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femme :Les femmes dans l'Antiquité

Publié à 22:59 par dessinsagogo55 Tags : femme danse sur course place center femmes maison vie cheval musique société nature fille art

femme :Les femmes dans l'Antiquité

Scène familiale de gynécée, lébès nuptial à figures rouges, v. 430 av. J.-C., Musée national archéologique d'Athènes

 

En Grèce




Scène familiale de gynécée, lébès nuptial à figures rouges, v. 430 av. J.-C., Musée national archéologique d'Athènes
Les filles, n'étant pas formées à l'art de la guerre ne pouvaient donc pas défendre la cité. Considérées comme moins utiles que les garçons, elles étaient plus souvent exposées qu'eux, c'est-à-dire abandonnées dans la nature, ou vendues comme esclaves (Stobée10 rappelle la formule : « Un garçon, on l'élève toujours, même si on est pauvre ; une fille, on l'expose, même si on est riche. ») Dans les cas où elles étaient élevées, elles bénéficiaient de moins de soins et d'attention.
La misogynie est courante et les femmes sont éloignées de la vie intellectuelle de la cité. Sémonide d'Amorgos dit d'ailleurs que « c'est Zeusqui a créé le mal suprême : les femmes », faisant référence au mythe de Pandore. On trouve, cependant, quelques exceptions, notamment à l'Pythagoriciens qui avait en son sein la mathématicienne, médecin et philosophe Théano. De plus, à Sparte les femmes sont considérées, sinon comme égales des hommes, du moins comme jouant un rôle primordial dans la Cité. Ainsi reçoivent-elles une éducation fondée sur l'apprentissage de la musique et de la danse, mais ayant aussi pour but de développer leur solidité physique : course à pied, lancer du disque et du javelot. Il n'est pas rare de voir des femmes monter à cheval et, à l'instar des hommes, une partie de leur formation (l'Agôgè) inclut des activités de lutte. Les Spartiates considéraient en effet que seules des femmes solides et vigoureuses pouvaient donner naissance à de futurs grands soldats, et cela conformément à la structure belliciste de leur société.
Dans Lysistrata, une comédie de 411 av. J.-C., Aristophane imagine les femmes faisant une « grève du sexe », afin de raisonner leurs maris et établir la paix entre les cités : « Pour arrêter la guerre, refusez-vous à vos maris. »

 

À Rome

 

À Rome, le statut civil de la femme est initialement déterminé par son rôle par rapport aux hommes :
1. puella, virgo (jeune fille) : la fille reçoit essentiellement une instruction domestique ; elle porte, comme le garçon, une bulle qu'elle abandonne le jour de son mariage ;
2. uxor, conjux (épouse) : les filles se marient à partir de 14 ans environ, puis de plus en plus tôt au cours des siècles (vers 12 ans à la fin de l'Empire romain d'occident)[réf. nécessaire] ; la femme est considérée comme une mineure qui passe par le mariage de l'autorité du père à celle de son mari ; il convient cependant de remarquer que ce statut est aussi celui de la plupart des hommes de la maison, soumis à l'autorité du patriarche ;
3. matrona, materfamilias (mère de famille) : en tant que mère, la femme est gardienne du foyer.
Néanmoins, le droit romain évoluant, la femme acquiert progressivement l'égalité juridique.

 

En Perse

 

La religion zoroastrienne affirme l'égalité entre hommes et femmes. Il y a peu de sources sur la place des femmes dans la perse antique mais les tablettes élamites retrouvées à Persépolis montrent cependant qu'elles travaillaient au même titre que les hommes et recevaient le même salaire. À noter aussi que sous la dynastie sassanide deux femmes sont brièvement montées sur le trône.
 
 
 
 
 
 
 

femme :Les femmes dans les sociétés industrielles

Publié à 22:58 par dessinsagogo55 Tags : center femmes enfants
femme :Les femmes dans les sociétés industrielles

 

 

 

Depuis le XIXe siècle et jusqu'à aujourd'hui, les professions se sont asexuées même si des différences subsistent et que les salaires ne sont pas les mêmes. Les femmes occupent majoritairement des emplois dans le secteur tertiaire (services), notamment dans des postes relationnels ou touchant aux fonctions domestiques (cuisine, ménage, soins, garde et éducation des enfants).

 

 

 

 

femme : Religions et les femmes

Publié à 22:57 par dessinsagogo55 Tags : lecture couples islam fille vie monde homme chez femme center argent femmes
femme : Religions et les femmes
 

 

Religion chrétienne

 

L'Église catholique n'admet pas la confusion des rôles masculin et féminin, exclut les femmes de l'ordination, ne reconnaît pas le divorce(qu'elle assimile à l'adultère, comme la séparation de corps), ne permet ni la sexualité en dehors de l'union du couple, ni l'avortement, ni la contraception par des méthodes non naturelles. Elle a dès l'origine, proscrit la polygamie et la répudiation qui étaient des pratiques courantes dans le monde antique, et elle est soumise en son sein même aux questions du féminisme chrétien.

 

Protestantisme
 
 
Le protestantisme prône le sacerdoce universel et donc celui des femmes. Néanmoins les libertés et interdits décrétés par la religion concernant les femmes varient très fortement selon les courants protestants, du plus libéral jusqu'au plus orthodoxe.

 

Islam



L'islam n'admet pas la confusion des rôles masculin et féminin, ni la sexualité en dehors de l'union du couple. Cette religion offre la possibilité dedivorce sous certaines conditions. L'homme musulman a le devoir de protéger son épouse et de lui laisser libre choix de ses activités. La femme a le droit de travailler ou de divorcer sans le consentement de son époux. La femme est perçue comme « impure » en période de menstruation et pour « soulager » ce phénomène biologique elle est interdite de prière. L'islam permet l'avortement dans certaines situations précises, quand par exemple la conservation du fœtus met la vie de la mère en danger. La polygamie est permise par le Coran à la condition que la femme soit consentante et que l'homme ne privilégie aucune de ses femmes ; il devra leur donner de l'argent et s'occuper d'elles de manière strictement égale, il ne pourra avoir que quatre épouses au plus et sous le consentement de ses premières épouses. Cependant, certains théologiens lisent dans le Coran que seul un homme considéré comme "parfait" aurait le doit d'avoir plusieurs épouses. Cette lecture est néanmoins peu répandue car la religion est dans le monde musulman souvent teintée de traditions qui n'ont rien à voir avec l'Islam et qui considèrent la femme comme intrinsèquement inférieure à l'homme.

 

Judaïsme

 

Le judaïsme assigne des rôles précis aux hommes et aux femmes, en particulier chez les juifs orthodoxes : les femmes n'ont généralement pas accès au rabbinat et sont perçues comme « impures » pendant leur période menstruelle. Les relations sexuelles hors mariage sont prohibées et les couples doivent se soumettre aux règles de la niddah (« lois de la pureté familiale »). Le divorce et la répudiation sont permis mais découragés. L'avortement est autorisé dans les cas suivants : si le fœtus met en danger la vie de la mère, le fœtus est mal formé, ou que la mère soit incapable mentalement d'assumer la grossesse. La contraception est interdite. La polygamie, traditionnellement permise, est interdite depuis le XIe siècle.

 

Bouddhisme

 

Le Bouddha Sakyamuni a donné aux femmes la pleine ordination. Cependant, au fil du temps, le nombre de nonnes s'est moins développé que celui des moines dans les paysbouddhistes. Ainsi, au Tibet, elles étaient 27 000 avant l'invasion chinoise de 1959 alors qu'il y avait environ 592 000 moines.
Par contre, les femmes laïques ont joué un grand rôle au Tibet par le fait que Padmasambhava - le fondateur du bouddhisme tantrique au Tibet - et son équipe ont fondé la communauté rouge, donc monastique composée de moines et de nonnes, et la communauté blanches formée de laïcs tant hommes et femmes. Les femmes et les hommes de cette communauté blanche pouvaient se marier, et devenir lamas. Parmi les nombreuses femmes dont s'honorent le bouddhisme tibétain, citons Yeshe Tsogyal, Jomo Manmo, Nigouma, Matchik Labrön et Ashi Khandro. Il y a eu aussi des lignées familiales de maîtres à disciple, voire de mère à fille. Les maîtres femmes ont surtout existé au sein de l'école nyingma, et moins dans les écoles sakya et géloug.
 
 
 
 
 
 
 

dessinsagogo55 : Gif

Publié à 22:52 par dessinsagogo55

dessinsagogo55

Publié à 22:41 par dessinsagogo55 Tags : photo

Costume sexy : Gif dessinsagogo55

Publié à 22:38 par dessinsagogo55 Tags : gif création

Costume sexy : <a class=

Costume sexy : <a class=Costume sexy : <a class=Costume sexy : <a class=

En réalité, 4 fichiers ont été utilisés pour ce gif
Alors qu'en observant attentivement, 
On peut s'appercevoir qu'un nombre de fichier plus important à été utilisé
Et logiquement, tout repose sur le modèle sélectionné pour cette création

Assemblé à partir de 4 fichiers
Réalisé par Eric Picard / dessinsagogo55

Cousances-les-Forges

Cousances-les-Forges est une commune française, située dans le département de la Meuse et la région Lorraine.

Cousances-les-Forges
La briqueterie Benoit et les cité Champenois-Rambeaux et Cie vers 1910

En 1965, réunion de deux communes Cousances-aux-Forges et Cousancelles pour créer Cousances-les-Forges.


Cousances-les-Forges
La gare vers 1920

Le 1er août 1914 la mobilisation générale est décrétée en France.
Dès le début de septembre 1914, les Allemands occupent Revigny-sur-Ornain (voir aussi : Bataille de Lorraine) distant d'une trentaine de kilomètres et menacent Bar-le-Duc. Le canon gronde et fait trembler les vitres de l'église de Cousances. Cousances recueillit deux vagues de réfugiés venus des territoires envahis en 1914 puis 1916 (bataille de Verdun). « D'après une lettre du préfet (novembre 1914, n°255) chaque réfugié devait toucher, chaque jour, une livre de pain, et pour 10 jours : 1 kg de graisse, 1 kg de légumes et 0,50 Fr. d'épicerie. » Le front n'atteindra jamais le village qui servira de centre d'instruction pour les soldats qui monteront au front. Des stages de 3 semaines leur permettent de s'entraîner au maniement du fusil, de la mitrailleuse, grenade et torpille à ailettes (soldats des 11e, 15e, 128e (1916), et surtout 115e Régiment d'Infanterie (= 315e RI, voir 115e régiment d'infanterie de ligne).). Y cantonnèrent également, ce qui à partir de 1916 sera de moins en moins bien vécu par la population, une cinquantaine d'artilleurs, un train d'équipage chargé du ravitaillement (début de la guerre), un groupe d'assaut ou corps-franc qui effectuaient régulièrement des opérations éclairs sur quelque endroit du front, une cinquantaine d'artilleurs ; en 1915, durant 3 semaines, un régiment de dragons et un de cuirassiers qui partirent ensuite pour Tahure. Des voitures-ambulances stationnaient également. « ...A Cousances fut organisée l'œuvre de la Croix-Rouge. Un ouvroir était ouvert chez les Sœurs (école Sainte-Geneviève) pour réparer ou utiliser tout le vieux linge recueilli, car il fallait des draps pour le hôpitaux militaires, de la charpie et des bandes pour le soin des blessés. Des matelas. Appel était fait aux bonnes volontés. (in Gaillemin p.184)». Un parc de réparation des camions qui servaient à rallier Verdun était installé à l'usine Champenois, des femmes y travaillaient. Les avions ennemis ne bombardèrent quasiment pas les usines de Cousances, lesquelles pourtant travaillaient pour l'armement, mais se dirigeaient plutôt sur Marnaval et Saint-Dizier (10 km vers l'ouest). A l'usine Champenois étaient fondus des obus et des grenades. Au haut-fourneau : des grenades et des chaudières pour les cuisines militaires. Cela permet à quelques mouleurs et ajusteurs de métier du village d'être affectés spéciaux dans leur usine tout en étant mobilisés. Comme une multitude de municipalités françaises, Cousances et Cousancelles perdirent de nombreux enfants lors de ce premier conflit mondial (« ...Soixante-deux des vôtres sont tombés pour la cause sainte... » extrait du discours d'André Maginot, ministre des pensions, pour l'inauguration du monument aux morts (commandé à M. Camus, statuaire à Toulouse), le 2 octobre 1921.).

les industries et les artisans : Le Haut Fourneau (usine André) Cette usine continua sa production. Le syndicat Saint-Joseph fut dissous le 16 février 1930. Il n'était plus qu'un économat (voir II 1. page 123). L'usine Champenois : Au moment de la guerre 1914, les établissements Champenois, avec leurs filiales (Noncourt, Châteauroux, Saint-Quentin, Cousances) fournissaient 80 % du matériel agricole français. Cette usine devint propriétaire de la « fonderie du château » qui avait été mise en liquidation. En 1916 les différentes usines s'étaient groupées en une société : « les établissements Champenois-Rambaux et Cie ». Une usine moderne fut construite à Saint-Dizier pour la fabrication en grande série de râteaux faneurs hippomobiles et machines de récolte. En 1939, cette usine devait être réquisitionnée. Après la guerre, la Cima s'installera sur ce terrain. Le syndicat des métallurgistes de Cousances et environs, fondé en 1903, cessa d'exister vers 1923 (voir II 1 p. 129). Le petit Creusot : Depuis 1913, c'était la société « Ch. Aubry, Borel et Cie ». Auguste Borel (mort en mai 1931), originaire d'Auvergne, était ingénieur des Arts et Métiers de l'Ecole nationale de Cluny. Il avait été contremaître de l'usine André (Haut Fourneau). Dans les productions de cette usine, relevons : des roues Bajac pour Liaucourt, fabricant de charrues, des roues Goujis pour Huard, fabricant de charrues à Châteaubriand, auquel étaient expédiés en moyenne 2 à 3 wagons par mois, ce qui représentait 50 à 60 tonnes. L'usine travaillait aussi pour l'exportation. Vers 1925-1930, des roues rosaces de 2,70 m de diamètre furent expédiées à des Pères Blancs à la Martinique. Autres exportations : au Chili, en Indochine, au Maroc, en Algérie, en Tunisie, à Madagascar, à Alexandrie... roues de charrettes « Impérissable » à double bandage, roues de 1,70 – 1,80 m de diamètre. En plus des roues, l'usine fabriquait des boîtes aux lettres en fonte, des carcasses de génératrices électriques, des poulies métalliques en 1 ou 2 pièces, à moyeu fonte, raies acier olive dont un important client était M. Dissoubray, spécialisé dans les organes de transmissions. Tuilerie Benoit : tuilerie ayant appartenu à un ancien maire de Cousances (Léon Benoit décédé en 1932), elle ferma aux environs de 1934. Tuilerie de Cousancelles : détruite par le feu le 30 janvier 1933. _ _ _ _ _
Durant ces années, d'autres établissements ou industries sont nés. Nous parlerons de leur début pour les retrouver après 1940. La Société des Forges : Usine fondée en 1935 par Henri Perrin. Indépendante du Haut Fourneau bien que l'atelier d'emboutissage soit dans les locaux et l'émaillerie commune. Alors que le Haut Fourneau utilise la fonte, cette usine prenait pour matière première de la tôle épaisse en feuilles. Ces feuilles étaient coupées et travaillées sur différentes presses variant de 25 à 250 tonnes, pour en faire des casseroles, des fait-tout, etc. La Maréchalerie Panard-Linard (ancienne famille de Cousances dont la présence est attestée dans les premiers actes paroissiaux datant de 1680) : Elle évoluera avec le charronage et la réparation des machines agricoles : lieuses, faucheuses, etc. Après 1940, nous trouverons les établissements Panard-Linard.
On trouve également :
un garage (Garage Maur – Brosse 1922)
une société de transports (transports Voinot – Tissot 1930) spécialisée principalement dans le transport de produits métallurgiques vers Saint-Dizier, Commercy, surtout pour Paris.
La société forestière Marsal et Cie datant d'avant 1914.
Ainsi qu'une foule d'artisans et commerçants.
1924 : installation d'un distributeur automatique d'essence à Cousances.
1929 : la commune est désignée centre de secours.
1931 : création d'un syndicat de communes pour la réalisation d'une distribution de gaz.
_ _ _ _ _ durant ces années, le Naix – Güe (train reliant Naix-aux-forges à Ancerville-Güe (cf. : Ancerville (Meuse)) passait régulièrement avec des trains de marchandises ou de voyageurs.
Éducation, culture et loisirs : À la suite des lois de la Séparation, les sœurs de la Congrégation de la Doctrine chrétienne n'avaient plus le droit de tenir l'école Sainte-Geneviève. L'école fût rouverte en 1914. Les sœurs, quant à elles, tinrent l'école ménagère et la garderie. L'école ferma en 1942, les sœurs quittèrent Cousances. Au cours de ces années furent institués, à Cousances et à Cousancelles, des cours d'adultes pendant l'hiver. Ils étaient gratuits. En 1923, monsieur Bugnon, directeur de la Coopérative de la Meuse, permit d'installer à Cousances « un cinéma pour développer l'instruction des enfants, des adultes et du public. » Septembre 1936 : formation de la société de pêche « La Saumonée ».

Durant la « drôle de guerre », pendant quelques mois, un parc d'artillerie était installé à l'usine du château (plus tard AMSU), il fut ensuite transféré à Mogneville. Pour la défense anti-aérienne, un poste d'écoute et d'observation était installé à gauche du chemin de la côte des Folies. 5 ou 6 soldats sans matériel devaient repérer et signaler le vol d'avions ennemis. Un autre poste, équipé d'écouteurs amplificateurs à alvéoles, était installé aux Coufins, territoire de La Houpette. Au haut-fourneau et à l'usine Aubry étaient fabriquées des grenades V.B. , une commande de 4000 ches Aubry, peut – être autant au haut fourneau... dont environ la moitié fut livrée, car au mois de mai...
Un dimanche de mai, à midi, un combat aérien eut lieu au – dessus de Cousancelles. L'avion français fut touché et tomba sur le plateau entre Cousancelles et Ancerville, dans les prés Peschau. La lisière de Cousances est bombardée le 12 juin (bois Simon, vers la cité Jeanne d'Arc..). le Panzergruppe du général Guderian est à Saint-Dizier le 14 juin à 5h30 du matin. Bar-le-Duc est occupé le samedi 15. La débâcle suit. De la fin juin jusqu'en octobre 1940 cantonna à Cousances et Cousancelles un bataillon d'artillerie commandé par un capitaine. Ensuite, ce furent différentes unités. Les dernières troupes allemandes quittèrent Cousances et Cousancelles en février 1942 pour se porter sur le front russe. Une Ortskommandantur fut installée le 13 juillet 1940 dans un foyer abandonné lors de la débâcle. Elle était commandée par le capitaine Dechner qui fut remplacé, le 13 août par le capitaine Assmann. Il avait sous sa juridiction, Cousances, Cousancelles et Narcy. D'après les conventions d'armistice, la France était divisée en zone libre et en zone occupée. Ces zones comportaient elles-mêmes des espaces aux statuts particuliers. Ainsi, Cousances et Cousancelles se trouvaient ils en « zone occupée réservée » (prévue pour devenir une colonie de peuplement allemand cf : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armistice_du_22_juin_1940 ). Il en fut ainsi jusqu'en 1942, lorsqu'à la suite du débarquement des Alliés en Algérie, les Allemands occuperont toute la France. La limite de la zone occupée réservée, pour ce secteur, était le canal ou le chemin de fer Joinville - Saint-Dizier. Ainsi, pour aller à Saint-Dizier, il fallait un ausweiss (laissez-passer) que l'on devait présenter au poste allemand, situé au pont du canal.
En juillet 1940, l'activité commerciale était faible par suite de la disparition complète des stocks et les difficultés de ravitaillement. La reprise agricole avait été rapide, son activité normale. Malgré l'absence des patrons, le Haut Fourneau et l'usine Champenois furent remis en marche. Marcel Aubry était revenu presque aussitôt d'exil (il sera nommé, le 10 novembre 1943, chef du Mouvement « Ceux de la Résistance » pour la région de Cousances et le canton d'Ancerville, par Alain de Lambilly, chef régional du Mouvement pour la Meurthe-et-Moselle, la Meuse, les Vosges, les Ardennes). Mi-juillet l'usine André fut remise en activité. Le stock de matières premières, fonte et charbon était important. Le Haut Fourneau, avec 40 ouvriers, peut – être plus, reprit sa production de casseroles, de cuves pour produits chimiques et de plates-formes pour chemin de fer. M. Chatel rentra d'exil vers le 17 août. Vers 1943, l'usine fabriqua des pièces mécaniques pour la marine allemande. Chez Champenois, l'usine fut remise en route vers la fin de juillet et continua sa fabrication de machines agricoles. Les Allemands en achetèrent pour leurs exploitations. Chez Aubry, avec une vingtaine d'ouvriers, on continua à fabriquer des roues métalliques, des pièces diverses de fonderie. Un des principaux clients était Dickoff, de Bar. L'usine ne travailla pas pour les Allemands. Les usines avaient besoin de matières premières : fonte, charbon, acier. Le comité d'organisation des diverses industries fournissait des bons matière à la commande. C'est vers mars 1943 que l'organisation Todt s'installa dans ce secteur pour des travaux souterrains dans les carrières de Savonnières. Le bureau était situé rue Mme Robert (maison Charoy). Quel était le but de ces travaux ? Ceux qui y ont travaillé n'ont pu le deviner : pour lancer des V1 et V2 ? Une usine souterraine ? La ligne Naïx – Güe fut aménagée pour un plus fort trafic car les allemands allaient l'utiliser beaucoup. Pour alimenter en matériaux les travaux de l'entreprise (gravier, sable, ciment), il fallut renforcer le pont du chemin de fer. une piscine, et une station de pompage électrique furent construites, l'eau ainsi collectée était acheminée à Savonnières en camions citernes. L'organisation Todt, dans ce secteur, employait environ 4000 ouvriers, dont au moins une cinquantaine originaires de Cousances, environ 7 à 800 d'entre eux logeaient à Cousances. Des membres de l'organisation Todt (Belges flamands, Luxembourgeois, Rhénans) logeaient à Cousancelles. Ils faisaient presque tous partie d'une fanfare. L'organisation Todt avait requis, pour le théâtre aux armées, un groupe de musiciens du Lido de Paris, dirigé par Ben Horris, qui donnait des concerts à la salle des fêtes de l'usine, pour les chefs de l'organisation Todt... ces derniers quittèrent Cousances le 27 août 1944. A Cousances vivaient quelques familles juives qui avaient évacué au moment de l'exode. Les membres de la famille Gougenheim, qui était revenue et avait tant bien que mal rouvert la boucherie familiale, furent déportés puis considérés comme morts selon un document du 13 avril 1944. Bar-le-Duc est libéré le 31 août 1944 au soir.

Évolution démographique
(Source : Insee)

1962 : 1643
1968 : 1694
1975 : 1883
1982 ; 1890
1990 : 1828
1999 : 1716


Personnalités liées à la commune
Abbé André Gaillemin (Histoire de Cousances et Cousancelles en 3 volumes).

Cornichon est un fruit

Publié à 22:33 par dessinsagogo55 Tags : photo homme saint center france mer
Cornichon est un fruit

Le cornichon est une plante herbacée annuelle de la famille des Cucurbitaceae, cultivée pour ses fruits, récoltés avant maturité et consommés principalement comme condiment.
Le nom scientifique est Cucumis sativus. Concombre et cornichon sont une même espèce. Historiquement le concombre était récolté à maturité, à la différence du cornichon, puis des variétés ont été sélectionnées pour produire des cornichons et d'autres des concombres. Les sélections effectuées par l'Homme ont accentué les caractères propres à chacun, pour obtenir des cultivars distincts. Parmi les variétés appréciées de cornichons on peut citer le Fin de Meaux, le Vert petit de Paris, le Délicatesse, l'Amélioré de Bourbonne et le Colet F1.
Le mot cornichon est également, en langage familier, utilisé pour désigner un homme niais et stupide. C'est aussi le surnom de l'élève de classe préparatoire à l'École spéciale militaire de Saint-Cyr.
L'appellation de cornichon de mer est parfois utilisée pour désigner la salicorne d'Europe, une plante d'aspect fort différent des cornichons et qui n'est pas botaniquement de la même famille, et qui ne doit ce surnom qu'à cause d'un usage culinaire similaire. Quand elle est jeune sa tige peut être confite dans le vinaigre et servir de condiment, à la manière d'un cornichon.

Production en tonnes de concombre et de cornichon
Chine : 64 %
En 2003 : 25 059 864 tonnes
En 2004 : 25 558 000 tonnes


L'Inde est aujourd'hui le premier exportateur mondial de cornichons.




Recette de préparation
Nettoyer les cornichons en les frottant les uns contre les autres, les faire dégorger au gros sel. Ensuite faire bouillir du vinaigre blanc et de l'eau. Placer cornichons et aromates (estragon, laurier-sauce, grains de poivre ou de coriandre, oignons grelot, rondelles de carotte, aneth ...) dans un bocal, verser le vinaigre dessus, retourner le bocal, puis attendre au moins 2 mois avant de consommer.



Différents goûts, tailles et aspects
Les cornichons « français » (en fait, ceux qui sont commercialisés en France, sont aujourd'hui généralement importés, principalement du sud de l'Inde), sont petits, craquants, et ont un goût plutôt pimenté. Ceux qui sont consommés ailleurs qu'en France peuvent avoir un goût, une taille et un aspect différent. Ainsi, en Europe centrale et orientale, les cornichons sont plus gros et plus doux, tel le malossol, emblématique des cuisines slaves . Notons qu'en Russie, bien que le mot cornichon (????????) existe, on utilise habituellement le mot concombre, « ogourest » (??????). Il y a aussi des variétés sans boursuflures, que l'on trouve notamment en Angleterre et en Amérique du Nord. Par ailleurs, la nouvelle tour de la City à Londres, en forme d'obus, est surnommée Gherkin qui signifie cornichon.

Coquelicot

Publié à 22:30 par dessinsagogo55 Tags : photo fleurs

Rouge écarlate et pétales de soie ... 
par sa présence au bord des chemins de nos vacances ,
le coquelicot évoque l'éclat éphémère de l'été ! 
il impose sa légèreté et ses couleurs vives sur tous les terrains ,
des grands champs de blé de Monet jusqu'à l'orée des villes .
Fleur sauvage aux nombreuses vertus , le coquelicot cache bien des secrets ...

Coquelicots

Le coquelicot est une plante annuelle velue , à suc laiteux ,
dont l'apparence frêle emplit les champs (peu traités)
et les bords des chemins de mai à septembre ...

Coquelicots

Le coquelicot est connu depuis toujours pour procurer un sommeil serein .
Les égyptiens disposaient des pétales dans les tombeaux
pour assurer au défunt un « doux sommeil » ...

Coquelicots

Une fois cueillis , les coquelicots se fanent très vite ...
Voici une petite astuce pour profiter plus longtemps de ces jolies fleurs :
dès la cueillette si possible , brûlez vivement l'extrémité coupée de la tige ,
de manière à faire coaguler le suc ...

Coquelicots

Dans le langage des fleurs , le coquelicot symbolise « l'ardeur fragile »
et signifie « Aimons-nous au plus tôt ».

Coquelicots

Son nom nous viendrait de l'ancien français , « coquerico » 
qui désignait le coq par son cri .
On a ensuite fait le parallèle entre la crête du coq et l'aspect rouge
et légèrement tombant de cette fleur !
Coquelicots


Coquelicot : En plein champs

Publié à 22:29 par dessinsagogo55 Tags : image blog photo article background