Pop et les Stooges se produisent en France à la Fête de l'Humanité.

Ron Asheton a été retrouvé mort le 6 janvier 2009 ; Iggy Pop a sorti un album intitulé Preliminaires. Sorti le 18 mai 2009, l'album s'inspire de La Possibilité d'une île de Michel Houellebecq. Marjane Satrapi dessine la couverture de l'album.
Iggy a également annoncé que les Stooges sont toujours vivants, évoquant la possibilité que Steve Jones ex-Sex Pistols intègre le groupe pour remplacer Ron Asheton. Dans une interview récente, Iggy Pop évoque également le fait que James Williamson, guitariste à l'époque de l'album Raw Power ait été contacté pour remplacer Ron Asheton.


Iggy Pop chante un morceau sur Slash & Friends, l'album solo du guitariste Slash à paraître en février 2010

Iggy Pop a fait de nombreuses apparitions au cinéma, notamment chez Jim Jarmusch (Dead Man, 1995, et Coffee and Cigarettes, 2004). On le voit aussi partager l'affiche aux côtés de Johnny Depp dans Cry-Baby (1990), de John Waters, ou encore The Crow : City of Angels (1996) de Tim Pope.


Il participe également à des B.O., et notamment celle d' Arizona Dream en (1993), de Emir Kusturica. Il interprète le single In the death car, qui recueillit un succès commercial à l'échelle internationale. Depuis, il a également composé et chanté le générique du dessin animé français Les Zinzins de l'espace, crée par Jean-Yves Raimbaud et Philippe Traversat.


Il réalise avec Lemmy Kilmister de Motorhead la B.O. de "M.A.R.K 13" appelé aussi Hardware et sorti en 1990, film de Richard Stanley. Il y joue un petit mais très marquant rôle.


Il fait une apparition dans Bam's unholy union, le parcours du mariage de Bam Margera
Un film sur Iggy Pop est actuellement en préparation. Il devrait s'appeler The Passenger. Elijah Wood devrait y incarner l'Iguane, tandis que la réalisation a été confiée à Nick Gomez, venu du monde de la télé.
Il a aussi tenu un petit rôle dans les séries télévisées "Pete et Pete" et Fastlane


Discographie 


Iggy Pop en 1987 Avec The Stooges 
The Stooges (1969) 
Fun House (1970) 
Raw Power (1973) 
Metallic KO (1976) (en concert) 
Skull Ring (2003) (quatre morceaux avec The Stooges) 
Telluric Chaos (2005) (en concert) 
The Weirdness (2007) 

En solo 


The Idiot (1977) 
Lust for Life (1977) 
Kill City (1977) (avec James Williamson) 
TV Eye Live 1977 (1978) (en concert) 
New Values (1979) 
Soldier (1980) 
Party (1981) 
Zombie Birdhouse (1982) 
Blah Blah Blah (1986) 
Instinct (1988) 
Brick by Brick (1990) 
American Caesar (1993) 
Naughty Little Doggie (1996) 
Avenue B (1999) 
Beat 'Em Up (2001) 
Skull Ring (2003) 
Préliminaires (2009) 

Compilations


Nude & Rude : The best of Iggy Pop (1996) (compilation) 
A Million In Prizes - The Anthology (2005) (compilation) 
Where The Faces Shine - Volume 1 : The Official Live Experience 1977-1981 (2006) (compilation live)

 

 
 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Iggy_Pop

 
     
Notes et références                                                    
   
   
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Ilona Mitrecey

Publié à 20:47 par dessinsagogo55 Tags : bébé sur blog center maison france monde musique

 

Ilona Mitrecey est une jeune chanteuse française née le 1er septembre 1993 à Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine). Ses chansons sont destinées au public des pré-adolescents, voire des très jeunes.
Son CD single Un monde parfait, titre enfantin sur des rythmes techno, sorti le 28 février 2005 est devenu, en mars 2005, numéro 1 des ventes en France.
Son deuxième single, C'est les vacances, est sorti en juin 2005 et son troisième single, Dans ma fusée, en octobre 2005. Ce même mois paraissait son premier album, Un monde parfait.
Elle chante également en duo avec sa petite sœur Maïlis, notamment le titre On s'adore que l'on retrouve dans son album Laissez-nous respirer. Dans ce même album, on trouve la chanson L'éléphant blanc qu'elle a dédiée au professeur Alain Deloche, président de l'association La Chaîne de l'Espoir dont elle est une des marraines. Elle a chanté aussi pour plusieurs publicités.
Ilona Mitrecey suit sa scolarité dans un lycée de Neuilly-sur-Seine, dans les Hauts-de-Seine. Son père, Dan (Daniel Mitrecey), a été chanteur du groupe de Canal+ et a composé la musique de certains films de Max Pécas et sa mère, Sylvie Gauthier , travaille aux éditions Michel Lafon.
Jean-Pierre Mitrecey qui a créé les épreuves du jeu Fort Boyard est l'oncle d'Ilona, et Rachid Arhab est son beau-père.
Après de nombreux succès en singles et 2 albums, les productions d'Ilona se font plus rares voire inexistante depuis l'été 2007. Le site officiel a fermé ses portes, preuve d'un certain détachement de la part des producteurs et de sa maison de disque.
Bien que n'ayant proposé que très peu de prestations télévisuelles ou scéniques, Ilona sera la seule chanteuse représentant physiquement un personnage virtuel et aura indéniablement ouvert la voix à d'autres productions proposant le même style de chansons, comme Bébé Lilly ou encore Pigloo qui eux, n'auront pas de représentant 'physique' de leurs chansons.
Par l'instrumentation autant que par le contenu des paroles, Ilona incarne un minimalisme techno qui avait d'abord trouvé son public dans les milieux underground. Les producteurs d'Ilona ont fait une chanson dont l'instrumentation pourrait être réalisée sur un synthétiseur des années 1970 (comme ceux de Kraftwerk) mais ce qu'Ilona chante est d'une simplicité déconcertante. Ses chansons rencontrent un grand succès en Allemagne, où la musique électronique fait recette. Elle a pris le rythme de sa première chanson d'une chanson russe aussi interprétée par les jumelles Tolmachevy dans une chanson nommée Katyusha.



Discographie
Un monde parfait (single et maxi): sorti le 25 février 2005. 
- Le Single s'est vendu à plus de 1 500 000 exemplaires en France (Meilleure Vente Single de l'Année 2005).

C'est les vacances (single et maxi): sorti le 20 juin 2005 
Dans ma fusée (single): sorti le 10 octobre 2005 
Noël, que du bonheur (single): sorti le 5 décembre 2005 
Un monde parfait (album): sorti le 10 octobre 2005 
Allo allo (single): sorti le 3 avril 2006 
Laissez nous respirer (single et album): sorti le 20 novembre 2006 
Chiquitas (single): sorti le 2 avril 2007 


DVD 
Un monde parfait : sorti le 5 décembre 2005 

Albums 
Année Information Classement des ventes 
France Belgique Suisse Portugal 
2005 Un monde parfait 
1er album studio 
Date de sortie : 10 octobre 2005 

2006 Laissez-nous respirer 
2e album studio 
Date de sortie : 20 novembre 2006 


Singles
Année Single 

2005 "Un monde parfait" 
"C'est les vacances" 
"Dans ma fusée" 
"Noël, que du bonheur"
2006 "Allo allo" 
"Laissez-nous respirer" 
"Chiquitas" 

Parodie
Une parodie a été faite en 2005 par l'émission Le 6/9 sur NRJ.