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allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Annie Girardot (Annie Suzanne Girardot) est une actrice française,
née le 25 octobre 1931 à Paris (10e) et morte dans cette ville le 28 février 2011
Elle suit des études d'infirmière à Caen pour être sage-femme comme sa mère . Mais , rapidement , elle se consacre à sa passion , la comédie . Élève au conservatoire de la rue Blanche dès 1949 , Annie Girardot fait , parallèlement , des apparitions , le soir , dans des cabarets . . .
Elle obtient son premier grand rôle en 1955 dans" treize à table " Taille 1m63
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Mise à jour :2/07/2020 |
Ses premières apparitions au cinéma sont moins éclatantes, dans des films mineurs, mais elle tient remarquablement tête à Jean Gabin dans deux bonnes séries noires : Le rouge est mis et Maigret tend un piège.
Elle démissionne finalement en 1960 du Français à contrecœur pour se consacrer essentiellement au cinéma et tourner pour le film de Luchino Visconti, Rocco et ses frères, qui fait d'elle une star, aux côtés d'autres débutants tels que Alain Delon (qui restera à jamais un ami fidèle de la comédienne), Renato Salvatori ou Claudia Cardinale. Mais, sur les planches, elle sera encore dirigée par le réalisateur italien pour Deux sur la balançoire aux côtés de Jean Marais. Elle connaît un triomphe, en 1974, avec Madame Marguerite, qui devient son rôle-fétiche, qu'elle reprendra plusieurs fois jusqu'en 2002.
Dans les années 1960, Annie Girardot n'est pas sollicitée par les réalisateurs de la Nouvelle Vague, mais tourne avec des réalisateurs confirmés comme Alexandre Astruc (La Proie pour l'ombre), Roger Vadim (Le Vice et la Vertu, avec la débutante Catherine Deneuve), Gérard Oury (Le crime ne paie pas) ou encore Marcel Carné (Trois chambres à Manhattan). C'est d'ailleurs sur le tournage de ce dernier film qu'a débuté Robert de Niro, qui dira d'Annie Girardot : « Elle est la plus belle femelle mec que je connaisse »
Partageant sa vie entre la France et l'Italie, Annie Girardot tourne également avec de nombreux réalisateurs italiens comme Marco Ferreri, qui lui fera tenir le rôle surprenant d'une femme singe, phénomène de foire, dans Le Mari de la femme à barbe, film audacieux qui provoquera un scandale lors de sa présentation au Festival de Cannes 1964. Elle tourne aussi avec Mario Monicelli (Les Camarades, avec Marcello Mastroianni) et les frères Taviani (Les Hors-la-loi du mariage).
En 1971 sort Mourir d'aimer, film d'André Cayatte, qui va révolutionner la carrière de la comédienne. Inspiré de l'affaire Gabrielle Russier, ce film raconte l'histoire d'amour entre une enseignante et un des élèves lycéen ; une histoire dérangeante qui fera l'objet d'un procès retentissant et conduira l'enseignante au suicide. Ce film est un énorme succès avec près de six millions d'entrées en France, mais ne plaît pas à tout le monde. Ainsi, François Truffaut écrit une lettre ouverte, dénonçant la façon très démagogique, selon lui, avec laquelle André Cayatte a traité cette affaire. Ce rôle reste cependant comme l'un des plus marquants de la comédienne, lui assurant même une reconnaissance internationale.
À partir de là, elle devient l'actrice française la plus populaire, alternant comédies et mélodrames, n'hésitant pas, à l'occasion, à aider de jeunes cinéastes à tourner leur premier film. Grâce à elle, et à Philippe Noiret, surgit l'une des comédies les plus insolites de cette époque, La Vieille Fille, en 1971, signée Jean-Pierre Blanc. Le spécialiste des comédies Serge Korber l'engage pour son prémier drame, Les feux de la Chandeleur en 1972, où elle incarne une mère de deux enfants adultes (Claude Jade, Bernard Le Coq) qui tente de reconquérir son ex-mari (Jean Rochefort). De Vivre pour vivre en 1967 à On a volé la cuisse de Jupiter en 1980, Annie Girardot a contribué grâce à son interprétation de « femme normale et populaire » à imposer vingt films millionnaires au box-office. D'ailleurs, à cette époque, à chaque sortie d'un nouveau film, on allait voir « la Girardot » au cinéma : à la fin des années 1970, elle est l'actrice la mieux payée et la star préférée des Français.
Sa rencontre avec Michel Audiard sera déterminante dans sa carrière. Le dialoguiste fera d'elle une des principales interprètes de ses films lorsqu'il passe à la réalisation. Ainsi devient-elle une femme de ménage trop bavarde dans Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause ! puis une femme régnant sur un bidonville et spécialisée dans le trafic de saintes reliques dans Elle cause plus, elle flingue. Il lui ouvre alors les portes de la comédie, elle qui jusqu'alors été cantonnée aux rôles plus dramatiques.
En 1974, elle remporte un énorme succès au box-office dans La Gifle de Claude Pinoteau. Dans ce film, elle incarne l'ex-femme de Lino Ventura et la mère d'une débutante nommée Isabelle Adjani. Sa maîtrise approximative de l'anglais donnera lieu à quelques scènes et répliques cultes dans le film.
Elle reçoit, en 1977, le César de la meilleure actrice pour Docteur Françoise Gailland de Jean-Louis Bertucelli, autre film marquant dans la carrière de la comédienne. Elle y incarne une femme médecin luttant contre un cancer des poumons.
En 1978, elle partage l'affiche de La Zizanie de Claude Zidi avec un acteur pour lequel elle a une immense admiration : Louis de Funès. Les deux acteurs rêvaient de tourner ensemble depuis quelques années. Ce sera malheureusement leur unique collaboration.
Durant les années 1970, elle forme avec Philippe Noiret, rencontré sur Le Rendez-vous en 1961, un véritable couple de cinéma. Ensemble, ils tourneront, La Vieille Fille en 1971, La Mandarine en 1972, Tendre poulet en 1977 et On a volé la cuisse de Jupiter en 1980 (ils seront également tous les deux à l'affiche de Souvenirs, souvenirs en 1984 mais ils n'ont aucune scène commune). Ils devaient se retrouver en 2001 dans un film de Bertrand Blier intitulé Tête de nœud, mais le film ne verra jamais le jour.
La gouaille d'Annie Girardot est souvent mise au service de films mettant en avant les femmes et le féminisme, et elle incarne alors cette cause en interprétant une série de rôles qui jouent sur le décalage de personnages assumant des métiers d'ordinaire réservés aux hommes : médecin, chauffeur de taxi, reporter-photographe, commissaire de police, etc. À travers ses rôles, elle défend des causes comme la lutte contre le cancer, le droit à l'avortement, le droit à la parité.
En 1979, elle est de nouveau nommée aux Césars, dans la catégorie meilleure actrice, pour le film La Clé sur la porte d'Yves Boisset. Fatiguée d'endosser toujours les mêmes rôles, Annie Girardot désire faire une pause dans sa carrière cinématographique. Elle commence par tenir une rubrique à la radio en 1981 dans une émission de Stéphane Collaro sur Europe 1. Tous les jours, dans Paroles de femmes, elle fait le récit d'aventures quotidiennes exceptionnelles, drôles, inquiétantes ou émouvantes, réellement arrivées à des femmes.
Puis, l'actrice décide de se lancer dans l'enregistrement d'un disque. C'est Bob Decout qui est chargé d'en écrire les chansons. Il devient finalement le compagnon de l'actrice en 1981. Cette relation l'entraîne vers un univers différent : la musique. Elle chante lors d'une émission de Jacques Chancel, puis monte avec Bob Decout un spectacle musical intitulé Revue et corrigée sur des musiques de Catherine Lara et avec des costumes de Jean-Paul Gaultier au Casino de Paris (alors en passe d'être transformé en parking). Considérée comme bancale, la production ne trouve pas de financement et Annie Girardot doit hypothéquer son appartement de la place des Vosges. Le spectacle est un fiasco et ne reste qu'un mois à l'affiche. Girardot enchaîne avec une pièce de théâtre et un film qui ne fonctionnent pas plus. Ces échecs la plongent dans un grand désarroi moral et financier, accentués par le décès de sa mère et les problèmes de drogue de sa fille.
Annie Girardot se tourne alors davantage vers le théâtre, jouant ainsi L'Avare de Molière aux côtés de son ami Michel Serrault, Première Jeunesse avec Odette Joyeux, ou encore Le roi se meurt de Ionesco avec Daniel Ivernel. En 1987, la télévision lui permet de retrouver le chemin des plateaux. Elle devient la vedette de la toute première saga de l'été diffusée sur TF1 : Le Vent des moissons. Le succès est immense et l'année suivante, c'est elle joue dans une nouvelle saga, Orages d'été, aux côtés de Patachou. Dès lors, elle tournera de nombreux téléfilms, assurant à chaque fois aux chaînes de télévision de beaux succès d'audience.
Au début des années 1990, les propositions se font rares, seule sa participation au film de Bertrand Blier, Merci la vie, se faisant remarquer. Elle tourne également pour Gérard Mordillat (Toujours seuls) et incarne la mère farfelue de Catherine Jacob dans la comédie Les Braqueuses de Jean-Paul Salomé, en 1994.
En 1974, elle remporte un énorme succès au box-office dans La Gifle de Claude Pinoteau. Dans ce film, elle incarne l'ex-femme de Lino Ventura et la mère d'une débutante nommée Isabelle Adjani. Sa maîtrise approximative de l'anglais donnera lieu à quelques scènes et répliques cultes dans le film.
Elle reçoit, en 1977, le César de la meilleure actrice pour Docteur Françoise Gailland de Jean-Louis Bertucelli, autre film marquant dans la carrière de la comédienne. Elle y incarne une femme médecin luttant contre un cancer des poumons.
En 1978, elle partage l'affiche de La Zizanie de Claude Zidi avec un acteur pour lequel elle a une immense admiration : Louis de Funès. Les deux acteurs rêvaient de tourner ensemble depuis quelques années. Ce sera malheureusement leur unique collaboration.
Durant les années 1970, elle forme avec Philippe Noiret, rencontré sur Le Rendez-vous en 1961, un véritable couple de cinéma. Ensemble, ils tourneront, La Vieille Fille en 1971, La Mandarine en 1972, Tendre poulet en 1977 et On a volé la cuisse de Jupiter en 1980 (ils seront également tous les deux à l'affiche de Souvenirs, souvenirs en 1984 mais ils n'ont aucune scène commune). Ils devaient se retrouver en 2001 dans un film de Bertrand Blier intitulé Tête de nœud, mais le film ne verra jamais le jour.
La gouaille d'Annie Girardot est souvent mise au service de films mettant en avant les femmes et le féminisme, et elle incarne alors cette cause en interprétant une série de rôles qui jouent sur le décalage de personnages assumant des métiers d'ordinaire réservés aux hommes : médecin, chauffeur de taxi, reporter-photographe, commissaire de police, etc. À travers ses rôles, elle défend des causes comme la lutte contre le cancer, le droit à l'avortement, le droit à la parité.
En 1979, elle est de nouveau nommée aux Césars, dans la catégorie meilleure actrice, pour le film La Clé sur la porte d'Yves Boisset. Fatiguée d'endosser toujours les mêmes rôles, Annie Girardot désire faire une pause dans sa carrière cinématographique. Elle commence par tenir une rubrique à la radio en 1981 dans une émission de Stéphane Collaro sur Europe 1. Tous les jours, dans Paroles de femmes, elle fait le récit d'aventures quotidiennes exceptionnelles, drôles, inquiétantes ou émouvantes, réellement arrivées à des femmes.
Puis, l'actrice décide de se lancer dans l'enregistrement d'un disque. C'est Bob Decout qui est chargé d'en écrire les chansons. Il devient finalement le compagnon de l'actrice en 1981. Cette relation l'entraîne vers un univers différent : la musique. Elle chante lors d'une émission de Jacques Chancel, puis monte avec Bob Decout un spectacle musical intitulé Revue et corrigée sur des musiques de Catherine Lara et avec des costumes de Jean-Paul Gaultier au Casino de Paris (alors en passe d'être transformé en parking). Considérée comme bancale, la production ne trouve pas de financement et Annie Girardot doit hypothéquer son appartement de la place des Vosges. Le spectacle est un fiasco et ne reste qu'un mois à l'affiche. Girardot enchaîne avec une pièce de théâtre et un film qui ne fonctionnent pas plus. Ces échecs la plongent dans un grand désarroi moral et financier, accentués par le décès de sa mère et les problèmes de drogue de sa fille.
Annie Girardot se tourne alors davantage vers le théâtre, jouant ainsi L'Avare de Molière aux côtés de son ami Michel Serrault, Première Jeunesse avec Odette Joyeux, ou encore Le roi se meurt de Ionesco avec Daniel Ivernel. En 1987, la télévision lui permet de retrouver le chemin des plateaux. Elle devient la vedette de la toute première saga de l'été diffusée sur TF1 : Le Vent des moissons. Le succès est immense et l'année suivante, c'est elle joue dans une nouvelle saga, Orages d'été, aux côtés de Patachou. Dès lors, elle tournera de nombreux téléfilms, assurant à chaque fois aux chaînes de télévision de beaux succès d'audience.
Au début des années 1990, les propositions se font rares, seule sa participation au film de Bertrand Blier, Merci la vie, se faisant remarquer. Elle tourne également pour Gérard Mordillat (Toujours seuls) et incarne la mère farfelue de Catherine Jacob dans la comédie Les Braqueuses de Jean-Paul Salomé, en 1994.
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Après une traversée du désert de plusieurs années, l'obtention en 1996 du César de la meilleure actrice dans un second rôle, pour Les Misérables, de Claude Lelouch, lui permet de « retrouver sa place ». Lors de la remise de son César à la 21e cérémonie, les larmes aux yeux, elle provoque l'émotion avec ces paroles : « Je ne sais pas si j'ai manqué au cinéma français, mais à moi, le cinéma français a manqué follement... éperdument... douloureusement. Et votre témoignage, votre amour, me font penser que peut-être, je dis bien peut-être, je ne suis pas encore tout à fait morte. ». L'année suivante, elle est la présidente de la 22e cérémonie.
En 2002, elle remporte à nouveau le César de la meilleure actrice dans un second rôle, pour son interprétation de la mère castratrice d'Isabelle Huppert (qui avait déjà joué sa fille dans Docteur Françoise Gailland) dans La Pianiste de Michael Haneke. Michael Haneke fera de nouveau appel à elle en 2005 pour incarner la mère de Daniel Auteuil dans Caché.
La fin des années 2000 sera marquée par de petits rôles dans quelques films (Le Temps des porte-plumes avec Jean-Paul Rouve, Boxes avec Jane Birkin).
Le 20 septembre 2006, on apprend par son avocat Me Emmanuel Asmar, chargé de ses intérêts, qu'Annie Girardot est atteinte de la maladie d'Alzheimer, ce que confirme l'édition du 21 septembre de l'hebdomadaire Paris Match, dans lequel la fille, Giulia Salvatori, et la petite-fille de l'actrice, Lola Vogel, révèlent sa maladie.
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Malgré cela, la comédienne continue à jouer au théâtre : de 2001 à 2003, elle reprend la pièce Madame Marguerite à Paris et en tournée, et, pour pallier les éventuels trous de mémoire, elle est équipée d'une oreillette destinée à lui souffler son texte. C'est avec ce même procédé qu'elle continuera à participer au tournage de plusieurs films comme Je préfère qu'on reste amis... (2005), où elle interprète - ironie du sort - une femme atteinte de la maladie d'Alzheimer. Les rôles sont plus courts et adaptés (peu de scènes physiques), mais les réalisateurs sont conciliants. La comédienne « revit » lorsqu'elle est sur un plateau de tournage et, le temps d'une scène, la maladie s'efface.
En 2007, sa fille Giulia Salvatori publie, avec le journaliste Jean-Michel Caradec'h, une biographie intitulée La Mémoire de ma mère (éditions Michel Lafon), où elle consigne les souvenirs de sa mère.
À partir de 2008, Annie Girardot vit dans une maison médicalisée de Paris. Le 21 septembre 2008, TF1 diffuse Annie Girardot, ainsi va la vie, un film documentaire de Nicolas Baulieu filmant huit mois de sa vie, avec Claire Keim en voix off. On y découvre sa vision du passé et les effets de la maladie.
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Golden Globes 2013 : Anne Hathaway en Chanel Couture
Publié le 14 janvier 2013 par Justine Feutry et Mélissa Brion
Anne Hathaway en robe blanche Chanel Couture
Décidément, Anne Hathaway n'en finit plus de conquérir Hollywood. Après une prestation remarquée dans le dernier opus de Batman, la jeune femme a été primée pour son rôle dans le film Les Misérables. Une récompense qu'elle aurait pu recevoir également pour sa sublime tenue immaculée signée Chanel Couture et sa coup garçonne qui lui va à ravir.
Anne Parillaud, née le 6 mai 1960 à Paris, est une actrice française.
Enfant, Anne Parillaud voulait devenir avocate. Mais sa mère a préféré l'inscrire à des cours de théâtre et de danse pour améliorer sa diction et son allure.
En 1977 elle est repérée pour jouer un petit rôle dans le film Un amour de sable de Christian Lara. Elle enchaîne alors sur un autre petit rôle dans L'Hôtel de la plage de Michel Lang, qui remporte un grand succès.
En 1980 elle joue dans Patricia, un voyage pour l'amour, un film érotique allemand sorti en salle en France trois ans plus tard. A la même époque, Just Jaeckin la dirige dans Girls. La débutante figure également à l'ombre de Catherine Deneuve dans Écoute voir de l'Argentin Hugo Santiago.
En 1981 et en 1983, Alain Delon lui propose de jouer dans deux films qu'il a écrits : Pour la peau d'un flic et Le Battant.
Les années suivantes Anne Parillaud se tourne vers la télévision, travaillant avec les réalisateurs Jean-Daniel Simon et Robert Mazoyer, les acteurs Jean-François Garreaud, Claude Giraud, Jacques Perrin, croisant pour la première fois Jeanne Moreau dans une adaptation de Françoise Dorin.
Après sa participation au film de l'Italien Ettore Scola Quelle heure est-il ?, en 1990 Nikita, réalisé par son conjoint de l'époque Luc Besson, qui a écrit le rôle spécialement pour elle, lui fait connaître un triomphe international. Sa prestation lui vaut le César de la meilleure actrice.
En 1992, elle part aux États-Unis pour interpréter un vampire dans Innocent Blood de John Landis. Parillaud travaillera par la suite régulièrement pour les Américains, incarnant la reine Anne d'Autriche, mère de Louis XIV joué par Leonardo DiCaprio, dans L'Homme au masque de fer, en 1998, partenaire ailleurs de Matt Dillon ou William Baldwin.
En France, elle joue dans les drames À la folie de Diane Kurys, face à Béatrice Dalle, et Passage à l'acte de Francis Girod, avec Daniel Auteuil et Patrick Timsit. Plus tard, Claude Lelouch lui propose un des rôles principaux de Une pour toutes. Mais le succès n'est pas au rendez-vous.
Anne poursuit une carrière internationale, travaillant avec Raoul Ruiz, Amos Gitaï, Alfonso Arau.
Au début des années 2000, Anne Parillaud partage l'affiche avec Grégoire Colin de Sex is comedy, rencontre marquante avec Catherine Breillat, et avec Richard Anconina dans Gangsters, écrit et réalisé par Olivier Marchal.
Dans un registre plus léger, en 2004 elle forme un trio d'amies avec Mathilde Seigner et Judith Godrèche dans la comédie Tout pour plaire, et en 2007 elle est la compagne de Pierre Cassignard, face à Sandrine Bonnaire et Pascal Légitimus, dans une autre comédie, Demandez la permission aux enfants !.
En 2007 également, elle joue le personnage de Madame de Solcy dans Une vieille maîtresse de Catherine Breillat, d'après le roman de Barbey d'Aurevilly - Asia Argento joue le rôle titre. Deux ans plus tard, elle interprète pour la télévision Marie-Madeleine de Brinvilliers, mise en scène par Édouard Niermans, sur un scénario de Catherine Hermary-Vieille.
Le 14 mai 2005 elle a épousé le compositeur Jean Michel Jarre, avec lequel elle collabore : d'abord pour le DVD AERO, puis, en 2007, sa voix est utilisée dans le titre Beautiful Agony de l'album Téo et Téa.
Fin novembre 2010, Jean-Michel Jarre annonce leur prochain divorce sans vraiment avertir son épouse. Anne Parillaud, douloureusement choquée, n'a pas apprécié.
Hanne Karin Bayer, dite Anna Karina, née le 22 septembre 1940 à Frederiksberg Solbjerg au Danemark et morte le 14 décembre 2019 à Paris, est une actrice, chanteuse et écrivaine française d'origine danoise.
Elle est principalement connue pour ses rôles dans les films de Jean-Luc Godard entre 1960 et 1967 et pour sa carrière de chanteuse, notamment aux côtés de Serge Gainsbourg (Sous le soleil exactement) et de Philippe Katerine.
Elle commence sa carrière au Danemark, où elle chante dans des cabarets, travaille comme mannequin et joue dans des publicités et des courts métrages. Elle vient à Paris à l'âge de dix-sept ans et y rencontre Coco Chanel qui lui invente son nom Anna Karina. C'est à cette époque qu'elle est repérée par Jean-Luc Godard, alors journaliste aux Cahiers du cinéma, avec lequel elle se marie en 1960. En 1968, elle divorce de Godard et se marie avec Pierre Fabre. En 1974, elle divorce de ce dernier, pour épouser quatre ans plus tard Daniel Duval. Ils divorcent en 1981 et, l'année suivante, elle se remarie avec Dennis Berry.
En 1959, elle refuse un rôle important dans À bout de souffle parce qu'il comprenait une scène dénudée. Son personnage disparaîtra finalement du film. Malgré ce refus, Anna Karina jouera dans nombre de films de Jean-Luc Godard. Ils se marient peu de temps après le tournage du Petit Soldat (1960). En 1961, elle obtient le prix de la meilleure actrice au festival de Berlin pour son interprétation du personnage d'Angela dans le film Une femme est une femme.
La carrière d'Anna Karina ne se limite pas aux films de Jean-Luc Godard, et elle obtient nombre de succès dans ceux d'autres réalisateurs. Sa prestation dans Suzanne Simonin, la Religieuse de Diderot (1967) de Jacques Rivette est même considérée par certains comme la meilleure de sa carrière. Anna Karina sera dirigée par Luchino Visconti dans L'Étranger (aux côtés de Marcello Mastroianni), mais aussi par George Cukor, Volker Schlöndorff, Rainer Werner Fassbinder, Raoul Ruiz ou encore Jonathan Demme.
En 1973 elle fait ses débuts de réalisatrice dans Vivre Ensemble dans lequel elle joue également. Elle écrit et joue également dans Last Song en 1987. Plus récemment elle est apparue dans Haut, Bas, Fragile (1996) de Jacques Rivette et chante dans La Vérité sur Charlie (The Truth About Charlie).
En 2007, elle réalise un road-movie nommé Victoria à Montréal, à Québec et au Saguenay–Lac-Saint-Jean dans lequel elle interprète le rôle principal aux côtés du jeune comédien Woodson Louis, du chanteur Jean-François Moran et d'Emmanuel Reichenbach. Ce long-métrage a été produit par la cinéaste canadienne Hejer Charf (Nadja Productions Inc). C'est Philippe Katerine qui compose la musique du film.
Parallèlement, Anna Karina a mené une carrière de chanteuse. En 1967, elle rencontre un grand succès avec Sous le soleil exactement et Roller Girl. Ces titres sont extraits de la comédie musicale Anna de Serge Gainsbourg. Elle y chante sept morceaux aux côtés de Serge Gainsbourg et de Jean-Claude Brialy. Elle se produit au Palace dans les années 1980. En 1999, elle a enregistré avec Philippe Katerine un album intitulé Une histoire d'amour. Le disque sort en 2000 et sera suivi d'une tournée dans les principaux festivals en France et à l'étranger. Anna Karina s'est produite également sur la scène du Printemps de Bourges 2006 pour un hommage à Serge Gainsbourg.
Elle a écrit quatre romans et fait quelques apparitions dans des téléfilms.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Anna_Karina | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Anna Karina | |||||||||||||||||||||||||||
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Anna Karina est morte à l'âge de 79 ans | |||||||||||||||||||||||||||
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Ann Dvorak est une actrice américaine, née Anna McKim le 2 août 1912 à New York (État de New York), morte le 10 décembre 1979 à Honolulu (Hawaii).
Fille de l'actrice de muet Anna Lehr (en), Ann Dvorak apparaît pour la première fois au cinéma à quatre ans, dans le film américain Ramona (1916). Elle commença à travailler pour la MGM à la fin des années 1920 comme professeur de danse puis tourna dans des films comme choriste. Son amie Joan Crawford la présenta à Howard Hughes, qui en fit une actrice dramatique. Elle se révéla au grand public dans Scarface (1932), dans le rôle de la sœur de Paul Muni ; puis elle connut le succès avec Une allumette pour trois (1932) dans le rôle tragique de Vivian, aux côtés de Joan Blondell et de Bette Davis ; dans Love Is a Racket (1932) ; et dans Sky Devils (1932) où elle donne la répartie à Spencer Tracy.
Réputée pour son style et son élégance, elle était l'une des stars de la Warner Brothers dans les années 1930, et tint les premiers rôles dans plusieurs films sentimentaux et mélodrames. Elle mit un terme à son contrat lorsqu'elle apprit que l'enfant qui jouait son fils dans Une allumette pour trois recevait le même cachet qu'elle. Elle se produisit désormais elle-même, mais si elle trouva toujours des rôles à jouer, la qualité des scripts déclina rapidement. On la retrouve ainsi comme la secrétaire Della Street dans un épisode de Perry Mason par Donald Woods (The Case of the Stuttering Bishop, 1937). Elle se produisait également sur les planches à Broadway. Plus tard, mariée un temps à l'acteur et réalisateur britannique Leslie Fenton, elle tournera ainsi une poign ée de films au Royaume-Uni, tout en participant à l'effort de guerre comme ambulancière, Son interprétation d'entraîneuse de saloon dans Règlement de comptes à Abilene Town (1946) est inoubliable.
Après un dernier film en 1951 et quelques séries pour la télévision de 1950 à 1952, elle met un terme définitif à sa carrière, à la suite de son mariage avec son troisième et ultime époux, Nicholas Wade († 1975). Elle passa ses années de retraite dans l'anonymat et mourut d'un cancer de l'estomac à Honolulu.
Outre "Ann Dvorak", elle est quelquefois créditée (à ses débuts) "Anna Lehr" ou "Baby Anna Lehr" ou encore "Ann McKim".
Une étoile lui est dédiée sur le Walk of Fame d'Hollywood Boulevard.
Filmographie partielle
1916 : Ramona de Donald Crisp
1917 : The Man Hater d'Albert Parker
1920 : The Five Dollar Plate de J. Gordon Cooper et Carl Harbaugh (Court métrage)
1931 : This Modern Age de Nick Grinde (non créditée)
1932 : Sky Devils de A. Edward Sutherland
1932 : Scarface de Howard Hawks
1932 : The Crowd Roars de Howard Hawks
1932 : The Strange Love of Molly Louvain de Michael Curtiz
1932 : Love is a Racket de William A. Wellman
1932 : Crooner de Lloyd Bacon
1932 : Une allumette pour trois (Three on a Match) de Mervyn LeRoy
1933 : The Way to Love de Norman Taurog
1933 : College Coach de William A. Wellman
1934 : Massacre d'Alan Crosland
1934 : Heat Lightning de Mervyn LeRoy
1934 : Midnight Alibi d'Alan Crosland
1934 : Femme d'intérieur (Housewife) d'Alfred E. Green
1934 : Side Streets d'Alfred E. Green
1934 : I sell anything de Robert Florey
1935 : Sweet Music d'Alfred E. Green
1935 : Les Hors-la-loi ('G' Men) de William Keighley
1935 : Dans le décor (Bright Lights) de Busby Berkeley
1935 : Dr. Socrates de William Dieterle
1937 : We who are about to die de Christy Cabanne
1937 : She's no Lady de Charles Vidor
1938 : Madame et son clochard (Merrily we live) de Norman Z. McLeod
1939 : L'Étrange rêve (Blind Alley) de Charles Vidor
1939 : Stronger than Desire de Leslie Fenton
1940 : Cafe Hostess de Sidney Salkow
1942 : This was Paris de John Harlow
1943 : Squadron Leader X de Lance Comfort
1945 : La Belle de San Francisco (Flame of Barbary Coast) de Joseph Kane
1945 : Masquerade à Mexico (Masquerade in Mexico) de Mitchell Leisen
1946 : Règlement de comptes à Abilene Town (Abilene Town) d'Edwin L. Marin
1947 : Out of the Blue de Leigh Jason
1947 : The Private Affairs of Bel Ami d'Albert Lewin
1947 : The Long Night d'Anatole Litvak
1948 : The Walls of Jericho de John M. Stahl
1950 : Celle de nulle part (Our very Own) de David Miller
1950 : Ma vie à moi (A Life of her Own) de George Cukor
1950 : The Return of Jesse James d'Arthur Hilton
1950 : Mrs. O'Malley and Mr. Mallone de Norman Taurog
1951 : J'étais une espionne américaine (I was an American Spy) de Lesley Selander
1951 : L'Énigme du lac noir (The Secret of Convict Lake) de Michael Gordon
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ann_Dvorak | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Cinéma : Acteur - actrice A | |||||||||||||||||||||||||||
2 août : Naissances | |||||||||||||||||||||||||||
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Ann Dvorak | |||||||||||||||||||||||||||
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