Statistiques

Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour : 19.07.2024
18122 articles


Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1201)
· A à Z : Sommaire (349)
· Mannequin de charme (955)
· Musique (400)
· Calendrier : Événements (333)
· Monde : France (2683)
· Département : Meuse (285)
· Cinéma : Films à classer (154)
· Calendrier : Naissances (246)
· Mannequin (211)

Rechercher
Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "dessinsagogo55" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Thèmes

air amour annonce art article background base belle blogs bretagne center centerblog

Articles les plus lus

· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)

· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara

Voir plus 

Derniers commentaires

Coquelicot

Publié à 22:28 par dessinsagogo55 Tags : photo

Corde vocale

Publié à 22:27 par dessinsagogo55 Tags : image center coup homme chez femme centerblog sur merci background

 

Les cordes vocales, ou plutôt « les plis vocaux », sont essentiel(le)s dans la phonation. Il s'agit de replis des membranes muqueuses du larynx dont la mise en vibration produit les sons vocaux — cri, langage, chant.


Vue laryngoscopique des cordes vocales.

Les cordes vocales sont tendues, dans le larynx, de l'angle rentrant du cartilage thyroïde (celui qui, ayant un angle de 90° chez l'homme donne le relief de la pomme d'Adam) à l'apophyse vocale des cartilages aryténoïdes.
Elles sont composées de plusieurs couches de structures différentes :
le muscle vocal (le muscle thyro-aryténoïdien),
puis la lamina propria qui regroupe trois couches : profonde, moyenne et superficielle.
Les couches profondes et moyennes sont formées par le ligament vocal. La couche superficielle est un espace de glissement appelé espace de Reinke. Ces différentes épaisseurs sont recouvertes de muqueuse plus ou moins visqueuse.


Image animée montrant les cordes vocales (ou plis vocaux "vocal fold") en mouvement lors de la phonation.


Les cordes vocales mesurent environ 9 à 13 mm chez la femme, et entre 15 et 20 mm chez l'homme.
Elles sont écartées lorsque le sujet respire, rapprochées quand il déglutit.


L'appareil phonatoire comprend le larynx, mais aussi la soufflerie (abdomen et thorax) et les résonateurs (cavité orale, fosses nasales...). Le blocage des cordes vocales produit le « coup de glotte » typique des langues sémitiques. Leur vibration permet de prononcer les voyelles et les consonnes sonores ou voisées. Leur ouverture béante permet d'aspirer le son H.



 

 

Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
    MISE A JOUR : 2024
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
 

 

 

 

Maureen O'Hara

Publié à 22:17 par dessinsagogo55 Tags : affiche actrice center homme centerblog sur sommaire
Maureen O'Hara

 

Maureen O'Hara (née Maureen Fitzsimons) est une actrice irlandaise née à Dublin le 17 août 1920. Elle débute avec L'auberge de la Jamaïque et Quasimodo où elle partage l'affiche avec Charles Laughton. Prise sous contrat par la RKO (qui la cèdera bientôt à la Fox), elle commence une carrière à Hollywood ; elle a 19 ans. Aux États-Unis, elle tourne beaucoup, notamment sous la direction de John Ford en compagnie de John Wayne (L'Homme tranquille ou Rio Grande).
 
 
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara

 

Retour à : Cinéma (Sommaire)

Acteur - Actrice

Retour à : Cinéma : Postes (Sommaire)

Retour à : SOMMAIRE

Direct sur la rubrique : Cinéma : M 

Comment ça marche ??? Aide

Actu de dessinsagogo55

Mise à jour : 

 

Maureen O'Hara

Publié à 22:17 par dessinsagogo55 Tags : center danse actrice divers centerblog sur bonne roman homme société fille film sommaire
Maureen O'Hara

Maureen O'Hara est la fille d'une comédienne et chanteuse irlandaise, très tôt, elle suit les conseils de sa mère et prend des leçons de diction et de danse. Possédant une voix de soprano, elle rêvera longtemps d'une carrière de cantatrice. Son père, Charles FitzSimons, gère une entreprise à Dublin, il est également propriétaire d'une équipe de football « Le Shamrock Rovers ».

Maureen O'Hara dès l'âge de dix ans participe à un show radiophonique. Puis elle se forme au théâtre et à 15 ans elle intègre le prestigieux Abbey Theatre en Irlande où elle pratique le théâtre classique et l'opéra. Son père ne croit pas aux aspirations de sa fille et insiste pour qu'elle apprenne un métier. Elle prend des cours de comptabilité et de dactylo, une compétence qui s'avérera bien utile quand John Ford lui demandera de taper ses notes et le script lors de la mise en chantier de L'Homme tranquille.


Elle est remarquée dans une interprétation d'une pièce de Shakespeare par Harry Richman, un chanteur populaire de music-hall américain. Il la recommande dans un de ses films, pour un petit rôle, Kicking the Moon Around (1938) comédie musicale de Walter Forde.
Le célèbre acteur Charles Laughton la remarque également dans un bout d'essai et est tout de suite séduit par le charisme de l'Irlandaise, ses yeux verts et sa flamboyante chevelure rousse. Il la présente à son associé Erich Pommer le producteur et lui fait signer un contrat de sept ans dans leur société de production Mayflower Pictures Corporation. Sur les conseils de Pommer, Maureen Fitzsimons change son nom en O'Hara.

Elle est tout de suite dirigée aux côtés de Charles Laughton par Alfred Hitchcock, dans sa dernière réalisation britannique, L'auberge de la Jamaïque. Film d'aventures maritimes qui remporte un grand succès commercial malgré de mauvaises critiques. Enthousiasmé par sa prestation, Charles Laughton déclara qu'elle avait fini par voler la vedette à tous les acteurs et que non seulement c'était une comédienne mais de plus une très bonne actrice, il embarque avec la jeune actrice sur le Queen Mary et appareille pour l'Amérique, direction Hollywood pour tourner un nouveau film pour la RKO.

Laughton est désigné pour incarner le Bossu de Notre-Dame et Maureen est proposée par l'acteur pour interprèter le rôle d'Esméralda dans une super production particulièrement coûteuse Quasimodo d'après le roman Notre-Dame de Paris de Victor Hugo, remarquable adaptation dirigée par William Dieterle. La RKO fit construire d'immenses studios et Van Nest Polglase, le décorateur, reconstitua la façade de Notre-Dame et tout un quartier médiéval avec trois mille cinq cents figurants en costumes. Le film est un nouveau succès.

La société de production RKO rachète alors le contrat de Maureen O'Hara à Charles Laughton. Profitant du talent de chanteuse et de danseuse de l'actrice, la RKO l'emploie dans divers films musicaux comme Dance, Girl, Dance ou They Met in Argentina mais malgré ses capacités pour la comédie musicale elle ne sera que très rarement employée dans ce genre.

 

  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara

 

Retour à : Cinéma (Sommaire)

Acteur - Actrice

Retour à : Cinéma : Postes (Sommaire)

Retour à : SOMMAIRE

Direct sur la rubrique : Cinéma : M 

Comment ça marche ??? Aide

Actu de dessinsagogo55

Mise à jour : 

Maureen O'Hara

Publié à 22:16 par dessinsagogo55 Tags : sur écran actrice sommaire centerblog film nature histoire homme place center fille
Maureen O'Hara

Son prochain film va être décisif pour la suite de sa carrière. L'attention d'un grand réalisateur, John Ford, va se porter vers cette rousse aux yeux verts qui lui rappelle ses origines irlandaises. John Ford vient de reprendre les rênes d'un film commencé par William Wyler et choisit Maureen O'hara pour interpréter le rôle d'Angharad dans Qu'elle était verte ma vallée à la place de Katharine Hepburn et de Gene Tierney alors pressenties. Ce bouleversant hommage d'une communauté de mineurs gallois, révèle la véritable nature passionnée et volontaire de l'actrice. Maureen O'Hara trouvera ses meilleurs rôles dans les films de John Ford et tournera avec lui quatre autres films. Elle est désormais star à la 20th Century Fox qui a racheté son contrat à la RKO.

Son tempérament et ses aptitudes sportives cultivées pendant l'enfance lui valent d'être spécialisée dans de nombreux films d'aventures exotiques et de films de cape et épée. Magnifiquement mise en valeur par la couleur elle sera surnommée « La Reine du Technicolor » et un journaliste écrira : « photographiée en Technicolor, Maureen O'Hara est plus éblouissante qu'un coucher de soleil ».

Elle sera remarquable dans un des meilleurs films de pirates de toute l'histoire du cinéma Le Cygne noir d'Henry King. Elle sera encore au cœur de la piraterie avec des films comme Pavillon noir, Tripoli ou À l'abordage ou l'épée à la main en fille d'Athos dans Les Fils des Mousquetaires, elle jouera les princesses exotiques dans des fantaisies orientales Sinbad le marin, Bagdad ou Flame of Araby. Beaucoup de ses films auront des connotations exotiques : Les Rivages de Tripoli, Aventure en Libye, Kangaroo, Malaga,L'Homme de Lisbonne, Notre Agent à La Havane...

De tous ces films, bien souvent tournés avec des réalisateurs médiocres et sur des scénarios légers certains sont des classiques du genre. Comme Le Cygne noir, premier film de pirates entièrement en couleurs (Technicolor), où elle est aux côtés de Tyrone Power digne successeur d'Errol Flynn et de son Capitaine Blood et de George Sanders remarquable en « méchant » arborant tignasse et barbe rousses.
La RKO fait souvent appel à elle, notamment pour un autre classique de films de pirates, Pavillon noir. Maureen demande Frank Borzage comme metteur en scène après un rendez-vous manqué en 1944 pour le film Till we meet again. C'est son retour à l'écran après une absence causée par sa maternité et la naissance de sa fille Bronwyn.


À la fois exercice de style et œuvre de commande, Pavillon noir est conduit par l'enthousiasme communicatif des interprètes et la réalisation flamboyante de Borzage rehaussée par le Technicolor. Couvert d'éloges, il reçoit un accueil triomphal du public et les recettes sauveront momentanément la RKO alors en difficulté.
Elle fait désormais partie des plus célèbres rousses d'Hollywood aux côtés de Rita Hayworth et de Susan Hayward.

  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara

 

Retour à : Cinéma (Sommaire)

Acteur - Actrice

Retour à : Cinéma : Postes (Sommaire)

Retour à : SOMMAIRE

Direct sur la rubrique : Cinéma : M 

Comment ça marche ??? Aide

Actu de dessinsagogo55

Mise à jour : 

Maureen O'Hara

Publié à 22:15 par dessinsagogo55 Tags : homme center femme histoire film centerblog sommaire sur
Maureen O'Hara

Pendant vingt ans Maureen O'Hara va tourner énormément, elle enchaîne film sur film et ne fera pas que des films d'aventures. Après sa composition dramatique de Qu'elle était verte ma vallée, elle joue dans plusieurs drames dont Aventure en Libye et La Fière Créole de John M. Stahl qui la dirigera trois fois,Vivre libre avec son ami Charles Laughton, réalisé par Jean Renoir alors exilé aux Etats-Unis. La RKO « emprunte » à nouveau la vedette à la Fox pour Secret de femme, un mélodrame mis en scène par Nicholas Ray, alors à ses débuts, mais le film est accueilli par les sarcasmes des critiques et s'avère décevant. En 1944, elle tourne son premier Western, Buffalo Bill de William A. Wellman, un genre qu'elle pratiquera fréquemment dans les années 50.

Mais c'est avec un film auquel personne ne croit qu'elle va connaître un de ses plus grands succès populaires. Le Miracle de la 34ème rue, comédie sentimentale qui raconte avec une gentillesse et un optimisme à la Capra l'histoire d'un vieil homme (Edmund Gwenn) qui prétend être le Père Noël. Succès retentissant, le film recevra 3 oscars et sera l'un des plus programmés de la télévision américaine à l'occasion des fêtes de Noël

Après cette décennie variée et marquée par de grands réalisateurs comme Henry Hathaway, Henry King, John M. Stahl, Jean Renoir, William Wellman, Frank Borzage, Nicholas Ray... Maureen O'Hara va aborder les années cinquante avec son réalisateur fétiche John Ford. Il va lui offrir avec les personnages de Kathleen, Mary Kate, Mary et Min ses plus beaux rôles qui donneront au réalisateur une brillante période de maturité dans ses portraits féminins

 

  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara

 

Retour à : Cinéma (Sommaire)

Acteur - Actrice

Retour à : Cinéma : Postes (Sommaire)

Retour à : SOMMAIRE

Direct sur la rubrique : Cinéma : M 

Comment ça marche ??? Aide

Actu de dessinsagogo55

Mise à jour : 

Maureen O'Hara

Publié à 22:14 par dessinsagogo55 Tags : center fille centerblog sur homme film humour sommaire
Maureen O'Hara

Depuis l'expérience heureuse de Qu'elle était verte ma vallée, l'équipe du film se retrouve chaque année autour de John Ford. Un lien fort presque familial continuait à unir les interprètes du film et Maureen a même prénommé sa fille, Bronwyn, comme celui du rôle que tenait Anna Lee dans le film.

De son côté, John Ford a toujours dans l'idée de retravailler avec son Angharad de Qu'elle était verte ma vallée. Un projet lui tient d'ailleurs particulièrement à cœur. Depuis 1936, il a acquis les droits d'une nouvelle de Maurice Walsh, The Quiet Man, qu'il n'arrive pas à monter faute de producteur désireux de le financer et très vite il voit John Wayne et Maureen O'Hara comme les meilleurs interprètes capables de jouer les rôles principaux mais la production s'éternise à se monter.

Entre-temps, John Ford monte une pièce de Maxwell Anderson What Price Glory en 1949 pour un spectacle de bienfaisance donné pour les vétérans décorés du Purple Heart,décoration attribuée aux blessés de guerre (Military Order of the Purple Heart). Il réunit une partie de sa « famille » cinématographique John Wayne, Maureen O'Hara, George O'Brien, Ward Bond, Harry Carey Jr.... mais également Gregory Peck pour quelques représentations en février/mars 1949.

À son grand mécontentement, Ford ne peut pas reprendre John Wayne et Maureen O'Hara pour l'adaptation filmée en 1952 de What Price Glory. De même pour sa comédie Planqué malgré lui où Maureen avait été le premier choix du réalisateur, la 20th Century Fox lui préférant pour les deux films une nouvelle venue, Corinne Calvet, avec qui Ford s'entendra mal.

Néanmoins Rio Grande (1950), L'Homme tranquille (1952), Ce n'est qu'un au revoir (1955, où Tyrone Power remplace exceptionnellement John Wayne) et L'aigle vole au soleil (1957) constituent un cycle inégalé, entre action et humour, où l'Irlande et l'armée se disputent la vedette.

 

  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara

 

Retour à : Cinéma (Sommaire)

Acteur - Actrice

Retour à : Cinéma : Postes (Sommaire)

Retour à : SOMMAIRE

Direct sur la rubrique : Cinéma : M 

Comment ça marche ??? Aide

Actu de dessinsagogo55

Mise à jour : 

Maureen O'Hara

Publié à 22:13 par dessinsagogo55 Tags : sommaire homme sur centerblog fille
Maureen O'Hara

 

Maureen O'Hara été mariée avec :
George H. Brown (1939-1941)
William Houston Price (1941-1953)
une fille : Bronwyn FitzSimons Price
Général Charles F. Blair, Jr. (en) (1968-1978)
Elle a eu une relation avec Enrique Parra (banquier et homme politique mexicain) de 1953 à 1967.
 
 
 
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara

 

Retour à : Cinéma (Sommaire)

Acteur - Actrice

Retour à : Cinéma : Postes (Sommaire)

Retour à : SOMMAIRE

Direct sur la rubrique : Cinéma : M 

Comment ça marche ??? Aide

Actu de dessinsagogo55

Mise à jour : 

Maureen O'Hara

Publié à 22:12 par dessinsagogo55 Tags : sommaire voyage you fille rose trot femme belle amour homme bonne sur moi centerblog danse love center aimer
Maureen O'Hara





1938 : Kicking the moon around de Walter Ford
1939 : My irish Molly d'Alex Bryce : Eileen O'Shea
1939 : La Taverne de la Jamaïque ou L'Auberge de la Jamaïque (Jamaica inn) d' Alfred Hitchcock : Mary Yellen
1939 : Quasimodo (The Hunchback of Notre-Dame) de William Dieterle : Esmeralda
1940 : A Bill of Divorcement de John Farrow : Sydney Fairfield
1940 : Dance, Girl, Dance de Dorothy Arzner : Judy O'Brien
1941 : Idylle en Argentine (They Met in Argentina) de Leslie Goodwins et Jack Hively : Lolita O'Shea
1941 : Qu'elle était verte ma vallée (How green was my valley) de John Ford : Angharad Morgan
1942 : Les Rivages de Tripoli (To the Shores of Tripoli) de H. Bruce Humberstone : Mary Carter
1942 : Ten Gentlemen from West Point d'Henry Hathaway : Carolyn Bainbridge
1942 : Le Cygne noir (The Black swan) d'Henry King : Lady Margaret Denby
1943 : Aventure en Libye (The Immortal sergeant) de John M. Stahl : Valentine Lee
1943 : Vivre libre (This land is mine) de Jean Renoir : Louise Martin
1943 : Nid d'espions (The Fallen Sparrow) de Richard Wallace : Toni Donne
1944 : Buffalo Bill de William A. Wellman : Louisa Frederici Cody
1945 : Pavillon noir (The Spanish main) de Frank Borzage : Contessa Francesca
1946 : Voyage sentimental (Sentimental Journey) de Walter Lang : Julie Beck / Weatherly
1946 : Voulez-vous m'aimer ? (Do you love me ?) de Gregory Ratoff : Katherine 'Kitten' Hilliard
1947 : Sinbad le marin (Sinbad the sailor) de Richard Wallace : Shireen
1947 : L'Amour au trot (The Homestretch) de H. Bruce Humberstone : Leslie Hale
1947 : Le Miracle de la 34ème rue (Miracle on 34th street) de George Seaton : Doris Walker
1947 : La Fière Créole (The Foxes of harrow) de John M. Stahl : Odalie 'Lilli' D'Arceneaux
1948 : Bonne à tout faire (Sitting Pretty) de Walter Lang : Tacey King
1949 : Secret de femme (A woman's secret) de Nicholas Ray : Marian Washburn
1949 : Britannia Mews de Jean Negulesco : Adelaide 'Addie' Culver
1949 : Father Was a Fullback de John M. Stahl : Elizabeth Cooper
1949 : Bagdad de Charles Lamont : Princess Marjan
1950 : Sur le territoire des Comanches (Comanche territory) de George Sherman : Katie Howard
1950 : Tripoli (Tripoli) de Will Price : Countess D'Arneau
1950 : Rio Grande de John Ford : Mrs. Kathleen Yorke
1951 : Les Frères Barberousse (Flame of Araby) de Charles Lamont : Princess Tanya
1952 : Les Fils des Mousquetaires (At sword's point) de Lewis Allen : Claire - la fille d'Athos
1952 : La Loi du fouet (Kangaroo) de Lewis Milestone : Dell McGuire
1952 : L'Homme tranquille (The Quiet man) de John Ford : Mary Kate Danaher
1952 : À l'abordage (Against all flags) de George Sherman : Prudence 'Spitfire' Stevens
1953 : La Belle rousse du Wyoming (The Redhead from Wyoming) de Lee Sholem : Kate Maxwell
1953 : À l'assaut du Fort Clark (War arrow) de George Sherman : Elaine Corwin
1954 : La rousse mène l'enquête (Malaga) de Richard Sale : Joanna Dana
1955 : Ce n'est qu'un au revoir (The Long gray line) de John Ford : Mary O'Donnell
1955 : Le Brave et la Belle (The Magnificent matador) de Budd Boetticher : Karen Harrison
1955 : Madame de Coventry (Lady Godiva of Coventry) de Arthur Lubin : Lady Godiva
1956 : L'Homme de Lisbonne (Lisbon) de Ray Milland : Sylvia Merrill
1956 : Everything But the Truth de Jerry Hopper : Joan Madison
1957 : L'aigle vole au soleil (The Wings of eagles) de John Ford : Min Wead
1959 : Notre Agent à La Havane (Our man in Havana) de Carol Reed : Beatrice Severn
1960 : Mrs. Miniver de Marc Daniels TV : Mrs. Miniver
1960 : DuPont Show of the Month de Marc Daniels TV : Lady Marguerite Blakeney
1961 : New Mexico (The Deadly companions) de Sam Peckinpah : Kit Tilden
1961 : La Fiancée de papa (The Parent trap) de David Swift : Margaret "Maggie" McKendrick
1962 : M. Hobbs prend des vacances (M. Hobbs takes a vacation) de Henry Koster : Peggy Hobbs
1963 : La Montagne des neuf Spencer (Spencer's mountain) de Delmer Daves : Olivia Spencer
1963 : Le Grand McLintock (McLintock) d'Andrew V. McLaglen : Katherine Gilhooley McLintock
1963 : Hallmark Hall of Fame de George Schaefer TV : Susanna Cibber
1965 : La Bataille de la Villa Fiorita (The Battle of the villa Fiorita) de Delmer Daves : Moira
1966 : Rancho Bravo (The Rare breed) d'Andrew V. McLaglen : Martha Price
1966 : The Garry Moore Show TV : Sara Longstreet
1967 : Off to See the Wizard : Mother Goose
1970 : How Do I Love Thee? de Michael Gordon : Elsie Waltz
1971 : Big Jake de George Sherman et John Wayne : Martha McCandles
1973 : Le poney rouge (The Red Pony) de Robert Totten TV : Ruth Tiflin
1991 : Ta mère ou moi (Only the lonely) de Chris Columbus : Rose Muldoon
1995 : The Christmas Box de Marcus Cole TV : Mary Parkin
1998 : Un taxi pour le Canada (Cab to Canada) de Christopher Leitch TV : Katherine Eure
1998 : Une dernière danse (The Last Dance) de Kevin Dowling TV : Helen Parker

  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara
  Maureen O'Hara

 

Retour à : Cinéma (Sommaire)

Acteur - Actrice

Retour à : Cinéma : Postes (Sommaire)

Retour à : SOMMAIRE

Direct sur la rubrique : Cinéma : M 

Comment ça marche ??? Aide

Actu de dessinsagogo55

Mise à jour : 

Mata Hari

Mata Hari

 

 

De son vrai nom Margaret Zelle, elle est née le 7 août 1876 à Leeuwarden (Frise), d'Adam Zelle, un marchand de casquettes hollandais et de Antje van der Meulen. Alors qu'elle n'était âgée que de 6 ans, sa famille déménagea pour Leiden. Sa mère mourut en 1891 et, la même année, son père fit faillite. Elle essaya alors de devenir enseignante. À 18 ans, elle se maria avec un officier de la marine néerlandaise, Rudolf MacLeod, avec qui elle partit vivre aux Indes néerlandaises (où l'un de ses deux enfants fut empoisonné par une servante qui était l'amante de Rudolf Macleod en 1899). De retour en Europe, après une escale de quelques mois à La Haye où elle se sépare de son mari qui était un homme violent et alcoolique, elle fit, en novembre 1903, une arrivée à Paris peu remarquée. Jouant sur le patronyme écossais de son mari, elle se fait appeler « Lady MacLeod » et, pour survivre, elle se fait embaucher dans un cirque en tant qu'écuyère. Au printemps 1905, grâce à la collaboration involontaire d'Émile Guimet, le fondateur du musée du même nom, elle triomphe dans un numéro de danseuse érotique exotique sous le nom de Mata Hari, signifiant "soleil" en malais.Couronnée d'aigrettes et de plumes, elle se produit d'une capitale à l'autre, guettée par les échotiers qui comptent ses chapeaux, ses chiens, ses fourrures, ses amants. Elle les aide à créer autour de sa personne une légende : elle serait née à Java où les prêtres de Shiva l'ont initiée aux secrets de son culte et de ses danses. Son père était un riche industriel. Son mari, un officier supérieur dont elle est séparée, était jaloux comme un tigre (Mata Hari aurait même affirmé qu'il lui aurait arraché un téton en la mordant mais ce fait a été déclaré faux après sa mort). Elle est aussi une courtisane qui se préoccupe trop peu de la nationalité de ses conquêtes.
 
 
C'est le 2 septembre 1916 que, procédant à des démarches pour un laissez-passer à destination de Vittel, elle fit la rencontre (non sollicitée par elle) du capitaine Ladoux, chef des services du contre-espionnage français. Il l'invite à mettre ses relations internationales et ses facultés de déplacement au service de la France. Elle accepta contre promesse d'une somme d'un million de francs ... qui ne fut jamais versée. En tant que ressortissante des Pays-Bas, elle pouvait franchir librement les frontières. Pour éviter les combats, elle rejoignait les Pays-Bas via l'Espagne et la Grande-Bretagne. Courtisée par de nombreux officiers alliés, elle fut néanmoins interrogée par les services britanniques à qui elle reconnut son appartenance aux services secrets français, bien que la suite des événements allât le démentir. On ne sait pas si elle mentit à cette occasion, croyant que cette histoire la rendrait plus intrigante, ou si les services français se servaient effectivement d'elle sans le reconnaître, en raison des réactions internationales que cette révélation aurait suscité.
 
 
En janvier 1917, l'attaché militaire allemand à Madrid, le major Kalle que Mata Hari avait tenté de séduire, transmit un message radio à Berlin, décrivant les activités d'un espion, de nom de code H-21. Les services secrets français interceptèrent le message et, en fonction des informations qu'il contenait, furent capables d'identifier H-21 comme étant Mata Hari. Aussi étrange que cela puisse paraitre, les Allemands chiffrèrent le message avec un code qu'ils savaient pertinemment connu des Français, laissant les historiens penser que le but du message était que, si elle travaillait effectivement pour les Français, ceux-ci pourraient démasquer sa double identité et la neutraliser. Six semaines après son retour de Madrid le 13 février 1917, le contre-espionnage français fit une perquisition dans sa chambre de l'hôtel Elysées Palace sur les Champs-Élysées (actuellement siège de la banque HSBC France). On ne trouva pas de preuve incontestable, mais le sac à main contenait deux produits pharmaceutiques dont le mélange pouvait fournir une encre sympathique — mais dont l'un n'était autre qu'un contraceptif efficace. Des télégrammes chiffrés interceptés établissaient (et elle le reconnut) que le consul allemand en Hollande lui avait versé 20 000 francs. « Pour prix de mes faveurs », précisait-elle. Pour des « renseignements », selon ses juges, sans préciser lesquels.Mata Hari apporta en fait très peu d'informations que ce soit aux Allemands ou aux Français et le seul qui soit assez important concernait un autre agent double qui avait infiltré le réseau allemand pour les services secrets français. De plus on peut penser qu'elle travaillait surtout pour l'Entente car après ses nombreux amants (on lui en prête plus de 150) elle s'éprit vers la fin 1916 d'un capitaine russe au service de la France dénommé Vadim Maslov, fils d'amiral. Il avait 21 ans et lui rappelait peut-être son fils mort qui devait avoir le même âge. Pour anecdote, elle voulait aussi se "venger" des Allemands qui lors d'une perquisition au théâtre de Berlin lui avaient pris toutes ses fourrures pour un montant d'environ 80 000 francs.

 

Accusée d'espionnage au profit de l'Allemagne, Mata Hari passe du statut d'idole à celui de coupable idéale dans une France traumatisée par la guerre et dont l'armée vient de connaître d'importantes mutineries après l'échec de la bataille du Chemin des Dames. Son avocat n'eut le droit d'assister qu'aux premiers et derniers interrogatoires. Le procès ne dura qu'une journée sans apporter de nouveaux éléments. Elle fut même, lors du procès, abandonnée par son amoureux Vadim Maslov qui la qualifia tout simplement "d'aventurière".
 

Condamnée à mort, elle fut fusillée le 15 octobre 1917, à l'âge de 41 ans, dans les fossés de la forteresse de Vincennes. Selon la légende, elle aurait refusé le bandeau qu'on lui proposait et aurait lancé un dernier baiser aux soldats de son peloton d'exécution.
 
Juste avant d'être fusillée, Mata Hari s'écria: "quelle étrange coutume des Français que d'exécuter les gens à l'aube!" Sa famille ne réclama pas le corps, qui fut confié à la faculté de médecine de Paris. Son corps fut disséqué par des étudiants en médecine, puis incinéré. Enfin, ses cendres furent déposées dans une fosse commune. Il ne reste donc aujourd'hui plus rien de la dépouille mortelle de Mata Hari.
 
 
Dès la fin de la guerre, l'Allemagne la présenta d'abord comme une innocente victime, n'ayant jamais collaboré avec les services de renseignements allemands.Cependant en 1931, dans un important ouvrage collectif L'Espionnage pendant la guerre mondiale auquel ont notamment collaboré des historiens, des officiers et des anciens agents des services secrets, il est fait mention que « Mata Hari a fait de grandes choses pour l'Allemagne; elle fut le courrier pour nos informateurs installés à l'étranger ou en pays ennemis... Mata Hari était parfaitement au courant des choses militaires, puisqu'elle avait été formée dans l'une de nos meilleures écoles d'information... Elle était un agent de marque. »
 
 
En 1937, « Mademoiselle Docteur », Fräulein Schragmüller, qui travaillait pendant la guerre au bureau III C, sous le nom de code H21, à Anvers, publia ses mémoires. Elle y révèle à propos de Mata Hari : « Pas une des nouvelles qu'elle a envoyées n'était utilisable, et ses informations n'ont eu pour nous aucun intérêt politique et militaire. » Elle reconnaitra cependant : « La condamnation était méritée et conforme à l'esprit du code militaire. »